P, Techener , 1877 , in12 1/2 chagrin rouge , couvertures conservées , 570 pp . Quelques annotations au crayon noir . A Jal fut , pendant 30 historiographe puis conservateur des archives de la marine. Sa contribution à l' Histoire maritime est importante. Langue: Français
Feldman 1941
Bon état Petit format
Meridian 1951
Bon état Format Coquille Piano
Dauvia Charlotte,Lumière Jean - Jal Jean - Valaire Robert,Jal Jean
Reference : 3824
(1938)
[ Lipnitzki] - Sablon Jean,Mauve Paule - Jal Jean - Jal Jean
Reference : 5781
(1936)
Petit Duc 1936
Etat moyen Petit format
CORBIERE (Edouard), SUE (Eugène), PLEE (Eugène), DUHAUTCILLY, LECOMPTE (Jules), Fulgence Girard, A. Jal, Geoffroy Saint-Hilaire, Léon Gozlan, Denis de Trobriand, Juan Floran, P. Hennequin, De Sainson, Anténor de Caligny, Louis Reybaud, P. Chevalier ...
Reference : 15455
(1834)
Réunion de quatre livraisons de la nouvelle série de cette revue vouée selon son sous-titre aux récits de «naufrages – pirateries – voyages – incendies – famines – évènements de mer », soit premier et second semestres 1834, premier et second semestre 1835 (daté par erreur de 1836 sur la couverture). En tout, quatre volumes in-8, brochés, 282, 231, 214 et 225 pages, gravures hors texte. Au sommaire: Edouard Corbière (Les Smoglers – L’Athlète de bord – La corvette La Parisienne – Le Prisonnier de guerre – Le petit Forban – Un calme plat sous l’équateur – Le matelot Carottier et le matelot Fanfan – Le corsaire L’Oiseau- de-Nuit), Eugène Sue (L’Aïeul de Jean Bart), Eugène Plée (Mœurs créoles. Habitations aux Antilles, vie d’un économe), Duhaut-Cilly (Souvenirs de la mer du Sud, relâche aux îles Sandwich), Jules Lecompte, Fulgence Girard, A. Jal, Geoffroy Saint-Hilaire, Léon Gozlan, Denis de Trobriand, Juan Floran, P. Hennequin, De Sainson (Naufrage de Lapérouse aux îles Wanikoro), Anténor de Caligny, Louis Reybaud, P. Chevalier, etc. Beaux exemplaires tels que parus, quasiment exempts de rousseurs.
Genève, Slatkine, 1973, in-8°, 570 pp, reliure simili-cuir brique de l'éditeur, un mors fendu recollé, pt accroc à la coiffe inf., bon état (réimpression de l'édition de Paris, 1877)
Très vivants mémoires. — "Auguste Jal raconte les plaisirs de la table sous l'Empire, ses liens avec Fouché, les douze derniers jours de Napoléon en France. Des fragments sur les Cent Jours avaient paru dans la Revue des Deux Mondes du 1er octobre 1832." (Tulard, 730) — "Fervent bonapartiste, l'aspirant de marine Jal constitue en 1815 à Lyon une compagnie d'aspirants qui se porte au secours de Paris. Exclu de la marine, il commence une carrière de journaliste et d'hommes de lettres, donnant dans ses mémoires une vivante description des milieux politiques, littéraires et artistiques du temps. La mort l'a surpris avant que ses souvenirs ne dépassent le règne de Louis XVIII." (Bertier de Sauvigny, 540)
Paris, Ladvocat, 1818. In-8, demi-reliure, dos lisse avec titre doré et année d'édition au bas du dos, iv-128 pp. - pl. Le chapitre indispensable ou avis au lecteur - Mes visites au Musée royal du Luxembourg : Mon libraire, moi - Table : Abel de Pujol [Le martyre de Saint-Etienne]. - Bergeret... - Girodet... - Hennequin... - Rouget. - Taunay... - ...
Orné de "cinq dessins au trait, lithographiés, par Engelmann" ; l'une des planches est dépliante. [On trouve notamment le Déluge de Girodet, Les Remords d'Oreste de Hennequin, Rubens faisant le portrait de Marie de Médicis par Vanbrée (sic), planche dépliante]ex-libris manuscrit du comte Clément de Ris, 1864 (Vente Deschamps).Rare. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
Phone number : 01 42 73 13 41
Paris, Téchener, 1877 in-12, 520 pp., demi-chagrin rouge à coins, dos à nerfs orné, tête dorée, couv. cons. (Montécot). Bel exemplaire.
Tulard, 730. "Jal y raconte les plaisirs de la table sous l'Empire, ses liens avec Fouché, les douze derniers jours de Napoléon en France".Bertier, 540. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Téchener, 1877 in-12, 520 pp., demi-chagrin brun, dos à nerfs, couv. cons. (rel. de l'époque). Dos légt passé.
Tulard, 730. "Jal y raconte les plaisirs de la table sous l'Empire, ses liens avec Fouché, les douze derniers jours de Napoléon en France".Bertier, 540. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Techener, 1877 in-12, 570 pp., bradel demi-percaline bleue à coins, couv. cons. (rel. de l'époque). Mouillure sur les premières pages, qqs rousseurs.
Tulard, 730. "Jal y raconte les plaisirs de la table sous l'Empire, ses liens avec Fouché, les douze derniers jours de Napoléon en France".Bertier, 540. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Téchener, 1877 in-12, 570 pp., demi-chagrin vert, dos à nerfs orné d'aigles dorés, couv. cons. (reliure moderne). Bon exemplaire.
Tulard, 730. "Jal y raconte les plaisirs de la table sous l'Empire, ses liens avec Fouché, les douze derniers jours de Napoléon en France".Bertier, 540. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Téchener, 1877 in-12, 520 pp., demi-chagrin brun, dos à nerfs orné (reliure de l'époque). Ex-libris Ludovic Halévy.
Tulard, 730. "Jal y raconte les plaisirs de la table sous l'Empire, ses liens avec Fouché, les douze derniers jours de Napoléon en France".Bertier, 540. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Téchener, 1877 in-12, 570 pp., broché. Rousseurs.
Tulard, 730. "Jal y raconte les plaisirs de la table sous l'Empire, ses liens avec Fouché, les douze derniers jours de Napoléon en France".Bertier, 540. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris Henri Plon 1873 2 vol. relié 2 vol. in-8, demi-chagrin cerise, dos à nerfs (reliure de l'époque), XV + 600 et (4) + 606 + (2) pp., 2 frontispices. Edition originale en très bonne condition, sans rousseurs.
GRIMAL (Pierre) HUS (Alain) HELLEGOUARC'H (Joseph) RAMBAUD (Michel) JAL (Paul) CHOMARAT (Jacques) MICHEL (Alain) BEAUJEU (Jean) MANDOUZE (André) FONTAINE (Jacques) NERAUDAU (Jean Pierre)
Reference : 49517VPRT
ISBN : B004M2ID7Y
Picard Broché D'occasion état correct 01/01/1977 150 pages
FILHOL Antoine-Michel, GRANDSIRE, CARAFFE, LAVALLÉE, JAL Auguste
Reference : UGE-78
(1802)
FILHOL Antoine-Michel, GRANDSIRE, CARAFFE, LAVALLÉE, JAL Auguste. Galerie du Musée de France. Paris, Filhol, 1802 à 1814 pour les 10 premiers vol., 1828 pour le t.XI. 11 volumes in-8, 26x19cm. Demi chagrin et coins rouge, dos à cinq nerfs, plats et contreplats marbrés; tranche de tête, titre et tomaison dorés. Assez bon état, nerfs lég. frott., qqs mors partiellement fendillés en surface. Corps d'ouvrage plutôt frais, non rogné, rousseurs éparses. La Galerie du Musée de France, parfois appelée "Musée Napoléon" ou "Musée Filhol", correspond à une série de 792 gravures présentant les tableaux et sculptures de la collection du futur Musée du Louvre. Cette série fut publiée en 132 livraisons mensuelles à partir de 1802 par Antoine-Michel Filhol (1759-1812). Chaque livraison comporte 6 estampes (cinq tableaux et une sculpture) ; le texte des dix premières a été rédigé par le peintre Armand-Charles Caraffe, et les suivantes par Joseph Lavallée. Auguste Jal rédigera le dernier volume, édité par la veuve de Filhol et faisant état des acquisitions faites durant la Restauration. Filhol, lui-même graveur, s'est entouré d'un important collectif de dessinateurs et de graveurs d'exception afin d'établir ce vaste catalogue ; citons parmi eux : Edme Bovinet, François Pigeot, Jacques Bertaux ou encore Benoît-Louis Prevost. Cet immense musée imaginaire témoigne de l'extraordinaire et éphémère concentration de richesses artistiques issus des fonds royaux, des acquis de la Révolution et surtout des campagnes napoléoniennes, que portait en son sein le nouveau Musée Napoléon sous la direction de Vivant Denon. Notre ensemble est bien complet du Cours Historique et Élémentaire de Peinture ou Galerie Complette du Museum Central de France paru en 1802, des tables de chaque volume et de la table générale en fin du dixième volume. Seule manque la dernière planche, la 720ème "Laocoon et ses fils".
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Paris, chez Firmin-Didot 1848 2 volumes. In-4 28 x 22 cm. Reliures demi-basane havane, 1591 pp. en pagination continue, texte à 2 colonnes, 25310 articles, 188-89 figures dans le texte. édition originale enrichie d’un envoi autographe de l’auteur. Manquent les dos. Intérieur frais.
Un véritable monument. Auguste Jal (1795-18973), consacra six ans à peine à la réalisation de son Glossaire maritime. Visant à l'exhaustivité, il y inclut le vocabulaire des marins de tous les pays, dans toutes les langues, depuis l'antiquité jusqu'à son époque. Bon état d’occasion
Paris, Gosselin, 1833, 1 demi veau, tranches marbrés, mors supérieur émoussé. in-8 de (4)-472 pages, légères rousseurs ;
Phone number : 06 80 15 77 01
Tiré a part des Documents historiques inédits tirés des collections manuscrites de la bibliothèque royale et des archives ou des bibliothèques des départements , par M. Champollion-Figeac , tome premier, Firmin-Didot Paris 1841, publié dans le deuxième partie du supplément aux rapports et notices, article XXII. La pagination du tiré à part est la pagination définitive dans la référence que nous citons [p.507 à 615]. 28*22 cm , bradel demi toile vert bouteille, pièce de titre chagrin noir, première et dernière gardes volantes très brunies, très peu de rousseurs dans le corps d'ouvrage, ex-libris de la bibliothèque d'Em. Mancel collé sur le contre-plat recto , envoi autographe de l'auteur à M. Lajard du 23 mars 1841.
Le texte, en latin, de ces documents fondamentaux pour la connaissance de la navigation au Moyen-Âge, est issu de la découverte, en 1837, de conventions entre saint Louis et Gênes, alors que le roi de France cherchait à compléter sa flotte à Aigues-Mortes pour passer en terre sainte. Leibnitz avait publié des conventions similaires avec Venise, mais les connaissances de son époque sur la navigation au XIIIe siècle ne lui permit pas de livrer une édition scientifique digne de ce nom. Ce n'est évidemment pas le cas ici, les notes d'Auguste Jal (1795-1873) donnent de très précieuses précisions sur le vocabulaire technique, et par voie de conséquence sur la structure, des nefs moyenâgeuses.
Paris, Librairie de Charles Gosselin, 1832 3 volumes In-8° (12,7 x 20,6cm) Reliure d'époque demi-basane; dos lisses avec pièces d'auteur et de tomaison rouges et roulettes dorées; papier de couvrure des plats et gardes marbrés à dominante bleue; tranches mouchetées en bleu. Vol.1: XX + 392p., 2 feuillets; Vol.2: 1 faux-titre, 1 titre, 395p., 2 feuillets; Vol.3: 1 faux-titre, 1 titre, 508p.; 1frontispice dans chaque volume. Défauts aux reliures: ornements des dos en partie effacés et petits manques aux pièces de tomaison, peau fendue le long de la charnière supérieure du 3è volume, papier de couvrure des plats fendu le long des bords avec manque au plat du dessous du 3è volume; rousseurs.
Où Auguste JAL (1795-1873), marin et historien, historiographe officiel de la Marine et conservateur des archives de la marine (auteur, entre autres ouvrages, d'un important "Glossaire nautique") voulait, par une suite de "scènes séparées" complétées de notes (historiques et sur les usages en mer) et de glossaires maritimes, "montrer le marin dans presque toutes les positions de sa vie hasardeuse" (in lettre-préface de l'auteur). Peu courante édition originale; exemplaire complet des 3 volumes, méritant restauration.
Paris, Ambroise Dupont, 1827. Deux tomes en un volume in-12 de [XX] 259 pages et 316 pages. Ex-libris collé armorié : O'Reilly Le Havre. Très bon état intérieur. Demi-veau violet-foncé, dos à nerfs fins très richement orné de motifs floraux entrelacés, tranches marbrées. En excellent état.
Auguste Jal né à Lyon en 1795 et mort à Vernon en 1873, ex officier de marine, a participé à la rédaction du "Fureteur ou l'Anti-Minerve" (1817) et à celle du "Miroir des spectacles, des moeurs et des arts "(1821), du "Constitutionnel" et du "Courrier des électeurs". Le cabinet de cires de Curtius doit sa célébrité historique au fait que le 12 juillet 1789, les insurgés parisiens s'y emparèrent des bustes de Necker et du duc d'Orléans et les portèrent en triomphe dans les rues de la ville. Curtius, dont le véritable nom était probablement Curtz, artiste allemand de naissance, se naturalisa en France où il vint vers l'année 1770. Il se fixa à Paris et il y a passé toute sa vie, sauf quelques excursions temporaires dans les provinces et dans les pays étrangers. Il paraît que c'est à lui que l'on doit, non l'invention de la cire, fort ancienne, mais le perfectionnement des figures sculptées en cire, ou d'une composition particulière, et représentant en grandeur naturelle, avec leur costume et leurs habitudes ordinaires, et avec plus ou moins de ressemblance, des personnages morts ou vivants. Curtius établit deux salons, l'un au Palais-Royal, l'autre sur le boulevard St-Martin, et plus tard sur celui du Temple, après le théâtre de Nicolet. Tous les ans, il renouvelait les deux salons, et tous les mois il y changeait quelque chose. Le premier était plus spécialement consacré aux grands hommes, aux illustres notabilités. Dans le second étaient rangés les grands scélérats, les individus qui s'étaient fait un nom dans les classes inférieures de la société. On pense bien qu'il n'oublia point son homonyme Marcus Curtius. Comme le moderne Curtius faisait les bustes de tout ce qu'il y avait de plus distingué à la cour et à la ville, il gardait une copie des têtes les plus remarquables par leur caractère ou leur beauté, et il les exposait dans ses salons. Il modelait les rois, les grands écrivains, les jolies femmes et les voleurs. On y a vu Jannot et Desrues, le Comte d'Estaing et Linguet, le grand Frédéric et Voltaire, Catherine II et J.-J. Rousseau, Hayder-Aly et l'aéronaute Blanchard, Francklin et Cagliostro, la Comtesse de la Mothe-Valois et Mesmer, Buffon et Mlle Contat, la famille royale assise à un banquet et Louis XVI à côté de son beau-frère Joseph II, la réception des ambassadeurs de Tippou-Saïb, etc. L'aboyeur criait à la porte : Entrez, messieurs et dames, venez voir le grand couvert ; entrez, c'est tout comme à Versailles. Il n'en coûtait que deux sous ; pour douze sous, on approchait, on circulait près des figures ; et malgré la modicité des prix, Curtius faisait des recettes de 300 fr. par jour. On voyait aussi chez lui des objets précieux en peinture et en sculpture, des monuments antiques, des momies, des raretés telles que la chemise que portait Henri IV lorsqu'il fut assassiné, avec les certificats qui prouvaient l'authenticité de cette pièce ; enfin, toutes les nouveautés qui firent sensation à diverses époques. Curtius se montra patriote dès le commencement de la Révolution ; il exposa les figures de Lafayette, Bailly, Mirabeau et autres députés de l'assemblée constituante, celles des principaux détenus et vainqueurs de la Bastille, et deux modèles de cette forteresse-prison, l'un dans son état naturel, l'autre avec ses ruines. Mais Curtius devint girouette, comme bien des gens qui ne s'en vantent pas, et qui en ont fait comme lui un métier lucratif. Il offrit à l'hommage ou à l'horreur du public les grands hommes du jour, les grands hommes à la mode, triomphants ou victimes, et leur décernant l'apothéose ou le châtiment, suivant les circonstances. On vit ainsi tour à tour, dans ses salons, les girondins et les montagnards, Vergniaux et Danton, le duc d'Orléans et Philippe-Egalité, Marat et Charlotte Corday, le père Duchesne et Robespierre, madame Roland et le capucin Chabot, madame Tallien et Barras, Dumouriez et Talleyrand, Bonaparte, sa famille, ses maréchaux, ses favoris , et quelques-uns de ses chambellans et de ses sénateurs.