Sanard & derangeon 1890 in4. 1890. Cartonné. illustré en noir et blanc
Bon Etat général de conservation intérieur jauni; qq rousseurs globalement propre bonne tenue dorure sur tranche ternie (oxydée) couverture frottée circa 1890
Favre labrosse Centre D'étude Du XVIIIe Siècle Retat Gasc
Reference : 100122194
(1978)
Presses universitaires de Lyon 1978 in8. 1978. Broché.
bon état de conservation couverture un peu frottée intérieur propre
Rougerie 1978 in8. 1978. Broché.
Bon état cependant couverture défraîchie intérieur propre quelques pages mal massicottées
S.P.E.I 1964 in4. 1964. Cartonné jaquette. illustrations en noir et blanc
Etat Correct jaquette abîmée intérieur propre
Droz 1934 in8. 1934. relié.
Bon état reliure en bon état couverture d'origine conservée intérieur propre
Gedalge et cie 1890 in8. 1890. Relié.
Bon Etat de conservation rousseurs à l'intérieur livre jauni livre réparés circa 1890
Vuibert 1946 168 pages in8. 1946. Broché. 168 pages.
Etat Correct pages jaunies pages jaunies inscriptions haut 1 er plat
France empire 1969 318 pages in8. 1969. Broché jaquette. 318 pages.
Etat Correct jaquette jaunie pages fraîches
Marabout 1979 256 pages in12. 1979. Broché. 256 pages.
Etat Correct
Librairie gedalge & cie 235 pages in12. Sans date. Relié. 235 pages.
Etat Correct pages jaunies tranche noircie dos en toile se découd fils reliure assez grossiers
Librairie des Champs-Élysées 1975 187 pages in12. 1975. Broché. 187 pages.
Bon Etat
Durand & cie 1965 65 pages in4. 1965. Agrafé. 65 pages.
Etat Correct quelques traces crayons couverture ainsi que dernière page n'altère pas la lecture
Foucher 1974 159 pages in8. 1974. Broché. 159 pages.
Très Bon Etat couverture frottée intérieur impeccable
Denoël 1944 456 pages in12. 1944. Broché. 456 pages.
Bon Etat ensemble jauni intérieur propre dos incurvé
Gedalge et cie 1890 284 pages in4. 1890. Cartonné. 284 pages.
Bon Etat de conservation circa 1890 intérieur taché de rousseurs plat intérieur marqué au crayon couverture frottée
France empire 1969 in8. 1969. Broché.
Etat Correct avec jaquette (déchirure sur le premier plat) intérieur propre
FAVRE J.-B. ( ou FABRE, Abbé Jean-Baptiste Favre de Saint-Castor )
Reference : 055338
Mounpéyé ( Montpellier ) Enco de Auguste Virenque, Librayre-éditou 1839 in 16 (15,5x11) 4 volumes reliures à la bradel pleine percaline claire (des rousseurs), pièces de titre de cuir marron, dos à faux-nerfs à froid, VIII et 251 pages, 296 pages, 280 pages [1], 344 pages, des petites rousseurs éparses. Reliures signées de Pierson. Jean-Baptiste Fabre, ou Favre de Saint-Castor, Sommières 1727 - Celleneuve 1783, ecclésiastique et écrivain français, élève des Jésuites à Montpellier, auteur de plusieurs oeuvres comiques. Texte en patois languedocien. Jean-Baptiste Favre, 1727-1784. Ensemble en bon état
Très bon Couverture rigide
Genève, Imprimerie Atar, 1940. In-8 broché de 40 pages, couverture imprimée.
Portrait de Guillaume Favre en frontispice. "Guillaume Favre (1770-1851) s'est adonné successivement à l'étude de la minéralogie et de l'antiquité. Durant quelques années, il fréquenta le cercle de Coppet sans abandonner pour cela son domicile à Genève. Bibliophile, Guillaume Favre a constitué une bibliothèque pour laquelle il fit construire une aile à la Ville La Grange, propriété familiale. Cette belle collection est aujourd'hui administrée par la Bibliothèque de Genève" [Bibliothèque de Genève].
Plon, 1871, gr. in-8°, 432 pp, pièces justificatives, reliure demi-chagrin carmin, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés (rel. de l'époque), qqs rousseurs sur les premiers et derniers feuillets, bon état
"Le volume que nous donne aujourd'hui M. Jules Favre a trait surtout à son rôle comme ministre des affaires étrangères vis-à-vis de la papauté et de l'Italie, au sujet de Rome. Le livre, tel qu'il est, a provoqué une trés vive irritation dans la presse religieuse contre M. Jules Favre. Les injures n'ont point été ménagées à l'auteur, qui, malgré de grandes faiblesses et des fautes que l'avenir jugera, n'en restera pas moins une des figures remarquables de ce temps, et l'un des hommes dont notre pays s'honorera. Certain parti aurait sans doute voulu qu'à lui seul, tandis que toute l'Allemagne nous écrasait, et que chaque puissance se désintéressait de la question du pouvoir temporel, M. Jules Favre prit sur lui de soutenir la papauté. Il faudrait pourtant que les partisans les plus convaincus du pouvoir temporel se donnassent la peine de constater, d'après les documents publiés par M. Jules Favre, qu'aucun ministre en Europe ne s'est avisé de penser que le pouvoir temporel dût être maintenu, et que tous ont été de l'avis de M. d'Anethan, ministre de Belgique, qui déclarait à M. de Barral « qu'absolument parlant, le pouvoir temporel n'était pas d'une nécessité indispensable au Saint-Siège pour remplir sa mission dans le monde ». M. Jules Favre a donc été en droit de conclure de ce jugement unanime porté sur le pouvoir temporel que le principe de la domination temporelle des papes avait « fait son temps », et de déclarer que le gouvernement français devrait s'en tenir à ces deux résolutions : la première, de n'intervenir (ni directement, ni indirectement) dans un but d'action quelconque ayant pour but le rétablissement du pouvoir temporel ; – et la seconde, de continuer près du saint-père le rôle de protecteur respectueux de sa personne et de sa liberté religieuse. Le souverain pontife lui-même parait avoir accepté d'ailleurs le sacrifice que lui imposait la nécessité des temps. On lit, en effet, dans une dépêche du comte d'Harcourt, notre ambassadeur à Rome, cette réponse que lui fit le saint-père : « La souveraineté n'est pas à rechercher dans des temps comme ceux-ci : je le sais mieux que personne. Tout ce que je désire, c'est un petit coin de terre où je serai le maître. Si l'on m'offrait de me rendre mes États, je refuserais, mais tant que je n'aurai pas ce petit coin de terre, je ne pourrai exercer dans leur plénitude mes fonctions spirituelles. » Ce sont là des paroles très dignes d'attention puisqu'elles sont rapportées par M. d'Harcourt, dont les sentiments de vénération pour le souverain pontife ne peuvent être mis en doute. Dès lors il faut espérer qu'elles n'échapperont pas à l'attention des catholiques français, et qu'ils s'en inspireront pour comprendre qu'ils nuiraient à nos intérêts les plus considérables en poursuivant la restauration du pouvoir temporel, alors même que le pape déclare que si l'on offrait de lui rendre ses États, il les refuserait." (La Revue politique et littéraire, 11 novembre 1871) — Table : But de cet écrit ; Déclaration du ministre des affaires étrangères à M. Nigra, après le 4 septembre1870 ; L'Empire et le Concile ; L'Empire retire les troupes françaises au moment de la guerre ; Rome et le gouvernement du 4 septembre. – Entrée des Italiens à Rome ; Conduite du gouvernement français après la prise de Rome ; Rome et le gouvernement de M. Thiers ; Propositions d'une conférence repoussées par le gouvernement français ; Protection accordée au Saint-Siège ; Nomination d'un ambassadeur à Rome – M. le comte d'Harcourt ; Translation de la capitale à Rome – Instructions données à notre ministre à Florence ; Pétitionnement des évêques. – Discussion à l'Assemblée. – Renvoi des pétitions au ministre des Affaires étrangères ; Nomination de M. de Rémusat au poste de ministre des Affaires étrangères ; Conséquence du vote de l'Assemblée ; Conduite à tenir envers l'Italie ; Conduite à tenir envers le Saint-Siège, et conclusion. – 20 Pièces justificatives (pp. 303-430).
Plon, 1871, gr. in-8°, 432 pp, pièces justificatives, reliure demi-percaline bordeaux à la bradel, dos lisse orné d'un fleuron et d'un double filet doré en queue (rel. de l'époque), pt trace de mouillure au coin des 10 premiers feuillets, bon état
"Le volume que nous donne aujourd'hui M. Jules Favre a trait surtout à son rôle comme ministre des affaires étrangères vis-à-vis de la papauté et de l'Italie, au sujet de Rome. Le livre, tel qu'il est, a provoqué une trés vive irritation dans la presse religieuse contre M. Jules Favre. Les injures n'ont point été ménagées à l'auteur, qui, malgré de grandes faiblesses et des fautes que l'avenir jugera, n'en restera pas moins une des figures remarquables de ce temps, et l'un des hommes dont notre pays s'honorera. Certain parti aurait sans doute voulu qu'à lui seul, tandis que toute l'Allemagne nous écrasait, et que chaque puissance se désintéressait de la question du pouvoir temporel, M. Jules Favre prit sur lui de soutenir la papauté. Il faudrait pourtant que les partisans les plus convaincus du pouvoir temporel se donnassent la peine de constater, d'après les documents publiés par M. Jules Favre, qu'aucun ministre en Europe ne s'est avisé de penser que Je pouvoir temporel dût être maintenu, et que tous ont été de l'avis de M. d'Anethan, ministre de Belgique, qui déclarait à M. de Barral « qu'absolument parlant, le pouvoir temporel n'était pas d'une nécessité indispensable au Saint-Siège pour remplir sa mission dans le monde ». M. Jules Favre a donc été en droit de conclure de ce jugement unanime porté sur le pouvoir temporel que le principe de la domination temporelle des papes avait « fait son temps », et de déclarer que le gouvernement français devrait s'en tenir à ces deux résolutions : la première, de n'intervenir (ni directement, ni indirectement) dans un but d'action quelconque ayant pour but le rétablissement du pouvoir temporel ; – et la seconde, de continuer près du saint-père le rôle de protecteur respectueux de sa personne et de sa liberté religieuse. Le souverain pontife lui-même parait avoir accepté d'ailleurs le sacrifice que lui imposait la nécessité des temps. On lit, en effet, dans une dépêche du comte d'Harcourt, notre ambassadeur à Rome, cette réponse que lui fit le saint-père : « La souveraineté n'est pas à rechercher dans des temps comme ceux-ci : je le sais mieux que personne. Tout ce que je désire, c'est un petit coin de terre où je serai je maitre. Si l'on m'offrait de me rendre mes États, je refuserais, mais tant que je n'aurai pas ce petit coin de terre, je ne pourrai exercer dans leur plénitude mes fonctions spirituelles. » Ce sont là des paroles très dignes d'attention puisqu'elles sont rapportées par M. d'Harcourt, dont les sentiments de vénération pour le souverain pontife ne peuvent être mis en doute. Dès lors il faut espérer qu'elles n'échapperont pas à l'attention dus catholiques français, et qu'ils s'en inspireront pour comprendre qu'ils nuiraient à nos intérêts les plus considérables en poursuivant la restauration du pouvoir temporel, alors même que le pape déclare que si l'on offrait de lui rendre ses États, il les refuserait." (La Revue politique et littéraire, 11 novembre 1871) — Table : But de cet écrit ; Déclaration du ministre des affaires étrangères à M. Nigra, après le 4 septembre1870 ; L'Empire et le Concile ; L'Empire retire les troupes françaises au moment de la guerre ; Rome et le gouvernement du 4 septembre. – Entrée des Italiens à Rome ; Conduite du gouvernement français après la prise de Rome ; Rome et le gouvernement de M. Thiers ; Propositions d'une conférence repoussées par le gouvernement français ; Protection accordée au Saint-Siége ; Nomination d'un ambassadeur a Rome – M. le comte d'Harcourt ; Translation de la capitale à Rome – Instructions données à notre ministre à Florence ; Pétitionnement des éveques. – Discussion à l'Assemblée. – Renvoi des pétitions au ministre des affaires étrangères ; Nomination de M. de Rémusat au poste de ministre des affaires étrangères ; Conséquence du vote de l'Assemblée ; Conduite à tenir envers l'Italie ; Conduite à tenir envers le Saint-Siége, et conclusion. – 20 Pièces justificatives (pp. 303-430).
FAVRE J.-B. ( ou FABRE, Abbé Jean-Baptiste Favre de Saint-Castor )
Reference : 053368
Mounpéyé ( Montpellier ) Enco de Auguste Virenque, Librayre-éditou 1839 in 16 (16x10,5) 1 volume broché, couverture imprimée, 296 pages, quelques petites rousseurs éparses. Texte en patois languedocien. Edicioun nouvèla, la soula coumplèta, révista é courijada émbe souèn pèr un troubadour d'aquéste tén. Jean-Baptiste Fabre, ou Favre de Saint-Castor, Sommières 1727 - Celleneuve 1783, ecclésiastique et écrivain français, élève des Jésuites à Montpellier, auteur de plusieurs oeuvres comiques. Tome 2 seul (ségoun). Bel exemplaire
Très bon Couverture rigide
[Marsal Edouard ] - FAVRE J.-B. ( ou FABRE, Abbé Jean-Baptiste Favre de Saint-Castor ) Marsal Edouard
Reference : 46206
Mount-Peliè ( Montpellier ) Enco de E. Marsal, Editou 1878 in 8 (25,5x17) 1 volume reliure demi chagrin rouge de l'époque, dos à nerfs soulignés de filets à froid, tête dorée, couverture illustrée conservée, frontispice, une planche en fac-similé, 278 pages [1], avec de nombreuses illustrations pae Edouard Marsal, dont hors texte. Abbé Jean-Baptiste Castor Favre, Sommières 1727 - Celleneuve en 1783, élève des Jésuites à Montpellier, auteur de plusieurs oeuvres comiques en patois languedocien. Textes en patois languedocien: Lou Siège de Cadaroussa, Lou sermoun de Moussu Sistre, Lou tresor de substancioun, La fam d'eresitoun, L'opera d'Aubais, Satiras, Epigramas, Jan l'An pres. Très bel exemplaire
Très bon Couverture rigide
FAVRE J.-B. ( ou FABRE, Abbé Jean-Baptiste Favre de Saint-Castor )
Reference : 40366
Mounpéyé ( Montpellier ) Enco de Auguste Virenque, Librayre-éditou 1839 in 16 (15,5x10,5) 4 volumes reliures demi chagrin marron, dos à faux-nerfs à froid, VIII et 251 pages, 296 pages, 280 pages [1], 344 pages. Texte en patois languedocien. Jean-Baptiste Fabre, ou Favre de Saint-Castor, Sommières 1727 - Celleneuve 1783, ecclésiastique et écrivain français, élève des Jésuites à Montpellier, auteur de plusieurs oeuvres comiques. Bel exemplaire
Très bon Couverture rigide
Paris Imprimerie de E. Brière 1860 in 8 (21,5x14) 1 volume reliure demi chagrin noir de l'époque, dos à nerfs soulignés de filets à froid, 45 pages. Envoi autographe signé de l'auteur: à Monsieur le Président Petit. Barreau de Paris (imprimé aux frais de l'ordre. Relié à la suite du même: ALLOCUTION PRONONCÉE PAR Me JULES FAVRE (Paris 1861, imprimerie de E. Brière), 46 pages. Relié à la suite du même: ALLOCUTION PRONONCÉE PAR Me JULES FAVRE (Paris 1862, imprimerie de E. Brière), 24 pages. Favre Jules-Gabriel, 1809-1880, avocat républicain. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide Signé par l'auteur