1 fort volume in-12° broché, 559 p. portrait frontispice de Jaurès. Salissures et rousseurs en couverture, ex-dono manuscrit en couverture. Rousseurs éparses. Bon état.
Phone number : 06.31.29.75.65
1 vol. in-8° br., 93 p., très bon état malgré tête empoussiérée.
Phone number : 06.31.29.75.65
Jean Jaurès - Centre national et musée Jean Jaurès. Société d'études Jaurésiennes
Reference : 25723
Ce recueil correspond au n° 150 de "Jean Jaurès" cahiers trimestriels (octobre-décembre 1998) édité par la Société d'études jaurésiennes avec le soutien du Centre National du Livre, du conseil général du Tarn, de la DRAC Midi-Pyrénée, et du Centre national et Musée Jean Jaurès (ville de Castres) - Broché - 239 pages
bon état
Jaurès, JeanHistoire Socialiste (1789-1900)Paris: Jules Rouff et Cie, Éditeurs, vers 1900, broché, couvertures défraîchies, 29 x 19 cm., non rogné, complet en 13 volumes, mériterait une belle reliure.La Constituante (1789-1791) par Jean Jaurès. La Législative (1791-1792) par Jean Jaurès. La Convention I: La République; Les idées politiques et sociales de l'Europe et la Révolution (1792) par Jean Jaurès. La Convention II: La mort du roi; La chute des Girondins; Idées sociales de la Convention; Gouvernement révolutionnaire 1793-1794 (9 Thermidor) par Jean Jaurès. Thermidor & Directoire (1794-1799) par Gabriel Deville ; Consulat & Empire (1799-1815) par Paul Brousse & Henri Turot. La Restauration (1814-1830) par René Viviani; Le Règne de Louis-Philippe (1830-1848) par Eugène Fournière. La République de 1848 (1848-1852) par Georges Renard; Le Second Empire (1852-1870) par Albert Thomas. La Guerre Franco-Allemande (1870-1871) par Jean Jaurès, La Commune (1871) par Louis Dubreuilh; La Troisième République (1871-1900) par John Labusquière, La Conclusion: le bilan social du XIXe Siècle par Jean Jaurès + Table Analytique Alphabétique par Albert ThomasPas d'envoi hors de l'union européenne
[Jaurès] - Louis SOULE - [1880 - ,] - Historien français - spécialiste de Jaurès
Reference : 33711
1 page in4 - trés bon état - Louis Soulé - 1 place Matabiau - Toulouse -
Sa documentation personnelle sur Jaurès s'arrête à 1898 - Dès qu'il aura une minute, il la compulsera pour en extraire "les articles que Jaurès a publié jusqu'à cette époque dans la Dépêche de Toulouse" dont il a tous les nos interessants - Jaurès n'a jamais collaboré avec Midi Socialiste car il avait une dette de reconnaissance envers la Dépêche contre laquelle ce journal a été créé - Sa collaboration était hebdomadaire - Il possède la première édition des "Pages choisies" mais pas sa "Vie de Jaurès"- Puisqu'il lui offre, il ne fait aucune difficulté à l'accepter - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
P., Jules Rouff, s.d. (1911), fort in-12, (2) ff.-685 pp, reliure percaline souple bleue, pièce de titre basane carmin, bon état. Edition originale. Rare
Ce texte est issu d'un projet de loi sur l'organisation de l'armée, présenté par Jaurès, et publié dans le procès verbal de la séance du 14 novembre 1910 de la Chambre des députés. Il parait en volume en 1911, chez Rouff. "La première phrase indique bien le projet de Jean Jaurès : « Cest par les questions relatives à la défense nationale et à la paix internationale que j'aborde l'exposé du plan d'organisation socialiste de la France que je veux soumettre au Parlement en formules législatives. » Pourquoi cette priorité donnée aux questions de défense ? La loi du 21 mars 1905 avait généralisé l'obligation d'un service militaire dont la durée avait été ramenée à deux ans. Mais après ces deux ans de service actif, les obligations militaires incluaient onze ans d'appartenance à l'armée de réserve, mobilisable en cas de guerre. Jaurès critique cette organisation, dans un contexte où la rivalité entre la France et l'Allemagne pour la colonisation du Maroc fait craindre la guerre. C'est l'un des ouvrages les plus importants de Jean Jaurès. Sa réflexion sur l'organisation de l'armée s'appuie sur une analyse historique en profondeur, qui va des guerres de Louis XIV aux conflits les plus récents comme la guerre russo-japonaise de 1904. Il veut montrer que l'idée républicaine de la nation armée c'est-à-dire le lien entre la conscription et la citoyenneté a un caractère essentiellement défensif. La mobilisation de masse ne peut se justifier que comme une extrémité imposée par l'invasion du territoire. Elle a avant tout un caractère dissuasif. L'objectif premier doit rester la préservation de la paix, le respect du droit, le règlement des conflits par l'arbitrage. Mais la réflexion de Jaurès va bien au delà des questions militaires : le livre apparaît comme une synthèse de sa pensée sur l'évolution économique et sociale et les conditions du passage du système capitaliste au socialisme. Ce texte vise d'abord à faire réfléchir les Français sur leur défense. Jaurès souhaite que, loin de s'en désintéresser, comme s'il s'agissait dune question technique que pouvaient seuls résoudre les militaires de métier, les citoyens s'en emparent et la considèrent comme une question politique de première importance. Le texte a donc été beaucoup discuté, en particulier dans la presse. Mais la proposition de loi n'a pas été votée et en 1913, la durée du service actif a été portée à trois ans, mesure que Jaurès et les socialistes ont combattue. Il y a plusieurs raisons de s'intéresser à ce texte aujourdhui : l'idée que, dans une démocratie, les citoyens ne peuvent laisser de supposés experts décider pour eux de l'organisation de leur défense (comme d'autres questions d'ailleurs) ; l'idée de la nation et les raisons qu'ont les masses populaires d'y être attachées ; l'idée, enfin, qu'on ne sortira pas du système capitaliste par une révolution violente, mais par une transition progressive, grâce à des réformes partielles qui seront autant d'étapes vers le socialisme." (Jean François Chanet, L'Histoire, 2011)
[Jean JAURES] RABAUT Jean - [ Courbevoie 1912 - 1989] - Historien français
Reference : GF27011
bon état -
Intéressant dossier relatif à ses études sur Jaurès et à son rôle de secrétaire de la Société d'études Jauresiennes - doute au sujet d'une intimité intellectuelle entre Jaures et Sembat - peu d'intérêt de Jaures pour la peinture "moderne" - Jaurés et le fait plastique - présence à l'inauguration de la bibliothéque de Castres - recherche et exposition de caricatures de Jaurés - etc.... Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Editions Les Ecrivains Réunis Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1927 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur grise grand In-8 1 vol. - 93 pages
nouvelle édition de 1927, la première édition de cette traduction du latin est parue dans la Revue Socialiste en 1892 Contents, Chapitres : Préface d'Adrien Veber - Les premiers linéaments du socialisme allemand chez Luther, Kant, Fichte et Hegel : Luther - De l'Etat chez Kant et Fichte - Le collectivisme chez Fichte - Hegel, Marx et Lassalle - Jean Jaurès est un homme politique français, né à Castres (Tarn) le 3 septembre 1859 et mort assassiné à Paris le 31 juillet 1914. Orateur et parlementaire socialiste, il s'est notamment illustré par son pacifisme et son opposition au déclenchement de la Première Guerre mondiale. Issu de la bourgeoisie et agrégé de philosophie, il débute sa carrière politique comme député républicain mais adhère définitivement au socialisme après la grande grève des mineurs de Carmaux et s'oppose aux lois scélérates. Durant l'affaire Dreyfus, il prend la défense du capitaine et pointe l'antisémitisme dont celui-ci est victime. En 1905, il est un des rédacteurs de la loi de séparation des Églises et de l'État. La même année, il participe à la création de la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO), dont il est l'acteur principal, unifiant ainsi le mouvement socialiste français. Ses positions réformistes lui valent toutefois l'opposition d'une partie de la gauche révolutionnaire. Il consacre les dernières années de sa vie à empêcher, en vain, le déclenchement de la Première Guerre mondiale, et se lie aux autres partis de l'Internationale ouvrière, faisant planer la menace de grève générale au niveau européen. Ces positions pacifistes lui valent d'être assassiné par le nationaliste Raoul Villain à la veille du début du conflit. Cet événement entraîne paradoxalement le ralliement de la gauche à l'« Union sacrée ». - Jean Jaurès entre en politique à 25 ans comme candidat républicain à Toulouse aux élections législatives de 1885. Il est élu2 et siège à l'assemblée nationale parmi les républicains « opportunistes » et soutient le plus souvent Jules Ferry. En 1889, il n'est pas réélu. Privé de son mandat de député, Jaurès reprend son enseignement à la faculté de Toulouse. Il est reçu docteur ès lettres en 1892. Sa thèse principale a pour titre De la réalité du monde sensible, sa thèse secondaire (en latin, selon l'usage de l'époque) De primis socialismi germanici lineamentis apud Lutherum, Kant, Fichte et Hegel. Les deux ont paru en 1891. (source : Wikipedia) "tres legeres traces de pliures sur la couverture sans gravité, étiquette bleue sur le haut du dos, la couverture reste en bon état, intérieur frais et propre, papier à peine jauni, infime déchirure sans manque de 0,3 cms au bas de la marge des dernières pages, c'est discret et n'affecte pas le texte, cela reste un bon exemplaire de cette édition française de la thèse latine de Jaurès (thèse secondaire, il était d'usage de la publier en latin). La thèse principale, absente ici, a connu une plus forte notoriété, ""De la réalité du monde sensible"". (publiée chez Alcan en 1902)"
P., Librairie de l'Humanité, 1922, gr. in-8°, 426 pp, un portrait de Jaurès en frontispice, préface d'A. Mathiez, 69 gravures dans le texte et à pleine page, broché, dos fendu, sinon bon état
"... C'est Jaurès cependant qui le premier a voulu voir dans la Révolution française un phénomène social et donc d'origine économique. (...) Jaurès a publié de 1901 à 1903 les quatre volumes sous couverture rouge de son “Histoire socialiste de la Révolution française” : pour la première fois dans l'historiographie révolutionnaire, il exposait l'histoire de la Révolution en lui donnant franchement comme fondement les faits économiques et sociaux. Non que Jaurès ait méconnu l'importance du mouvement philosophique. Il n'en reste pas moins, et Jaurès le marque avec vigueur, que la Révolution fut l'aboutissement d'une longue évolution économique et sociale qui fit de la bourgeoisie la maîtresse du pouvoir et de l'économie. (...) Sûreté de la méthode, richesse de la documentation, impartialité merveilleuse, comme l'avait déjà souligné Aulard, belle ordonnance du récit : tels sont les traits que souligne également Mathiez. « C'était la première fois qu'une tentative aussi vaste, aussi hardie et aussi heureusement conduite dans l'ensemble était faite pour joindre au tableau des événements politiques le tableau des événements économiques qui les conditionnent et les expliquent »." (Albert Soboul, Annales historiques de la Révolution française, 1979)
[Jaurès] - Louis SOULE - [1880 - ,] - Historien français - spécialiste de Jaurès
Reference : 33710
1 page in4 - trés bon état - Louis Soulé - 1 place Matabiau - Toulouse -
Il trouve sa lettre à son retour de Madrid - Il s'est occupé de rechercher le contenu de la conférence de Jaurès qui l'interesse - Mais elle n'a pas été publié dans La Dépêche, juste un compte rendu à la date du 13 février 1914 - "Impossible d'en avoir un exemplaire" - Il ont été liquidés - Du côté de Midi Socialiste, il est inutile de chercher car "son organisation intérieure est loin de nous autoriser à espèrer d'utiles recherches" - Il va essayer chez les militants toulousains qui auraient pu conserver ce numéro -Sa documentation personnelle est trés abondante, "surtout sur la période antérieure à la notoriété de Jaurès" - Qu'il n'hésite pas à y puiser à pleines mains - Rare - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Rare et important manuscrit du député socialiste Jean Jaurès lors de lélaboration de la loi de séparation de léglise et de létat en avril 1905. Manuscrit de premier jet (ratures et corrections, bavures et taches dencre), préliminaire à un article paru dans LHumanité le vendredi 14 avril 1905, en une du journal que Jaurès avait fondé, sous le titre « EFFORT NÉCESSAIRE » (annotation en tête au crayon bleu de prote).Au cœur de la 13e journée de débat à la Chambre des députés : Jaurès, favorable à la loi de Séparation, en défend larticle 2 « La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte... » ; il minimise limportance de lamendement à cet article déposé par les députés de laile droite, Maurice Sibille, Jules Legrand et Georges Leygues, qui visait à linstauration daumôniers dans les établissements publics : Cet amendement, dit-il, ...na pas, en soi, une grande importance (...). Pas une minute la Commission na songé à retirer ou aux détenus, ou aux malades, ou aux écoliers la possibilité de pratiquer leur religion, et dappeler le ministre de leur culte, dans la prison, dans lhôpital ou dans lécole. Et il va de soi que ces ministres des Cultes, même dans le régime de la Séparation, pourront être payés par lÉtat ou par lintermédiaire de lÉtat (...). Il ny a pas là, comme la expliqué M. Bienvenu-Martin [le ministre des Cultes], la moindre dérogation au principe même de la loi nouvelle qui interdit à lÉtat, aux départements et aux communes, de subventionner un Culte quelconque. (...) Tous ces faits où lÉtat intervient, mais comme délégué et substitut des particuliers et non pas pour reconnaitre et subventionner un culte, ne sont donc pas contraires à la neutralité religieuse instituée par la loi de Séparation. Ce qui est vrai, cest que lÉtat, quand la Séparation sera votée, devra sefforcer de choisir un mode de comptabilité qui, même pour ces cas un peu ambigus, le dégage de toute apparence dintervention confessionnelle. (...) Mais encore une fois la Commission et le ministre avaient raison de dire, contre M. Sibille que ces sortes de paiements faits par lÉtat, en qualité de mandataire et pour le compte de mineurs, nentamaient pas la grande loi de neutralité confessionnelle votée par la Chambre. Il était donc inutile de formuler, comme M. Sibille le proposait, une disposition légale les permettant. M. Sibille la emporté de quelques voix, et cela ne change rien au fond des choses.À la droite et au centre, opposés à la loi, se sont joints les républicains, qui, pense-t-il, ont eu tort de les rallier car, lœuvre de la Séparation va se poursuivre avec fermeté. Les cléricaux et les progressistes ont affecté un moment de triompher dun succès assez illusoire et qui ne compromet aucune des parties essentielles de la loi. Celle-ci est assez largement libérale, assez soucieuse de ménager tous les droits et même toutes les habitudes pour que les plus inquiets de liberté puissent la voter sans modification notable. Dès maintenant, et quelle que soit la multiplicité des amendements, la Chambre est visiblement résolue à aboutir (...). Il faut que le gouvernement et la majorité, dont le vote dhier soir na ni rompu laccord ni entamé la force, considèrent comme un devoir supérieur de délibérer dun effort continu jusquà lachèvement de leur œuvre. Dès maintenant le terrain est déblayé. Il ne reste plus que deux grandes batailles à livrer, sur la question des associations cultuelles et sur celle des édifices religieux... La loi de Séparation de l'Église et de lÉtat, mesure emblématique de la IIIe République, doit énormément à laction des socialistes. Trois dentre eux ont particulièrement contribué à la conception, à linflexion démocratique, et à ladoption de la loi en décembre 1905 : le jaurésien Aristide Briand, qui en fut le rapporteur émérite, le manœuvrier qui a mené la Commission des trente-trois où il voulait la conduire, Francis de Pressensé, linspirateur, linitiateur du processus législatif, et le député du Tarn, Jean Jaurès, le chef reconnu, qui montra la voie et intervint dans les moments décisifs.
Fayard, 2000, gr. in-8°, 446 pp, broché, bon état
Jaurès philosophe n'est certes pas l'image la mieux connue du personnage. Les mineurs de Carmaux ne s'y intéressaient guère et la plupart des histoires de la philosophie parues au XXe siècle ignorent jusqu'à son nom : le militantisme socialiste fut longtemps de mauvais aloi aux yeux des milieux intellectuels. Ce volume est conçu pour mettre fin à cette injustice et pour souligner l'enracinement philosophique de l'action de Jaurès, sans préjuger ce que lui ont apporté plus tard la défense des travailleurs et la découverte des problèmes du XXe siècle. Les textes reproduits, introduits et annotés ici s'arrêtent en 1891-1892, année où il déposa et soutint ses thèses de doctorat, avant de se définir explicitement comme socialiste engagé dans les luttes politiques et sociales. La thèse principale, « De la réalité du monde sensible », est, au sens propre du terme, une ontologie : l'être y est explicité comme la réalité concrète dans toute sa complexité et sa diversité. Jaurès y expose sa vision du monde en relation avec la tradition philosophique européenne, de Démocrite à Kant. Il dialogue avec son camarade de promotion, Bergson. Ecrite en latin, la thèse complémentaire (dont la version française a été soigneusement revue) n'est pas une étude historique sur « Les origines du socialisme allemand », comme l'a longtemps laissé croire une traduction maladroite du titre, mais un travail de philosophie qui prolonge la grande thèse en renvoyant aux traditions conceptuelles et politiques de la pensée allemande. A travers elle, l'« être en puissance » passe à l'être en acte du socialisme. La philosophie de Jaurès doit désormais intéresser non seulement les philosophes, mais les historiens et les hommes politiques, les acteurs de l'histoire à qui elle propose des fondements théoriques.
Le Vice-Amiral Jaurès (Louis Jaurès, 1860-1937, frère cadet de Jean Jaurès)
Reference : DMI-858
(1919)
Le Vice-Amiral Jaurès (Louis Jaurès, 1860-1937, frère cadet de Jean Jaurès), commandant en chef, préfet maritime du 4e arrondissement de Rochefort (1919-1922), carte de visite autographe signée à Claudius Jacquet (sous-préfet de Rochefort), [1919-1922], 9,8x6cm. "Avec mes remerciements / et mon amical souvenir".
s.d. (1909), 13,5x21cm, 2 feuillets sur une page rempliée.
Lettre autographe signée de Jean Jaurès, à en-tête de la chambre des députés, à l'homme politique et journaliste Arthur Huc (1854-1932), co-directeur du journal La Dépêche dans lequel Jean Jaurès publie hedbomadairement des articles. Jean Jaurès s'excuse de l'irrégularité avec laquelle il transmet ses articles depuis quelques mois. Il assure Arthur Huc que, dorénavant, il s'appliquera à rendre son article dans les temps et qu'il lui adressera chaque mardi. Ensuite, Jean Jaurès a raturé un paragraphe concernant des articles prévus pour le mois suivant et les sommes afférantes à leurs règlements. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Coll. "Les Grands Orateurs Républicains", Paris, éd. Du Centaure, S.d., gd. in-8, br., XXII - 279 pp., frontispice "portrait de Jaurès, Les plus "grands" discours de cet orateur celèbre : Jean Jaurès. Bon état
[JAURES] JAURES Jean [Paul Desanges, Anatole France, Roger Garaudy, Paul Lafargue, Luc Meriga, Aimé Patri, Albert Thomas, Edouard Vaillant].
Reference : 5187
5 plaquettes in-12 et une plaquette in-8, brochées.
"Idéalisme et matérialisme dans la conception de l'histoire", conférence avec la réponse de Paul Lafargue (2 plaquettes : Lille, Impr. P. Lagrange, 1901 / Idées et combats, 1946, préface de Aimé Patri), "Discours à la jeunesse" (Paris, Edouard Cornély et Cie, 1903), "Un discours" (Paris, Stock, Les contemporains, 1922, préface de Paul Desanges et Luc Meriga), "Jaurès et la paix" (Editions sociales, 1949, préface de Roger Garaudy), "Jean Jaurès défenseur de la classe ouvrière, extrait de ses oeuvres et notes biographiques, discours prononcés à sa mort par Anatole France, Edouard Vaillant, Albert Thomas" (Hayard, 1960). Exemplaires défraîchis. [5187]
Flammarion 2010 13x20x2cm. 2010. Broché. 304 pages. Très bon état
Ollendorff 1902 in12. 1902. Broché. 273 pages. Bon Etat intérieur propre et sans rousseurs couverture frottée sur ses bords dos cassé
Club francais du livre 1972 in8. 1972. Cartonné jaquette. 244 pages. Bon Etat
Paris, Classiques français du socialisme. Bureau d'éditions, 1936, in-12, broché, 63 pages Bon état.
Paris, François Maspéro. Cahiers libres, 1977, in-8°., Broché, 220 pages. Bon état.
1 volume in-12° relié demi toile marron clair, dos lisse, pièce de titre de basane orangée, couverture conservée, XXXVI (Péguy - De la raison) - XXXIX à CV (Introduction) et 276 p. petites rousseurs quelques fins soulignages au crayon à papier, bel état d'ensemble.
Phone number : 06.31.29.75.65
Centre national et Musée Jean Jaurès Centre National et Musée Jean Jaurès, 1994. In-4 broché de 204 pages, nombreuses photos. Exposition Assemblée Nationale 14 septembre - 12 octobre 1994. Très bon état.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
A Paris, Éditions Sociales, 1968-1973.
Ensemble complet de 7 volumes reliés à la Bradel (220x150mm), simili basane bleue, titres en rouge au dos, médaillon imprimé sur les plats, avec les rhodoïds. Vol1:La Constituante,1127pp; vol2:La Législature,760pp; vol3:La République,625pp; vol4:La révolution et L'Europe,560pp; vol5:La mort du Roi et La Chute de la Gironde,862pp;vol6:Le Gouvernement révolutionnaire,544pp; vol7:index,184pp. Notes complémentaires, bibliographie et tables en fin de chaque volume. Maquettes de Jacques Daniel. Texte sur 2 colonnes. Édition revue et annotée par Albert Soboul et préfacée par Ernest Labrousse. La mise en vente des premières éditions en fascicules par Rouff de cette Histoire socialiste de la Révolution française s'effectua de 1901 à 1904 et comme l'écrivait Jean Jaurès ''c'est d'abord au peuple de France, aux ouvriers, aux paysans que s'adresse cette Histoire socialiste''. Pour ce travail, Jean Jaurès a recueilli au musée Carnavalet -Paris- de nombreuses gravures dont la valeur documentaire était incontestable et qui avaient pour fonction d'illustrer son texte. ''Ces images encore vives, ces feuilles toujours remuantes et bruissantes'' sont reproduites ici. "L'apport saute aux yeux", la thèse classique et naïve faisait de la Révolution française une révolution de la misère, et de la misère une conséquence de l'impôt, avec Jean Jaurès l'économie et les classes sociales sont au premier plan de cette histoire. Très bonne condition de l'ensemble.