Bruxelles, Le Grenier du Collectionneur, 1992. fascicule in-4, 92 pages, illustrations noir & blanc. Broché.
- Bon état.
Bruxelles, éd. Le Grenier du Collectionneur, 1992, EDITION ORIGINALE, tirage limité à 1000 expl., in-4, cartonnage souple, couv. ill. en noir sur fond jaune éd., 92 pp., très nb. ill. en noir et reproductions en noir de documents anciens, sommaire, index des noms, index des journaux, Jean-Léo (1922 -), journaliste et chansonnier belge. Directeur de la librairie de livres anciens "Le Grenier du collectionneur" à Bruxelles. Un des trois fondateurs du journal satirique « Pan » en 1945. Il a publié en 2002 aux éditions Racine « La collaboration au quotidien. Paul Colin et le Nouveau journal, 1940-1944 ». Léon Brisse, dit Baron Brisse, né le 20 septembre 1813 à Gémenos et mort le 13 juillet 1876 à Fontenay-aux-Roses, est un gastronome et auteur culinaire français. Ami du compositeur Rossini, et de nombreux littérateurs, dont Alexandre Dumas et Charles Monselet, ainsi qu’avec Grimod de la Reynière et Joseph Favre, il s’est fait une renommée presque européenne dans le monde culinaire comme l’un des premiers journalistes gastronomiques. RARE Très bon état
Librairie spécialisée en gastronomie , œnologie et tabagie
1970 In-8, broché, couverture illustrée, 48 p. Bruxelles, Le Grenier du collectionneur, 1970.
"Libraire à Bruxelles, Jean-Léo présente une bibliographie de complément à Del Bo : titres anciens non cités par ce dernier, et ouvrages parus depuis 1957. Au total 430 brèves rubriques très précieuses" (Le Quillec, 1289). Exemplaire à l'état de neuf.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
Brussel : Algemeen rijksarchief, 1998. in-4, 104 pp, illustrations n&b et couleurs, Met 200 onuitgeg. of weinig gekende originele ill. en oorspr. tek. van Alika Lindbergh, Louise Van Gelder, Serge Creuz en Guy Huygens, broche, couv. illustree.
Etat proche du NEUF. [AGR-4]
Le Grenier Du Collectionneur broché Couverture Illustrée Bruxelles 1970 48 pages en format 13 -21 cm
Très Bon État
Challamel 1910 In-8 pleine toile éditeur, filets et fleuron, 281 pp. Figures dans le texte. Fortes rousseurs au titre et en fin de volume, sinon rares.
Seconde édition. Très bon état d’occasion
Rousseau Marc texte ; Body Philippe, Dugast Jean-Léo photographies
Reference : 104828
(1996)
ISBN : 2842770048 9782842770044
Editions de Chine 1996 Edition de 1996 ou de 2000 suivant disponibilité dans le stock. In-4 relié 30 cm sur 23,5. 157 pp. Jaquette en très bon état. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
Bruxelles, Editions Racine, 2005. 21 x 28, 134 pp., très nombreuses illustrations en N/B et en couleurs, broché, très bon état.
Atlas. 1994. In-Folio. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 128 pages. Illustré de nombreuses photos en couleur dans et hors texte. Texte sur 2 colonnes.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 959-Asie du Sud-Est
Collectin 'Club Méditerranée'. Le Dragon d'orgueil. Le Centre, Terre de mémoire... Classification Dewey : 959-Asie du Sud-Est
Trouville, Conard, s.d. Une plaquette de 16 pages, illustrations en noir. Bon état.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Bruxelles, Le Grenier du collectionneur, 1974. In-8, 202 pp., broché.
878 ouvrages décrits, classés par thèmes (45 thèmes) ; index des noms d'auteurs. Tiré à 800 exemplaires, celui-ci enrichi d'un envoi autographe de l'auteur.
Un ouvrage de 136 pages, format 270 x 375 mm, illustré, relié cartonnage sous jaquette couleurs, publié en 1994, Editions Atlas, bon état
Phone number : 04 74 33 45 19
(Liège, Michel L’Homme, Libraire, 1995). (23,5 cm) 80 pages, illustré. Brochure agrafée. Bel état. Signature discrète d’un ex-proprio. [ Contient la liste des adjudications des 256 lots pour la pipe et le tabac de la collection de Me André Joiris ].
94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917
Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.
Marjane Léo - Solar Jean,Marjane Leo - Solar Jean,Marjane Léo
Reference : 11007
(1946)
Decruck Maurice 1946
Bon état Petit format
[décembre 1962]. 1 vol. (135 x 180 mm) de [2] f., [14] tirages photographiques originaux, 2 f. Broché, sous double couverture et rodhoïd. Unique édition. Tirage non précisé, à petit nombre (album n° 11, signé par Jean-Pierre Sudre en fin). L’exemplaire est signé et daté par Léo Ferré en tête, « 5 décembre 1962 ». 8 photos à pleine page et 7 à double-page, réalisées en décembre 1962, pendant les répétitions et le récital donné à l’ABC.
L’ABC est un célèbre music-hall sis 11 boulevard Poissonnière, dans le IIe arrondissement à Paris, inauguré en 1935, à la place de l’ancien théâtre Plaza, transformé en music-hall par Mitty Goldin, qui choisit de l’appeler ABC « pour être en tête, par ordre alphabétique, des programmes parisiens ». En 1962, quelques mois avant ces concerts, Léo Ferré est le premier auteur-compositeur à être édité dans la collection Poètes d’aujourd’hui, chez Pierre Seghers. Il travaille tout l’été 1962 à ce récital, prévu de longue date pour l’hiver 1962 et s’y produit de décembre 1962 à janvier 1963, peu avant que la salle ne ferme en 1964, transformée en un cinéma, lequel est inauguré en mai 1965. Il cessera son activité en décembre 1981. Un 33 tour de Ferré, suite à ces concerts, paraîtra en 1963, Alhambra-ABC, rapidement retiré de la vente : la chanson « Mon Général » déplaît évidemment aux autorités et l’album est censuré. Il contenait huit titres (« Chanson mécanisée », « Le vent », « T’as payé », « Les temps difficiles », « Mon Général », « Stances », « Nous les filles » et « Regardez-les »), dont seuls quatre ont été enregistrés sur place (les titre 3-4-5 et 6). Cinéaste de formation, Jean-Pierre Sudre évolue après-guerre vers la photographie industrielle. S’il devint l’un des maîtres en la matière, il développa parallèlement une œuvre de photographe d’art, très en marge des tendances de son époque et d’une rare poésie, qui l’amène à créer en 1968 un département de photographie à l’École supérieure des arts graphiques. Il rencontre Léo Ferré par l’intermédiaire d’un ami commun, le critique d’art Charles Estienne. Après avoir photographié le chanteur dans sa propriété de Saint-Coulomb en Ille-et-Vilaine, les clichés sont utilisés pour les visuels de l’album Langue française, qui paraît à la rentrée de septembre 1962. C’est aussi l’année de sa première exposition parisienne, sous l’égide de Brassaï qui en préface le catalogue. Ferré fait alors à nouveau appel à Sudre pour couvrir les répétitions à l’ABC. Cet album, composé à quelques unités (vraisemblablement une quinzaine), sera distribué aux proches du poète chanteur et du photographe. Tous sont numérotés et signés, et nous en connaissons les n° 2, 5 et 11 et 12. Le programme officiel du théâtre de l’ABC, Léo Ferré – Récital 1963, contiendra bien des clichés pris dans le petit fort de Saint-Coulomb, mais aucune photo de cette exceptionnelle série de cet album n’y figurent. Il n’existe aucune autre publication de ce petit reportage confidentiel. Tous les tirages sont des tirages originaux.
Editions Medium Rare 2022. Portrait de Léo Malet en gravure originale sur bois, imprimée sur papier vélin BFK Rives à bords frangés au format 16,7 x 12 cm. Tampon sec. Tirage unique à 50 exemplaires, signé et justifiée à la mine de plomb par l'artiste. Rare édition originale.Jean-Marie Picard est un graveur sur bois formé aux Beaux Arts de Nîmes. Il débute dans les années 90, en collaboration avec latelier Jacomet. C'est aux côtés de Garouste, Arroyo, Debré et Moebius quil réalise ses premières estampes. En 2013 il participe à la création de latelier DPJ à Sète spécialisé dans la gravure. Latelier édite de nombreuses estampes avec Combas, Di rosa , Ocampo, Pencreach, Ichiba. Par la suite il crée sa propre maison d'éditions " Medium Rare ", et collabore avec Jean-Michel Alberola, Willem, Charles Burns, Paquito Bolino, Pat Andréa.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Piaf Edith - Borel-Clerc Ch.,Emer Michel,Lenoir Jean,Monnot Marguerite,Giraud Hubert,Glanzberg Norbert,Dumont Charles,Philippe-Gérard M.,Gilles Villard Jean,Juel,Marnay Eddy,Ferré Léo,Crolla Henri,Lai Francis - Marc-Hély,Larue Jacques,Telly,Vaucaire Michel,Marnay Eddy,Emer Michel,Malleron Robert,Vendome Michèle,Asso Raymond,Gilles Villard Jean,Piaf Edith,Senlis Michelle,Delécluse Claude,Ferré Léo,Rivgauche Michel,Prévert Jacques,Constantin Jean,Raya Nita
Reference : 79930
(1982)
Ferré Léo - Ferré Léo - Caussimon Jean-Roger,Ferré Léo,Apollinaire Guillaume,Aragon Louis,Seghers Pierre
Reference : 80619
(1982)
Sauvage Catherine,Ferré Léo,Viennet Georgie - Ferré Léo - Caussimon Jean-Roger,Ferré Léo
Reference : 22838
(1959)
Meridian Nouvelles Editions 1959
Bon état Format Coquille
Sauvage Catherine,Ferré Léo,Mauric Jean-Paul - Ferré Léo - Ferré Léo
Reference : 22833
(1961)
Meridian Nouvelles Editions 1961
Bon état Format Coquille
GODIN ( Jean Baptiste André ) / ANDRÉÏ A / ANDRÉ Léo / POUPIN Victor
Reference : 51218
Paris Librairie de la Bibliothèque Démocratique 1874 in 16 (13,5x9) 1 volume reliure demi chagrin rouge de l'époque, dos à nerfs soulignés de filets dorés, avec les différents titres en lettres dorées, VI et 191 pages [1], quelques rousseurs éparses. Jean Baptiste André Godin, 1817-1888. Relié à la suite: 1°/ LES JESUITES, par A. Andréï (1874), 191 pages [1]. 2°/ LA COMMUNE DE MALENPIS, conte, par André Léo (1874), 191 pages. 3°/ LE DROIT DIVIN, par Victor Poupin (1874), 223 pages. Rare réunion. Bel exemplaire, bien relé ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Reliure
Léo Malet - A.DG - Pierre Siniac - Hervé Prudon - Jean-Pierre Enard - Joseph Bialot - Frédéric Fajardie - Alain Hery - Dug - Robert Deleuse - Collectif.
Reference : 25748
(1980)
Editions Terrain Vague 1980. In-8 broché de 200 pages au format 24 x 16,5 cm. Couverture illustrée d'une superbe photographie en noir. Plats avec petits frottis et tassements aux coins. Dos carré avec petit manque et frottis sur le haut. Intérieur resté frais. Préface de Dug et lettre-préface de Léo Malet. 18 histoires par 18 auteurs, dont : A.DG, Pierre Siniac, Hervé Prudon, Jean-Pierre Enard, Joseph Bialot, Frédéric Fajardie, etc . Illustrations en noir par Alain Hery. Assez bel état général. Edition originale. Exemplaire offert par l'écrivain Robert Deleuse ( destinataire inconnu ), avec carte de voeux dédicacée, agrafée en page de garde.
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( Marcel PAGNOL ) / GERIN-RICARD Lazare de / SAUVAGE Léo / BAZAL Jean / MOIROUD Henri / CONQUEST Hilary
Reference : 8829
Marseille, Revue bimensuelle, numéro 28, Mai 1942, format 320x240mm, 14 pages, Louise Carletti en photographie de couverture, exemplaire en bon état.
Sommaire : Travestissements par Lazare de Gérin-Ricard, Svetlana Pitoëff fera -t-elle du Cinéma par léo Sauvage, Les Clowns - Clowns et Culbutes par Léo Sauvage, Tréki le Roi des Fantaisistes par Jean Bazal, Le Mariage de Greta Garbo - la secrète par Hilary Conquest, Le Cinéma d'Amateur par Henri Moiroud, etc...etc...
André Héléna - Jef de Wulf - Léo Malet - Frank Evrard - Gérard Mordillat - Yvan Audouard - Alain Page - Georges-Jean Arnaud - Yves Boisset - Frédéric Ditis - Jean Rollin
Reference : 31095
(1952)
Editions Fanval Noir 1988 à 1989. Dix volumes in-12 brochés de 190 pages chacun au format 17,5 x 11 cm. Superbes couvertures illustrées par Jef de Wulf. Dos carré avec infimes frottis sur quelques ouvrages. Plats et intérieur frais malgré d'infimes frottis épars sur quelques titres. Série complète rééditée grâce à Bayon, Phil Casor et Franck Evrard, dans un ordre différent de celui d'origine. Postfaces inédites de Léo Malet, Frank Evrard, Gérard Mordillat, Yvan Audouard, Alain Page, Georges-Jean Arnaud, Yves Boisset, Frédéric Ditis et Jean Rollin. Rare intégrale en 10 volumes dont " Le Donneur " en édition originale. Cachet en page de garde sur ce titre. Superbe état général.
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