Aicard j,- Société Internationale de secours aux blessés - Comité de Toulon - La Croix Rouge - Jean Aicard - Red Cross.
Reference : 26878
(1870)
1870 Marseille CAYER 1870,Comité de Toulon rattaché à la Société Internationale de secours aux blessés.in8 broché,15p., très rare plaquette,mouillure et rousseurs éparses- Croix - Rouge- rare plaquette edition originale.
En 1870 il écrira 3 poèmes : les Blessés, la Guerre, le Pigeon de Venise qui seront publiés à Marseille par le Comité de Toulon rattaché à la Société Internationale de secours aux blessés.La première édition tirée en 1500 exemplaires sera vite épuisée et le bénéfice perçu par le Comité de Toulon s’élèvera à 400 francs reversés au profit des secours aux blessés.http://www.amisdejeanaicard.free.fr/?page_id=1786— Les blessés, p. 3-5, « Toulon, 20 novembre 1870. »— La guerre, p. 6-12, « Toulon, 18 novembre 1870. »— Le Pigeon de Venise, p. 13-15, « Toulon, 17 novembre 1870. »Les horreurs de la guerre de 1870 et des massacres de la Commune de Paris émurent les Français et Jean Aicard sut exprimer leurs sentiments : sa production de la fin de l'année 1870 participe de ces événements. Ses trois poèmes, Les Blessés, La Guerre, Le Pigeon de Venise, furent mis en vente en faveur des soldats victimes des conflits.Le pigeon de Venise est l'image de toutes les victimes inutiles d'un despotisme barbare. La Guerre est une longue méditation sur l'horreur et l'inutilité de ces conflits qui n'ont d'autre fonction que de satisfaire la vanité de quelques monarques. Quant au poème Les Blessés, il invite à une immense compassion pour tous ceux que la guerre laissés mutilés, diminués, hideux.http://www.jean-aicard.com/bibliographie-raisonnee-de-luvre-de-jean-aicard.html Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €
Jean Aicard, lettre autographe signée au secrétaire de la Nouvelle Revue Claudius Jacquet, La Garde près Toulon, mai 1892, 1 double f., 2 p., 12x19cm. Jean Aicard remercie Claudius Jacquet pour son article sur Le Pavé d'Amour (Ollendorff, 1892) : "votre article est une belle page — et, de plus, si pleine de sympathie profonde pour l'auteur dont vous parlez, qu'elle a ému profondément mon coeur". Dans ce roman, Jean Aicard écrit l’histoire d’Angèle une petite couturière séduite puis éconduite par un bel officier. Dans ce drame, il relate les angoisses et les problèmes de l’enfant naturel né de cette relation. Poète, romancier et auteur dramatique, Jean Aicard (1848-1921), profondément marqué par son enfance méridionale, se fit dans ses vers le chantre de la Provence. Inspiré par Lamartine qu’il fréquenta adolescent, il lui dédia une ode qui fut couronnée par l’Académie française. Auteur de pièces de théâtre (Pygmalion, Othello ou le More de Venise, Le Père Lebonnard), il écrivit aussi des romans dont le plus célèbre, Maurin des Maures (1908), ne le cède pas en pittoresque au Tartarin de Tarascon d’Alphonse Daudet. Il devint en 1894 Président de la Société des gens de lettres et fut maire de Sollies-ville, dans le Var. Plusieurs fois lauréat de l’Académie française et, à ce titre, comme le soulignait Pierre Loti dans son discours de réception, "cas unique d’un nouveau venu (...) ayant déjà parlé ici-même bien avant le jour de sa réception", puisqu’il avait donné lecture de son œuvre sous la Coupole lors de l’attribution d’un de ses prix, il essuya cependant trois échecs (contre Barrès, le marquis de Ségur et Henri Poincaré) avant d’être élu, le 1er avril 1909, au fauteuil de François Coppée, au septième tour de scrutin par 16 voix sur 31 votants. Cette élection difficile a fait dire au duc de Castries, dans La Vieille dame du Quai Conti, que le succès de Jean Aicard "fut l’éloge de sa persévérance"... Jean Aicard fut reçu le 23 décembre 1909 par Pierre Loti. Ce dernier s’appliqua à souligner la continuité qui existait de Coppée à Jean Aicard, en affirmant qu’ils étaient "les deux poètes contemporains les plus populaires de notre pays". Il s’adressa enfin au nouvel académicien en ces termes : "C’est le peuple effervescent des campagnes de Provence qui vous a élu pour son barde."
Jean Aicard, lettre autographe signée au secrétaire de la Nouvelle Revue Claudius Jacquet, sans lieu ni date, 1 double f., 1 p., 11,5x18cm. Jean Aicard écrit à Claudius Jacquet pour reporter un rendez-vous. Poète, romancier et auteur dramatique, Jean Aicard (1848-1921), profondément marqué par son enfance méridionale, se fit dans ses vers le chantre de la Provence. Inspiré par Lamartine qu’il fréquenta adolescent, il lui dédia une ode qui fut couronnée par l’Académie française. Auteur de pièces de théâtre (Pygmalion, Othello ou le More de Venise, Le Père Lebonnard), il écrivit aussi des romans dont le plus célèbre, Maurin des Maures (1908), ne le cède pas en pittoresque au Tartarin de Tarascon d’Alphonse Daudet. Il devint en 1894 Président de la Société des gens de lettres et fut maire de Sollies-ville, dans le Var. Plusieurs fois lauréat de l’Académie française et, à ce titre, comme le soulignait Pierre Loti dans son discours de réception, "cas unique d’un nouveau venu (...) ayant déjà parlé ici-même bien avant le jour de sa réception", puisqu’il avait donné lecture de son œuvre sous la Coupole lors de l’attribution d’un de ses prix, il essuya cependant trois échecs (contre Barrès, le marquis de Ségur et Henri Poincaré) avant d’être élu, le 1er avril 1909, au fauteuil de François Coppée, au septième tour de scrutin par 16 voix sur 31 votants. Cette élection difficile a fait dire au duc de Castries, dans La Vieille dame du Quai Conti, que le succès de Jean Aicard "fut l’éloge de sa persévérance"... Jean Aicard fut reçu le 23 décembre 1909 par Pierre Loti. Ce dernier s’appliqua à souligner la continuité qui existait de Coppée à Jean Aicard, en affirmant qu’ils étaient "les deux poètes contemporains les plus populaires de notre pays". Il s’adressa enfin au nouvel académicien en ces termes : "C’est le peuple effervescent des campagnes de Provence qui vous a élu pour son barde."
Jean Aicard, lettre autographe signée au secrétaire de la Nouvelle Revue Claudius Jacquet, La Garde près Toulon, 4 mai 1892, 1 double f., 3 p., 9x11,5cm. A propos de la parution de son nouveau roman, Le Pavé d'Amour (Ollendorff, 1892), le 10 mai. Il demande à Claudius Jacquet d'écrire une dizaine de lignes de publicité pour les revues. Il demande également à Jacquet où en est son étude sur le livre. Dans ce roman, Jean Aicard écrit l’histoire d’Angèle une petite couturière séduite puis éconduite par un bel officier. Dans ce drame, il relate les angoisses et les problèmes de l’enfant naturel né de cette relation. Poète, romancier et auteur dramatique, Jean Aicard (1848-1921), profondément marqué par son enfance méridionale, se fit dans ses vers le chantre de la Provence. Inspiré par Lamartine qu’il fréquenta adolescent, il lui dédia une ode qui fut couronnée par l’Académie française. Auteur de pièces de théâtre (Pygmalion, Othello ou le More de Venise, Le Père Lebonnard), il écrivit aussi des romans dont le plus célèbre, Maurin des Maures (1908), ne le cède pas en pittoresque au Tartarin de Tarascon d’Alphonse Daudet. Il devint en 1894 Président de la Société des gens de lettres et fut maire de Sollies-ville, dans le Var. Plusieurs fois lauréat de l’Académie française et, à ce titre, comme le soulignait Pierre Loti dans son discours de réception, "cas unique d’un nouveau venu (...) ayant déjà parlé ici-même bien avant le jour de sa réception", puisqu’il avait donné lecture de son œuvre sous la Coupole lors de l’attribution d’un de ses prix, il essuya cependant trois échecs (contre Barrès, le marquis de Ségur et Henri Poincaré) avant d’être élu, le 1er avril 1909, au fauteuil de François Coppée, au septième tour de scrutin par 16 voix sur 31 votants. Cette élection difficile a fait dire au duc de Castries, dans La Vieille dame du Quai Conti, que le succès de Jean Aicard "fut l’éloge de sa persévérance"... Jean Aicard fut reçu le 23 décembre 1909 par Pierre Loti. Ce dernier s’appliqua à souligner la continuité qui existait de Coppée à Jean Aicard, en affirmant qu’ils étaient "les deux poètes contemporains les plus populaires de notre pays". Il s’adressa enfin au nouvel académicien en ces termes : "C’est le peuple effervescent des campagnes de Provence qui vous a élu pour son barde."
Jean Aicard (1848-1921), poète, écrivain. L.A.S., sd, 1p in-8. « Madame et amie, Ma soeur a bien regretté de n'être pas chez elle, l'autre jour. avant hier. Nous serons bien heureux d'être à votre table jeudi 19 février, en souvenir de notre ami, comm vous dites d'une façon si profondément touchante. Votre respectueusement dévoué et bien affectueux Jean Aicard ». [163]
Jean Aicard (1848-1921), poète, écrivain. L.A.S., sd, 1p in-8. « Madame et amie, C'est impossible vendredi. mais mon départ est retardé. Et j'irai causer un peu avec vous lundi. Si je pouvais remettre ce vendredi, je l'aurait fait mais il s'agit de déjeuner avec mon vieil ami Gabriel Monod et sa femme qui, par hasard, se trouvent à Paris ensemble ce jour-là. Madame Monod n'y vient pas cinq fois par an et ce rendez-vous est arrangé depuis longtemps. à Lundi. Pardon mille fois. Votre bien respectueusement dévoué. Jean Aicard ». [163]
Jean Aicard (1848-1921), poète, écrivain. L.A.S., La Garde (Var), sd [samedi, 21 février ?], 1p in-8. « Mon cher confrère, La Flûte doit être à Paris, rue de Luxembourg où je la trouverai le mois prochain. Je suis ici depuis le mois de juin - je signerai quand il vous plaira votre demande de sociétariat aux gens de lettres. Envoyez-la moi. Bien cordialement. Jean Aicard ». [163]
Jean Aicard (1848-1921), poète, écrivain. L.A.S., La Garde, sd [17 avril?], 1p in-8. « Merci du volume. Je ne pense pas être à Paris avant le 27. Je crois que j'arriverai en temps utile. Merci et bravo pour le nouveau livre. En hâte mais bien cordialement. Jean Aicard ». [163]
Jean Aicard (1848-1921), poète, écrivain. L.A.S., La Garde, 27 août, 1p 1/2 in-8. « Mon cher ami, Schuré est en Alsace. Sans cela je vous aurais dit "allez vite le voir au 90 de la rue d'Assas". Quant au critique du Figaro - lequel ? Voulez-vous demander de ma part, au journal, rue Drouot, à voir M. Emile Berr. Montrez-lui ces lignes et dites-lui que je le prie de vous guider pour obtenir un mot sur votre livre. Ces lignes lui diront que Sully-Prudhomme et moi nous vous aimons beaucoup et lui rappelleront que je ne le fatigue pas de ces sortes de demandes. C'est la première. Mais il s'agit de vous. et votre livre est beau. Votre ami. Jean Aicard ». Malheureusement nous ne savons pas le destinataire de cette sympathique lettre. [163]
Jean Aicard (1848-1921), poète, écrivain. L.A.S., La Garde, 4 janvier [1898], 1p 1/2 in-8. « Cher Monsieur, Je tiens beaucoup à vous dire que je n'ai reçu que longtemps après l'envoi - la carte d'invitation de la Nouv. Revue - à la soirée dramatique du 6 décembre. Cette invitation m'a cherché en mon absence à Paris et ici. Je l'ai trouvée au retour d'un petit voyage. De là mon silence que je vous prie de vouloir bien excuser et faire excuser. Croyez, je vous prie, à l'assurance de mes meilleurs sentiments. Jean Aicard ». [163]
Jean Aicard (1848-1921), poète, écrivain. C.A., sd, 3 lignes. « Avec mes biens vifs remerciements, mon cher confrère » [163]
1 page in8 - trés bon état -
Il demande de lui adresser deux ou trois exemplaires de son journal: "numéro du mercredi 1er février" qui rend compte de la conférence de Mr Jean Aicard - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Envoi autographe " à Monsieur Félix Herbet " enrichi d'une lettre autographe " Monsieur, je vous prie, toutes mes excuses. Je serai allé vous voir, dans le (.) qui m'eut enchanté. J'ai le regret de ne pouvoir répondre oui, à la sympathique idée de notre ami. Et vraiment, je regrette les (.) que cette (.) me fut donné. Merci et pardon, je vous prie à mes sentiments de vives sympathie. Jean Aicard. " + écriture manuscrite de Félix Herbet " quand j'ai proposé pour la Mairie du VIe arrondissement, j'avais pensé à M.Jean Aicard, comme adjoint et Flammarion avait été chargé de le pressentir, voici sa réponse. signature ". Félix Herbet (1847-1917), archiviste-paléographe et licencié en droit, fit aussi une carrière de magistrat municipal et fut maire du VIe arrondissement de 1894 à sa mort. vol relié demi cuir, in8, 180x130, couvertures conservées, bel état intérieur, 399pp. RARE Paris, Flammarion, 1895 ref/174
[REVUE] Antoine Adam, Jean Aicard, Marc Alyn, Jean Babelon, Yvette Barre-Barteaux, Camille Barthélémy, Jacques Baudou, Pierre Béarn, Camille Belliard, Louise Bellocq, Luc Bérimont, Charles Bertin, Jeannette Besançon-Flot, Paul Bialais, Jean Biès, Maurice Blin, Françoise Blond, Georges Bouillon, Maurice Bourg, Charles Braibant, Benoit Braun, Thomas Braun, André Breton, Suzanne Briet, Carlo Bronne, Roger Brucher, Charles Bruneau, Jean-Paul Brunet, Pierre Brunon, Roger Caminade, Albert Caquot, Jules Carrez, Carzou, Jean Cazenobe, Robert Cecconello, Elise Champagne, J. Charlet, Suzette Clément-Bodart, (Colette), Hubert Collin, Colonel Compagnon, Pierre Congar, Yves Congar, René Constant, Roger Cordier, Raymond Creuze, (Vera Cuningham), André Danjon, (Dante), Marcel Dardoise, Paul Dauchy, René Daumal, L.R. Dauven, Gabriel Delattre, Marie Delcourt, Bernard Delmas-Payer, Paul Denis, Victor Demanet, Patrick Demouy, Marcel Derwa, André Dhôtel, Marie-Thérèse Donnay, Gustave Doré, Michel Doury, Paul Dresse, Blaise Druart, Henri Druart, René Druart, Jean Ducasse, (Charles Duits), André Dulière, René Dumesnil, René Dürrbach, M. Failly, Lionello Fiumi, (Flaubert), Yves Florennes, Jean Follain, Paul Fort, Maud Frère, Raymond Gailly, André Galland, Yves Gandon, Jean-Pierre Gehin, Maurice Genevoix, Pierre Gentil, Gabriel Germain, Giacomelli, Yves Gibeau, R. Gillard, Michel Gillet, Willy Gilson, (Godefroy de Bouillon), Robert Goffin, E. Golfouse, Armand Got, Grandville, (Grévisse), Henri Guillemin, Guillevic, Paul Guth, François Héber-Suffrin, Jean Héber-Suffrin, Maurice Henry, (François de Herain), Jean Héraux, Dominique Hoizey, Robert Hossein, Houdon, Marie Howet, Lucien Hubert, Georges Jacquemin, Adrien Jans, Raymond Jubert, Hubert Juin, Anne-Marie Kegels, Frédéric Kiesel, Françoise Korganov, Maurice Kunel, Elisabeth de La Mauvinière, Henry de La Tour, Denise Laborde, Marcel Lallemand, Armand Lanoux, Georges Laurent, Jean L'Herbault, France Lambert, Armand Lanoux, Georges Laurent, Paul Leclers, Camille Lecrique, Suzette Lefèvre, Jean Leflon, Fernand Léger, Jeannine Lelièvre, Jules Leroux, Jean Levy, Jacques-Gérard Linze, J.K. Longuet, Gérard Macé, (André Malraux), Pierre Manil, Jean Marchal, Maugis, André Maurois, Jean Mazeraud, Mehul, P. Michel, (Albert Mockel), Arsène Muzerelle, (Agnès Nanquette), Général Nerot, Alphonse de Neuville, Etienne Noiret, Général Noiret, (Marcel Noppeney), Pierre Nothomb, Christine Orbey, Michel Pakenham, (Paul Palgen) (Georges Paulet), Jean Paulhan, Joséphin Péladan, Louis Pergaud, Patrick Perin, Régine Pernoud, Pierre Petitfils, Pierre-Luc Petitjean, André Pézard, Jean Piaubert, Gaston Picard, Michel Picard, Marie-Pierre Pinard, Maurice Piron, Charles Plisnier, Henri Pourrat, J.-M. Poussart, Michel Prince, Jean Renac, Paul Renaudin, Patrick Reumaux, Graham Reynolds, Pierre Richard, Arthur Rimbaud, René Robinet, Jeanne Roge, Jean Rogissart, Pierre Rogissart, Elyane Ronnet, Félicien Rops, Elisabeth Rouy, Noël Ruet, Christophe Ryelandt, Saint-Pol-Roux, Jacques Saunier, Michel-Paul Sécheret, Pierre Seghers, Jean Servais, Arsène Soreil, Michel Taillandier, Roger Taillardant, Stéphane Taute, André Theuriet, Marcel Thiry, Charles Thomas, Jacques Thomas, Eva Thomé, Gaston Titaux, Suzanne Tourte, Marc-Edo Tralbaut, Noël Tuot, Jacques Vadon, (Roger Vailland), Jean-Paul Vaillant, Philippe Vaillant, Edmond Vandercammen, Jacques Vaucherot, (Verlaine), Max Vilain, Y. Vineuil, René Violaines, Robert Vivier, Patrick Vloebergh, Jean-Claude Vuaroqueaux, Louise Weiss, Elie Willaime.
Reference : 5194
LA GRIVE, 1958-1972. 33 fascicules in-8, agrafés ou brochés.
Manquent les numéros 101-106, 108, 127, 130, 133-137, 139, 143, 146, 154. [5194]
Librairie Plon reliure Rigide Décorative Paris 1935 253 pages en format 11 - 16 cm - reliure rigide
Bon État
Nelson broché Couverture Illustrée Paris 1939 480 pages en format 10.5 -15.5 cm - série brochée - tache sur couverture
État Moyen
Le Club français Du livre Reliure Club Ed. numérotée 1967 382 pages en format -8 - Préface de Raymond Dumay
Bon État
Editions Le Club Français du Livre, 1967, Volume romans - 311, grand in/8, carré, reliure éditeur en pleine toile bleu, motif sur la plat. 382 pages, Illustrations en noir et blanc, d'après le maquettes de Jacques Daniel. Préface de Raymond Dumay. Exemplaire numéroté.
Ernest flammarion 1923 in12. 1923. Relié.
bon état général cependant page 65 déchirée (sans manque) reliure en bon état coins frottés
Sandoz et Fischbacher sans date
Bon état. Couverture un peu défraichie.
1 page in8 - enveloppe - trés bon état -
Candidat à la Commission des Auteurs dramatiques, il serait heureux d'obtenir son suffrage - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -