Paris Editions René Kieffer 1921 1 in-8 plein-maroquin un volume, reliure plein maroquin violet grand in-octavo (avec étui de protection bordé de maroquin violet (20,6 x 27,8 cm), Reliure d'Epoque signée "René Kieffer", dos à trois faux-nerfs (spine with raised bands), decorations "or" et à filets et roulettes mates, titre frappé "or" (gilt title) avec un filet mate de part et d'autre du titre, entre-nerfs a grand motif floral "roses" "mate" avec une série de 4 roulettes "mate" + un filet mate de part et d'autre, dos et etui bordé légèrement insolés, plats décorés à froid d'un grand décor floral de "roses" mate, filet "mate" sur les coupes (blind-stamping line on the cuts), tête lisse dorée (gilt top edge), double filets mat sur les chasses (double blind-stamping line decoration on the turn-ins), marque-page en tissu (bookmark in tissue), dos première et quatrième couverture illustrée en couleurs par J. B. Vettiner conservés (spine front and back cover of the preserved paperback edition), Exemplaire numéroté, Tirage limité à 500 exemplaires, un des 50 exemplaires de tête sur Japon Impérial (N°43) avec un dessin original en noir par J. B. Vettiner (One of 50 copies of the leading print on Japan Imperial (No. 43) with an original black drawing by J. B. Vettiner), Ouvrage orné d'en-têtes, de culs-de-lampe et d'illustrations dans le texte en couleurs (aquarellés à la main) + un dessin Original en noir en tout début d'ouvrage de J.-B. VETTINER, 78 pages, 1921 Paris, Editions René Kieffer Editeurs,
''Edition estimée''. (in Carteret). Il recèle - ici en premier tirage - les charmantes compositions en couleurs de Jean-Baptiste Vettiner. ''A qui l'on doit des illustrations gravées sur bois pour l'éditeur parisien René Kieffer et pour Le Cercle lyonnais du livre''. (in Osterwalder, citant la présente contribution de l'artiste). ''Vettiner a illustré A l'amie perdue d'Auguste Angellier, Almaîde d'Étremont et Géorgiques chrétiennes de Jammes ainsi que Ramuntcho de Pierre Loti''. (in Bénézit). ''Pourquoi, et par quel mystère, es-tu, Almaïde, t'asseoir à mon côté. Dis-moi pourquoi ta grâce antique et tes noirs repentirs me troublent et me rappellent un orage lointain ? Et pourquoi, seul, je t'aperçois dans le passé ? Et pourquoi je souffre tant, lorsque, de tes yeux d'ombre à jamais enfoncés dans les miens, tu sembles me reprocher, avec une amertume et un amour immenses, une faute que je ne connais point ?'' Mahé, Répertoire des éditions de luxe, p. 245 - Osterwalder II, Dictionnaire des illustrateurs, p. 1214 - Carteret IV, Le Trésor du bibliophile / Illustrés modernes, p. 215 - Bénézit X, Dictionnaire des peintres, p. 484........SUPERBE RELIURE SIGNEE DE René KIEFFER ......................Très bel exemplaire, en bel état de fraîcheur (very good condition). parfait état
Paris Editions René Kieffer 1921 In-4° (274 x 211 mm), 78 pp., maroquin brun, dos lisse, décor doré à la plaque sur les plats, contregardes et gardes de papier marbré, double filet intérieur avec fleurons en écoinçons, tête dorée, couvertures et dos conservés, étui bordé (reliure signée RENÉ KIEFFER au contreplat supérieur et avec son étiquette estampée sur la première garde blanche).
Les « jeunes filles » enfin chez René Kieffer. Exemplaire sur Japon Impérial, non numéroté, portant la mention autographe signée « Réservé à ma bibliothèque personnelle / René Kieffer », à l'instar des 50 exemplaires du tirage de tête. Suivent 450 sur vélin de cuve, pour un total de 500 exemplaires numérotés.Il est revêtu d'une reliure éditeur « luxe » présentant un décor à la plaque dessiné par Vettiner montrant une jeune fille à son balcon, différent du décor floral de la reliure éditeur. Ce roman de Francis Jammes fait suite à Clara d'Ellebeuse et Pomme d'Anis, publiés au Mercure de France sous la direction de Kieffer ; Almaïde d'Etremont, dernier volume de la « trilogie des jeunes filles », est le premier à paraître sous son nom. Robert Burnand, dans « Quelques beaux livres de l'année », (Byblis, hiver 1924, p. 137-138), cite Almaïde d'Étremont comme une édition « hors pair ». L'ouvrage est illustré de 44 vignettes au trait de Jean Baptiste Vettiner, imprimées en violet et mises en couleurs au pochoir. Peintre et graveur d'origine bordelaise, Jean-Batiste Vettiner (1871-1935), découvert comme illustrateur par Kieffer, avait déjà contribué à une édition de Francis Jammes : Les Géorgiques Chrétiennes (René Kieffer, 1920). Il travaillera par la suite, toujours pour Kieffer, aux Pastorales de Théocrite (1923). Mais là où l'illustration des Géorgiques chrétiennes et des Pastorales, constituée de bois gravés, se concentre sur la représentation de la nature, l'illustration au trait d'Almaïde met surtout en valeur les costumes de la belle époque. Récompensé par le Grand Prix d'Honneur au Salon des arts décoratifs de 1923, Vettiner collaborera, avec l'architecte Raoul Jourde, à la conception du pavillon de la ville de Bordeaux pour l'exposition coloniale de Paris. Monod 6323 ; Sanjuan 24 (cet exemplaire reproduit pl. LIII). Dos insolé
Paris René Kieffer 1920 In-4° (264 x 182 mm), 244 pp. - [3] ff. - [1] f. bl. - [62] pl., couverture illustrée rempliée.
Pour les pieux exercices de Madame Kieffer. Exemplaire sur Japon, non numéroté, portant à la justification la mention autographe « Réservé / à Madame Kieffer / René Kieffer ». Il est agrémenté d'une suite sur Chine, à l'instar du second grand papier, après 10 exemplaires sur Vieux Japon à la forme. Suivent 500 sur vélin teinté, pour un tirage de 550 exemplaires numérotés. L'édition est illustrée de 61 vignettes par Jean-Baptiste Vettiner, désignées comme « bois » mais vraisemblablement reproduites par galvanoplastie. Le bordelais Jean-Baptiste Vettiner (1871-1935), spécialiste des sujets champêtres, illustrera dans le même style, pour les compte des éditions Kieffer, Les Pastorales de Théocrite (1923). Son travail sur Almaïde d'Étremont, autre ouvrage de Francis Jammes publié chez Kieffer en 1924, est en revanche plus centré sur le costume d'époque que sur le paysage. Récompensé par le Grand Prix d'Honneur au Salon des arts décoratifs de 1923, Vettiner collaborera, avec l'architecte Raoul Jourde, à la conception du pavillon de la ville de Bordeaux pour l'exposition coloniale de Paris. Dans ce poème couronné par l'Académie Française, Jammes à l'instar de Virgile célèbre les travaux des champs ; nouvellement converti, il réimagine les vers du poète latin à travers le prisme d'une spiritualité catholique, et situe l'action dans le sud-ouest pyrénéen. Monod 6336 ; Sanjuan 16. Dos et pourtours insolés, rares rousseurs à quelques feuillets de la suite sur chine