1 Reliure souple ... rassemblant deux volumes brochés, couvertures vertes imprimées en rouge conservées (lég. insolées en marge). Arêtes et dos lég. frottés. 15,5 x 9,5 cm, 62 + 35 p. Paris, E. Sansot & Cie, collection Théâtre Mirlitonesque, 1906. Edition originale
Édition originale des deux premiers et seuls volumes parus de la collection Théâtre Mirlitonesque de Jarry, chacun tiré à 600 exemplaires, ces deux-ci faisant partie des 400 sur vergé. Très bon état
Le club du meilleur livre, 1958. In-8 carré, 185 pp. Plein cartonnage toilé de l'éditeur, premier plat décoré d'après un dessin de l'illustrateur, rhodoïd. Imprimé à 4850 exemplaires numérotés sur papier dit "de boucherie". Rhodoïd un peu défraichi.
Dragée haute n° 4 collection sans date d'édition. in4. Sans date. en feuilles. on y joint d'alfred Jarry : le rabelais en français moderne ( dragée haute n° 3 ) 4 pp tiré a 99 exemplaires Etat correct (EC) couverture salie interieur propre
Cymbalum pataphysicum 1991 in8 a l'italienne. 1991. Broché. 40 pages. Très bon état (TB)
Fasquelle 1955 in12. 1955. broché. 190 pages. Bon Etat intérieur propre
Paris, Mercure de France, 1949. 23,5 x 18,5 cm, 92 pp. Reliure bradel demi-maroquin bleu nuit, plat papier, titre doré, couvertures et dos cons. Bel exemplaire. Édition originale, un des 35 ex. num. sur pur fil Lafuma (second papier après 15 Johannot). Ex-libris de Jean Jacobs.
Livre de poche 1970 poche. 1970. broché. 501 pages. Bon Etat intérieur propre
College de pataphysique 1981 in4. 1981. broché. Bon Etat
Lausanne / guilde du livre 1946 in8. 1946. reliure pleine toile. 251 pages. Bon Etat intérieur propre
Paris, Editions de la Revue Blanche, 1902.Un volume broché (12 x 19 cm) de 249 pages. Sanguine de justification au dos de la page de de titre. Dos recollé avec du scotch, sinon intérieur en bel état.Édition originale. Mention fictive de deuxième mille sur la couverture mais pas sur le titre. Exemplaire du tirage ordinaire. Le tirage de tête ne comprend que 5 Japon et 15 Hollande.
Paris, Victor Lemasle, 1907. Un volume in-12 (12x18,5 cm) broché de 29 pages; Petit manque au bas du dos, sinon bon exemplaire.Édition originale sur papier d'édition de cette plaquette, dernier ouvrage publié du vivant de l'auteur qui n'avait plus que 6 mois à vivre. Le libraire Lemasle, marchand d'autographes du quai Malaquais, n'a publié que cette mince plaquette qui contient un fac similé de 3 pages d'une lettre d'A. Samain.
collection sans date d'édition. 14x21. Sans date. agrafé. 22 pages. Très bon état (TB)
Lausanne / guilde du livre 1946 in8. 1946. Reliure pleine toile. 251 pages. Bon Etat portrait en frontispice
Paris Mercure de France 1898 En feuilles
EDITIONS ORIGINALES des 3 partitions musicales illustrée en couverture de LITHOGRAPHIES originale d'Alfred JARRY. Musique de Claude Terrasse. "La Chanson du decervelage" est bien complet de la feuille supplémentaire qui manque très souvent, pour le chant seul, imprimé sur deux colonnes. (35 x 27 cm). Textes est extraits d'UBU ROI d'Alfred JARRY. Impression par E. Dupré. 4pp. - 8 pp. - 12 pp. > Bel ensemble. Sur les 9 partitions que compte cette série, seuls ces trois titres sont illustrée par Jarry. Très bon 0
Paris, Pierre Seghers, "Poètes d'aujourd'hui", 1951 1 volume 13,4 x 15,6cm Broché sous couverture au 1er plat orné d'un portrait. 219p., 2 + 8 feuillets; quelques illustrations in texte,16 planches hors texte. Couverture défraîchie (caractères d'imprimerie blancs passés), avec petite fente sans manque au 2nd plat; ex-libris manuscrit.
Etude de l'oeuvre d'Alfred Jarry (1873-1907) par l'écrivain et critique Jacques-Henry LEVESQUE (1899-1971) suivie d'un choix de ses textes (poèmes et prose) établi par Henri PARISOT et d'une bibliographie de ses oeuvres aux notices détaillées; illustrations in texte et 16 hors-texte: reproductions de dessins surtout d'Alfred JARRY, mais aussi de F.-A. CAZALS, Albert DÜRER, Lucien LANTIER, PICASSO, et fac-similés d'une lettre autographe d'Alfred JARRY; extrait du catalogue éditeur in fine. 1ère édition (après 35 exemplaires numérotés d'édition originale).
Mercure de France, Paris 1896, 9,5x15,5cm, relié.
Édition originaleillustrée de deux portraits du Père Ubu dessiné par Alfred Jarry. Reliure en demi maroquin fauve à coins, dos quatre nerfs sertis de filets noirs, date dorée en queue, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos (comportant des restaurations) conservés, tête dorée, reliure signéeG. Gauché. Précieux et rare envoi autographe signé d'Alfred Jarry?: «?Exemplaire de Georges Rodenbach.Alfred Jarry.?» Provenance : de la bibliothèque personnelle du PrésidentGeorges Pompidou avec son ex-libris encollé sur un contreplat. «Il a montré qu'on pouvait à la fois aimer Racine et aimer Soulages... Poussin et Max Ernst... Virgile et René Char, et de ce point de vue, il a été exemplaire» (Alain Peyrefitte). Sur les bancs de l'Ecole Normaleet dans la haute administration, la banque et enfin la politique, Georges Pompidou a constitué au sein de sa bibliothèque personnelle une"anthologie" de la littérature française. Ce précieux exemplaire d'Ubu Roi est révélateur de son identité d'homme de lettres, entreclassicisme et avant-garde. Pompidou, dont la formation littéraire imprégna lapensée et ses discours politiques, manifesta et cultiva aux côtés de son épouse Claude un goût pour l'art moderne, le cinéma, mais aussi le théâtre: on le sait adepte de Jules Romains, lecteur de Beckett et grand admirateur de Louis Jouvet. Les arts de la scène lui sont entre autres redevables pour le soutien sans faille qu'il exprima au Théâtre National Populairede Jean Vilar, qui monta justement une nouvelle mise en scène d'Ubu Roi en 1958 au palais de Chaillot. Ce chef d'uvre de Jarry porte également la marque de son célèbre et premier propriétaire, le symboliste belge Georges Rodenbach, «l'un des plus parfaits écrivains des Flandres», qui reçut l'ouvrage enrichi d'un envoi signé de l'auteur, son confrère collaborateur de la Revue blanche. Ils firent tous deux partie de la cohorte des disciples de Stéphane Mallarmé se réunissant chaque mardi auprès du Maître dans son salon de la rue de Rome. Egalement affilié au cénacle des Hydropathes auquel Jarry a activement participé, Rodenbach publie la même année que la parution d'Ubu un de ses plus importants recueils de poèmes, Les vies encloses, inspiré par l'occultisme de Novalis et les romantiques allemands. Jarry se réclamant de Pantagruel comme Rodenbach de Baudelaire, l'un lutta contre l'incompréhension publique, l'autre s'en réjouit: ils évoluèrent aux deux extrémités du spectre mallarméen. Admirable témoin du microcosme bohème parisien littéraire, cet ouvrage de provenance et d'appartenance prestigieuse unit entre ses pages deux grands noms du théâtre avant-gardiste et de la poésie fin-de-siècle : Jarry, le mystificateur sans égal et Rodenbach, le nostalgique poète des vies encloses. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris Mercure de France 1898 En feuilles
EDITION ORIGINALE de cette partition musicale pour piano, illustrée en couverture d'une LITHOGRAPHIE originale d'Alfred JARRY. Musique de Claude. (35 x 27 cm). Le texte est extrait d'Ubu roi. Petites marques en marge de la couverture.12 pp.
Paris Mercure de France 1898 En feuilles
EDITION ORIGINALE de cette partition musicale pour piano illustrée en couverture d'une LITHOGRAPHIE originale d'Alfred JARRY. Musique de Claude Terrasse. (35 x 27 cm). Le texte est extrait d'Ubu roi.12 pp. Très bon 0
Paris : Librairie de France, 1922 - un volume 14x19,2cm broché de 80 pages - bon état -
Numéro spécial sur Alfred Jarry avec un inédit : Conférence pour Ubu-Roi. Guillaume Apollinaire : Feu Alfred Jarry. Jean Saltas : Souvenirs sur Jarry. Fagus : Le Noyé récalcitrant. Alfred Jarry : lettres inédites au docteur Saltas et à Rachilde. Gandilhon Gens-d'Armes : Jarry au lycée Henri IV.
Article destiné à La Revue Blanche [célèbre revue fin-de-siècle des frères Natanson] (numéro 186, du 1er mars 1901) dans lequel Alfred Jarry annonce la publication de la pièce du dramaturge Alfred Capus (1857-1922) intitulée "La Bourse ou la Vie" : …Voici, publiée, cette pièce dont on a constaté partout et ici même à plusieurs reprises le grand et mérité succès. Tous ceux qui lont applaudie au théâtre du Gymnase voudront savourer à loisir la cause de leur joie, et ceux qui par quelque hasard ny assistèrent point répareront leur absence. Cette œuvre dexcellent théâtre trouvera de fervents lecteurs jusque chez ceux qui haïssent le théâtre : ils sapercevront que le théâtre publié, au moins celui dAlfred Capus, est encore le plus merveilleux roman de mœurs. Cest un roman doù lauteur a élagué tout ce qui empêtrerait la vie légère et humaine de ses personnages, et doù il sest efforcé lui-même, si cest seffacer que ne laisser que son esprit. Nous avions déjà rencontré danalogues héros dans un roman récent de M. Capus : avec un [art] sans pareil il les a entièrement transposés ; car ces chères fripouilles qui nous confient, dans le tête-à-tête de la lecture, leurs amusantes canailleries des canailleries de tout premier ordre, dirait le financier Brassac se manifesteraient au théâtre un peu trop cyniquement vilaines. Il y a là du monde qui les regarde, - il y a même beaucoup de monde au Gymnase […] Ne soyons pas moins spirituels, que les très spirituelles créatures de M. Capus, en leur demandant ce quelles feraient sil ny avait personne…La collaboration de Jarry ne devint régulière à La Revue blanche quà partir du 1er juillet 1900, lorsque débuta la parution, en feuilleton, de Messaline. À partir de ce numéro (n°170), et à une exception près jusquau dernier, Jarry fournit à cette revue des textes abondants et variés : notes de lecture, critiques théâtrales, poèmes, extrait de roman (« La Bataille de Morsang ») et, surtout, ses « Gestes » et « Spéculations ». Henri Avenel écrivait en 1901 que La Revue blanche était « un des périodiques les plus lus de lEurope littéraire » [La Presse Française au vingtième siècle, préf. de Jules Claretie, Flammarion, p. 384].
Revue n° 623/24, Paris, éd. Centre National des Lettres, marc et avril 1981, in-8, br., couv. ill. en noir d' Alfred Jarry avec texte en vert et noir éd., 352 pp., dessins et reproductions de documents en noir, 1 dessin de Wolinsky sur la 3e de couv., bibliographie, Très belle revue consacrée à Alfred Jarry, Ubu et à la 'Pataphysique avec des textes de Thieri Foulc, Patrick Besnier, Catherine Stehlin, Noël Arnaud, Henri Bordillon, Brunella Eruli, Henri Behar, Ruy Launoir et bien d'autres. Très RARE. Très bon état
Paris, Librairie Epigramme - La Société des Amis d'Alfred Jarry, 1988, 1 carton de 10,5 x 14,8 cm, texte en noir sur fond blanc éd., au verso le cachet en violet de la Société des Amis d'Alfred Jarry, Carton d'invitation avec le concours de la Revue l'Etoile Absinthe. Très bon état
S.n. [Journal des débats], s.l. [Paris] s.d. (1944), 13,5x21,5cm & 2 pages in-4, 2 1/2 pages in-8.
Manuscrit autographe de l'auteur de 2 pages et demie in-8 publié dans le numéro du 13 avril 1944 du Journal des Débats. Manuscrit recto-verso complet, à l'écriture très dense, comportant de nombreux ratures, corrections et ajouts. On joint le tapuscrit signé complet. Chronique parue à l'occasion de la publication du roman posthume de Jarry, La Dragonne. Dans cette chronique consacrée à Alfred Jarry et au Père Ubu, Maurice Blanchot s'intéresse à la confusion de l'un avec l'autre et à ses conséquences: «[...] on peut penser que Jarry, en s'entêtant à être le Père Ubu, a pendant sa vie gaspillé une partie de ses ressources d'écrivain et après sa mort égaré le jugement littéraire sur sa véritable valeur.» Pourtant, cette confusion témoigne de la cohérence de l'auteur: «Chez Jarry, le choix d'un masque aussi peu flatteur a un sens fort clair. Il y a d'abord une volonté de mettre à mal tout sérieux et particulièrement cette volonté même; il n'est pas question de tracer des frontières au ridicule; on rit d'abord de soi, on en rit parce que ce rire n'est qu'un écho du vide. Et puis ce double grotesque que l'auteur revendique comme une représentation dont il est fier, affirme sa complicité, pleine de défi, avec les travers qu'il caricature.» La Dragonne, dernière uvre du père d'Ubu que Gallimard publie alors, étonnera donc Blanchot pour «le sérieux avec lequel Jarry a accepté son métier de romancier», qui louera également «les soudains mouvements d'imagination poétique qui dérangent le plan». Unique texte monographique consacré par Blanchot à Jarry. Entre avril 1941 et août 1944, Maurice Blanchot publia dans la "Chronique de la vie intellectuelle" du Journal des Débats 173 articles sur les livres récemment parus. Dans une demi-page de journal (soit environ sept pages in-8), le jeune auteur de "Thomas l'obscur" fait ses premiers pas dans le domaine de la critique littéraire et inaugure ainsi une oeuvre théorique qu'il développera plus tard dans ces nombreux essais, de "La Part du feu" à "L'Entretien infini" et "L'Écriture du désastre". Dès les premiers articles, Blanchot fait preuve d'une acuité d'analyse dépassant largement l'actualité littéraire qui en motive l'écriture. Oscillant entre classiques et modernes, écrivains de premier ordre et romanciers mineurs, il pose, dans ses chroniques, les fondements d'une pensée critique qui marquera la seconde partie du XXe. Transformé par l'écriture et par la guerre, Blanchot rompt, au fil d'une pensée exercée "au nom de l'autre", avec les violentes certitudes maurassiennes de sa jeunesse. Non sans paradoxe, il transforme alors la critique littéraire en acte philosophique de résistance intellectuelle à la barbarie au cur même d'un journal "ouvertement maréchaliste": "Brûler un livre, en écrire, sont les deux actes entre lesquels la culture inscrit ses oscillations contraires" (Le Livre, In Journal des Débats, 20 janvier 1943). En 2007, les Cahiers de la NRF réunissent sous la direction de Christophe Bident toutes les chroniques littéraires non encore publiées en volumes avec cette pertinente analyse du travail critique de Blanchot : "romans, poèmes, essais donnent lieu à une réflexion singulière, toujours plus sûre de sa propre rhétorique, livrée davantage à l'écho de l'impossible ou aux sirènes de la disparition. (...) Non sans contradictions ni pas de côté, et dans la certitude fiévreuse d'une uvre qui commence (...) ces articles révèlent la généalogie d'un critique qui a transformé l'occasion de la chronique en nécessité de la pensée." (C. Bident). Les manuscrits autographes de Maurice Blanchot sont d'une grande rareté. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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