Plon / Feux croisés 1996 15 5cm x 24 0cm x 2 5cm. 1996. broché. 269 pages. Le regard acéré et la plume ironique de James Lord lui ont valu outre Atlantique une réputation incontestable de portraitiste en particulier grâce à son remarquable Picasso and Dora salué par The New York Times Book Review comme une "véritable oeuvre littéraire". James Lord dépeint ici avec un talent irrésistible cinq femmes à la personnalité exceptionnelle qui l'ont profondément marqué. Il y a d'abord Alice B. Toklas figure énigmatique. captivante qui a consacré sa vie à celle de Gertrude Stein ; Arletty cette prestigieuse actrice célébrée par tous à qui il ne fut pourtant jamais pardonné d'avoir aimé un officier allemand pendant la guerre; Marie-Laure de Noailles dite la mère Ubu qui osa faire fi des convenances de son époque et se révéla un amateur d'art éclairé; Louise Bennett Lord enfin sa mère avec laquelle il entretint une admirable relation filiale faite de délicatesse et d'aveux a demi exprimés.Dans le Paris brillant de l'après-guerre James Lord nous offre des tranches de vie souvent piquantes où se croisent les célébrités de l'époque Picasso et Giacometti Max Ernst et Balthus parmi tant d'autres Bon Etat
Calmann levy 1954 in8. 1954. reliure demi-basane. 219 pages. Bon état (BE) interieur propre petit accroc à la reliure
Wordsworth Editions Ltd 2001 13x19x2cm. 2001. Broché. 368 pages. Bon Etat intérieur propre
10x18 / Domaine étranger 1992 10 9cm x 17 7cm x 1 9cm. 1992. broché. 287 pages. L'automne à Florence est la suite des Heures italiennes publiées en 1909 par Henry James et qui rassemblaient les impressions nées des trois séjours du grand écrivain en Italie. Cette Italie qui avec son poids d'histoire de beauté et d'art de vivre a toujours été pour le père de Daisy Miller le grand lieu de référence fascinant et achevé Bon Etat intérieur propre
Fayard 1998 13 6cm x 21 5cm x 3 0cm. 1998. Broché. 468 pages. Dans le cercle feutré des hommes (et des femmes) de loi qui opèrent dans les Chambers de Londres (grands complexes de cabinets d'avocats) Venetia Aldridge une avocate de talent au caractère bien trempé fait acquitter un certain Garry Ashe accusé sans doute à raison d'être le meurtrier de sa tante. Mais quelle n'est pas sa stupéfaction lorsque quelques jours plus tard sa propre fille Octavia lui annonce son intention d'épouser... Garry Ashe ! C'est le début pour Venetia d'une succession d'angoisses qui iront en empirant jusqu'au jour où on la retrouve assassinée avec une perruque de juge sur la tête et baignant dans un sang qui n'est pas le sien... Beaucoup parmi son entourage ne peuvent que se réjouir de sa disparition : son collègue Drysdale Laud qu'elle menaçait de supplanter à la direction des Chambers ; harold Naughton le secrétaire dont elle ne souhaitait pas voir prolonger les services au-delà de l'âge (très proche) de la retraite ; Simon Costello un jeune confrère ambitieux dont elle avait promis qu'elle révélerait une tractation louche survenue quatre ans plus tôt ; son amant le député Mark Rawlstone qui souhaitait mettre un terme à leur liaison afin de mener une vie plus conforme à une réussite politique ; Garry Ashe enfin dont elle souhaitait empêcher le mariage avec sa fille. Autant de suspects que devra prendre en compte le commandant Dalgliesh secondé par la fidèle Kate qui fait désormais équipe avec Piers un très beau jeune homme plus désinvolte et plus cynique qu'elle. Très vite l'arme du crime est retrouvée - un coupe-papier ayant appartenu à Venetia - et le sang identifié comme celui qu'un autre avocat Desmond d'Ulrick avait mis de côté dans son réfrigérateur en vue d'une petite opération...Outre une intrigue magistralement construite P. D. James nous offre dans ce quinzième roman une analyse approfondie des mécanismes de la justice - de ses limites de ses ambivalences - sans se départir de la précision et du sens psychologique auxquels elle nous a habitués Bon Etat
J'ai lu / J'ai lu aventure secrète 2000 poche. 2000. Broché. 251 pages. Pour la première fois dans l'histoire humaine les découvertes scientifiques et les expériences spirituelles convergent pour nous offrir une vision différente de notre évolution.Si l'univers était en réalité un heu intelligent et multidimensionnel où les hommes se laisseraient guider par leur intuition et les coïncidences ? Une sensibilité nouvelle au monde et aux autres pourrait ainsi transformer de l'intérieur la vie la famille et les institutions. Prières groupes d'entraide rêves synchronicités... James Redfield montre concrètement comment libérer notre potentiel intérieur et contribuer ainsi au bien-être collectif.Un livre d'avant-garde pour participer à la fabuleuse évolution de la planète et relever les défis du troisième millénaire Bon Etat
10/18 1999 poche. 1999. broché. 398 pages. Ce que savait Maisie est un tour de force à peu près inégalé dans l'histoire du roman : les drames d'un groupe d'adultes y sont reconstruits sans autres matériaux que des valeurs enfantines. Mais le lecteur demande au romancier plus qu'un tour de force. L'art doit être dur comme fer disait Henry James qui soutenait qu'en toute grande oeuvre on doit découvrir quelque fil conducteur secret tissé parmi ceux du dessin apparent une image dans le tapis Bon Etat
Rivages / Rivages noir n° 638 2013 poche. 2013. Broché. 439 pages. Elle s'appelait Mae Robicheaux n?Guillory. Elle avait quitt?on foyer pour fuir un mari alcoolique alors que son fils n'?it encore qu'un gamin. Elle ?it devenue serveuse dans une bo? de Purple Cane Road et un jour avait trouv?a mort ?uelques kilom?es de l?dans des circonstances jamais ?aircies. C'est le meurtre d'un petit maquereau nomm?ipper Clum qui fait remonter toute l'histoire ?a surface et c'est ainsi que Dave Robicheaux se met en qu? des assassins de sa m?. Emouvante plong?dans le pass?u personnage f?che de James Lee Burke Purple Cane Road est l'un des chefs-d'?uvre de l'auteur Très Bon Etat
10x18 1999 poche. 1999. broché. 398 pages. Ce que savait Maisie est un tour de force à peu près inégalé dans l'histoire du roman : les drames d'un groupe d'adultes y sont reconstruits sans autres matériaux que des valeurs enfantines. Mais le lecteur demande au romancier plus qu'un tour de force. L'art doit être dur comme fer disait Henry James qui soutenait qu'en toute grande oeuvre on doit découvrir quelque fil conducteur secret tissé parmi ceux du dessin apparent une image dans le tapis Bon Etat intérieur propre
James Guitet, Notes, illustré d’une gravure rehaussée à la gouache signée par James Guitet, Sauveterre-du-Gard, Éditions La Balance, 11 avril 1990, in-8 carré, 11x11cm, couverture titrée à rabats, sur beau papier vélin d’Arches. V exemplaires nominatifs avec deux épreuves de la gravure rehaussés à la gouache ; 30 et 2 exemplaires avec une gravure, rehaussée à la gouache, de James Guitet. Pour le plaisir de quelques amis et aux dépens d’un amateur. Exemplaire 18/30 justifié au crayon au colophon et signé par l’auteur/artiste sous la gravure. « Mon art n’est pas ma vie, mais plus loin avant, jusqu’à la nuit des temps. . Retrouver l’enfance à travers le savoir. . Non pas ce que l’oeuvre donner à voir, mais ce que par le voir elle me donne à connaître. . L’art est toujours condamné à l’innovation car il est la première et la dernière occasions saisies dans l’instant. C’est l’unique. » Très bel ouvrage réalisé dans le goût des livres de Pierre André Benoit. James Guitet a publié de nombreux livres aux éditions PAB entre 1984 et 1993, sur 1 texte de Jean-Pierre Geay et tous les autres de Pierre André Benoit : Le Vide (1984) ; Champ levé avec Jean-Pierre Geay (1984) ; L'Entrevu, Ce qui vient et Grignoté avec Pierre André Benoit (1985) ; L'Azur reflété avec Pierre André Benoit (1986) ; Quoi, L'Appel du carré et La Victoire avec Pierre André Benoit (1987) ; L'Unique avec Pierre André Benoit (1989) ; Saisir l'invisible avec Pierre André Benoit (1991) ; Geste sacré avec Pierre André Benoit (1992) ; Froissures avec PAB (1993). James Guitet a également contribué à deux reprises aux Dimanches de Rivières. L'artiste a également été exposé au Musée PAB du vivant de Pierre André Benoit en 1989, avec publication d'un catalogue. Très bel exemplaire. Aucun défaut. * ** Né à Nantes en 1925 et décédé en 2010, James Guitet rencontre en 1943 le critique Michel Ragon avec lequel il noue une solide et toujours vivante amitié. Animé par la recherche patiente d'un absolu, d'une pureté formelle et spirituelle, James Guitet a mené son œuvre d'une abstraction naturaliste où subsistait le souvenir des paysages de Loire vers une approche plus minimaliste. James Guitet appartient à la deuxième vague de l'abstraction lyrique et a exposé à ce titre à la Galerie Arnaud dès 1955, avant Martin Barré, originaire comme lui de Nantes. Il est aussi graveur et a obtenu le Prix David Bright pour les arts graphiques lors de la Biennale de Venise en 1962. Il a pratiqué aussi la recherche architecturale et la tapisserie. Il a attaché beaucoup d'importance à l'enseignement qu'il a pratiqué longtemps. Pierre Cabanne écrivait en 1977 à propos de l'œuvre de Guitet: « Il y a dans ses toiles une qualité de silence, une densité, un poids de sève et de peau qui contrastent avec le tumulte, la hâte ou le choc de tant d'autres artistes de sa génération chez qui le geste n'a d'autre signification que l'éphémère, concrétisation d'une vaine révolte ; chez Guitet, la recherche de l'équilibre dans le tableau est la condition et l'aboutissement du sien propre ; il ne court pas après le temps ; il en fixe et motive le cours à travers les étapes d'une œuvre et d'une pensée dont l'accord n'a cessé d'être de plus en plus intime ». En 2000, Michel Ragon renchérissait : « Cet artiste discret, en dehors du tumulte des modes, a toujours aspiré au silence. Peut-on parler de silence à propos de la peinture ? Evidemment puisque, on le sait, certaines peintures crient et que d'autres, même, braillent. L'œuvre de Guitet est aux antipodes de cet art pathologique. » Les œuvres de James Guitet figurent dans de nombreuses collections publiques notamment en France au Musée des Beaux-Arts de Nantes, au Musée National d'Art moderne, au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, au Musée Cantini de Marseille, au Musée des Augustins de Toulouse.
with and introductory chapter bythe right hon. Charles James Fox reliure cartonnée, 30x20, beau papier, bel état intérieur, complet de son frontispice, 273pp + fragments et appendice, dont correspondance entre Louis XIV et Barillon entre 1684 et 1685, etc.. London, printed for William Miller, 1808. Edition Originale. "History of the Early Part of the Reign of James the Second" is a historical work written by Charles James Fox, a prominent British statesman and politician of the late 18th century. The book was published posthumously in 1808 and focuses on the early years of the reign of James II of England, who ruled from 1685 to 1688. In this work, Fox provides a detailed account of the political and religious developments during James II's reign. He examines the policies and actions of the king, including his attempts to strengthen Catholicism in England and his clashes with Protestantism and Parliament. Fox also discusses the controversies surrounding James II's attempts to expand his royal prerogative and his strained relationship with the English nobility and the Church of England. Fox's "History of the Early Part of the Reign of James the Second" offers a critical perspective on the reign of James II and the events leading up to the Glorious Revolution of 1688. It provides insights into the political, religious, and constitutional issues of the time, as well as the broader implications for the balance of power between the monarchy and Parliament. The book is regarded as an important historical account and a valuable source for understanding the political and religious conflicts of 17th-century England.
" undertaken by the command of his majesty, for making discoveries in the Northern Hemisphere. Performed under the direction of captains Cook, Clerke and Gore, in his majesty's ships the Resolution and Discovery; in the years 1776, 1777, 1779, and 1780. IN THREE VOLUMES : Volume 1- 3; Vol. I and II written by Captain James Cook; Published by Order of the Lords Commissioners of the Admiralty, Vol. III by Captain James King . Second edition."
Ces trois livres sont brochés , ils sont à relier , un manque de pages de garde sur un tome ,beaucoup de cartes et croquis , photos sur demande
ChezPigoreau, Paris 1817, 9,5x16cm, 4 volumes reliés.
Édition originale d'une insigne rareté, avec une nouvelle page de titre à l'adresse de Pigoreau et enrichie de quatre frontispices rehaussés en couleur, dont un dépliant. Reliures de l'époque en demi basane blonde, dos lisses ornés de fers et filets dorés et de pièces de titre et de tomaisons de maroquin rouge, plats de papier à la cuve. Un infime trou de ver en queue du premier tome, dont le mors de tête du plat supérieur est très légèrement fendu. Ce long roman, maquillé en recueil érotique, est en réalité l'un des plus importants textes féministes du début du XIXè siècle. Malgré une aventure éditoriale chaotique et fortement entravée par la censure, cette uvre d'un jeune Anglais, se réclamant de Mary Wollstonecraft, exercera une influence considérable sur quelques-uns de plus éminents esprits européens, dont Percy et Mary Shelley, Goethe, Schiller, Aaron Burr, Thomas Carlyle et Flora Tristan. Bien que parue en trois versions, allemande, française et anglaise, chacune étant une réécriture complète de l'ouvrage par l'auteur polyglotte, cette uvre majeure et subversive fut très rapidement supprimée des catalogues de librairie, et son auteur disparut de l'histoire littéraire de 1840 à la fin des années 1970. «?Aujourd'hui, après avoir été longtemps connu des seuls spécialistes de Shelley, Lawrence commence à bénéficier d'une visibilité au sein des travaux sur le radicalisme anglais. [...] Il figure en bonne place parmi les radicaux féministes anglais des années 1790 et [...] est considéré comme l'un des précurseurs, avec Shelley et Owen, de la lutte contre le mariage et pour la réforme sexuelle.?» (Anne Verjus, Une société sans pères peut-elle être féministe?? L'Empire des Nairs de James H. Lawrence.) Malgré la douzaine de rééditions parues au XIXè siècle, nous n'en avons trouvé aucune sur le marché international. Lawrence est à peine âgé de dix-huit ans lorsqu'il rédige «?un premier essai sur le «?système?» des Nairs, une société matrilinéaire située sur la côte de Malabar, en Inde, dans laquelle le mariage et la paternité ont été abolis. Le jeune universitaire adjoint à sa présentation une critique sévère des pratiques sexuelles et matrimoniales de ses contemporains. Un de ses professeurs communique le manuscrit à Christoph Wieland, éditeur de la revue Der Neue Teutsche Merkur. Après l'avoir encouragé à le traduire en allemand, celui que l'on nomme le «?Voltaire allemand?» l'édite (anonymement) dans sa revue en juin 1793, à Weimar. Le texte est aussitôt traduit par le groupe des radicaux du Newgate, qui le publient sans son aval et sans nom d'auteur une première fois en 1794, puis avec son nom en 1800.?» Enthousiasmé par le succès d'estime rencontré par son essai, James Lawrence compose en 1800 une première version romanesque illustrant ses thèses. À la lecture du manuscrit, Schiller l'aurait incité à la réécrire en allemand. C'est donc dans cette langue que paraît, en 1801, la première version du roman sous le titre Das Paradies der Liebe puis en 1809, sous un nouveau titre?: Das Reich der Nairen or Das Paradies der Liebe. Présent en France en 1803, James Lawrence est fait prisonnier comme la plupart des Anglais, puis est détenu à Verdun pendant plusieurs années. C'est dans ces circonstances qu'il entame la réécriture complète de son roman directement en français. Il l'intitule L'Empire des Nairs, ou Le Paradis de l'amour et le fait publier, en 1807, par Maradan, l'éditeur de Wollstonecraft et de Hays. À peine sorti de presse, l'ouvrage, considéré comme «?attentatoire aux bonnes murs?», est saisi par la police. Les exemplaires sont restitués sous la condition qu'on exporterait l'édition entière. L'ouvrage est alors diffusé en Allemagne et en Autriche où il a pour ambassadeur Johann Wolfgang von Goethe, dont Lawrence fit la connaissance en 1799, lorsque le poète romantique l'invita à Weimar pour la représentation du Mahomet de Voltaire. Dans son recueil de souvenirs, Frédéric Soret rapportera la critique de Goethe sur l'ouvrage de son ami?: «?C'est selon Goethe le travail d'un fou de beaucoup d'esprit et il ferait beaucoup plus de cas des écrits de Lawrence, si sa manière d'envisager les rapports entre les sexes n'était pas devenue chez lui une espèce d'idée fixe.?» (Soret, Conversations avec Goethe, 1932) L'amitié entre les deux hommes ne sera pas affectée par cette «?obsession?» et dans une lettre de 1829 à Thomas Carlyle, Goethe évoque encore Lawrence, comme étant «?un ami de longue date?». Goethe fut par ailleurs le commanditaire du seul portrait de J. Lawrence, réalisé à la demande du philosophe par Johann Joseph Schmeller. La première version anglaise, «?translated, with considerable alterations, by the author?» paraît à Londres en 1811 avec un titre bien plus explicite que la version française?: The Empire of the Nairs; or, The Rights of Women. An Utopian Romance, in Twelve Books. Elle sera rééditée en 1824 avec un nouveau titre?: The Empire of the Nairs; or, the Panorama of Love, Enlivened with the Intrigues of Several Crowned Heads; And with Anecdotes of Courts, Brothels, Convents, and Seraglios; The Whole Forming a Picture of Gallantry, Seduction, Prostitution, Marriage, And Divorce in All Parts of the World. En France, ce n'est qu'en 1814, après la chute de Napoléon, que Maradan est autorisé à écouler ses exemplaires rapatriés de l'étranger, dont il remplace la page de titre, précisant toutefois en pied, la date de l'achevé d'imprimer de 1807 (erronément imprimé «?1087?»). Même après la levée de la censure, la diffusion fut si modeste qu'aujourd'hui, il ne subsiste aucun exemplaire à la date de 1807, et seulement quelques rares 1814 dans les grandes institutions européennes et américaines. De fait, en 1817, Pigoreau, l'héritier de Maradan, détient encore suffisamment d'exemplaires pour envisager une nouvelle remise en vente. (Quérard annonce 1816, mais il s'agit manifestement d'une erreur) Il décide pour cela d'utiliser une ruse. Reprenant les exemplaires originaux de 1807, il change à nouveau la page de titre et la remplace cette fois par un titre très suggestif?: Le Panorama des boudoirs qu'il illustre en frontispices de quatre gravures érotiques superbement rehaussées en couleur, insinuant ainsi une tout autre littérature. L'édition originale française parut donc sous trois pages de titre distinctes en 1807, 1814 et 1817. Après une interdiction, une expatriation, une première remise en vente, ce n'est qu'au prix de cet ultime subterfuge que furent écoulés les derniers exemplaires de cet ouvrage trop progressiste. Cette idée sera d'ailleurs déclinée sous plusieurs formes puisqu'en 1831 le Baron d'Hénin publie une refonte du texte en 16 pages, avec un titre aux accents religieux?: Les Enfants de Dieu ou La Religion de Jésus réconciliée avec la philosophie (il annonce d'ailleurs dans la préface que des exemplaires de l'édition originale sont toujours disponibles). Puis, en 1837, le roman est à nouveau modifié par l'auteur et paraît cette fois sous un titre de vaudeville?: Plus de maris?! plus de pères?! ou Le Paradis des enfants de Dieu. En cinquante ans, cet ouvrage multiforme connait au moins sept parutions en français - et une douzaine dans les trois langues. Cependant, nous n'avons pu référencer que deux exemplaires passés en vente de l'édition française (une de 1814 et une de 1817), présentés comme des ouvrages érotiques à la suite de la notice fautive de la Bibliographie des ouvrages relatifs à l'amour de Gay-Lemonnyer. Ces péripéties éditoriales autant que la disparition quasi complète des exemplaires et l'effacement de l'auteur de l'histoire littéraire témoignent des obstacles dressés devant l'émergence d'une conscience qui allait devenir l'enjeu des siècles à venir?: la lutte nécessaire et toujours inachevée pour l'égalité et le droit des femmes. Si la France choisit d'interdire tout simplement l'ouvrage en invoquant son immoralité et le danger qu'il représente pour les lecteurs français, l'Angleterre, déjà aux prises avec les écrits de Mary Wollstonecraft, autorise la publication de ce nouveau brûlot, mais déchaîne la critique. En 1811, «?The Critical Review lui consacre plusieurs pages mordantes, s'attendant à ce que ses lecteurs, et surtout ses lectrices, rejettent avec «?dégoût et indignation?» un texte aussi «?absurde, improbable, indécent, immoral et seulement bon pour le feu?» (Anne Verjus, ibid.). Ainsi, grâce à ces manuvres, l'ouvrage passera à peu près inaperçu du grand public, malgré une diffusion internationale. La circulation du roman de Lawrence sera donc confidentielle, mais son influence sera pourtant majeure dans les milieux intellectuels progressistes. Le premier converti est sans doute le gendre de Mary Wollstonecraft, le poète Percy Shelley. Une partie de son uvre, en particulier Queen Mab (1813), Laon and Cythna (1817) et Rosalind and Helen (1819), serait inspirée de cette apologie de l'amour libre et même plus particulièrement de quelques scènes du roman. Peut-être en conseille-t-il la lecture à sa nouvelle conquête et future épouse, la très jeune Mary Godwin Wollstonecraft qui cite l'uvre dans son journal du 27 septembre 1814 et dans sa liste de lecture de 1814, c'est-à-dire juste après sa rencontre avec Percy Shelley. Loin de partager l'enthousiasme de son jeune compagnon, la jeune fille de 17 ans se révèle très critique envers l'ouvrage de James Lawrence. La future Mary Shelley n'est pas moins profondément bouleversée par ce roman qui aura une importance majeure dans l'écriture de son chef-d'uvre, Frankenstein. Dans son étude, The «?Paradise of the Mothersons?»?: «?Frankenstein?» and «?The Empire of the Nairs.?», publiée dans The Journal of English and Germanic Philology, (1996), D.S. Neff analyse l'influence de James Lawrence sur Mary Shelley et montre «?qu'une lecture attentive des deux romans révèle même que Mary a emprunté plusieurs éléments d'intrigues (key plot) et thématiques aux Nairs. Elle s'est néanmoins sentie obligée d'écrire un anti-Nairs, une monstrueuse parodie de la romance de Lawrence tandis que Percy Shelley utilisait les Nairs comme source d'inspiration de ses poèmes composés durant l'écriture de Frankenstein.?» Anne Verjus, pour sa part, relate les nombreux autres effets de cette publication?: «?L'Américain Aaron Burr, héros de la guerre d'indépendance, concurrent de Jefferson lors de l'élection présidentielle de 1800, admirateur lui aussi des principes éducatifs de Wollstonecraft, raconte dans son journal de voyage que, lors de son séjour à Londres, il s'est fait prêter le livre par son ami [le philosophe William] Godwin, [père de Mary Shelley et ami de Lawrence depuis 1796]. Après avoir passé deux nuits à le lire, il s'est rendu au domicile de Lawrence pour en discuter, concluant qu'ils seront certainement amenés à se revoir. Lawrence, flatté d'une visite aussi prestigieuse, raconte que l'Américain l'a invité à retourner avec lui aux États-Unis pour y établir une république nairaise. En revanche, Burr l'ayant recommandé à son amie Mme Thorpe, se voit répondre que, même si elle admire la libéralité de ses idées sur l'éducation des femmes, c'est là un «?abominable?» système et que certainement personne ne voudra de tels droits pour les femmes. Quelques années plus tard, à la toute fin de l'année 1828, Le Lion de Richard Carlile publie de larges extraits de l'introduction à l'Empire des Nairs. D'après les spécialistes de Carlile, celui-ci aurait lu L'Empire des Nairs bien avant d'en publier ces extraits. Beaucoup de détails laissent penser que Richard Carlyle s'est inspiré de Lawrence en écrivant son livre Every Woman's book en 1826.?» Enfin, c'est sans doute sur les féministes saint-simoniennes que James Lawrence exercera la plus grande influence, laissant dans leurs écrits de nombreuses traces relevées par Anne Verjus. Ainsi en 1832, Suzanne Voilquin décrit longuement L'Empire des Nairs dans L'Apostolat des femmes; en 1833, Claire Demar cite le roman à quatre reprises dans Ma loi d'avenir. De même, en 1834, Mme E.A. Casaubon dans Le Nouveau Contrat social, ou Place à la femme, reproduit un large extrait de la version de 1831 Les Enfants de Dieu, tandis que Flora Tristan invoque Lawrence dans une pétition de 1838 (Pétition contre la peine de mort, À messieurs les membres de la chambre des députés). Malgré l'ascendance de sa pensée sur les premiers féministes et, généralement, sur les plus éminents représentants de l'intelligentsia européenne progressiste du début du XIXè siècle, on ne connait presque rien de ce précoce défenseur du droit à l'éducation des filles et de la reconnaissance de l'égalité homme-femme. L'histoire éditoriale hors du commun de cette uvre, de son interdiction première à ses travestissements multiples et à sa lente mais inexorable disparition des mémoires, est sans doute aussi instructive que les idées défendues par son auteur sur le pouvoir phallocrate à l'uvre dans la société. Et l'on aurait tort de croire que 200 ans après sa publication, le texte de James Lawrence, prônant la désacralisation du mariage, de la filiation et des relations amoureuses, a perdu de sa puissance subversive?: «?Eh bien?! que ce mot père soit rayé de nos institutions, et que marqué d'un signe de réforme, ainsi que ceux de mari et d'époux, il ne soit conservé dans nos dictionnaires que pour expliquer les usages et nous rappeler la simplicité des siècles passés. Que tout enfant soit laissé aux soins de sa mère, et qu'il n'ait d'autre héritage que celui qu'elle lui transmettra. Que toute femme soit affranchie sans restriction de la domination des hommes, et puisse exercer tous les droits dont ils ont exclusivement joui jusqu'ici. Qu'il lui soit permis de changer d'amans à son gré, et de les prendre indistinctement dans toutes les classes de la société.?» Son long discours préliminaire de soixante et onze pages, notamment, s'avère être un véritable essai exposant son projet d'une société égalitaire et dénonçant un système où, malgré une parfaite parité intellectuelle, la femme est élevée plus qu'éduquée afin de la maintenir dans une infériorité artificielle?: «?Les divers ouvrages à l'aiguille [...] ne feront jamais prendre un grand essor à ses idées. Elle ne voit d'autres hommes que ses maîtres. [...] Le moment arrive enfin où elle fait son entrée dans le monde; mais la liberté, si chère à tous les curs, fuit devant elle comme une ombre?: elle existe encore moins pour elle que pour un garçon de dix ans. [...] l'homme a décidé en maitre absolu que l'ignorance consoliderait son autorité [...] Or, si elle naît avec autant d'esprit que lui, pourquoi la femme obéirait- elle à l'homme, plutôt que l'homme à la femme?? Il est vrai que, selon Moïse, elle ne fut regardée, durant les premiers siècles, que comme la servante de son orgueilleux associé?: mais si au lieu d'avoir été rédigée par un homme, la bible l'eût été par une femme, on aurait pu avoir une narration bien différente.?» Exceptionnelle et rarissime édition originale de l'une des premières grandes uvres féministes du XIXè siècle, qui, malgré son influence considérable, fut parfaitement effacée de l'histoire littéraire et intellectuelle. Le peu d'exemplaires subsistant dans les grandes institutions étant pour la plupart classés au rayon des livres érotiques?! - Photos sur www.Edition-originale.com -
New York Frederick A. Praeger 1963
First edition. In original dust jacket. Fascinating, both historically and in the present climate. In James' own words "a provocative analysis of the history of relations between Mexico and the United States on all levels - diplomatic, military, economic, and social - considered in terms of Mexico's developing nationalism and America's attitudes to it". 472 pp. 220 x 150 mm (8Ÿ x 6 inches). Dust jacket has some light bumping and a very small nick to the top edge on the front. Inside the book is in a very good / fine condition. Freelance American journalist, Daniel James (b. 1914), covered Latin America during the Cold War years. His writings reflect two themes: 1) that the region had become a primary target for Soviet aggression against interests of the United States; and 2) that American policies had failed to reflect the importance of the region to the United States. The author of hundreds of columns, articles and at least four books on these topics, including: "Red design for the Americas: Guatemala prelude" (1954), James first went to Latin America in 1953. He described Communist activity in Guatemala and in British Guiana in articles published in that year. James continued to publish articles reflecting his favorite themes in "Harper's," "The Saturday Evening Post," and the "London Observer." Later, he prepared a study of U.S. business activities in Mexico for the United States Embassy and the American Chamber of Commerce in Mexico (1956). From 1955 through 1967 Daniel James was a syndicated columnist for the Hearst Newspapers and SPADEA, publishing his views under the title: "Dateline Latin America." During the 1960s he published: "Cuba: the first Soviet satellite in the Americas" (1961); "Mexico and the Americas" (1963); and, "Che Guevara; A biography" (1969), the last written with the aid of diaries found when their Guevara was killed while trying to start a Communist revolution in Bolivia (1967). Subsequently, James was for four years a tourism director in Mexico City (1974-1978). After 1987 he operated the Mexico-United States Institute in Washington, D.C.
1746 Printedand fold by J. Robinson, at the Golden-Lion, in Ludgate-street. In the vulgar year of Masonry 5746 [1746]. Un volume petit in-4° (149 x 192 mm) de X+[2]+230+[2] pages; les pages 217-22 (cahier Ff) sont en double exemplaire, strictement identiques. Reliure de lépoque en veau marron, encadrement à froid sur les plats et filet doré le long des charnières, dos à nerfs orné de filets, pièce de titre en maroquin rouge, tranches mouchetées de rouge (dos anciennement remplacé et coins émoussés). Contenu : - Dédicace de louvrage au Prince de Galles Frédéric-Louis, par James Anderson; bandeau gravé avec les armes du prince, signé John Pine (pages III-VI).- «The author to the reader», et plan de louvrage, le tout daté de «Greter Court, Strand, 4 Nov. 1738» et signé James Anderson (pages VII-X). - «The sanction», i.e. approbation de louvrage par «John Rebis, secretary», «Caernarvon, Grand Master, John Ward, Deputy Grand Master, George Graham [&] Andrew Robinson Grand Wardens» (page 1 sans no).- planche gravée avec deux figures: lune représentant Hiram montrant le plan du temple au roi Salomon, dessin du frère J[ame]s Thornhill Esq. gravé par John Pine; lautre, anonyme, portant les armes et titres du marquis de Carnarvon, grand-maître en 1738 (page 2 sans no).- «The Constitutions Part I: The History of Masonry from the creation throughout the known earth; till true old architecture was demolishd by the Goths and at last revived in Italy », en sept chapitres: I. From the creation to Grand Master Nimrod, II. From Nimrod to Grand Master Solomon, III. From Solomon to Grand Master Cyrus, IV. From Cyrus to Grand Master Seleucus Nicator, V. From Seleucus to Grand Master Augustus Caesar, VI. From Augustus till the havock of the Goths, VII. The revival of old architecture, or the Augustans Stile»(pages 1-54). - «The Constitutions part II: The History of Masonry in Britain, from Julius Caesar, till the union of the crowns, 1603», en sept chapitres: I. From Julius Caesar to the first arrival of the Saxons in Britain, II. From the first arrival of the Saxons, to William the Conqueror, III. Masonry in England from William the Conqueror to King Henry IV, IV. Masonry in England from Henry IV to the Royal Tewdors, V. Masonry in England from King Henry VII till the union of the crowns, A. D. 1603, VI. Masonry in Scotland till the union of the crowns, VII. Masonry in Irland till Grand Master Kingston A. D. 1730» (pages 55-96). - «The Constitutions part III: The History of Masonry in Britain, grom the union of the crowns to the times» en sept chapitres: I. The Augustan stile in Britain, from the union of the crowns 1603, till the Restoration 1660, II. From the Restoration 1660, till the Revolution 1688, III. From the Revolution to Grand Master Montagu 1721, IV. From Grand Master the Duke of Montagu to Grand Master Richmond, V. From Grand Master Richmond to Grand Master Norfolk, VI. From Grand Master Norfolk to Grand Master Craufurd, VII. From Grand Master Craufurd to the present G. Master Caermarthen [biffé et remplacé par: Carnarvan]» (pages 97-142).- «The Old charges of the Free and Accepted Masons, collected by the author from their old records, at the command of the Grand Master the present Duke of Montagu. Approved by the Grand Lodge, and ordered to be printed in the first edition of the Book of Constitutions on 25 March 1722», en six articles : «I. Of God and religion , II. Of the Civil magistrate supreme and subordinate, III. Concerning lodges, IV. Of Masters, wardens, fellows, and prentices, V, Of the Management of the craft in working », VI. Concerning Masons behaviour, [soit] 1) In the Lodge before closing, 2) After the Lodge is closed and the Brethren not gone, 3) At meeting without strangers, but not in a formed Lodge, 4) In presence of strangers not Masons, 5) At home and in your neighbourhood, 6) Towards a foreign Brother or stranger, VII. Concerning Law-suits. The ancient manner of constituting a Lodge (pages 143-151).- « The general Regulations of the Free and Accepted Masons. Compiled first by Brother George Payne [] A. D. 1720, []. Next by order of the Duke of Montagu when Grand Master, the author James Anderson []and the Grand Lodge having revisd ans approvd them, order em to be printed in the Book of Constitutions on 25 March 1722», en 39 articles traitant de lorganisation interne de lordre (pages 152-176), suivis de «New regulations» jusquen 1736 (pages 176-178).- «The Constitutions of the Committee of Masons charity first proposed at the Grand Lodge on 21 Nov. 1724» (pages 178-184).- «A list of the Lodges in and about London and Westminster» (pages 184-190).- «Deputations of several Grand Masters, to Wales, the country of England, and foreign parts» (pages 190-198). « The approbation of this Book of the Constitutions» par les dignitaires de la Grande Loge, datée du «25th January 1737/8 in the vulgar, year of Masonry 1737/8» (page 199). - « The Masters song [] by the author of this book[Anderson]», en 6 couplets (pages 200-201).- « The Wardens song [] by the author of this book [Anderson]» en 2 couplets (page 202).- « The Fellow-craft song, by Brother Charles De La Fay Esq » en 6 couplets (pages 203-204). - « The Enterd Prentices song, by Brother Mr. Matthew Birkhead » en 7 couplets (page 204-206).- «The Deputy Grand Masters song», en 7 couplets (pages 206-207).- «The Grand Wardens song, by Brother Oates», en 4 couplets (pages 207-208).- «The Treasurers song» en 4 couplets (page 209).- «The Secretarys song» en 4 couplets (page 210).- «The Sword-bearers song» en 4 couplets (pages 211-212).- «An ode to the Free Masons» en 2 couplets (page 212).- «An ode an Masonry, by Brother J. Bancks» en 12 couplets (pages 213-215).- «A defence of Masonry, publishd A. D. 1730, occasiond by a pamphlet calld Masonry dissected» (pages 216-226). - «Brother Euclids letter to the author against unjust cavils» (pages 226-228).- liste des Frères et des Loges qui ont «encouragé» lauteur (pages 229-230).- «Corrigenda» (page 1 sans no).- Catalogue des libraires Caesar Ward et Richard Chandler (page 2 sans no).
RARE REEMISSION DE LA SECONDE EDITION (1738) des Constitutions dAnderson sous une page de titre renouvelée. ce texte fondateur de la maçonnerie spéculative moderne fut rédigé en 1721-1722 par James Anderson (ca 1678-1739) - peut-être avec le concours de John Theophilus Desaguliers (1683-1744), mais la chose est aujourdhui contestée - à linitiative de John, 2eme duc de Montagu (1690-1749), grand-maître de la Grande Loge de Londres et de Westminster, afin de réguler des pratiques traditionnelles mais mal fixées. Si les Constitutions de 1723 ont été rédigées à lexpresse demande du groupement des loges créé en 1717, les Constitutions de 1738 relèvent dune initiative propre dAnderson, qui prit de grandes libertés doctrinales par rapport au texte primitif; de ce fait cette version ne fut jamais été reconnue comme officielle par la Grande Loge de Londres et de Westminster «et il a fallu plusieurs mises en vente avec de nouvelles pages de titre et frontispices pour en achever de vendre le stock» (Philippe Langlet: Les Constitutions de 1723 et leurs traductions en français). Ajoutons que la réémission de 1746 ne présente pas de frontispice du tout.
( James Bond 007 - Littérature adaptée au Cinéma - Littérature en Espagnol ) - Ian Fleming.
Reference : 29176
Ediciones Albon, Medellin-Colombia / Colección " James Bond 007 " n° 7 de 1965. In-12 broché de 238 pages au format 18,5 x 10 cm. Belle couverture illustrée. Dos resté carré. Plats et intérieur frais, malgré d'infimes frottis et légères traces de pliures aux coins. Bel état général. Peu courant. Edition originale espagnole à laquelle on joint une carte postale espagnole avec photographie de Sean Connery dans le rôle de James Bond 007. Ce troisième roman des aventures de James Bond 007 fut adapté, au cinéma, sous le même titre, par Guy Hamilton en 1964 sur scénario de Richard Maibaum et Paul Dehn. On trouve dans les rôles principaux : Sean Connery, Honor Blackman, Gert Fröbe, Shirley Eaton, Harold Sakata, Bernard Lee, Lois Maxwell.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Zazzo (René) sur William James - Edward B. Titchener - James-Mark Baldwin - John B. Watson
Reference : 87850
(1942)
Presses Universitaires de France - P.U.F. , Nouvelle Encyclopédie Philosophique Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1942 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur vert foncé In-8 1 vol. - 183 pages
1ere édition, 1941-1942 Contents, Chapitres : Avant-propos, xvi, Texte, 167 pages - Introduction - Les origines - William James - Edward B. Titchener - James-Mark Baldwin - John B. Watson - Psychologies d'hier et d'aujourd'hui - Notices bio-bibliographiques bel exemplaire, frais et propre, papier à peine jauni, exemplaire non coupé
Editions Rivages / Noir n° 27 de 1987. In-12 broché de 286 pages au format 17 x 11 cm. Couverture photographique. Dos carré. Plats et intérieur frais. Complet du bandeau : Un film " Cop " avec James Wood. Superbe état général. Rare édition originale en 1er tirage. Précieux exemplaire orné d’une belle dédicace, autographe, signée, de James Ellroy.Ce roman sera scénarisé et adapté au cinéma en 1988 par James B. Harris, avec dans les rôles principaux : James Woods, Lesley Ann Warren, Charles Durning, Charles Haid, Raymond J. Barry, Randi Brooks, Annie McEnroe, Rick Marotta, Helen Page Camp, Dennis Cleveland Stewart.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Berkeley, University Art Museum. 1990. 27,5x20 cm. 154 S. Originalleinwand mit Schutzumschlag.
Originalausgabe. - Mit Texten von Jacquelynn Baas, James Elliott, Carter Ratcliff, Gianni Vattimo, Achille Bonito Oliva und den "Notes Towrd a Biogrphy" von James Elliott, der bisher umfangreichsten Biografie. - Schutzumschlag mit kleinen Läsuren.
1738 London: printed for Brothers Caesar Ward and Richard Chandler, booksellers, at the Ship without Temple-Bar; and sold at their shops in Coney-street, York, and at Scarborough-Spaw, 1738. In the vulgar year of Masonry 5738 [1738]. Un volume petit in-4° (155 x 189 mm) de X+[2]+230+[2] pages. Reliure de lépoque en veau marron, encadrement à froid sur les plats, dos à nerfs muet orné de filets (dos remplacé et coins refaits). Contenu : - Dédicace de louvrage au Prince de Galles Frédéric-Louis, par James Anderson; bandeau gravé avec les armes du prince, signé John Pine (pages III-VI).- «The author to the reader», et plan de louvrage, le tout daté de «Greter Court, Strand, 4 Nov. 1738» et signé James Anderson (pages VII-X). - «The sanction», i.e. approbation de louvrage par «John Rebis, secretary», «Caernarvon, Grand Master, John Ward, Deputy Grand Master, George Graham [&] Andrew Robinson Grand Wardens» (page 1 sans no).- planche gravée avec deux figures: lune représentant Hiram montrant le plan du temple au roi Salomon, dessin du frère J[ame]s Thornhill Esq. gravé par John Pine; lautre, anonyme, portant les armes et titres du marquis de Carnarvon, grand-maître en 1738 (page 2 sans no).- «The Constitutions Part I: The History of Masonry from the creation throughout the known earth; till true old architecture was demolishd by the Goths and at last revived in Italy », en sept chapitres: I. From the creation to Grand Master Nimrod, II. From Nimrod to Grand Master Solomon, III. From Solomon to Grand Master Cyrus, IV. From Cyrus to Grand Master Seleucus Nicator, V. From Seleucus to Grand Master Augustus Caesar, VI. From Augustus till the havock of the Goths, VII. The revival of old architecture, or the Augustans Stile»(pages 1-54). - «The Constitutions part II: The History of Masonry in Britain, from Julius Caesar, till the union of the crowns, 1603», en sept chapitres: I. From Julius Caesar to the first arrival of the Saxons in Britain, II. From the first arrival of the Saxons, to William the Conqueror, III. Masonry in England from William the Conqueror to King Henry IV, IV. Masonry in England from Henry IV to the Royal Tewdors, V. Masonry in England from King Henry VII till the union of the crowns, A. D. 1603, VI. Masonry in Scotland till the union of the crowns, VII. Masonry in Irland till Grand Master Kingston A. D. 1730» (pages 55-96). - «The Constitutions part III: The History of Masonry in Britain, grom the union of the crowns to the times» en sept chapitres: I. The Augustan stile in Britain, from the union of the crowns 1603, till the Restoration 1660, II. From the Restoration 1660, till the Revolution 1688, III. From the Revolution to Grand Master Montagu 1721, IV. From Grand Master the Duke of Montagu to Grand Master Richmond, V. From Grand Master Richmond to Grand Master Norfolk, VI. From Grand Master Norfolk to Grand Master Craufurd, VII. From Grand Master Craufurd to the present G. Master Caermarthen [biffé et remplacé par: Carnarvan]» (pages 97-142).- «The Old charges of the Free and Accepted Masons, collected by the author from their old records, at the command of the Grand Master the present Duke of Montagu. Approved by the Grand Lodge, and ordered to be printed in the first edition of the Book of Constitutions on 25 March 1722», en six articles : «I. Of God and religion , II. Of the Civil magistrate supreme and subordinate, III. Concerning lodges, IV. Of Masters, wardens, fellows, and prentices, V, Of the Management of the craft in working », VI. Concerning Masons behaviour, [soit] 1) In the Lodge before closing, 2) After the Lodge is closed and the Brethren not gone, 3) At meeting without strangers, but not in a formed Lodge, 4) In presence of strangers not Masons, 5) At home and in your neighbourhood, 6) Towards a foreign Brother or stranger, VII. Concerning Law-suits. The ancient manner of constituting a Lodge (pages 143-151).- « The general Regulations of the Free and Accepted Masons. Compiled first by Brother George Payne [] A. D. 1720, []. Next by order of the Duke of Montagu when Grand Master, the author James Anderson []and the Grand Lodge having revisd ans approvd them, order em to be printed in the Book of Constitutions on 25 March 1722», en 39 articles traitant de lorganisation interne de lordre (pages 152-176), suivis de «New regulations» jusquen 1736 (pages 176-178).- «The Constitutions of the Committee of Masons charity first proposed at the Grand Lodge on 21 Nov. 1724» (pages 178-184).- «A list of the Lodges in and about London and Westminster» (pages 184-190).- «Deputations of several Grand Masters, to Wales, the country of England, and foreign parts» (pages 190-198). « The approbation of this Book of the Constitutions» par les dignitaires de la Grande Loge, datée du «25th January 1737/8 in the vulgar, year of Masonry 1737/8» (page 199). - « The Masters song [] by the author of this book[Anderson]», en 6 couplets (pages 200-201).- « The Wardens song [] by the author of this book [Anderson]» en 2 couplets (page 202).- « The Fellow-craft song, by Brother Charles De La Fay Esq » en 6 couplets (pages 203-204). - « The Enterd Prentices song, by Brother Mr. Matthew Birkhead » en 7 couplets (page 204-206).- «The Deputy Grand Masters song», en 7 couplets (pages 206-207).- «The Grand Wardens song, by Brother Oates», en 4 couplets (pages 207-208).- «The Treasurers song» en 4 couplets (page 209).- «The Secretarys song» en 4 couplets (page 210).- «The Sword-bearers song» en 4 couplets (pages 211-212).- «An ode to the Free Masons» en 2 couplets (page 212).- «An ode an Masonry, by Brother J. Bancks» en 12 couplets (pages 213-215).- «A defence of Masonry, publishd A. D. 1730, occasiond by a pamphlet calld Masonry dissected» (pages 216-226). - «Brother Euclids letter to the author against unjust cavils» (pages 226-228).- liste des Frères et des Loges qui ont «encouragé» lauteur (pages 229-230).- «Corrigenda» (page 1 sans no).- Catalogue des libraires Caesar Ward et Richard Chandler (page 2 sans no).
RARE SECONDE EDITION des Constitutions dAnderson. Ce texte fondateur de la maçonnerie spéculative moderne fut rédigé en 1721-1722 par James Anderson (ca 1678-1739) - peut-être avec le concours de John Theophilus Desaguliers (1683-1744), mais la chose est aujourdhui contestée - à linitiative de John, 2eme duc de Montagu (1690-1749), grand-maître de la Grande Loge de Londres et de Westminster, afin de réguler des pratiques traditionnelles mais mal fixées. Si les Constitutions de 1723 ont été rédigées à lexpresse demande du groupement des loges créé en 1717, les Constitutions de 1738 relèvent dune initiative propre dAnderson, qui prit de grandes libertés doctrinales par rapport au texte primitif; de ce fait cette version ne fut jamais été reconnue comme officielle par la Grande Loge de Londres et de Westminster «et il a fallu plusieurs mises en vente avec de nouvelles pages de titre et frontispices pour en achever de vendre le stock» (Philippe Langlet: Les Constitutions de 1723 et leurs traductions en français).
( James Bond 007 - Littérature adaptée au Cinéma - Littérature en Espagnol ) - Ian Fleming.
Reference : 29204
Ediciones Albon, Panamá / Colección " James Bond 007 " n° 8 de 1965. In-12 broché de 127 pages au format 18,5 x 10 cm. Belle couverture illustrée. Dos resté carré avec petit manque au bas. Plats et intérieur frais, malgré d'infimes frottis aux coins et un petit manque de papier au coin supérieur droit de la page de titre. Bel état général. Peu courant. Edition originale espagnole.Octopussy and The Living Daylights est le 14e et dernier livre de James Bond écrit par Ian Fleming dans la série des James Bond. Il s'agit d'un recueil de nouvelles publié à titre posthume au Royaume-Uni par Jonathan Cape en 1966. Le livre contenait à l’origine deux histoires : Octopussy et The Living Daylights. Les éditions suivantes seront enrichis de deux autres nouvelles : The Property of a Lady et 007 in New York. Le livre sera fut adapté au cinéma, sous le titre " Octopussy " , par John Glen en 1983 sur scénario de George MacDonald Fraser, Christopher Wood et Richard Maibaum. On trouve dans les rôles principaux : Roger Moore, Maud Adams, Louis Jourdan, Kristina Wayborn.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
London, Leo Cooper, Secker & Warburg, 1984 in-8°, vi-257 pp, 24 photos sur 16 pl. hors texte, notes, index, reliure éditeur, jaquette illustrée, bon état
"Sir James est né en 1887 et est toujours en vie, ce qui fait de lui probablement le plus vieux général de l'armée britannique encore en vie [il est décédé le 25 décembre 1985]. Sa carrière militaire n'était pas non plus typique, car il aimait les langues étrangères et en a appris un nombre considérable au cours de sa vie. De plus, il était de la bonne génération pour passer par la Première Guerre mondiale, l'école d'état-major et les commandements, ainsi que pour vivre des expériences au sein de la Commission des frontières balkaniques et d'autres expériences exotiques, de sorte qu'en 1940, il s'est retrouvé un des commandant de division qui s'est sorti sain et sauf du pétrin en France, avant d'être transféré en Turquie, étant l'un des rares à parler turc, pour tenter de convaincre les réalistes de ce pays de se joindre aux Alliés. C'était, bien sûr, une tâche sans espoir en 1940-41, et il s'est retrouvé de nouveau en Grande-Bretagne en raison de son âge. Après la guerre, il a quitté l'armée, s'est essayé au commerce des armes et a finalement trouvé sa voie en tant qu'historien. “Wars and Rumours of Wars” est un livre agréable, rempli d'aperçus de personnes célèbres et d'autres moins connues, et de relations avec d'autres que l'on ne trouve pas dans la plupart des autobiographies de la Seconde Guerre mondiale, à l'exception peut-être de celles de Sir Edward Spears." (Military Affairs, 1986) — "L'auteur de ces souvenirs pleins d'entrain est né James Cornwall en 1887 et s'est engagé dans l'artillerie royale en 1907. On pourrait s'attendre à ce que l'autobiographie d'un auteur nonagénaire soit nostalgique et discursive ; au contraire, “Wars and Rumours of Wars” nous emmène rapidement, mais avec une clarté admirable, à travers deux guerres mondiales, une série de missions officielles et de voyages indépendants au Moyen-Orient et au-delà, des entreprises commerciales à la retraite et une dernière carrière d'auteur – le tout en 257 pages, notes et index compris ! En raison de ses remarquables capacités linguistiques, Sir James a passé une grande partie de sa carrière militaire dans l'Intelligence Service. Une aptitude pour les langues, un esprit curieux et un tempérament sociable l'ont amené à passer à l'étranger les longues permissions dès avant la Première Guerre mondiale et, comme "j'ai toujours détesté être dans un pays où je ne pouvais pas communiquer avec les indigènes", il est rapidement devenu polyglotte. En 1914, il est devenu interprète de première classe en allemand, français, norvégien et italien, et de deuxième classe en espagnol. Après la guerre, une mission diplomatique en Turquie lui donne l'occasion de maîtriser le turc et le grec moderne. Au cours des deux guerres mondiales, il a donc travaillé dans les services de renseignement plutôt qu'au combat, mais les chapitres les plus intéressants de son livre prouvent que Marshall-Cornwall pouvait être aussi efficace sur le terrain que derrière un bureau. Ceux-ci relatent son expérience dans le cadre de diverses missions difficiles au cours de la Seconde Guerre mondiale, en particulier la tâche de liaison avec la dixième armée française lors des retraites chaotiques de mai et juin 1940, qui ont abouti à la capitulation de la France. Il était responsable du retrait des troupes britanniques par Cherbourg, une opération moins médiatisée que Dunkerque mais tout aussi périlleuse. Le titre de l'ouvrage est on ne peut plus clair : il s'agit du récit d'une carrière et non d'une vie privée. Il y a cependant quelques anecdotes agréables, notamment celle de la redoutable Marjorie Marshall-Cornwall qui s'est cachée déguisée en musulmane lorsque les épouses des militaires ont reçu l'ordre de quitter Constantinople pendant la révolution d'Atatürk. Il y a aussi un chapitre hilarant décrivant un dîner à Chequers avec un Churchill fort capricieux. Sir James ne cache pas ses désaccords avec le grand homme à diverses occasions, notamment en ce qui concerne la "conduite en retrait" qui a tant entravé la guerre en Afrique du Nord. Il surmonte les revers professionnels et les chagrins privés avec le stoïcisme d'un soldat et est récompensé par une vieillesse sereine et active, qui l'a conduit en Espagne et en Mandchourie, en Israël et aux États-Unis, en Belgique, en Italie et, en fait, presque partout où des batailles ont été livrées. Ses biographies de Massena, Napoléon, Grant, Foch et Haig témoignent d'une connaissance particulière qui a fait de Sir James un membre précieux pendant tant d'années des conseils de la Royal Geographical Society." (Dorothy Middleton, The Geographical Journal, 1984)
1940 1940,bon état,rare- provenance archives Charles de Richter - RICHTER (Charles de).
Edward Holton James était un socialiste américain et, plus tard, un fasciste. Il était le neveu du philosophe William James et du romancier Henry James. Wikipédia (anglais)