LOrient [Lorient] ; Imprimerie de L. C. R. Baudoin, 1780. 1780 1 vol. in-8° (215 x 145 mm) de : X (titre, dédicace, avis à mon fils) ; 229 pp. ; [3] ff. (table, errata). (rares tâches, ensemble frais). Étiquette de libraire collée au dos du premier plat : Ouvrage excessivement rare. Plein veau marbré dépoque, dos lisse orné, double-filet doré encadrant les plats, tranches rouges, gardes de papier marbré. (reliure usée, trace de piece de titre).
Très rare édition originale et unique de cette autobiographie due à Jean-Nicolas Guérin de Frémicourt (1721-1790), militaire français, lieutenant-colonel et commandant de milices de l'Isle de France. Louvrage est illustré dun portrait de l'auteur en frontispice, gravé sur cuivre par Cathelin d'après Philippe. Comme indiqué en début douvrage, cette autobiographie militaire est principalement adressée à son fils et n'était pas vouée à être mise en vente. En effet, il sagit dun ouvrage privé exclusivement destiné à sa famille et à ses amis militaires. « Ce livre aura l'avantage, je crois unique, de ne point faire regretter l'argent que l'on y mettra, car il n'en sera vendu aucun exemplaire. Ceux des militaires qui en désireront, s'adresseront directement à moi, en m'indiquant le moyen de le leur faire parvenir, je distribuerai de même toute l'Edition et m'estimerai trop heureux si je puis laisser après moi des preuves de mon dévouement à ma patrie et à mon état. » Une très importante partie du présent ouvrage concerne l'Isle de France (Ile Maurice) et Lile Bourbon (La Réunion). Il sagit notamment pour lauteur de présenter les dispositions à prendre pour la défense de l'Isle de France. Jean-Nicolas Guérin de Frémicourt, né en 1721, gravit progressivement les échelons de l'armée, passant de lieutenant en second en 1735 à lieutenant en 1743, puis à aide-major en 1744. Il devient par la suite capitaine en 1746, et en 1756, obtient une commission de lieutenant-colonel. En 1756, il est choisi pour commander et discipliner les troupes des Isle de France et de Bourbon. À cet effet, il reçoit un brevet de lieutenant-colonel d'infanterie du roi ainsi qu'un traitement en tant qu'administrateur en second de l'île de France de la part de la Compagnie des Indes. Il séjourne alors sur l'île de France du 13 mars 1757 au 5 octobre 1762 où il est chargé des services de soutien à l'expédition de Lally-Tollendal. Malgré les défis et les difficultés liés à l'état de dénuement de l'île, il a rempli brillamment cette tâche ingrate et complexe. En 1759, il élabore notamment un plan de défense de l'île qui inspirera ceux qui travailleront à la fortification de la colonie après lui. Il conclut sa carrière en tant que commandant au service du roi à Lorient. Bel exemplaire de cette très rare autobiographie privée. 1 vol. 8vo (215 x 145 mm) of : X (title, dedication, " notice to my son ") ; 229 pp. ; [3] ff. (table, errata). (few stains, fresh overall). Bookseller's label affixed to spine of front cover: "Excessively rare work...". Contemporary full marbled calf, ornate smooth spine, double gilt fillet framing the boards, red edges, marbled paper endpapers (binding worn). Very rare first and only edition of this autobiography by Jean-Nicolas Guérin de Frémicourt (1721-1790), a French military officer, lieutenant-colonel and commander of the militia at Isle de France. The work is illustrated with a frontispiece portrait of the author, copper-engraved by Cathelin after Philippe. As indicated at the beginning of the book, this military autobiography is primarily addressed to his son, and was not intended for sale. Indeed, it is a private work intended exclusively for his family and military friends. "This book will have the advantage, I believe unique, of not making anyone regret the money they put into it, as no copy will be sold. I will distribute the entire edition in the same way, and I will be only too happy if I can leave behind me proof of my devotion to my country and my state. A large part of the present work concerns Isle de France (Mauritius) and Ile Bourbon (Reunion Island). In particular, the author presents the measures to be taken for the defense of Isle de France. Jean-Nicolas Guérin de Frémicourt, born in 1721, rose steadily through the ranks of the army, from second lieutenant in 1735 to lieutenant in 1743, then to aide-major in 1744. He became captain in 1746, and in 1756 was commissioned lieutenant-colonel. In 1756, he was chosen to command and discipline the troops on the Isle de France and Bourbon. To this end, he received a brevet as lieutenant-colonel of the king's infantry, as well as a salary as second administrator of the Isle of France from the Compagnie des Indes. He stayed on the Isle of France from March 13, 1757 to October 5, 1762, where he was in charge of support services for the Lally-Tollendal expedition. Despite the challenges and difficulties of the island's destitute state, he performed this complex and thankless task brilliantly. In 1759, he drew up a plan for the island's defense that would inspire those who would work on fortifying the colony after him. He ended his career as a commander in the king's service at Lorient. A fine, well-preserved copy of this very rare private autobiography.
Phone number : 06 81 35 73 35
Jean Nicolas Pierre HACHETTE. Programmes d'un Cours de Physique, ou précis de leçons sur les principaux phénomènes de la nature, et sur quelques applications des mathématiques à la physique. 1809, chez Mme Veuve Bernard, Paris. 1 vol. in-8 relié de 248 pages. Reliure de l'époque demi chagrin maroquiné marron, dos lisse orné de fers romantiques, de filets, fleurons, et du titre, frappés à l'or fin. Tranches jaspées. 6 planches gravées dont 3 dépliantes. Bon état, intérieur frais quelques rousseurs claires en début d'exemplaire. Ex-libris de Werner Günther. Très rare. Édition originale. Jean Nicolas Pierre Hachette, né à Mézières (Ardennes) le 6 mai 1769 et mort à Paris le 16 janvier 1834, est un mathématicien français. Considéré comme le principal continuateur de Gaspard Monge en géométrie, l'enseignement de géométrie descriptive qu'il assura dans les grandes écoles et à l'Université imprégna toute une génération de savants et de techniciens, et prépara l'essor de la géométrie projective au xixe siècle. Assez bon
A Paris, Robert Pepie et Jean-Baptiste Nolin, 1693. In-12 de 1 titre-frontispice gravé et (16)-393 pp. mal chiffrées 379-(4) pp., veau brun granité, dos à nerfs fleurdelisé, tranches jaspées (reliure de l'époque).
Édition originale rare établie par Jean-Baptiste Nolin (1657-1708), géographe ordinaire du Roi, graveur, éditeur d'estampes.En 1686, le père Vincenzo Coronelli passa avec lui marché pour son globe céleste et 28 cartes de géographie - en collaboration pour la table avec le géographe et cartographe avec Jean-Nicolas de Tralage (1640-1720) sous le pseudonyme de TillemonMors très légèrement fendus en tête. Titre-frontispice Divisions de la France.Provenance : Exemplaire de l'auteur Jean-Nicolas de Tralage (ex-libris), neveu du lieutenant général de police La Reynie, qui légua sa collection en 1699 à l'abbaye de Saint-Victor.
Monmerqué, Louis-Jean-Nicolas, Michel Francisque (François-Xavier MICHEL dit..
Reference : LCI-963
(1842)
1842 1842 Paris Firmin-Didot 1842 1 in 8 Reliure Demi-Maroquin noir dos à nerfs et caissons 670[pp] Théâtre français au Moyen-Âge, publié d'après les manuscrits de la Bibliothèque Nationale (XIe - XIVe siècles). Les Vierges sages et les Vierges folles. La résurrection du Sauveur. Jeux, par Adam de La Halle. Le miracle de Théophile. Jeu de Saint Nicolas, par Jean Bodel. De Pierre de La Broche qui dispute à Fortune par devant Reson.Un miracle à Nostre-Dame d'Amis et d'Amille. Un miracle de Saint Ignace. Un miracle de Saint Valentin. Un miracle à Nostre-Dame, comment elle garda une femme d'estre arse. Un miracle à Nostre-Dame, de l'empereris de Romme.
Etat de conservation excellent , Intérieur frais quelques rousseurs Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg
, , 1815. Manuscrit in-12 de (1)-140 pp., titre orné, vélin souple bruni, dos lisse muet (reliure de l'époque).
Copie manuscrite par un certain « Jean H. Wouters » à l'encre brune d'une écriture fine et lisible datée 1815, qui témoigne de l'immense succès de la pièce de Jean-Nicolas Bouilly créée et imprimée en 1799 sous le titre L'Abbé de l'Épée comédie historique, en cinq actes et en prose, par J*** N*** Bouilly. « La pièce qui, sans doute, a le plus fait avancer la cause des sourds, sourds-muets et muets, L’Abbé de l’Épée, « fait historique » en cinq actes de Jean-Nicolas Bouilly a fait une belle carrière : jouée cent cinquante-six fois jusqu’en 1840, elle passe alors au répertoire de l’Odéon, où elle reste jusqu’en 1890 tout en étant jouée sur d’autres scènes. Son auteur, Bouilly (1763-1842) a, en 1799, déjà travaillé comme librettiste avec Grétry, Dalayrac et Méhul (il sera en 1813 le premier librettiste d’Auber) ; l’année précédente, il a donné Léonor ou l’Amour conjugal qui servira de base au Fidelio de Beethoven. (…) L’Abbé de l’Épée met ainsi en scène Charles-Michel de l’Épée (1712-1789), inventeur de la langue des signes et créateur de ce qui est devenu de nos jours l’Institut national des jeunes sourds. Grande figure, bienfaiteur de l’humanité, l’abbé est célébré comme tel dès la fin du XVIIIe siècle et tout au long du XIXe siècle, la pièce de Bouilly participant largement à ce culte entretenu principalement par l’Institut des sourds-muets. Là est la première originalité de ce « fait historique » : mettre à la scène, dix ans après sa mort, la figure de l’instituteur des sourds-muets – présenté comme un saint homme – et, de cette manière, faire d’une œuvre dramatique un ouvrage militant en leur faveur. La deuxième originalité de Bouilly est à vrai dire un coup de génie : s’inspirer d’une affaire judiciaire à laquelle l’abbé de l’Épée a été mêlé, en l’occurrence l’affaire Solar qui a fait beaucoup de bruit en son temps. En 1776, l’abbé recueille un enfant sourd-muet. Peu à peu il acquiert la conviction qu’il s’agit du comte de Solar, un sourd-muet qu’on croyait mort. Le précepteur de l’enfant, Cazeaux, est arrêté et le protégé de l’abbé est reconnu comte de Solar en 1781. Un second procès innocente toutefois Cazeaux en 1792. On retire son titre au soi-disant comte de Solar qui n’était en réalité qu’un imposteur. L’abbé étant déjà mort à cette date, sa réputation n’est pas entachée par ce revirement judiciaire. Dans la pièce de Bouilly, ce dernier épisode a été supprimé. Le protégé de l’abbé, le jeune sourd-muet Théodore, est bien Jules, comte d’Harancour que l’abbé amène à Toulouse pour reprendre son titre et ses biens spoliés par son oncle et tuteur, le méchant Darlemont. La vertu triomphe au dénouement, sans la moindre ambiguïté. Bouilly, comme le feront ses confrères avec l’enfant de l’Aveyron et Kaspar Hauser, a su en tout cas s’inspirer d’un fait-divers retentissant pour présenter une figure d’enfant confronté à l’injustice et susciter ainsi la compassion chez les spectateurs. Théodore est présenté comme un être sensible, intelligent, cultivé et animé des sentiments les plus nobles tandis que l’abbé se caractérise par son esprit pénétrant et droit (le monologue par lequel il explique à l’acte II comment il a retrouvé la ville natale de l’orphelin est un morceau de bravoure demeuré célèbre). Le couple formé par le vieillard vertueux et l’enfant sourd-muet est déjà en soi un gage de succès. (…) L’Abbé de l’Épée a connu une carrière exceptionnelle et a contribué à la cause des sourds-muets comme nulle autre œuvre dramatique au XIXe siècle. « Il est peu de personnes qui n’en aient entendu parler et dans la mémoire desquelles ne soit resté le souvenir de ce drame », constate en 1866 le littérateur Achille Jubinal » (Jean-Claude Yon).Yon, Jean-Claude, L’Abbé de l’Épée de Bouilly. Les sourds-muets sur scène au XIXe siècle, in L’altérité en spectacle, édité par Isabelle Moindrot et Nathalie Coutelet, Presses universitaires de Rennes, 2015 (p. 163-173).
Paris, Le Normant, [1845], in-8, 16 pp, Broché, couverture muette moderne, Lettre adressée à tous les médecins dans laquelle le pionnier de la thanatopraxie Jean Nicolas Gannal (1791-1852) se défend contre les industriels qui attaquent son brevet, contre les embaumeurs qui craignent d'être dépossédés de leur métier, et contre les attaques personnelles des médecins, qui le critiquent sur sa méconnaissance de la médecine, autrement dit, contre l'accusation de "charlatanisme", dont il est la cible depuis la perte de son brevet en 1840. Dans les mêmes années, Gannal est également accusé d'employer de l'arsenic, substance qui sera interdite par ordonnance en 1846. Son procédé sera finalement examiné par l'Académie de Médecine qui, en 1847, organisa une confrontation avec les méthodes et produits des docteurs Boissié, dit Suquet, et Dupré : la commission, qui se composait notamment d'Orfila, conclut à la supériorité du procédé Suquet (Rapport sur divers modes d'embaumement présentés par MM. Dupré, Gannal et Sucquet). Jean Nicolas Gannal, ancien pharmacien de la Grande Armée élabora son procédé d'après la méthode du médecin palermitain Giuseppe Tranchina (1797-1837) : il s'agissait de pratiquer une petite incision à la partie latérale du cou pour introduire par l'artère carotide, à l'aide d'une pompe, la liqueur conservatrice, puis d'envelopper le corps de bandes imbibées de liqueurs aromatiques. En deux heures, l'opération était terminée, et le corps renfermé dans un cercueil de plomb. Il n'y avait plus de mutilations, ni de soustraction d'organes. La promptitude, la décence et le prix peu élevé du mode opératoire de Gannal contribuèrent à en propager l'emploi. Dès 1840, la cession de son brevet fut faite pour un grand nombre de départements. En plein Romantisme, tout un chacun avait désormais la possibilité de présenter le corps du cher défunt avant sa mise en terre. Gannal lui-même embauma Samuel Hahnemann en 1843, sur la demande son épouse. Parmi les anatomistes, le procédé fut également un succès : il rencontra notamment la faveur de Bourgery, qui l'utilisa pour son fameux traité d'anatomie, et d'Auzoux, qui l'employa pour mettre sous les yeux de ses ouvriers les préparations qu'ils devaient reproduire. Son affaire ne se relava jamais vraiment du rapport défavorable de l'Académie de médecine. Bon exemplaire. Nicolas Delestre, Petite histoire de l'embaumement en Europe au XIXe siècle. Paris, le Murmure, 2017. Couverture rigide
Bon 16 pp.
Paris, Tabary, 1844 in-8, 87-[9] pp., avec un grand fac-similé dépliant "in fine", demi-chagrin brun à coins, dos à nerfs orné, tête dorée (reliure de l'époque). Dos passé. Bon exemplaire.
A la suite, on trouve le complément très rare de cette étude : Lettre du frère Antoine, de l'Ordre des Ermites de Saint-Augustin, à Nicolas de Rienzi, tribun du peuple romain ; suivie de deux lettres de Rienzi, adressées à Giannino, de Sienne. Appendice de la Dissertation sur Jean Ier (...). Paris, Tabary, 1845, 32 pp. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, VveLouis Janet et Magnin 1844 In-12 18 x 11 cm. Reliure de l’époque demi-chagrin vert, dos à nerfsencadrés de fers dorés, tranches dorées, 336 pp., 4 gravures sous serpentes, table des matières. Coins émousés et frottés, intérieur frais, gouttière régulière.
Homme aux multiples talents, Jean-Nicolas Bouilly (1763-1842) fit paraître un nombre considérable de recueils de contes pour la jeunesse, traduits dans de nombreuses langues et réédités jusqu'à la fin du XIXe siècle. Bon état d’occasion
S.n., s.l. (juin 1847), 22 x 28 cm, relié.
Thèse pour le doctorat de médecine, soutenue par l'auteur en 1847. Edition originale. Reliure en demi-percaline vert sapin, titre et nom de l'auteur dorés au dos, "S de B [Société de Biologie] en pied, plats de papier marbré, reliure de l'époque. Envoi autographe signé de Jean Nicolas Demarquay. Quelques rares piqûres marginales sans conséquence. Agréable exemplaire, rare. Jean Nicolas Demarquay (1815-1875), chirurgien, présente sa thèse pour le doctorat en médecine, Recherches expérimentales sur la température animale, en juin 1847. Il est chirurgien en chef de la maison de santé Dubois. Il s'intéresse à l'hypnotisme et publie de nombreux ouvrages sur les procédés opératoires. Grand ami d'Auguste Duméril, médecin, membre de l'Institut et de l'Académie royale de médecine, il publie avec lui et avec Lecointe une plaquette intitulée Recherches expérimentales sur les modifications imprimées à la température animale par l'introduction dans l'économie de différents agents thérapeutiques, en 1852. - Photos sur www.Edition-originale.com -
P., Ledoyen et Giret, 1846, in-8°, iii-292 pp, acec les portraits lithographiés de l'auteur et de Pigault-Lebrun, reliure demi-chagrin maroquiné bordeaux, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés, couv. conservées, rousseurs éparses, bon état. Rare
Né en novembre 1769, mort en mai 1846, Jean-Nicolas Barba est en activité comme libraire de 1790 à 1839. Originaire de Sommelan, dans l’Aisne, il s’installe à Paris en 1785, et y travaille chez un oncle assembleur d’impression. Après avoir tenté le colportage à Reims, il s’établit en 1790-1791 au Palais-Royal, galerie vitrée. Il tient boutique rue Gît-le-Cœur en 1795, mais retourne de l’autre côté de la rive droite. Il crée en 1798 un « magasin de pièces de théâtre et de romans nouveaux » près du Pont-Neuf. Le rachat de plusieurs fonds (Duchesne, Maradan...) lui permet de se spécialiser dans l’édition théâtrale. Malgré les succès, il est en faillite en septembre 1806, puis à nouveau en 1830. En 1810, à l’initiative de Napoléon, est adopté un nouveau règlement sur l’imprimerie et la librairie : une Direction générale de l’imprimerie et de la librairie ayant droit de censure est attachée au ministère de l’Intérieur. Le nombre des imprimeurs est réduit ; les imprimeurs et les libraires doivent être brevetés et assermentés. Barba reçoit un brevet de libraire le 1eroctobre 1812, qu’on lui retire le 7 août 1825 pour la publication licencieuse de L’Enfant du carnaval dont c’est la seizième édition. Il continue cependant à exercer à l’aide d’un prête-nom, et plaide trois ans avant de gagner son procès. Malheureusement son magasin brûle en 1828 dans l’incendie du Palais-Royal et la situation de son commerce s’aggrave. Il peut compter sur le duc d’Orléans, futur roi des Français, qui met à sa disposition un autre magasin, et l’aide à reconstruire. Barba obtient un nouveau brevet le 30 août 1838. Atteint de cécité, il se retire en juillet 1839, après avoir vendu la moitié de son fonds à son premier commis Christophe Tresse. Il continue cependant à exercer la librairie chez son fils Gustave Barba, rue Gît-le-Cœur,jusqu’aux alentours de 1842... Pendant quarante ans, Barba publie tout le théâtre de son époque, toutes les pièces représentées en France... — "L'auteur fréquenta le milieu théâtral à l'époque révolutionnaire et brosse des portraits d'acteurs souvent savoureux." (Fierro, 69)
Genève, Slatkine, 1970 in-8, VII pp., 542 pp., un f. n. ch. d'errata, toile verte, dos orné de filets dorés (reliure de l'éditeur).
Réimpression anastatique de l'édition de Saint-Nicolas-de-Port, parue en 1845.Jean-Nicolas Beaupré (1795-1869), magistrat de profession, fut l'un des fondateurs de la Société d'archéologie lorraine ; il laissa de nombreuses contributions sur l'histoire de sa région. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Tabary, 1844 gr in-8, 87-[8] pp., avec un grand fac-similé dépliant "in fine", demi-veau turquoise, dos lisse orné de filets dorés, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Rousseurs, mais bon exemplaire.
Les monographies sur le pauvre petit roi Jean Ier n'abondent pas, et pour cause : un règne posthume de cinq jours sous la régence de Philippe de Poitiers ne remplit pas l'imagination. Mais voilà, il y eut bien après la mort officielle de Jean, l'affaire Giannino où l'on vit un marchand siennois du nom de Giannino Baglioni prétendre, pendant la captivité de Jean II, être le petit Roi échangé après sa naissance avec le fils d'un Siennois émigré. Druon a excellemment exploité cette histoire dans ses Rois maudits, mais il ne l'a pas inventée : ce fut le tyran de Rome, Cola di Rienzo, qui forgea cet échange prétendu pour renforcer son pouvoir. Le problème est que l'intéressé attendit 1356, donc deux ans après l'assassinat de son protecteur, pour revendiquer le trône : il se rendit à la Cour de Hongrie, où le roi Louis Ier (1326-1382), neveu de la reine Clémence, le reconnut comme le fils de Louis X. Fort de cet appui, Giannino se rendit à Avignon en 1360, mais le pape Innocent VI refusa de le recevoir, et il fut finalement arrêté et emprisonné ; il mourut à Naples en 1363.Envoi au duc de Luynes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Tabary, 1844 in-8, 87-[9] pp., dérelié, sans couverture. Il manque le fac-similé. Ex-libris Georges Fessard.
Les monographies sur le pauvre petit roi Jean Ier n'abondent pas, et pour cause : un règne posthume de cinq jours sous la régence de Philippe de Poitiers. Mais voilà, il y eut bien après la mort officielle de Jean, l'affaire Giannino où l'on vit un marchand siennois du nom de Giannino Baglioni prétendre, pendant la captivité de Jean II, être le petit Roi échangé après sa naissance avec le fils d'un Siennois émigré. Maurice Druon a excellemment exploité cette histoire dans ses Rois maudits, mais il ne l'a pas inventée : ce fut le tyran de Rome, Cola di Rienzo, qui forgea cet échange prétendu pour renforcer son pouvoir. Le problème est que l'intéressé attendit 1356, donc deux ans après l'assassinat de son protecteur, pour revendiquer le trône : il se rendit à la Cour de Hongrie, où le roi Louis Ier (1326-1382), neveu de la reine Clémence, le reconnut comme le fils de Louis X. Fort de cet appui, Giannino se rendit à Avignon en 1360, mais le pape Innocent VI refusa de le recevoir, et il fut finalement arrêté et emprisonné ; il mourut à Naples en 1363. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Desloges, 1840, in-8, 70-[2] pages, portrait, Demi-basane cerise, Troisième édition. La seconde, parue aussi en 1840, ne comptait que 45 pages. Un portrait de Gannal en lithographie. Jean Nicolas Gannal (1791-1852) fut l'un des pionniers de la thanatopraxie. Cet ancien pharmacien de la Grande Armée élabora son procédé d'après la méthode du médecin palermitain Giuseppe Tranchina (1797-1837) : il s'agissait de pratiquer une petite incision à la partie latérale du cou pour introduire par l'artère carotide, à l'aide d'une pompe, la liqueur conservatrice, puis d'envelopper le corps de bandes imbibées de liqueurs aromatiques. En deux heures, l'opération était terminée, et le corps renfermé dans un cercueil de plomb. Il n'y avait plus de mutilations, ni de soustraction d'organes. La promptitude, la décence et le prix peu élevé du mode opératoire de Gannal contribuèrent à en propager l'emploi. Dès 1840, la cession de son brevet fut faite pour un grand nombre de départements. En plein Romantisme, tout un chacun avait désormais la possibilité de présenter le corps du cher défunt avant sa mise en terre. Gannal lui-même embauma Samuel Hahnemann en 1843, sur la demande son épouse. Parmi les anatomistes, le procédé fut également un succès : il rencontra notamment la faveur de Bourgery, qui l'utilisa pour son fameux traité d'anatomie, et d'Auzoux, qui l'employa pour mettre sous les yeux de ses ouvriers les préparations qu'ils devaient reproduire. Avec la présente publication, l'auteur élargit son propos à toute la taxidermie puisqu'il développe aussi un art de mégir, de parcheminer, d'empailler et de monter les peaux. Dos passé, coiffe supérieur arasée, étiquette en tête. Fortes rousseurs. Nicolas Delestre, Petite histoire de l'embaumement en Europe au XIXe siècle. Paris, le Murmure, 2017. Couverture rigide
Bon 70-[2] pages, portrait.
Paris, chez l'auteur, 1841, in-8, VII-448 pp, Demi-chagrin noir, dos à faux nerfs, Seconde édition de cet ouvrage qui a joué un rôle essentiel dans la voque des embaumements, en particulier aux États-Unis, où il a été traduit dès 1840 par l'anatomiste américain Richard Harlan. Jean Nicolas Gannal (1791-1852) fut l'un des pionniers de la thanatopraxie. Cet ancien pharmacien de la Grande Armée élabora son procédé d'après la méthode du médecin palermitain Giuseppe Tranchina (1797-1837) : il s'agissait de pratiquer une petite incision à la partie latérale du cou pour introduire par l'artère carotide, à l'aide d'une pompe, la liqueur conservatrice ; puis, à l'extérieur, des bandes imbibées de liqueurs aromatiques. En deux heures, l'opération était terminée, et le corps renfermé dans un cercueil de plomb. Il n'y avait plus de mutilations, ni de soustraction d'organes. La promptitude, la décence et le prix peu élevé du mode opératoire de Gannal contribuèrent à en propager l'emploi. Dès 1840, la cession de son brevet fut faite pour un grand nombre de départements. En plein Romantisme, tout un chacun avait désormais la possibilité de présenter le corps du cher défunt avant sa mise en terre. Gannal lui-même embauma Samuel Hahnemann en 1843, sur la demande son épouse. Parmi les anatomistes également, le procédé fut un succès : il rencontra notamment la faveur de Bourgery, qui l'utilisa pour son fameux Traité d'anatomie, et Auzoux, qui l'employa pour mettre sous les yeux de ses ouvriers les préparations qu'ils devaient reproduire. Le présent ouvrage comporte, outre l'Histoire des embaumements, quatre opuscules de Gannal : - Lettre adressée à l'Institut sur la question des embaumements. Paris, Imprimerie Le Normant, août 1843. 16 pages. - Lettres adressée à messieurs les membres du conseil de salubrité au sujet de la translation des cendres de l'empereur Napoléon et de l'exhumation des victimes de juillet. Paris, Terzuolo, 1840. 15 pages. - Notice sur les embaumements. Procédés de M. Gannal. [Paris, imprimerie de Terzuolo, 30 novembre 1839]. 32 pages, 2 planches : la première représente deux momies, l'une égyptienne, l'autre chrétienne, à l'avant d'un paysage où prennent place un mausolée gothique et des pyramides ; la seconde figure un monument funéraire élevé "à l'immortel Cuvier". - Observations sur le service des inhumations et pompes funèbres dans la ville de Paris. Paris, Maistrasse et Wiart, 1847. 31 pages, 1 titre-frontispice en lithographie. Frottements au dos. Quelques rousseurs. Cachet annulé de la faculté catholique de Paris et étiquette ex-dono de la bibliothèque d'Henri Liouville. Nicolas Delestre, Petite histoire de l'embaumement en Europe au XIXe siècle. Paris, le Murmure, 2017. Wellcome III-86. Couverture rigide
Bon VII-448 pp.
Paris, Mme. Vve Louis Janet, Libraire, rue Saint-Jacques, 59. (c.1841). IX. 384 pages. 4 planches hors-texte. (18x11 Cm). Demi basane noire, dos orné de caissons dorés, double filets dorés sur les plats, tranches dorées. (Reliure de l'époque). Auteur vénéré de l'enfance s'il en fut, le tourangeau Jean-Nicolas Bouilly (La Coudraye, 1763-1842), alors âgé de la soixantaine, se laissa convaincre de publier un nouvel ouvrage pour les enfants. "L'arbre le plus fécond ne jette plus en hiver que des feuilles desséchées." déclare-t-il, ajoutant :"mon imagination fatiguée ne trouvait rien… " et sur l'avis de son "digne et fidèle éditeur", il décida de réunir dans ce nouvel ouvrage des récits extraits du journal le "Dimanche des Enfants". Paru en 1824, (Gumuchian 849, 2 vols.), ce titre nouveau sera, comme tous les autres, maintes fois réédités. L'ouvrage ici, est remanié : Janet son imprimeur décédé en 1840, l'ouvrage paraît chez sa veuve en un seul volume, avec l'ajout dans le titre de "Les Jeunes Elèves"; on trouve en tête : un "Avis de l'éditeur" et l"Introduction de la Première édition des Jeunes Elèves", signée de Bouilly alors âgé de 78 ans (1841). Ce conteur agréable qui connaît si bien le goût des enfants, dépeint avec bonheur les choses familières, recherchant selon son expression, une "morale douce et pure", il tente ainsi, "d'atténuer les inégalités sociales, de pallier la différence des classes" (Jean de Trigon) : "le Salut Militaire" (un jeune prince est mis aux arrêts pour avoir oublié de saluer un simple soldat), ou encore l'exquise histoire de "La fête de village", "La Sortie de l'école", "La soupe Populaire" . Orné de 4 jolies figures sur acier: ("les 2 colombes", "le maître d'écriture", "le buste d'Henri IV", "le salut militaire").
Jean-Nicolas Bosse, capitaine de La bonne Union, navire de Rouen appartenant au baron de la Chevallerie.
Reference : 012138
Jean-Nicolas Bosse, capitaine de La bonne Union, navire de Rouen appartenant au baron de la Chevallerie. P.S., Elseneur (Danemark), 29 août 1776, 1p in-4. Reçu pour deux lettres confiées par Conrad Hanssen, consul d'Elseneur, pour le ministre de la Marine Antoine de Sartine. Ce document provenant des papiers de Jean-Jacques Isle de Beauchaine (1747-ap.1792), on peut en déduire qu'il contenait notamment la lettre de chevalier d'Isle datée du 23 août dont Sartine fait mention dans sa réponse du 23 septembre. Concernant le navire, on sait qu'il avait fait un voyage à Saint Pétersbourg en 1776 et qu'il repart en août en direction du Havre. Il a donc fait escale à Elseneur. Sympathique document. [338]
Aux dépens d'une Société Typographique. [S.l.,], 1774. in-8, XVIpp.-348pp.-1f. Basane fauve de l'époque, dos à nerfs orné, pièce de titre, tranches rouges.
Seconde édition, augmentée "de nouvelles anecdotes". Le comédien Hannetaire (1718-1780), fils naturel de l'architecte Servandoni, créa une troupe pour le maréchal de Saxe puis fut, trente ans durant, entrepreneur de la Comédie de Bruxelles. Il excellait dans les seconds rôles, dits "à manteaux". Ses Observations, publiées en 1764, sont un des livres qui ont fait autorité sur l'art de la comédie. Il y donne les conseils d'un praticien confirmé aux acteurs débutants. Marmontel dit de cet ouvrage souvent réédité qu'il est de ceux dont le défaut est d'être trop court ! (Barbier III, 614 - Cioranescu II, 33505 - Soleinne V, 618). - Coiffe et mors inférieurs frottés, charnière intérieure fragile. Ex-libris Hénin de Cuviller.
Genève, Slatkine, 1971 5 parties en un vol. in-8, 32 pp., 84 pp., 116 pp., 64 pp., 4 pp., toile bleue, dos orné de filets dorés (reliure de l'éditeur).
Réimpression anastatique de l'édition parue à Nancy en 1856.Jean-Nicolas Beaupré (1795-1869), magistrat de profession, fut l'un des fondateurs de la Société d'archéologie lorraine ; il laissa de nombreuses contributions sur l'histoire de sa région. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, 27 novembre 1792 in-folio (40 x 32 cm), en feuille.
Beau diplôme sur vélin souple, pré-imprimé et renseigné manuscritement.Signé de Jean-Nicolas Pache (1746-1823) comme ministre de la guerre (octobre 1792 - janvier 1793), ce brevet est accordé à François-Henri de Cognon (1746-1811), qui ne dépassa ensuite plus ce grade de lieutenant-colonel. Il avait fait toute sa carrière dans l'artillerie. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Metz-Paris, Claude Lamort, Devilly, Belin, 1788 in-12, [12]-182 pp., basane fauve marbrée, dos à nerfs orné de filets et fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison de basane rouge, tranches rouges (reliure de l'époque). Dos restauré. Bon exemplaire.
Édition originale rare. Jean-Nicolas-Etienne de Bock (1747-1809) fut l'un des premiers érudits français, avec Anquetil-Duperron, à s'intéresser au zoroastrisme et au mazdéisme. Ses recherches sont plus minutieuses que précises, et il a sur l'origine des religions orientales des vues encore confuses, que le progrès rapide des connaissances allait dissiper, mais il fait partie des précurseurs dans le domaine du comparatisme. Relié à la suite, du même auteur : Mémoire historique sur le peuple nomade, appelé en France Bohémien, et en Allemagne Zigeuner ; avec un Vocabulaire comparatif des langues Indienne et Bohémienne, traduit de l'Allemand de M. Grellmann. Metz, Claude Lamort, Devilly, Paris, chez Belin, 1788, [2]-91 pp., avec une pl. dépliante. L'ouvrage, malgré son titre et sa pagination séparés, forme en fait la seconde partie de l'Essai sur l'histoire du sabéisme. Caillet I, 1263. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, J.-P. Brasseur, Buisson, Desenne, an VII (1799) in-8, [2]-vj-163 pp., cartonnage Bradel de papier crème, pièce de titre verte (reliure de l'époque). Coins abîmés.
C'est en 1737 que fut pour la première fois publié ce poème attribué à Pétrone et courant sur la guerre entre les partisans de César et ceux de Pompée, avec une traduction française de Bouhier. Cette pièce n'est pas autonome, elle fait partie des trente poèmes insérés dans le Satyricon ; il occupe les chapitres CXIX à CXXIV ; mais, comme les autres, dont le nombre varie d'ailleurs d'une édition à l'autre, son authenticité est discutable. Il est donc préférable de maintenir l'ouvrage sous le nom du traducteur et de l'éditeur, qui a d'ailleurs fourni une importante contribution critique, Jean-Nicolas-Marie Deguerle (1766-1824), issu d'une ancienne famille jacobite émigrée en Frace, et qui se fit surtout connaître par ses traductions d'auteurs latins.Brunet IV, 577. Cioranescu, XVIII, 22371. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Veuve Louis Janet, s.d. (1882) in-12, [2] ff. n. ch., 346 pp., avec 4 planches hors texte gravées sur cuivre, sous serpentes, demi-chagrin cerise, dos à nerfs orné de filets, pointillés et caissons dorés, encadrements à froid sur les plats de toile chagrinée, tranches dorées (reliure de l'époque). Des mouillures.
La première édition est de 1827 ; le succès comme les rééditions furent innombrables.Il s'agit de l'une des innombrables productions du littérateur tourangeau Jean-Nicolas Bouilly (1763-1842), ami de Garat, de Ginguené, de Clément de Ris, et dont le rôle politique pendant la Révolution, comme sa justification dans l'autobiographie Mes récapitulations (1836), sont généralement plus intéressants que ses fictions. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Bachelier, 1832. XIJ. 531 pages. 3 planches hors-texte dépliantes. (21,5x13,5 Cm). Demi-toile à coins. Dos lisse doré. Coins et coiffes émoussés. Plats frottés. Petits manques sur les plats. Mouillure dans les marges des 12 premières pages sant atteint au texte. Rousseurs. Taches. Jean-Nicolas Deal est à compter parmis les penseurs les plus originaux des scientifiques de l'époque. Dans cet ouvrage très rare il veut demontrer l'impossibilité d'un mouvement spontané de la nature. Un tableau dépliant de synchronistique de l'univers sensible et deux planches dépliantes en couleurs hors-texte.
Par Jean-Nicolas Corvisart-Desmarets, (1755-1821). Il fut notamment le médecin personnel de Napoléon.Seconde édition, corrigée et augmentée. Paris, chez H. Nicolle, de l'imprimerie de Mame 1811.Reliure demi veau marbré de l'époque. Dos lisse orné de chainettes dorées et pièce de titre orange. Quelques rousseurs sur une dizaine de pages. Exemplaire rare dans cet état. Très bon état. Format in-8°(20x13).