Bruxelles, Le Grenier du Collectionneur, 1992. fascicule in-4, 92 pages, illustrations noir & blanc. Broché.
- Bon état.
Bruxelles, éd. Le Grenier du Collectionneur, 1992, EDITION ORIGINALE, tirage limité à 1000 expl., in-4, cartonnage souple, couv. ill. en noir sur fond jaune éd., 92 pp., très nb. ill. en noir et reproductions en noir de documents anciens, sommaire, index des noms, index des journaux, Jean-Léo (1922 -), journaliste et chansonnier belge. Directeur de la librairie de livres anciens "Le Grenier du collectionneur" à Bruxelles. Un des trois fondateurs du journal satirique « Pan » en 1945. Il a publié en 2002 aux éditions Racine « La collaboration au quotidien. Paul Colin et le Nouveau journal, 1940-1944 ». Léon Brisse, dit Baron Brisse, né le 20 septembre 1813 à Gémenos et mort le 13 juillet 1876 à Fontenay-aux-Roses, est un gastronome et auteur culinaire français. Ami du compositeur Rossini, et de nombreux littérateurs, dont Alexandre Dumas et Charles Monselet, ainsi qu’avec Grimod de la Reynière et Joseph Favre, il s’est fait une renommée presque européenne dans le monde culinaire comme l’un des premiers journalistes gastronomiques. RARE Très bon état
Librairie spécialisée en gastronomie , œnologie et tabagie
1970 In-8, broché, couverture illustrée, 48 p. Bruxelles, Le Grenier du collectionneur, 1970.
"Libraire à Bruxelles, Jean-Léo présente une bibliographie de complément à Del Bo : titres anciens non cités par ce dernier, et ouvrages parus depuis 1957. Au total 430 brèves rubriques très précieuses" (Le Quillec, 1289). Exemplaire à l'état de neuf.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
Brussel : Algemeen rijksarchief, 1998. in-4, 104 pp, illustrations n&b et couleurs, Met 200 onuitgeg. of weinig gekende originele ill. en oorspr. tek. van Alika Lindbergh, Louise Van Gelder, Serge Creuz en Guy Huygens, broche, couv. illustree.
Etat proche du NEUF. [AGR-4]
Le Grenier Du Collectionneur broché Couverture Illustrée Bruxelles 1970 48 pages en format 13 -21 cm
Très Bon État
Challamel 1910 In-8 pleine toile éditeur, filets et fleuron, 281 pp. Figures dans le texte. Fortes rousseurs au titre et en fin de volume, sinon rares.
Seconde édition. Très bon état d’occasion
Rousseau Marc texte ; Body Philippe, Dugast Jean-Léo photographies
Reference : 104828
(1996)
ISBN : 2842770048 9782842770044
Editions de Chine 1996 Edition de 1996 ou de 2000 suivant disponibilité dans le stock. In-4 relié 30 cm sur 23,5. 157 pp. Jaquette en très bon état. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
Bruxelles, Editions Racine, 2005. 21 x 28, 134 pp., très nombreuses illustrations en N/B et en couleurs, broché, très bon état.
Atlas. 1994. In-Folio. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 128 pages. Illustré de nombreuses photos en couleur dans et hors texte. Texte sur 2 colonnes.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 959-Asie du Sud-Est
Collectin 'Club Méditerranée'. Le Dragon d'orgueil. Le Centre, Terre de mémoire... Classification Dewey : 959-Asie du Sud-Est
Trouville, Conard, s.d. Une plaquette de 16 pages, illustrations en noir. Bon état.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Bruxelles, Le Grenier du collectionneur, 1974. In-8, 202 pp., broché.
878 ouvrages décrits, classés par thèmes (45 thèmes) ; index des noms d'auteurs. Tiré à 800 exemplaires, celui-ci enrichi d'un envoi autographe de l'auteur.
Un ouvrage de 136 pages, format 270 x 375 mm, illustré, relié cartonnage sous jaquette couleurs, publié en 1994, Editions Atlas, bon état
Phone number : 04 74 33 45 19
(Liège, Michel L’Homme, Libraire, 1995). (23,5 cm) 80 pages, illustré. Brochure agrafée. Bel état. Signature discrète d’un ex-proprio. [ Contient la liste des adjudications des 256 lots pour la pipe et le tabac de la collection de Me André Joiris ].
STIL (André) - Noël Arnaud, Maurice Blanchard, Jean-François Chabrun, Laurence Iche, Léo Malet, Viola Manuel, Marc Patin, Philippe Renaud, Robert Rius, Boris Rybak, Gérard de Sède.
Reference : 43477
Le Quesnoy(Nord): Chez André Stil, sans date (1943). 3 doubles feuillets 16x24cm, chacun tiré à 300 exemplaires. Le premier cahier imprimé sur vélin fort Johannot, s’ouvre sur le manifeste «Décentralistation surréaliste» où André Stil en appelle à tous les poètes qui veulent participer à l’effort surréaliste pendant la guerre. Suivent les textes de Noël Arnaud, Maurice Blanchard, Jean-François Chabrun, Laurence Iche, Léo Malet, Viola Manuel, Marc Patin, Philippe Renaud, Robert Rius, Boris Rybak, Gérard de Sède et André Stil. Une des dernières publications collectives du groupe La main à plume. Bon état.
Catalogue d'exposition présentée de novembre 1988 à janvier 1989 à la galerie parisienne Alain Blondel. Un volume 22,2x27cm broché de 28 pages illustrées de 15 planches hors texte en couleurs. Bon état.
94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917
Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.
André Breton, Paul Eluard, Marcel Duchamp, YvesTanguy, Claude Le Gentil, Salvador Dali, Max Ernst, Man Ray, Wolfgang Paalen, Andre Masson, Kurt Seligmann, Sonia Mossé, Hans Arp, Oscar Dominguez, Léo Malet, Joan Miro, Marcel Jean, Espinoza, Roberto Sebastian Matta Echaurren, Maurice Henry, Giorgio de Chirico, Ann Clark, Joseph Cornell, P. Norman Dawson, Paul Delvaux, Freddie, Alberto Giacometti, S.W. Hayter, Georges Hugnet, Humphrey Jennings, Rita Kernn-Larsen, Rene Magritte, E.L.T. Mesens, Henry Moore, Stellan Morner, Paul Nash, Nina Negri, Richard Oelze, Taro Okamoto, Meret Oppenheim, Erik Olson, Roland Penrose, Benjamin Peret, Olivier Picard, Pablo Picasso, Remedios, Max Servais, Jindrich Styrsky, Esaias Thoren, Elsa Thoresen, Maria Cerminova Toyen, Raoul Ubac, Gerard Vulliamy
Reference : 42184
Paris : José Corti, 1980 - un volume 16,4x25cm broché sous couverture illustrée en deux tons (Yves Tanguy), 76 pages sur papier couché abondamment illustrées en noir dans et hors texte - fac-similé de la brochure éditée en 1938 à l'occasion de la quatrième exposition internationale du surréalisme. Près de 400 entrées au dictionnaire et 115 reproductions d'oeuvres - couverture insolée sinon bon état -
APOSTEL (Leo). DE WAELHENS (Alphonse). MINKOWSKI (Eugène). LEFEBVE (Maurice-Jean). ORTIGUES (Edmond).
Reference : 45289
Bruxelles: Centre Interdisciplinaire d'Études Philosophiques de l'Université de Mons. Directeur: Moïse Engelson. Un volume broché (15,7x22,5 cm), 96 pages. Bon état. Moïse Engelson et Claire Lejeune ont créé les Cahiers Internationaux de symbolisme à Genève en 1962 avec parmi les membres fondateurs, notamment Gaston Bachelard, Mircea Eliade, Georges Poulet et Paul Ricœur. Au sommaire des numéros, l'étude du symbole dans ses relations avec les sciences exactes, les sciences humaines, la tradition, l'art et les religions.
BENOIT (Pierre). BARBUSSE (Henri). LAFARGUE (P.). LARGUIER (Léo). TOULET (Paul-Jean).
Reference : 45002
Paris, éditions Emile-Paul. Directeurs: Emile-Paul et Maurice Martin du Gard. Comité de rédaction: Edmond Jaloux, Valery Larbaud, André Germain et Philippe Soupault. Gérant: Paul Budry. Fascicule 16,6x25,2cm broché de 64 pages. Rousseurs éparses sinon bon état. Exemplaire protégé sous papier cristal.
Bonne revue littéraire (60 livraisons jusqu'en 1922), fondée par l'écrivain, critique et éditeur Paul Budry et soutenu par l'écrivain et mécène André Germain. "Bénéficiant de la présence de Philippe Soupault au comité de rédaction, Louis Aragon et André Breton apportèrent à la revue une contribution régulière, entretenant de l’évolution des préoccupations de la jeune génération et des derniers exploits en date du mouvement dada." (Lacroix, catalogue revues, février 2019. n°207).
Marjane Léo - Solar Jean,Marjane Leo - Solar Jean,Marjane Léo
Reference : 11007
(1946)
Decruck Maurice 1946
Bon état Petit format
[décembre 1962]. 1 vol. (135 x 180 mm) de [2] f., [14] tirages photographiques originaux, 2 f. Broché, sous double couverture et rodhoïd. Unique édition. Tirage non précisé, à petit nombre (album n° 11, signé par Jean-Pierre Sudre en fin). L’exemplaire est signé et daté par Léo Ferré en tête, « 5 décembre 1962 ». 8 photos à pleine page et 7 à double-page, réalisées en décembre 1962, pendant les répétitions et le récital donné à l’ABC.
L’ABC est un célèbre music-hall sis 11 boulevard Poissonnière, dans le IIe arrondissement à Paris, inauguré en 1935, à la place de l’ancien théâtre Plaza, transformé en music-hall par Mitty Goldin, qui choisit de l’appeler ABC « pour être en tête, par ordre alphabétique, des programmes parisiens ». En 1962, quelques mois avant ces concerts, Léo Ferré est le premier auteur-compositeur à être édité dans la collection Poètes d’aujourd’hui, chez Pierre Seghers. Il travaille tout l’été 1962 à ce récital, prévu de longue date pour l’hiver 1962 et s’y produit de décembre 1962 à janvier 1963, peu avant que la salle ne ferme en 1964, transformée en un cinéma, lequel est inauguré en mai 1965. Il cessera son activité en décembre 1981. Un 33 tour de Ferré, suite à ces concerts, paraîtra en 1963, Alhambra-ABC, rapidement retiré de la vente : la chanson « Mon Général » déplaît évidemment aux autorités et l’album est censuré. Il contenait huit titres (« Chanson mécanisée », « Le vent », « T’as payé », « Les temps difficiles », « Mon Général », « Stances », « Nous les filles » et « Regardez-les »), dont seuls quatre ont été enregistrés sur place (les titre 3-4-5 et 6). Cinéaste de formation, Jean-Pierre Sudre évolue après-guerre vers la photographie industrielle. S’il devint l’un des maîtres en la matière, il développa parallèlement une œuvre de photographe d’art, très en marge des tendances de son époque et d’une rare poésie, qui l’amène à créer en 1968 un département de photographie à l’École supérieure des arts graphiques. Il rencontre Léo Ferré par l’intermédiaire d’un ami commun, le critique d’art Charles Estienne. Après avoir photographié le chanteur dans sa propriété de Saint-Coulomb en Ille-et-Vilaine, les clichés sont utilisés pour les visuels de l’album Langue française, qui paraît à la rentrée de septembre 1962. C’est aussi l’année de sa première exposition parisienne, sous l’égide de Brassaï qui en préface le catalogue. Ferré fait alors à nouveau appel à Sudre pour couvrir les répétitions à l’ABC. Cet album, composé à quelques unités (vraisemblablement une quinzaine), sera distribué aux proches du poète chanteur et du photographe. Tous sont numérotés et signés, et nous en connaissons les n° 2, 5 et 11 et 12. Le programme officiel du théâtre de l’ABC, Léo Ferré – Récital 1963, contiendra bien des clichés pris dans le petit fort de Saint-Coulomb, mais aucune photo de cette exceptionnelle série de cet album n’y figurent. Il n’existe aucune autre publication de ce petit reportage confidentiel. Tous les tirages sont des tirages originaux.
Editions Medium Rare 2022. Portrait de Léo Malet en gravure originale sur bois, imprimée sur papier vélin BFK Rives à bords frangés au format 16,7 x 12 cm. Tampon sec. Tirage unique à 50 exemplaires, signé et justifiée à la mine de plomb par l'artiste. Rare édition originale.Jean-Marie Picard est un graveur sur bois formé aux Beaux Arts de Nîmes. Il débute dans les années 90, en collaboration avec latelier Jacomet. C'est aux côtés de Garouste, Arroyo, Debré et Moebius quil réalise ses premières estampes. En 2013 il participe à la création de latelier DPJ à Sète spécialisé dans la gravure. Latelier édite de nombreuses estampes avec Combas, Di rosa , Ocampo, Pencreach, Ichiba. Par la suite il crée sa propre maison d'éditions " Medium Rare ", et collabore avec Jean-Michel Alberola, Willem, Charles Burns, Paquito Bolino, Pat Andréa.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Piaf Edith - Borel-Clerc Ch.,Emer Michel,Lenoir Jean,Monnot Marguerite,Giraud Hubert,Glanzberg Norbert,Dumont Charles,Philippe-Gérard M.,Gilles Villard Jean,Juel,Marnay Eddy,Ferré Léo,Crolla Henri,Lai Francis - Marc-Hély,Larue Jacques,Telly,Vaucaire Michel,Marnay Eddy,Emer Michel,Malleron Robert,Vendome Michèle,Asso Raymond,Gilles Villard Jean,Piaf Edith,Senlis Michelle,Delécluse Claude,Ferré Léo,Rivgauche Michel,Prévert Jacques,Constantin Jean,Raya Nita
Reference : 79930
(1982)
Ferré Léo - Ferré Léo - Caussimon Jean-Roger,Ferré Léo,Apollinaire Guillaume,Aragon Louis,Seghers Pierre
Reference : 80619
(1982)
Sauvage Catherine,Ferré Léo,Viennet Georgie - Ferré Léo - Caussimon Jean-Roger,Ferré Léo
Reference : 22838
(1959)
Meridian Nouvelles Editions 1959
Bon état Format Coquille