Paris La Table Ronde 1946 in 8 (28,5x23) 1 volume broché en faux-feuillets sous couverture rempliée, 168 pages [2], avec13 illustrations de l'auteur, dont 5 planches hors-texte en couleurs et un portrait en frontispice, chemise et étui (étui défraichi), trace d'adhésif sur la marge des pages 61-62. Max Jacob, Quimper 1876 - Drancy 1944, poète français. Edition originale. Tirage limité à 320 exemplaires numérotés, celui-ci un des 300 exemplaires numérotés sur vélin crèvecoeur des papeteries du Marais. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Broché
Paris, Stock, 1923, 1 volume, in-16 carré, broché, 136 p.. Edition complète, revue et corrigée par l'auteur. Portrait de l'auteur par Picasso en frontispice. Couverture défraichie avec manque de papier sur le premier plat, dos légèrement vrillé.
Etat moyen. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Librairie Stock, Paris, date de1923 sur la page de titre mais 1924 au bas du dos, collection "les contemporains". Un volume broché in 12° de 136 pages, portrait de Max Jacob par Picasso, état usagé mais correct. Frais d'envoi par lettre suivie, 270
usagé mais correct Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
1947 4 ff. anopistographes (27 x 20 cm, environ 36 lignes par page) densément raturés et corrigés, au verso d'un papier à en-tête du journal "Excelsior" + photocopie de la dernière page du texte (27 lignes). Circa 1947.
Première étape de l'article de Hertz sur Max Jacob, qui fut publié dans les Lettres françaises (n° 179, 1947), puis dans Europe (48:489, janv. 1970, pp. 137-41). La bibliothèque de l'Alliance Israëlite Universelle, où furent déposées une grande partie des archives Henri Hertz, dispose d'une étape plus avancée du manuscrit (également 4 ff. sur le même papier à en-tête, AP 5 / 15). Henri Hertz raconte dans cet article sa rencontre avec Max Jacob, chez Apollinaire, avec lequel il entretint des relations amicales, de même qu'avec Picasso. Sa contribution à la Phalange, ainsi que le mysticisme de ce juif converti au catholicisme sont également évoqués. Henri Hertz (1875, Nogent-sur-Seine, 1966, Paris) n'est pas pour rien dans le lancement de la carrière littéraire de Max Jacob, dont il fut très proche. En 1895, il s'installe à Paris et collabore à la Revue Générale Internationale de Louis Gastine. En 1901, il publie les Contes de la Soif dans la Revue des Indépendants puis entre à la Revue Blanche, dirigée par les frères Natanson. Quelques années plus tard, il se lie d'amitié avec Max Jacob et Apollinaire. En 1909, il publie la pièce Des Mécréants, Grasset, et en 1912, les Apartés, Éditions de la Phalange, recueil de vers bien salué par la critique.Max Jacob a dit de lui que "c'est l'un des écrivains les plus singuliers du moment", et "qu'il y a du dadaïsme, gidisme et tout le naturalisme au complet" dans son oeuvre. Apollinaire le cite dans sa conférence sur la Phalange Nouvelle en 1908. Il est un des collaborateurs de sa revue Le Festin d'Esope. Ami de Jean Royère, directeur de la Phalange, il donnera des textes à sa revue. Il collabore activement, avec Apollinaire, Jacob, Royère, Klingsor, Soupault, Reverdy, Fagus, Valéry, Aragon, Canoudo, Viélé-Griffin, Breton... à la Revue les Trois Roses, fondée à Grenoble, en juin 1918, par Justin-Frantz Simon. Henri Hertz reçoit le Prix Mallarmé pour l'ensemble de son oeuvre en 1928. Bel état.
Paris René Girard, Editeur 1927 in 4 (29x22,5) 1 volume in 4 reliure demi chagrin maroquiné brique à coins, dos lisse, couverture conservée, portrait de Max Jacob par Kisling en frontispice, 58 pages [1], avec et 9 dessins hors-texte de Max Jacob. Edition originale. Tirage limité à 525 exemplaires, celui-ci un 475 exemplaires numérotés sur Vélin d'Arches à la forme. Ex-libris du peintre Marcel Parturier. Cet exemplaire est enrichi d'un beau dessin original à la plume à pleine page signé et accompagné d'une belle dédicace de Max Jacob à son ami Marcel Parturier. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide Signé par l'illustrateur
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[Marie Laurencin] - Marie LAURENCIN (illustratrice). Louis CODET, Jean PELLERIN, Roger ALLARD, André BRETON, Francis CARCO, M. CHEVRIER, F. FLEURET, G. GABORY, Max JACOB, Valery LARBAUD et A. SALMON.
Reference : AMO-4511
(1922)
Paris, 1922. Editions de la Nouvelle Revue Française. 1 volume petit in-8 (19,5 x 12 cm) broché de 61-(5) pages, avec 10 pointes sèches originales de Marie Laurencin tirées dans le texte au format carré 8,5 x 7,5 cm environ. Couverture rempliée imprimée en couleurs (bleu et rose) formant un éventail. Excellent état. Quelques décharges et ombres à la couverture sinon parfait exemplaire. Tirage unique à 335 exemplaires. Celui-ci, un des 27 exemplaires hors-commerce tirés sur Hollande vergé Van Gelder Zonen. Il a été tiré 300 exemplaires sur ce même papier et 8 exemplaires sur vergé bleuté du dix-huitième siècle avec une double suite des gravures, sur Japon impérial et sur vergé du dix-huitième siècle. Notre exemplaire contient en plus : - 1 état supplémentaire tiré à part de la couverture en couleurs avec l'éventail (sur vergé). - 1 état de l'éventail en couleurs tiré seul avant la lettre (sur vergé). - 1 suite complète des 10 pointes sèches tirées à part sur papier vergé Ingres. Le chiffre du tirage à part de cette suite n'est pas connu mais elle était sans aucun doute réservée aux exemplaires de tête et aux exemplaires de collaborateurs (soit une trentaine d'exemplaires en tout).
Ce délicieux volume s'ouvre sur un "Petit concert sur l'absence de Marie Laurencin" par Maurice Chevrier (daté de septembre 1920). Viennent ensuite les poèmes de Roger Allard (L'Abbesse d'Aléa), d'André Breton (L'An suave, daté d'avril 1914), de Francis Carco (Le Miroir), de Louis Codet (La Nymphe d'Auteuil), de Fernand Fleuret (Prose pour Pallas Ambigüe, daté de 1911), de Georges Gabory (Qui n'entend qu'une cloche...), de Max Jacob (Olga, petit roman, daté de 1921), de Valery Larbaud (La Rue Soufflot), de Jean Pellerin (Fil de Rêve), enfin d'André Salmon (Elégie Fraternelle, daté de juillet 1921). La page de titre a été composée en calligramme par les élèves de l'Ecole Estienne. Le volume a été achevé d'imprimer le seize janvier 1922, le texte par Coulouma à Argenteuil, les gravures par Vernant et Dollé imprimeurs en taille-douce à Paris. Au début de l'année 1922, Marie Laurencin a 39 ans. Compagne pendant six années du poète Guillaume Apollinaire, Flap, comme la surnomme son premier amant Henri-Pierre Roché, épouse finalement, en 1914, le peintre allemand Otto de Waetjen, un pacifiste qui refuse de prendre les armes contre la France, ce qui lui vaut au déclenchement de la Première Guerre mondiale d'être déchue de sa nationalité, spoliée de tous ses biens et contrainte à l'exil, en Espagne. Divorcée, elle retrouve durant l'Entre-deux-guerres sa position tout en continuant ses amours avec Nicole Groult, relation discrète mais non cachée qui aura duré une quarantaine d'années. Figure internationale, elle portraiture alors les personnages du Tout-Paris. Sous l'Occupation, elle continue cette vie mondaine et renoue avec ses amis allemands tout en aidant Max Jacob, son complice en ésotérisme, sans réussir toutefois à le faire libérer à temps du camp de Drancy. Elle y est internée à son tour à la Libération dans le cadre d'une procédure d'épuration, échappant de peu au sort des tondues?. Dès 1907 elle devenait l'amie du Paris-Artiste. Elle se lie avec Pablo Picasso, André Salmon, Kees Van Dongen, André Derain, Max Jacob, Robert Delaunay, et bien d'autres. "Coco" comme on l'appelle, fréquente tous les artistes du Bateau-Lavoir. Vraie fausse-compagne-muse un moment de Guillaume Apollinaire, elle fait montre d'une grande liberté dans ses moeurs et ses relations homosexuelles sont connues. Marie Laurencin épouse le 21 juin 1914 le baron Otto von Wätjen, dont elle a fait connaissance un an plus tôt dans le milieu artistique de Montparnasse, entre Le Dôme et La Rotonde. Par son mariage, elle devient allemande et baronne, bénéficiaire d'une rente annuelle de 40 000 marks. Le couple est surpris par la déclaration de guerre durant son voyage de noces à Hossegor. Poursuivant en Espagne leur lune de miel contrariée, les époux ne peuvent rentrer à Paris, à cause de leur nationalité. Otto, qui ne veut pas avoir à prendre les armes contre la France, refuse de retourner en Allemagne. Marie Laurencin, comme tout citoyen franco-allemand, est déchue de sa nationalité française.? Au printemps 1915, le couple s'installe à Malaga dans la villa Carmen, avenue de la Rosaleda, puis à la villa Bella Vista, avenue Jorge de Silvela. Marie Laurencin y trouve consolation dans les bras de son amant des vacances 1911, Hanns Heinz Ewers. Au début de mars 1918, le couple répond à l'invitation d'être logé à Madrid en face du Prado dans une maison de Cécile de Madrazo. Marie Laurencin se partage entre cette figure à la fois mondaine et discrète de la haute bourgeoisie anoblie. Fin novembre 1919, au terme d'un mois de voyage de Gènes à Bâle, via Milan et Zurich, au cours duquel elle aura fait la connaissance d'Alexandre Archipenko et Rainer Maria Rilke, Marie Laurencin séjourne à Düsseldorf chez la mère de son mari. Afin de faire avancer le règlement de sa propre situation, elle passe le mois d'avril 1920 à Paris, où elle est hébergée par les Groult. Le 15, Georges Auric l'introduit auprès du jeune diplomate Paul Morand, qui était son voisin à Madrid en 1918, pour entreprendre les démarches qui lui redonneront la nationalité française. Elle peut faire prononcer son divorce le 25 juillet 1921 en renonçant à toute pension. À trente huit ans, financièrement autonome, « Mademoiselle Marie Laurencin » retrouve le 15 avril 1921 définitivement Paris, où en huit ans elle changera trois fois d'adresse. C'est à la fin de l'année 1921 que se prépare l'ouvrage Eventail qui lui rend hommage par la poésie et qu'elle illustre de 10 pointes sèches auto-portraits. Au printemps 1922, Marie Laurencin est hospitalisée pour un cancer de l'estomac. Lors de la chirurgie, elle subit également une hystérectomie. En 1923, convalescente, Marie Laurencin crée des papiers peints pour André Groult, qui vit à l'ombre du succès de la maison de couture de son épouse. À la mi-décembre, accompagnée de Jean Giraudoux et de Gaston Gallimard, elle retrouve Pablo Picasso à l'enterrement de Raymond Radiguet. Portraitiste mondaine du Tout-Paris des Années folles dont elle peint les portraits, Marie Laurencin mène une vie de luxe et de mondanités. Si le portrait est pour elle un expédient lucratif et pour ses modèles un article de mode, elle ne fait pas de cet exercice imposé l'éloge d'une position sociale, masculine ou féminine, qu'il était à l'époque classique. Pendant la deuxième guerre mondiale elle affiche des positions ambigues. Faisant montre en public d'antisémitisme elle aide pourtant son ami Max Jacob. A partir de 1945 et jusqu'à sa mort en 1956 elle mènera une vie retirée et pieuse. Elle aura connu les périodes Dada, cubistes, fauves et tous les autres mouvements modernistes de l'Ecole de Paris qu'elle contribua à façonner par son propre art. Elle laisse une oeuvre immense composée de milliers de peintures, gravures et dessins. « Elle a fait de la peinture au féminin un art majeur. On ne trouve pas de mots pour bien définir la grâce toute française de Mademoiselle Marie Laurencin, sa personnalité vibre d’allégresse. » (Apollinaire) Eventail regroupe, sous ses quelques feuillets et ses jolies estampes, autour de Marie Laurencin, en guise d'hommage à son talent et à sa personne, les noms d'André Breton, Max Jacob, André Salmon, Fernand Fleuret, Valery Larbaud, Francis Carco et quelques autres. La suite des dix pointes sèhes tirées à part sur papier vergé Ingres gris est très rare car tiré à très petit nombre. L'état supplémentaire de la couverture avec la décomposition du motif en couleurs (bleu et rose) ne se rencontre jamais et n'est pas annoncé. Exemplaire de choix très bien conservé de ce petit livre emblématique de son époque.
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Photogravure en noir, 9 x 13,8 cm sur feuillet 21 x 27 cm, années 30. Représente Max Jacob pinceau à la main devant son chevalet, en plein air, probablement à Valmondois. Le cliché original a été offert par Roger Toulouse au musée de Quimper. Cette photo est reproduite dans le Max Jacob d’André Billy.
"Max Jacob Jean Giraudoux - Max Jacob - Paul Valéry - Jean Cocteau - Ernest Hemingway (trad. de Marcel Duhamel) - Pierre Brisson - Philip Toynbee (trad. de Dominique Aury) - Maast (pseudo de Jean Paulhan) - Agrippa d'Aubigné - Thierry Maulnier"
Reference : 1563
(1944)
"1944. Paris Editions du Centre 1944 n°1- Broché 21 cm x 29 cm 153 pages - Quatre ills hors-texte en couleurs dont un dessin de Max Jacob et un dessin de Christian Bérard - tirage num. sur vélin crèvecoeur des Papeteries du Marais - Manque au dos sinon bon état"
" Cahiers Max Jacob ", n° 1. 1951. 59 pages. Réédition du très rare premier livre de Max Jacob (E.O. en 1904 chez Picard & Kahn, éditeur de livres de prix pour les écoles). Autoportrait de Max Jacob en frontispice. 1/1.000 sur vélin bouffant alfa.
Quelques piqûres peu virulentes sur la couverture ; bon exemplaire.
Saint-Benoît-sur-Loire, Abbaye de Fleury, n° 119 - septembre 1981. Photo de Max Jacob en hors texte. Au sommaire : Lettres inédites de Max Jacob à Frédéric Mégret et Méditations inédites. Articles du Père Jean et de René Plantier sur Max Jacob.
Paris, éd. du Layeur, 2001, in-8 étroit, cartonnage souple à rabats, couv. ill. coul. sur fond jaune éd., 96 pp., papier glacé, texte d'introduction de Pierre Jakez Hélias, très nb. aquarelles coul. de Max Jacob, sommaire, "La Côte, recueil de chants celtiques, est une énigme. Lorsqu'il paraît en 1911, la bataille cubiste fait rage et on aurait pu penser que Max Jacob, engagé avec ses amis du bateau-lavoir, avait quelque peu oublié les bords de l'Odet de Quimper au profit de ceux de la Seine. Le recueil présente des poèmes et des contes que Max Jacob prétend avoir collectés auprès d'ouvriers brodeurs de son père, dans leur langue, le breton dont il reproduit les textes dans la première édition. Cannular, pastiche, l'affaire est loin d'être évidente si l'on tient compte de l'importance qu'accordait Max Jacob à ces textes dans sa correspondance avec Jean Grenier. " J'ai écrit La Côte au plus fort de la crise cubiste, alors qu'on attendait de moi que j'écrivisse Le Cornet à dés... La Côte est l'expression la plus pure de ma vérité intérieure... " Parodie, certainement, charge contre une prétendue érudition dans la présentation de la littérature populaire, sans aucun doute ; mais dans le même temps La Côte montre la grande connaissance qu'avait l'auteur de la littérature poétique bretonne, acquise par la fréquentation assidue des œuvres de Luzel et de la Villemarqué à la Bibliothèque de Quimper. Aujourd'hui il ne fait plus de doute que ces textes, loin d'un canular de jeunesse, sont de la meilleure veine Jacobienne, jouant de toutes les sources d'inspiration et de référence, révélant l'infinie complexité de l'auteur, le "Masque Jacob" selon l'expression de Charles le Roux. Ils révèlent aussi combien l'inspiration et l'imaginaire du poète devaient aux grands textes de la poésie orale bretonne et à sa Cornouaille natale". Très bon état, comme neuf
s.l. 1937, 17,5x24cm, une feuille.
Dessin original signé au feutre noir sur papier calque de Carlo Rim représentant son grand ami Max Jacob légèrement de profil et esquissant un discret sourire. Le dessin sur papier calque et encollé sur une feuille de papier est monogrammé et légendé au feutre noir "Max J. 1937", Carlo Rim a inscrit au crayon de papier "Max Jacob" en pied de la seconde feuille. Carlo Rim fut un écrivain provençal "Ma belle Marseille", un caricaturiste, un cinéaste et fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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En réponse à Auguste Dupouy, Jacob explique : ...Ta carte a déjà vécu dans des valises, des malles, en chemin de fer, en auto, et dans ce portefeuille où je mets les nouvelles des amis auxquelles on tient. Tous les jours jai dû técrire, tous les jours ont été emplis de départs darrivées, dinstallations provisoires. Il me semble quil y a mille ans que je ne me suis assis devant une table à écrire ou à peindre. Je profite dun stade de huit jours près dun ami docteur - qui te lit (entre parenthèses) pour te donner mon adresse provisoire. Je ne puis ten donner une autre car je ne sais plus où jhabite (sic). St Benoît est loin dans mon cœur (je ne dis pas de mon cœur) Paris est grand : on moffre plusieurs asiles et jy connais plusieurs hotels. Je demanderai moi-même Horace à Grasset qui me montre de lamitié. Lamitié dun éditeur pourrait être un bienfait des Dieux mais il ny a quun seul Dieu, et ce Dieu ne soccupe pas des éditeurs lesquels sont ou des francs-macons (sic) ou des Tartufes (sic)...En 1921, Max Jacob, sur les conseils dun ami prêtre, sinstalle à Saint-Benoît-sur-Loire où il est hébergé dans un presbytère proche de labbaye.Le docteur Benoiste-Pilloire, ami de Max Jacob, dirigeait le sanatorium de Kerpape.On joint le catalogue de lexposition Hommage à Max Jacob, Quimper. Musée des Beaux-Arts. 17 juin-15 août 1961. 16 pp. petit in-4. La couverture est illustrée par la reproduction d'un dessin de J. Cocteau.
S.l. s.é. [Firmin Didot et Cie] 1949 1 vol. broché plaquette in-4, brochée, sous couverture imprimée, 16 pp., reproduction photographique en frontispice, 3 reproductions in texte de lettres et dessins, bibliographie. Tiré à part hors commerce limité à 50 exemplaires numérotés présentant un texte introductif de Georges Auric ("Max Jacob retrouvé") suivi de deux nouvelles inédites de Max Jacob : "Mendiantes professionnelles" et "Jalousie". En bonne condition.
Bray-en-Val : Association des Amis de Max Jacob. Direction : Antonio Rodriguez et patricia Sustrac. Actes du colloque du 26 et 27 novembre 2010 à Orléans. Un volume broché (17x24 cm), 325 pages. Bon état.
Paris, La Sirène, 1919 In-12 carré de 1 f. bl., (2)ff., Xpp., (2)ff., 72pp., (1)f., 1 f.bl., broché, entièrement non rogné.
"La préface par Max Jacob est comme le livre en édition originale. Exemplaire sur beau papier bouffant, comme il se doit marqué du monogramme C.M.; n°149. Converti au catholicisme en 1915 par une série de visions, Max Jacob essaie dans sa préface d'opérer un difficile syncrétisme entre la croyance au libre arbitre, constitutive de sa foi, la part de déterminisme que suppose l'astrologie et, si nous avons bien suivi, le progrès des études sur les rayonnements que poursuit alors Marie Curie dans le cadre de l'Institut du Radium. Quand à l'astrologue charismatique Conrad Moricand -également connu comme dessinateur, illustrateur de Salmon et de Cendrars-, il continuera pour le meilleur et pour le pire d'inspirer les écrivains, ainsi qu'en témoigne son portrait au vitriol dans Un diable au paradis (1956) de Henry Miller qui l'avait hébergé à Big Sûr. Miller sera sommé de remplacer le nom de Moricand, de fait le personnage principal du récit avec le narrateur et son épouse, par le transparent pseudonyme de Téricand. Il a récemment été avancé que Max Jacob aurait en réalité tenu la plume sur la totalité de l'ouvrage, ce qui aurait aidé Conrad Moricand à se faire la place qu'il allait continuer d'occuper au catalogue d'éditeurs plus habitués à publier de la littérature moderne. Exemplaire à l'état de neuf."
Les Amis de Max Jacob Paris, 1951 - 61, in-4to, brochures originales. Non rogné. Bel ensemble.
image disp.
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Paris 22 Janvier 1935, 21x27cm, une feuille.
Lettre autographe signée de Max Jacob adressée à son grand ami l'écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste Carlo Rim qui fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi d'André Salmon et Max Jacob (27 lignes à l'encre noire à l'en-tête de Chansons d'hier et d'aujourd'hui). Dans cette lettre un peu étrange et pleine de tendresse, Max Jacob évoque sa vie errante et son éternelle amitié pour Carlo Rim : "9 rue de Dumas VIIIe le 22 janv. 35. Mon cher Carlo, tu m'as souvent dit que tu voudrais bien m'être agréable et utile. Et tu m'es l'un et l'autre. Voilà ! Je pars en tournée de conférence chariot de Thespis en auto... mate. Répéter une conférence censément improvisée dans des villes. Alors si tu peux me faire passer un petit mot où tu peux, ça serait bon pour les intérêts de nos intérêts et je te mets des données essentielles etc... Tu as dit à quelqu'un - je ne sais plus ki - que tu avais envie de m'inviter à une orgie dinatoire et crépusculaire. Je suis parti pour un mois. Je pense que ma lettre est un peu ridicule mais je suis vraiment fatigué parce que mes conférences non préparés sont plus préparés (sic) que les autres etc... Je baise les bas de la jupe de madame Carlo qui est belle et toi, je suis ton ami depuis toujours. Je m'appelle Max Jacob." - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Galerie Bernheim jeune & Cie, Paris 1920, 12x15,5cm, agrafé.
Rare catalogue de l'exposition des 100 gouaches et dessins de Max Jacob, tenue à la Galerie Bernheim-Jeune & Cie, du 8 au 20 Mars 1920. Une déchirure recollée sur un mors, deux ombres intérieures. Le carton d'invitation est illustré de 5 reproductions d'oeuvres de Max Jacob. Préface de Max Jacob. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Galerie Bernheim jeune & Cie, Paris 1924, 15x13cm, agrafé.
Rare catalogue de l'exposition des gouaches et dessins de Max Jacob et Serge Férat présentées à la Galerie Percier, du 10 au 24 Mai 1924. Bel exemplaire. Le catalogue est illustré de 4 reproductions d'oeuvres de Max Jacob et Serge Férat. Poème de Max Jacob. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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in 8 cartonné rouge d'éditeur titre et décor dorés sur le premier plat et au dos,dorure disparue par endroit.Faux-titre,titre illustré,46 pages,illustrations hors-texte de L.SAINT Paris Librairie d’éducation Nationale,onzième série sans date (1906) Très bon état.Fort rare Premier livre de Max Jacob,illustré de 6 hors-texte de Louis Saint.L'artiste semble avoir également composé la page de titre.Max Jacob rentra dans le monde des lettres en 1898,en devenant critique d'art au Moniteur sous le pseudonyme de Léon David.Trois ans plus tard,il rencontre Picasso avec qui il partagera une chambre Boulevard Voltaire,avant de fréquenter André Salmon et Guillaume Apollinaire.Vivant alors d'expédients,il sera successivement clerc d'avoué,magasinier à l'Entrepôt Voltaire, précepteur,il écrit fin 1903 deux contes, L'histoire du Roi Kaboul 1er et Le géant du Soleil."Je réfléchis que j'aimais conter des histoires aux enfants. J'écrivis donc dans ma petite chambre boulevard Barbès 33 (au coin de la rue Poulet),sans feu,sans tabac,sans pétrole et nourri par le crédit d'une boulangère charitable, le roi Kaboul et le marmiton Gauwain... ".Le second texte ne fut pas édité,mais le premier parut en mars 1904 comme livre de prix pour les écoles.Monsieur Alain Segal de l'Association des amis de Max Jacob dans son étude sur les différentes éditions du ROI KABOUL en révèle la genèse:c'est sur les conseils de son ami Gaston Courtillier qui travaillait chez Picard et Kahn que Max Jacob proposa son manuscrit.Les éditeurs qui cherchaient un conte pour enfant l'acceptèrent,moyennant quelques minimes retouches dont le changement des mots paroisses,églises ou calvaires qui devinrent pour l'école laïque Hôtel de ville,mairie ou commune.Ce premier livre lui rapportera une petite fortune:"J'ai touché 30 francs pour le Roi Kaboul.J'en ai profité pour aller dans un restaurant.Tous les plats étaient à 0fr.25.J'en ai eu pour 2fr.50.Tu imagines tout ce que j'ai mangé pour arriver à cette somme!" confiera-t-il des années plus tard à Marcel Béalu.
" Cahiers Max Jacob ", n° 2. 1952. 48 pages. Autoportrait et deux dessins de Max Jacob hors texte.
Bon état.
Les Cahiers Max Jacob Les Cahiers Max Jacob Broché 1956 Broché grand in-8 (19,5 x 28 cm), couverture rempliée, 61 pages, édition originale en volume, portrait photographique de Max Jacob en frontispice, quatrième des 'Cahiers Max jacob', ouvrage présenté par François Mauriac ; couverture un peu insolé, très bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris Les Amis de Max Jacob 1952 Grand In-8 Broché Ed. originale
Présentation de Jean Cocteau. Les Cahiers Max Jacob 2. Exemplaire numéroté. Portrait de l'auteur par lui-même. en frontispice. (quelques rousseurs) Très bon 0
P. Seghers, 1946. In-12 carré br. Coll. " Poètes d'aujourd'hui ". Etude d'André Billy. Fac-similé d'une lettre de Max Jacob en frontispice. Choix de poèmes, dont plusieurs inédits, lettre inédite de M. Jacob à G. Apollinaire, dessins, photos, bibliographie, etc. E.O. ex. num. sur vélin blanc, seul grand papier.