Jean-Baptiste BOYER D'ARGENS La Philosophie du bon-sens, ou Réflexions philosophiques sur l'Incertitude des Connaissances Humaines à l'Usage des Cavaliers & du Beau-Sexe Édition revue par Monsieur l'Abbé d'Olivet. 1740, chez Pierre Paupie, La Haye. 2 vol. in-12, reliés de XVI-479 + 476 [4] pages. Reliures plein veau de l'époque, dos à 5 nerfs richement ornés de caissons, filets, frises, fleurons, tomaison, et titre, frappés à l'or fin. Pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge, tranches rouges (frottements, coins émoussés, manque le portrait de l'auteur). Nouvelle édition, revue et corrigée par l'abbé d'Olivet. Notes manuscrites bibliographiques en fausses gardes. Ex-libris de Jacques Laget. Moyen
Nouvelle Édition, augmentée de nouvelles Lettres et de quantités de Remarques. (Ensemble) Songes Philosophiques, par l'auteur des lettres juives.A La Haye, chez Pierre Paupie - 1769. 6 tomes : T1 xxiv, 329 pp. T2 360 pp. T3 372 pp. T4 363 pp.T5 354 pp. T6 93 pp et 206 pp (Songes).Reliure plein veau de l'époque. Dos lisse orné et doré avec pièce de titre maroquin rouge. Quelques coiffes endommagées. Mors frottés. Taches marginales au T5 (10 feuillets). Annotations manuscrites anciennes sur la page de garde face au titre du T1. Pas de rousseur. Bon état. Format in-16°(14x8).Jean-Baptiste de Boyer, marquis d'Argens (1703-1771), est un écrivain français.Les songes philosophiques, au nombre de 20, relations de rêves, sont d'authentiques utopies ; le premier conte une terre habitée et gouvernée par des singes (les singimanes) ; le second entraîne un singe et le narrateur chez les Changijournes, peuple qui change continuellement d'habits et de mode... Dans le quinzième songe, le narrateur reçoit la visite de Racine, et le dialogue expose la matière des belles-lettres à l'époque de l'auteur...
Berlin, Chez Chretien Frederic Voss 1767, 160x100mm, CIV - 167 + 189pages, reliure veau-marbré de l’époque avec pièce rouge de titre dorés au dos à 5 nerfs et avec ofnementations dorées. Encadrement doré sur les deux plats (dorrures passées par endroits). Toutes tranches rouge. Ex-libris ancien: Albert Louis Comte de Schulenburg. Bel exemplaire.
bandeaux, culs-de-lampes, texte en français et grec ancien, Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Chez Pierre Paupie Amsterdam 1769 7 volumes in-12 ( 145 X 80 mm ), pleine basane fauve marbrée, dos lisses ornés de filets et fleurons dorés, pièces de titre de maroquin grenat, coupes et coiffes filetées d'or, tranches brique ( Reliures de l'époque ). Reliures frottées, usures aux coiffes et aux coins, bon exemplaire de cette série complète.Lettres du gnome Salmankar, d'Astaroth ( Grand-Duc de l'Enfer ) lui-même, d'Ondin ( homme-sirène ), de Kacuka, du Silph Oromasis, du studieux ben Kipber, du sage cabaliste Abukibak, des aventuriers Passerano et La Hode, du Cardinal de Bissy, de l'évêque de Montpellier, des jésuites Hardouin et Jérome Xavier...
Chez Pierre Paupie Paris 1767 7 volumes in-12 ( 145 X 80 mm ), pleine basane fauve marbrée, dos lisses ornés de filets et fleurons dorés, pièces de titre de maroquin grenat et de tomaison de maroquin olive, coupes et coiffes filetées d'or, tranches marbrées ( Reliures de l'époque ). Quelques épidermures, usures aux coiffes et aux coins, bon exemplaire de cette série complète.Lettres du gnome Salmankar, d'Astaroth ( Grand-Duc de l'Enfer ) lui-même, d'Ondin ( homme-sirène ), de Kacuka, du Silph Oromasis, du studieux ben Kipber, du sage cabaliste Abukibak, des aventuriers Passerano et La Hode, du Cardinal de Bissy, de l'évêque de Montpellier, des jésuites Hardouin et Jérome Xavier...
Aux Armes de France, 1941, in-8°, 210 pp, broché, papier lég. jauni, bon état
« Un tableau des plus curieux de la vie à la cour de Frédéric II, roi de Prusse ». Par Jean-Baptiste de Boyer, marquis d’Argens (1703-1771). Boyer d’Argens suivit la carrière des armes et eut une jeunesse fort licencieuse. Sa vie sentimentale impétueuse s’est particulièrement orientée vers les actrices de théâtre. Dès l’âge de quinze ans, il entra, malgré l’opposition de son père qui le destinait, en tant que fils aîné, à la magistrature, à l’armée où il restera jusqu’à la trentaine, ce qui poussa son père à le déshériter. Blessé devant Philipsbourg en 1734, il quitta le service et se retira en Hollande, afin d’y écrire librement ses pamphlets. Il attira l’attention du roi de Prusse par ses attaques contre le christianisme : ce prince l’appela à sa cour, en fit son chambellan, et le nomma « Kammerherr » directeur général de son Académie. Il s’offensa néanmoins de le voir épouser l’actrice Mademoiselle Cochois. Après avoir vécu 25 ans dans l’intimité de Frédéric II, le marquis d’Argens revint passer ses dernières années dans sa famille, à Aix. Ses écrits sont inspirés par la philosophie sceptique de l’époque. Robert Darnton considère que d’Argens a probablement été l’auteur du roman philosophico-pornographique “Thérèse philosophe, ou mémoires pour servir à l’histoire du P. Dirrag et de Mlle Eradice.”
à La Haye, chez Pierre Paupie [i.e. Paris, Jean-Baptiste-Claude II Bauche] 1741 5 volumes sur 6. Manque vol. 3. In-16 16 x 19 cm. Reliures de l’époque veau havane, dos à nerfs encadrés de fers dorés, pièces de titre grenat, frontispice, pages de titre ornées d’une vignette, portrait du marquis d’Argens, [32]-374-[14]-392-[14]-344-350-244-[90] pp., table des matières à la fin du vol. 6. Reliures frottées, des mors fendillés, des coifes arachées, intérieur frais.
Deuxième édition augmentée de 2 volumes, après l’originale parue en 4 volumes en 1738. Les Lettres cabalistiques (1737-1738) forment le deuxième volet de la vaste trilogie philosophique conçue par Jean-Baptiste de Boyer, marquis d’Argens (1703-1771). L’ouvrage s’inscrit dans la tradition de la fiction épistolaire orientale, mise au goût du jour par les célèbres “Lettres persanes” de Montesquieu, et comporte près de six cents lettres en tout. On y trouve de nombreuses considérations critiques sur les jésuites, la franc-maçonnerie, la Kabbale, les Templiers, les Alchimistes, etc. Une ample table des matières permet de retrouver aisément toutes les questions traitées. Etat correct d’occasion
à Londres (La Haye), aux Dépens de la Compagnie, 1736.
In-12 relié, plein veau moucheté, dim : 170x100mm, dos à caissons ornés, pièce maroquinée rouge, tranches rouges. 1f blanc, 240pages. Ex-libris collé sur le contre-plat. Édition originale de cet ouvrage écrit par Jean-Baptiste Boyer d'Argens (1703-1771). Retiré en Hollande après une carrière militaire, Boyer d'Argens est l'auteur de très nombreux ouvrages : réflexions philosophiques, récits historiques, correspondances et pamphlets. ''Le but de cet ouvrage est de montrer les dangers de l'Amour lorsqu'on s'y laisse aisément entraîner''. Le Chevalier de Rasac s'efforcera, en véritable Télémaque, de ramener à la raison le brave Comte de Beauval ''dont le coeur est naturellement porté à la tendresse''. QuérardT1. Boyer d'Argens qui pourrait être considéré comme l'un des premiers journaliste philosophe a longtemps correspondu avec Voltaire, d'Alembert, Maupertuis et l'abbé de Prades. Coiffe sup arasée, coins émoussés, charnière travaillée.
1744 A la Haye : Chez Pierre de Hondt, MDCCXLIV [1744],in12 14 cm (12mo),reliure époque pleine basane blonde,dos orné avec petits manques,332p,- Pages 325- misnumbered 125-132- Title page in red and black; title vignette,petits trous de ver en marge de qques feuillets,rare.
By Mademoiselle Cochois, later the marquise d'Argens, and the marquis d'Argens.Le philosophe et écrivain français le marquis d'Argens (1704-1771), "parfait représentant du siècle des Lumières"(Encyclopedia Universalis), était déiste, ami de Voltaire et fervent lecteur de Bayle. Il avait attiré l'attention de Frédéric II qui l'appela à la cour de Prusse où il resta 25 ans, entouré d'intellectuels brillants comme Algarotti, Maupertuis ou Voltaire.
La Hague, Pierre Gosse, junior, 1751. 1751 5 vol. in-16° (158 x 97 mm.) de: 6 vols. 12mo, [ii] ff., xlviii pp., 292 pp.; [i] ff., 383 pp.; [i] ff., 276 pp.; [i] ff., 320 pp.; [i] ff., 364 pp. réunissant 149 lettres de 8 pp. chacune. Plein veau d'époque, dos lisses ornés, titres et tomaisons de maroquin rouge, triple encadrement de filets dorés sur les plats. (défauts d'usage, cassures aux mors, coiffes arrasées, coins éclatés).
Nouvelle édition augmentée de ces lettres chinoises par Jean-Baptiste Boyer dArgens (1703-1771). Installé en Hollande, disciple de Voltaire, proche des milieux protestants, le marquis de Boyer d'Argens était originaire d'Aix-en-Provence. Frederic II l'attira en Prusse et le nomma son Chambellan ainsi que Directeur de l'Académie. Tous ses écrits sont inspirés par la philosophie sceptique du XVIIIe siècle. Les Lettres chinoises ont ce dessein typique des Lumières de comparer les murs et coutumes de plusieurs civilisations ; l'uvre reprend le schéma, toujours humoristique, du premier ouvrage de ce type : L'espion de la cour de Marana, puis les Lettres persanes de Montesquieu. Un narrateur chinois écrit à ses congénères des différents lieux de l'Europe (Moscou, Stockholm, Paris.). L'uvre est toujours censée nous interroger sur l'étrangeté de nos propres pensées et coutumes. D'Argens décrit également plusieurs voyages en Orient, avec des informations intéressantes sur les murs et institutions des pays orientaux. A l'instar des Lettres cabalistiques ou juives du même auteur, les Lettres chinoises furent publiées en périodiques. Les songes philosophiques, au nombre de vingt, relations de rêves, sont d'authentiques utopies ; le premier conte une terre habitée et gouvernée par des singes, la Singimanie ; le second entraîne un singe et le narrateur chez les Changijournes, peuple qui change continuellement d'habits et de mode. Dans le quinzième songe, le narrateur reçoit la visite de Racine, et le dialogue expose la matière des belles-lettres à l'époque de l'auteur. Bel exemplaire.
Londres Aux dépens de la Compagnie 1762 in 12 (16x10) 1 volume relié pleine basane fauve époque, 340 pages (coiffes légérement usées). Etiquette ex-libris de Monsieur de Chalonge, Maître des eaux et forêts de la Province de Foix, à Pamiers (et son ex-libris manuscrit sur la page de titre). Jean-Baptiste de Boyer, Marquis d'Argens, Aix-en-Provence 1703 - Château de La Garde (Var) 1771, écrivain français, directeur général de l'Académie royale des sciences de Prusse. Bon exemplaire
Bon Couverture rigide
Londres [Amsterdam], aux dépens de la compagnie, 1735 in-12, [2] ff. n. ch., 312 pp., basane brune, dos à nerfs fleuronné et cloisonné, pièce de titre cerise, encadrement de simple filet à froid sur les plats, tranches rouges (reliure de l'époque). Coiffe supérieure rognée, coins abîmés, coupes usées, petit manque angulaire aux premiers feuillets.
Un des tirages à l'année de l'originale (qui compte 296 pages). Le titre est trompeur : l'ouvrage réunit divers écrits de jeunesse du marquis d'Argens (1704-1771), bel esprit libertin à la mode du premier XVIIIe. Ces fantaisies figurent parmi les premiers ouvrages que le jeune Boyer d'Argens composa dans les Pays-bas au sortir de sa vie militaire, et avant que la rencontre avec Frédéric II ne changeât entièrement le cours de sa vie.Cioranescu, XVIII, 8298 et 8325. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
La Haye Pierre PAUPIE 1741 in-8 bradel cartonné 6 volumes, reliure bradel cartonné in-octavo (bradel half binding in-8) (10 x 16 cm), RELIURE D'EPOQUE, recouvert d'un papier peigné marron (cover with painting paper), dos long (spine without raised band), titre et tomaison manuscrits à l'encre brune sur étiquette crème (d'époque), manque de papier au dos du Tome III, toutes tranches lisses jaspées bleues, orné d'un 1 portrait de l'Auteur en frontispice par Théodore Van PEE gravé en taille douce par Jan Van Schley + Frontispice gravé en taille douce en noir + 6 vignettes aux titres (différentes à chaque Tome) gravées en taille douce en noir par Jan Van Schley, tache claire d'encre brune en marge au long du Tome III, mouillure légère en marge des première pages du Tome V, (34) 374pp. et (16) 392pp. et (10) 395pp. et (8) 344pp. et (2) 350pp. et (2) 244pp. (90), 1741 La Haye Pierre PAUPIE Editeur,
Édition : Nouvelle édition augmentée de LXXX nouvelles lettres...Note(s) : Par Jean-Baptiste de Boyer, marquis d'Argens.....Seconde édition en partie originale et augmentée de 80 lettres, soit deux volumes de plus que l'édition originale de 1738 parue en 4 volumes ; illustrée d'un portrait au frontispice par Van Pee. Pages de titres en rouge et noir. ...L'ouvrage fut mis à l'index le 8 juillet 1742. ....L'auteur approfondit certains thèmes des Lettres juives notamment en ce qui concerne les religions, la superstition et les diverses formes de croyance ; on y trouve de nombreuses considérations critiques sur les jésuites, la franc-maçonnerie, la Kabbale, les Templiers, les Alchimistes, etc. L'ouvrage est indexé par Caillet 1605; Bibliotheca Esoterica 985. Une ample table des matière permet de retrouver aisément toutes les questions traitées. ...RARE.....ET COMPLET (ce qui est encore plus rare)....en bon état malgré les défauts signalés (good condition in spite of the defects indicated). bon état
Chez Pierre Paupie, à La Haye 1764, 8 tomes en 8 vol. pet. in-12 (8x14,5cm), (2) xxiv 347pp. et (2) iv, 365pp. et (2) viij, 368pp. et (2) xxviij, 391pp. et (2) xxij, 357pp. et (2) xx, 376pp. et (2) 298pp. et (2) 390pp. (1), relié.
Nouvelle édition, après l'originale parue en 1736/37 chez le même éditeur, mais qui ne contenait que 180 lettres contre 203 pour les suivantes. La table des matières occupe l'espace du dernier volume. Reliure en plein veau blond d'époque. Dos lisse orné. Pièces de titre en maroquin rouge et de tomaison en maroquin noir. Coiffes de tête des tomes II, III, et IV manquantes. Frottements et épidermures sur quelques plats. Quelques coins émoussés. Assez bon ensemble. LesLettres juivessont la première contribution littéraire de Boyer d'Argens après sa carrière militaire et son livre le plus remarquable par sa fantaisie et sa verve. L'ouvrage fut à l'origine un périodique, les lettres paraissaient régulièrement. Un juif voyageur en Europe fait part de ses observations et de ses réflexions à ses amis juifs, selon un modèle assez en vogue à cette époque et qu'emploiera en premier Marana dansL'espion turcen 1684, puis Montesquieu dans lesLettres Persanesen 1721. L'ensemble donne lieu à une élégante satire de la société et des moeurs de l'époque. Le volume V est dédié à Sancho Panza, le sixième au barbier deDon Quichotte. Il n'en reste pas moins qu'il souffle sur l'oeuvre un vent tout à fait philosophique et critique, et c'est le souffle des Lumières, celui qu'on retrouvera dans l'esprit de Diderot et de Voltaire et qui s'interroge sur la perception des choses, l'opinion et la vérité. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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S.n., Amsterdam 1737, in-12 (7.5x12.5cm), (2) XII, 282pp. (1), relié.
Edition originale, rare. Un frontispice représentant Isaac Meïo en frontispice par l'auteur, ainsi qu'une figure réalisée par le même. Page de titre en rouge et noir. Reliure en plein veau glacé d'époque. Dos à quatre nerfs orné d'une pièce de titre de maroquin rouge. Toutes tranches mouchetées. Coiffes élimées, mors fendus et coins un peu émoussés.Quelques pâles mouillures et une petite déchirure au bas de la page 15. Digne représentant du siècle des lumières, Boyer d'Argens est un écrivain philosophe, sceptique et pamphlétaire, sa série de livres critiques et épistolaires, dans la manière des Lettres persanes (Lettres juives, Lettres chinoises, Lettres cabalistiques) l'ont rendu célèbre. Dans l'épitre, l'auteur avoue ses motivations dans l'écriture de ce roman, un juif usurier l'ayant joué lors de sa période militaire, il prétend peindre ici un juif honnête. L'oeuvre est en fait un roman libertin contant les amours du Comte de Vaxere, destiné préalablement à l'état ecclésiastique. L'amour d'une juive vénitienne le conduira à une conversion. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Londres, aux De'pens de La Compagnie, 1755. "10 x 17, 312 + 48 pages, bandeaux, lettrines, reliure plein cuir d'époque à 5 nerfs, état moyen (reliure usagée; page de titre : mouillures; pas trop de rousseurs, papier légèrement grisâtre)."
"Il a été relié avec cet ouvrage : Lettre de Monsieur le Marquis d'Argens avec la réponse de Monsieur de P***, servant de supplément à ses mémoires (48 pp.); page de titre bicolore."
Aux dépens de La Compagnie, à Londres 1762, In-12 (9,5x16,2cm), 340pp., 2 parties en un volume relié.
Nouvelle édition, après l'originale parue en 1735. Reliure en pleine basane brune marbrée d'époque. Dos à nerfs orné. Pièce de titre de veau blond. Un manque en tête. Un coin émoussé. Frottements. Brunissures en marges des 2 premiers feuillets. Roman et fausse autobiographie, c'est avec cet ouvrage que le Marquis d'Argens fit son entrée en littérature."Réelles ou imaginaires, les frasques picaresques de ce chevalier provençal, que ses caravanes sentimentales mènent jusqu'au Divan du Grand Turc, forment une joyeuse Odyssée amoureuse. S'y succèdent bouffonneries de comédie italienne, pochades, réflexions et péripéties obligées du conte de voyage. Les aventures de ce Télémaque dégourdi, qui aurait troqué la quête de soi pour la course aux jupons, s'enrichissent d'irrévérences philosophiques", Yves Coirault, Édition préfacée, établie et annotée parYves Coirault. Paris, Desjonquères, 1993. Plusieurs lettres suivent le roman, sur la musique, l'opéra et le théâtre, la danse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Collectif [ GODARD de BEAUCHAMPS (Pierre-François) - CREBILLON (Claude de) - GERVAISE de LA TOUCHE (Jean-Charles) - GODARD D'AUCOUR (Claude) - MEUSNIER de QUERLON (Anne-Gabriel) - VOISENON (Claude-Henri de FUSEE de) - LA MORLIERE (Jacques ROCHETTE de) - FOUGERET de MONTBRON (Louis-Charles) - BOYER d'ARGENS (Jean-Baptiste) - GUILLARD de SERVIGNE (Jean-Baptiste Marie) ] .
Reference : 1230
S.l. (Paris), nrf / Gallimard, s.d. (2000). In-16, reliure d'éditeur pleine peau bleue, dos lisse orné de filets dor., titre dor., sous jaquette rhodoïd, tranchefiles, double signet, tête bleue, sous emb. pelliculé d'éditeur.
N°472 de la collection "Bibliothèque de la Pléiade". Exemplaire N E U F !
La Haye, Jeau Néaulme, 1743-1748. 6 volumes petit in-12, pleine basane brune, dos à nerfs ornés de filets et fleurons dorés, pièces de titre et tomaison beiges.
Agréable exemplaire de ce recueil dû à l'illustre marquis d'Argens, influencé par la philosophie sceptique. (lettre I à IV): défauts, inutilités, erreurs, contradictions, abus (notamment à propos des miracles et des prophéties; de la philosophie (lettres V à XII): règles de morale, problèmes de Dieu et de l'âme (son essence et son siège), questions de physique (principes généraux et physique expérimentale); et de l'histoire (lettres XIII à XIX): vie et œuvres des historiens grecs, qu'il s'agisse d'auteurs païens ou d'écrivains ecclésiastiques jusqu'au XIVe siècle après Jésus-Christ, avec rappel des jugements portés sur ces œuvres par les Anciens comme par les Modernes. voir Robert Granderoute in Dictionnaire des journaux 1600-1789, notice 903. Coiffes et coins frottés.
Chez Pierre Paupie, à La Haye 1747, in-12 (9,5x17cm), (2) XII 480pp. et VIII 468pp., 2 volumes reliés.
Nouvelle édition, réimpression de l'édition augmentée du second volume de 1740. Elle est illustrée d'un portrait et d'une curieuse figure allégorique au premier volume, ainsi que d'une grande vignette de titre à l'épitre. Pages de titres en rouge et noir. Reliure en plein veau marbré glacé d'époque. Pièce de titre et de tomaison en maroquin rouge. 3 coins émoussés. Légère fente au mors supérieur du tome II. Malgré les défauts annoncés, bel exemplaire, au fort bel aspect. Oeuvre d'un libre penseur des Lumières, la philosophie du bon sens est un examen des préjugés et de toutes les branches des connaissances à la lueur du postulat du scepticisme ; pour l'auteur ce postulat de l'incertitude est salutaire quant à la vérité des choses ; le livre fut jugé suffisamment dangereux pour être interdit par le Parlement et d'Argens écrivit ainsi la plupart de ses livres en Hollande, à l'abris d'une arrestation. Bien que salué par Voltaire, l'oeuvre fut condamné par Kant. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Chez Pierre Paupie, à La Haye; à Berlin 1755 - 1746, in-12 (8x14,5cm), xxiv, 306pp. et 332pp. et 338pp. et 332pp. et 327pp. et 84pp. ; 187pp., 6 volumes reliés.
Nouvelle édition (troisième?) et première en 6 volumes. L'édition originale date de 1746. Les Songes philosophiques sont en édition originale. Reliures en plein veau brun moucheté d'époque. Dos lisses ornés. Pièces de titres et de tomaisons en maroquin rouge. Triple filet doré et étoiles en écoinçons sur les plats. Toutes tranches rouges. Trois coiffes de tête et trois de queue élimées. Quelques coins très légèrement émoussés. Les Lettres chinoises, inaugurées par le même auteur que les Lettres juives ont ce dessein typique des Lumières de comparer les murs et coutumes de plusieurs civilisations ; l'uvre reprend le schéma, toujours humoristique, du premier ouvrage de ce type: L'espion de la cour de Marana, puis les Lettres persanes de Montesquieu. Un narrateur chinois écrit à ses congénères des différents lieux de l'Europe (Moscou, Stockholm, Paris...). L'uvre est toujours censée nous interroger sur l'étrangeté de nos propres pensées et coutumes. D'Argens décrit également plusieurs voyages en Orient, avec des informations intéressantes sur les murs et institutions des pays orientaux. A l'instar des Lettres cabalistiques ou juives du même auteur, les Lettres chinoises furent publiés en périodiques. Les songes philosophiques, au nombre de vingt, relations de rêves, sont d'authentiques utopies ; le premier conte une terre habitée et gouvernée par des singes, la Singimanie ; le second entraîne un singe et le narrateur chez les Changijournes, peuple qui change continuellement d'habits et de mode... Dans le quinzième songe, le narrateur reçoit la visite de Racine, et le dialogue expose la matière des belles-lettres à l'époque de l'auteur. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Genève-Paris, Slatkine, 1980 in-8, XXIV pp., [2] ff. n. ch., 182 pp., [2] ff. n. ch., 87 pp., avec 18 planches hors texte, toile Bradel bleue, plat supérieur orné d'une gravure en fac-similé (reliure de l'éditeur).
Réimpression de ce roman libertin à l'attribution incertaine, mais au sujet bien défini (la relation, authentique par ailleurs, entre Marie-Catherine Cadière - "Eradice" - et le Jésuite Jean-Baptiste Girard - "Dirrag" -, dont l'innocente Thérèse est présentée comme le témoin). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
A la Haye, Jean Gallois, 1737. 12mo. In a nice contemporary Cambridge-style mirror binding with four raised bands and richly gilt spine. Gilt super ex-libris to front board. Small paper-label pasted on to top of spine. Small hole to lower part of spine, otherwise a nice and clean copy. (8), 255, (5) pp.
1740 À La Haye, chez Jean Van Es, 1740. Édition originale publiée sans nom d'auteur. Petit in-16, 8 x 12,5 cm., [3 ff. (titre, préface)] - 402 pp. - [2 ff.]. Reliure plein veau de l'époque, dos lisse orné de motifs dorés, pièce de titre bordeaux, tranches jaspées, roulettes sur les coupes, coiffes guillochées. Reliure en bon état avec quelques marques d'usage. Intérieur très frais avec quelques rarissimes rousseurs pâles. Bel exemplaire.