Edition Du Mercure De France Paris 1898 Partition in-4 ( 350 X 270 mn ) de 8 pages en feuille sous couverture illustrée par Alfred JARRY. Très bel exemplaire, peu fréquent.
1972 Gallimard Hardcover Fine
Bibliotheque de la Pleiade alfred jarry oeuvres completes tome 1 358 illustrations,1317 pp, reliure d'éditeur. Sous jaquette et rhodoid. Bel exemplaire.
Genève-Paris, Editions de Trois Collines, 1944. In-12 broché de 95-[5] pages, couverture imprimée en trois tons.
Illustré d'un portrait d'Alfred Jarry par Hermann Paul contrecollé en frontispice.
Paris, Librairie Charpentier et Fasquelle, 1922. In-12 broché de 190-[2] pages, couverture verte illustrée, imprimée en noir, rouge et or.
Illustrations in-texte en noir, parfois à pleine page, dont 2 portraits de Jarry. Traces de plis au premier plat, petite réparation au scotch au bas du dos.
Collège De Pataphysique - Collection "Juvenilia D'Alfred Jarry" Paris 1964 Plaquette in-8 ( 210 X 135 mm ) de 32 pages, brochée sous couverture imprimée. Note de Maurice SAILLET. Tiré à 666 exemplaires, 1 des 222 exemplaires de luxe numérotés sous couverture couleur de rose ( N°101 ). Bel exemplaire.Collège de Pataphysique, Collection "Juvenilia d'Alfred Jarry" N°3, 1er haha 92 ( 6 octobre 1964 ).
Collège De Pataphysique - Collection "Juvenilia D'Alfred Jarry" Paris 1970 Plaquette in-8 ( 210 X 135 mm ) de 32 pages, brochée sous couverture imprimée. Notes de Maurice SAILLET. Deux des réponses ( sur le divorce et le duel ) sont ici en édition originale. Tirage à 888 exemplaires, le notre 1 des 399 numérotés sur Papier Lafuma ( N°123 ) sous couverture bleue. Collège de Pataphysique, Collection "Juvenilia d'Alfred Jarry", 27 Phalle XCVII en la fête de S. Priape, franc-tireur, ( 1970 ).
Le Livre de Poche 1962 1962. 5 ALFRED JARRY - Tout Ubu / le livre de poche 1962
Bon état
Le Livre de Poche 1962 1962. Alfred Jarry - Tout Ubu / Le Livre de Poche 1962
Bon état
Le Livre de Poche 1978 1978. Alfred Jarry - Tout Ubu / Le livre de poche 1978
Bon état
Flammarion Gf 1999 1999. Alfred Jarry: Ubu Roi/ GF Flammarion 1999
Très bon état
2000 2000. Alfred Jarry - Ubu Roi / La Bibliothèque Gallimard 2000
Bon état
2005 2005. Alfred Jarry - Les Minutes de Sable Mémorial suivi de César Antechrist 2005 LBG150
Bon état
Chez Delamain , Boutelleau Et Cie - Librairie Stock Paris 1923 In-16 ( 143 X 98 mm ), de 126 pages, broché sous couverture imprimée. Texte de Alfred JARRY, préface de Philippe SOUPAULT, portrait de l'auteur en frontispice par PICASSO. 1 des 50 exemplaires sur papier Hollande Van Gelder, numérotés et parafés par les éditeurs ( N°45 ). Très bel exemplaire.
Paris, Éditions du sagittaire, chez Simon Kra, 1920. In-12 broché de 153-[9] pages, couverture rempilée illustrée de l'éditeur.
Orné d'un frontispice en couleurs et de 6 eaux-fortes en lavis par Geo A. Drains. Charmant exemplaire de cette édition originale, le texte est décoré dans ses marges avec des illustrations bicolores. Exemplaire sur papier de Hollande Van Gelder Zonen numéroté (586). Quelques décharges des illustrations comme toujours et minimes usures à la couverture, pages non rognées et témoins d'impression. Un chouette Jarry!
Cymbalum Pataphysicum Paris 1991 In-8 oblong "à l'italienne" ( 150 x 210 mm ) broché de 40 pages. Collages par Henry MEYER. 1 des 333 exemplaires numérotés sur papier rose foetal. Très bel exemplaire.
Collège De Pataphysique, Collection "des PHYNANCES" Paris 1957 In-12 oblong "à l'italienne" ( 130 x 210 mm ) broché de 17 pages. 1 des 344 exemplaires numérotés sur papier saumon dialectique authentifié de l'édition originale. Bel exemplaire.
Collège De Pataphysique ( Collection "HAHA" ) S.L. (Paris) S.D. (1962) Sans lieu, Collège de Pataphysique, sans date ( 8 gueules LXXXIX ). Quinzième volume de la Collection HAHA.In-24 ( 80 X 60 mm ) de 32 pages, broché sous couverture dorée imprimée. Article paru le 15 août 1928 dans la revue Variétés, ici ornée de deux timbres originaux contrecollés, à l'effigie de l'auteur et du sujet. Edition originale, un des 222 exemplaires numérotés sur Grande Paperasse de Discrétion, outre quelques Vieux japon Impérial nominatifs, 22 Vélin Magnificent et 530 Authentique Papier Inconnu. Très bel exemplaire.
Paris Mercure de France 1898 En feuilles
EDITIONS ORIGINALES des 3 partitions musicales illustrée en couverture de LITHOGRAPHIES originale d'Alfred JARRY. Musique de Claude Terrasse. "La Chanson du decervelage" est bien complet de la feuille supplémentaire qui manque très souvent, pour le chant seul, imprimé sur deux colonnes. (35 x 27 cm). Textes est extraits d'UBU ROI d'Alfred JARRY. Impression par E. Dupré. 4pp. - 8 pp. - 12 pp. > Bel ensemble. Sur les 9 partitions que compte cette série, seuls ces trois titres sont illustrée par Jarry. Très bon 0
S.n. [Journal des débats], s.l. [Paris] s.d. (1944), 13,5x21,5cm & 2 pages in-4, 2 1/2 pages in-8.
Manuscrit autographe de l'auteur de 2 pages et demie in-8 publié dans le numéro du 13 avril 1944 du Journal des Débats. Manuscrit recto-verso complet, à l'écriture très dense, comportant de nombreux ratures, corrections et ajouts. On joint le tapuscrit signé complet. Chronique parue à l'occasion de la publication du roman posthume de Jarry, La Dragonne. Dans cette chronique consacrée à Alfred Jarry et au Père Ubu, Maurice Blanchot s'intéresse à la confusion de l'un avec l'autre et à ses conséquences: «[...] on peut penser que Jarry, en s'entêtant à être le Père Ubu, a pendant sa vie gaspillé une partie de ses ressources d'écrivain et après sa mort égaré le jugement littéraire sur sa véritable valeur.» Pourtant, cette confusion témoigne de la cohérence de l'auteur: «Chez Jarry, le choix d'un masque aussi peu flatteur a un sens fort clair. Il y a d'abord une volonté de mettre à mal tout sérieux et particulièrement cette volonté même; il n'est pas question de tracer des frontières au ridicule; on rit d'abord de soi, on en rit parce que ce rire n'est qu'un écho du vide. Et puis ce double grotesque que l'auteur revendique comme une représentation dont il est fier, affirme sa complicité, pleine de défi, avec les travers qu'il caricature.» La Dragonne, dernière uvre du père d'Ubu que Gallimard publie alors, étonnera donc Blanchot pour «le sérieux avec lequel Jarry a accepté son métier de romancier», qui louera également «les soudains mouvements d'imagination poétique qui dérangent le plan». Unique texte monographique consacré par Blanchot à Jarry. Entre avril 1941 et août 1944, Maurice Blanchot publia dans la "Chronique de la vie intellectuelle" du Journal des Débats 173 articles sur les livres récemment parus. Dans une demi-page de journal (soit environ sept pages in-8), le jeune auteur de "Thomas l'obscur" fait ses premiers pas dans le domaine de la critique littéraire et inaugure ainsi une oeuvre théorique qu'il développera plus tard dans ces nombreux essais, de "La Part du feu" à "L'Entretien infini" et "L'Écriture du désastre". Dès les premiers articles, Blanchot fait preuve d'une acuité d'analyse dépassant largement l'actualité littéraire qui en motive l'écriture. Oscillant entre classiques et modernes, écrivains de premier ordre et romanciers mineurs, il pose, dans ses chroniques, les fondements d'une pensée critique qui marquera la seconde partie du XXe. Transformé par l'écriture et par la guerre, Blanchot rompt, au fil d'une pensée exercée "au nom de l'autre", avec les violentes certitudes maurassiennes de sa jeunesse. Non sans paradoxe, il transforme alors la critique littéraire en acte philosophique de résistance intellectuelle à la barbarie au cur même d'un journal "ouvertement maréchaliste": "Brûler un livre, en écrire, sont les deux actes entre lesquels la culture inscrit ses oscillations contraires" (Le Livre, In Journal des Débats, 20 janvier 1943). En 2007, les Cahiers de la NRF réunissent sous la direction de Christophe Bident toutes les chroniques littéraires non encore publiées en volumes avec cette pertinente analyse du travail critique de Blanchot : "romans, poèmes, essais donnent lieu à une réflexion singulière, toujours plus sûre de sa propre rhétorique, livrée davantage à l'écho de l'impossible ou aux sirènes de la disparition. (...) Non sans contradictions ni pas de côté, et dans la certitude fiévreuse d'une uvre qui commence (...) ces articles révèlent la généalogie d'un critique qui a transformé l'occasion de la chronique en nécessité de la pensée." (C. Bident). Les manuscrits autographes de Maurice Blanchot sont d'une grande rareté. - Photos sur www.Edition-originale.com -
[Dubuffet, Ernst, Miro] - Collectif. Jarry, Allais, Nouveau, Vian, Fargue, Queneau, Artaud, Ionesco, etc.
Reference : 646
(1957)
Paris 1957-1965. 28 numéros en 23 volumes brochés ou agrafés (240 X 160 mm) sous couvertures de couleur décorées : 1-2 : Le tableau, guignolade de Ionesco. Défilé des enfants prodiges, organisé par Bouche, 3 : Le temps dans l'art et autres inédits de Jarry, 4 : Adam de Marvier, 5 : Olalla de Stevenson traduit par Jarry, 6 : Les bâtisseurs d'empire de Vian, 7 : Election de sa magnificence le baron Mollet, 8 : Etre et vivre de Jarry, 9: Traité des queues de Lichtenberg, 10-11 : Cosmorama de Dubuffet, 12 : Hommage à Vian (avec des inedits), 13 : Gyroscopie de la gidouille, dessins de Dumarcay, 14 : La trichonomase de de Luc, 15 : Albert Aurier et Irènée, 16 : Centenaire de la découverte du Pôle Nord par le capitaine Hatteras, 17 : Exercices de littérature potentielle, 18-19 : Les goûters des généraux de Vian, 20 : Sur les oeuvres de Queneau, 21 : Inédits de Torma, 22-24 : Belles lettres de Jarry et Torma, 25 : Institutum Pataphysicum Mediolanense, 26 : Album de l'antlium ou Pompe à merdre, inédits de Jarry, 27 : La dragonne, projet de roman de Jarry, 28 : Géographie et Histoire du Collège de Pataphysique. Chaque fascicule est illustré de documents et reproductions.
Rare collection complète des dossiers acénotètes constituant la deuxième série des cahiers du Collège de Pataphysique, ici en excellent état, aucun manque aux couvertures des fascicules. Textes et illustrations inédits de L. Carroll, R. Clair, J. Dubuffet, M. Duchamp, M. Ernst, J. Ferry, E. Ionesco, A. Jarry, H. Jeanson, M. Leiris, J. Miró, J. Prévert, R. Queneau, J. Torma, B. Vian, etc.
Mercure de France, Paris 1896, 9,5x15,5cm, relié.
Édition originaleillustrée de deux portraits du Père Ubu dessiné par Alfred Jarry. Reliure en demi maroquin fauve à coins, dos quatre nerfs sertis de filets noirs, date dorée en queue, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos (comportant des restaurations) conservés, tête dorée, reliure signéeG. Gauché. Précieux et rare envoi autographe signé d'Alfred Jarry?: «?Exemplaire de Georges Rodenbach.Alfred Jarry.?» Provenance : de la bibliothèque personnelle du PrésidentGeorges Pompidou avec son ex-libris encollé sur un contreplat. «Il a montré qu'on pouvait à la fois aimer Racine et aimer Soulages... Poussin et Max Ernst... Virgile et René Char, et de ce point de vue, il a été exemplaire» (Alain Peyrefitte). Sur les bancs de l'Ecole Normaleet dans la haute administration, la banque et enfin la politique, Georges Pompidou a constitué au sein de sa bibliothèque personnelle une"anthologie" de la littérature française. Ce précieux exemplaire d'Ubu Roi est révélateur de son identité d'homme de lettres, entreclassicisme et avant-garde. Pompidou, dont la formation littéraire imprégna lapensée et ses discours politiques, manifesta et cultiva aux côtés de son épouse Claude un goût pour l'art moderne, le cinéma, mais aussi le théâtre: on le sait adepte de Jules Romains, lecteur de Beckett et grand admirateur de Louis Jouvet. Les arts de la scène lui sont entre autres redevables pour le soutien sans faille qu'il exprima au Théâtre National Populairede Jean Vilar, qui monta justement une nouvelle mise en scène d'Ubu Roi en 1958 au palais de Chaillot. Ce chef d'uvre de Jarry porte également la marque de son célèbre et premier propriétaire, le symboliste belge Georges Rodenbach, «l'un des plus parfaits écrivains des Flandres», qui reçut l'ouvrage enrichi d'un envoi signé de l'auteur, son confrère collaborateur de la Revue blanche. Ils firent tous deux partie de la cohorte des disciples de Stéphane Mallarmé se réunissant chaque mardi auprès du Maître dans son salon de la rue de Rome. Egalement affilié au cénacle des Hydropathes auquel Jarry a activement participé, Rodenbach publie la même année que la parution d'Ubu un de ses plus importants recueils de poèmes, Les vies encloses, inspiré par l'occultisme de Novalis et les romantiques allemands. Jarry se réclamant de Pantagruel comme Rodenbach de Baudelaire, l'un lutta contre l'incompréhension publique, l'autre s'en réjouit: ils évoluèrent aux deux extrémités du spectre mallarméen. Admirable témoin du microcosme bohème parisien littéraire, cet ouvrage de provenance et d'appartenance prestigieuse unit entre ses pages deux grands noms du théâtre avant-gardiste et de la poésie fin-de-siècle : Jarry, le mystificateur sans égal et Rodenbach, le nostalgique poète des vies encloses. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n. [Journal des débats], s.l. (Paris) s.d. (1944), 13,5x21,5cm & 2 pages in-4, 2 1/2 pages in-8.
Manuscrit autographe de l'auteur de 2 pages et demie in-8 publié dans le numéro du 13 avril 1944 du Journal des Débats. Manuscrit recto-verso complet, à l'écriture très dense, comportant de nombreux ratures, corrections et ajouts. On joint le tapuscrit signé complet. Chronique parue à l'occasion de la publication du roman posthume de Jarry, La Dragonne. Dans cette chronique consacrée à Alfred Jarry et au Père Ubu, Maurice Blanchot s'intéresse à la confusion de l'un avec l'autre et à ses conséquences: «[...] on peut penser que Jarry, en s'entêtant à être le Père Ubu, a pendant sa vie gaspillé une partie de ses ressources d'écrivain et après sa mort égaré le jugement littéraire sur sa véritable valeur.» Pourtant, cette confusion témoigne de la cohérence de l'auteur: «Chez Jarry, le choix d'un masque aussi peu flatteur a un sens fort clair. Il y a d'abord une volonté de mettre à mal tout sérieux et particulièrement cette volonté même; il n'est pas question de tracer des frontières au ridicule; on rit d'abord de soi, on en rit parce que ce rire n'est qu'un écho du vide. Et puis ce double grotesque que l'auteur revendique comme une représentation dont il est fier, affirme sa complicité, pleine de défi, avec les travers qu'il caricature.» La Dragonne, dernière uvre du père d'Ubu que Gallimard publie alors, étonnera donc Blanchot pour «le sérieux avec lequel Jarry a accepté son métier de romancier», qui louera également «les soudains mouvements d'imagination poétique qui dérangent le plan». Unique texte monographique consacré par Blanchot à Jarry. Entre avril 1941 et août 1944, Maurice Blanchot publia dans la "Chronique de la vie intellectuelle" du Journal des Débats 173 articles sur les livres récemment parus. Dans une demi-page de journal (soit environ sept pages in-8), le jeune auteur de "Thomas l'obscur" fait ses premiers pas dans le domaine de la critique littéraire et inaugure ainsi une oeuvre théorique qu'il développera plus tard dans ces nombreux essais, de "La Part du feu" à "L'Entretien infini" et "L'Écriture du désastre". Dès les premiers articles, Blanchot fait preuve d'une acuité d'analyse dépassant largement l'actualité littéraire qui en motive l'écriture. Oscillant entre classiques et modernes, écrivains de premier ordre et romanciers mineurs, il pose, dans ses chroniques, les fondements d'une pensée critique qui marquera la seconde partie du XXe. Transformé par l'écriture et par la guerre, Blanchot rompt, au fil d'une pensée exercée "au nom de l'autre", avec les violentes certitudes maurassiennes de sa jeunesse. Non sans paradoxe, il transforme alors la critique littéraire en acte philosophique de résistance intellectuelle à la barbarie au cur même d'un journal "ouvertement maréchaliste": "Brûler un livre, en écrire, sont les deux actes entre lesquels la culture inscrit ses oscillations contraires" (Le Livre, In Journal des Débats, 20 janvier 1943). En 2007, les Cahiers de la NRF réunissent sous la direction de Christophe Bident toutes les chroniques littéraires non encore publiées en volumes avec cette pertinente analyse du travail critique de Blanchot : "romans, poèmes, essais donnent lieu à une réflexion singulière, toujours plus sûre de sa propre rhétorique, livrée davantage à l'écho de l'impossible ou aux sirènes de la disparition. (...) Non sans contradictions ni pas de côté, et dans la certitude fiévreuse d'une uvre qui commence (...) ces articles révèlent la généalogie d'un critique qui a transformé l'occasion de la chronique en nécessité de la pensée." (C. Bident). Les manuscrits autographes de Maurice Blanchot sont d'une grande rareté. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Mercure de France 1898 En feuilles
EDITION ORIGINALE de cette partition musicale pour piano, illustrée en couverture d'une LITHOGRAPHIE originale d'Alfred JARRY. Musique de Claude. (35 x 27 cm). Le texte est extrait d'Ubu roi. Petites marques en marge de la couverture.12 pp.