Jean Giono, Maxime Girieud, Lucien Jacques, Robert Berthoumieu, Alice Golay.
Reference : 000126
(1938)
LES CAHIERS DU CONTADOUR. N° 5 " Revue trimestrielle ". Jean Giono, Maxime Girieud, Lucien Jacques, Robert Berthoumieu, Alice Golay. [Mai 1938], Paris (43, rue Boissonade) puis Saint-Paul (Alpes-Maritimes). 1 vol. in-8 broché. Illustrations dans et hors-texte. Edition originale de la revue et première partie de la pré-originale de la célèbre traduction française de Moby Dick d'Herman MELVILLE par Jean GIONO. Jean Giono: Présentation des cahiers. Alfred Campozet: Rencontre. Olga Fradisse: Trois poèmes chinois. Armand Monjo: Poèmes. Jean Aimelle: Propos défaitistes. Alain : Souvenirs de guerre. André Jean : Les Cantilènes rouges. Maxime Grieud : Sauve qui peut. Herman Melville : Moby Dick. Jean Giono : Premiers Poèmes. Bois gravés d' Alexandre Noll et de Lucien Jacques. En hors-texte : les fresques du moulin de Cantadour et Le Déluge ( fragment de la fresque de Michel Ange ). Couverture brunie, petit manque en haut de dos, trace de pli angulaire sur la dernière de couverture, état convenable. Rare. " Les Cahiers du Contadour " sont issus des Rencontres du Contadour, lieu-dit de la Montagne de Lure (désigné comme plateau de Grémone dans " Que ma joie demeure "), où, à Pâques et en septembre, de 1935 à 1939, sous l'égide de Jean Giono, des militants pacifistes et idéalistes (surtout venus des milieux intellectuels parisiens) se retrouvèrent dans une ambiance utopico-bucolique. La déclaration de guerre les ramena à la réalité. Moyen
Jean Giono, Maxime Girieud, Lucien Jacques, Robert Berthoumieu, Alice Golay.
Reference : 000128
(1936)
LES CAHIERS DU CONTADOUR. N° 2 " Revue trimestrielle ". Jean Giono, Maxime Girieud, Lucien Jacques, Robert Berthoumieu, Alice Golay. [1936], Paris (43, rue Boissonade) puis Saint-Paul (Alpes-Maritimes). 1 vol. in-8 broché. 4 planches photographiques hors texte. Couverture un peu insolée, petit accroc en haut de dos, état convenable. Rare. " Les Cahiers du Contadour " sont issus des Rencontres du Contadour, lieu-dit de la Montagne de Lure (désigné comme plateau de Grémone dans " Que ma joie demeure "), où, à Pâques et en septembre, de 1935 à 1939, sous l'égide de Jean Giono, des militants pacifistes et idéalistes (surtout venus des milieux intellectuels parisiens) se retrouvèrent dans une ambiance utopico-bucolique. La déclaration de guerre les ramena à la réalité. Bon