1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...
Paris, Hachette, 1989, in-8, 311pp, broché, Très bel exemplaire 311pp
Lille, 1979, in-8, 330pp, broché, Très bel exemplaire! De la bibliothèque d'André Crépin! Bel envoi autographe de l'auteur adressé à André Crépin! 330pp
Paris, 1973, in-8, 445 & 85pp, Reliure éditeur, Très bel exemplaire! 445 & 85pp
Avignoun, L.Aubanel, 1852, in-8 rel. 1/2 chag. marron (11,5 x 20) 204p., E.O., reliure récente, couverture conservée, ex-libris du Majoral du Félibrige Bruno Durand (1890-1975) en vignette imprimée apposée au verso du premier plat, bon état.
Rare recueil de Noëls provençaux, principalement écrits par trois poètes : le premier du XVIIe siècle (Saboly), le deuxième du XVIIIe (Peyrol) et le troisième du XIXe (Roumanille). Suivent des vers de Jean Reboul offerts à Roumanille, ainsi que divers poèmes et Noëls d'autres troubaires provençaux. Cet ouvrage est important pour l'histoire des origines du Félibrige. Le Congrès d'Arles, se tint les 28 et 29 août. Canonge en fit le rapport dans la Gazette du Bas-Languedoc (Nîmes) sous le titre : "Un Congrès de Poètes". Canonge (Gazette du Bas-Languedoc des 19 et 22 septembre 1852) dit qu'au Congrès d'Arles fut lue une lettre de Jean Reboul. Le 2 décembre, Reboul envoya un poétique remerciement à Roumanille qui lui avait adressé un recueil de Noëls. En effet, des poèmes orientés sur le thème de Noël avaient été échangés au cours du Congrès d'Arles, et Mistral s'était chargé d'en compléter la série qui parut le 3 septembre sous le titre: "Li Nouè de Saboly, Peyrol e J. Roumanille, emé de vers de J. Reboul e quatre dougeno de nouè tóuti flame nòu". Ces derniers sont groupés, leurs auteurs étant li Troubaire di Prouvençalo, c'est-à-dire les congressistes d'Arles. Reboul occupe une place d'honneur. Tous le considèrent, en effet, comme leur guide, leur seigneur et leur maître. De plus, il est le seul dont la contribution, une ode à Roumanille, ne soit pas écrite en provençal. De Jules Canonge sont deux chansons : "Lou bon larroun et L'Avaras". Mistral, Aubanel et Glaup terminent le recueil. "L'Ase de Sant Jóusè" est une œuvre mistralienne de 5 strophes, chacune de 14 vers. Suit la sombre trilogie d'Aubanel : "Li-z-Inoucèn", dont la première pièce a pour titre: "Lou chin de sant Jóusè"; et le volume s'achève sur un poème de Glaup que Mistral trouvait bizarre. Le poème de Mistral, à peu près inconnu à ce jour — c'est à peine si Rollet en parle — est intéressant à cause du petit tournoi poétique qui s'est déroulé entre trois amis, usant des mêmes rimes et des mêmes idées. Voir le sommaire sur photos jointes.
Bourg, Imprimerie J. Dureuil, 1912 ; in-8, broché ; 309 pp., frontispice et 4 planches hors-texte.
Né à Mâcon, Pierre Reboul entra dans les ordres, fut curé à Lancié et Vergisson puis à Saint-André-d'Huiriat près de Pont-de-Veyle ; au début de la Révolution, il fut même un temps maire de sa commune. Curé réfractaire, il fut arrêté à plusieurs reprises, échappa de peu à la mort et organisa des missions à Pont-de-Vaux, St-Nizier-le-Bouchoux, Matrignat, etc.Bon exemplaire, la couverture est un peu défraichie, l'envoi manuscrit de l'auteur a été partiellement déchiré.
Phone number : 06 60 22 21 35
1 vol. in-4 dactylographié et agrafé, s.d. (circa 1980 ?) 30-5-2-2 pp.
De la bibliothèque d'Odet Reboul (1920-2018) qui fut notamment le réalisateur du 'Pauvre Matelot', film de marionnettes d'après le texte de Jean Cocteau. En annexe, Odet Reboul explique "pourquoi les marionnettes pour le cinéma" : il évoque les films de Trnka et explique comment toute sa recherche s'est concentrée sur cette libération de la caméra "en utilisant ses ressources expressives considérables, tout en conservant des marionnettes" [ ... ] "Les films "Le Pauvre matelot" et "Matéo Falcone" ne l'ont-ils pas démontré , Dans ces deux films de marionnettes tragiques, le carton-pâte est tellement chargé de passion qu'on oublie la convention et que nous acceptons le jeu proposé par le destin". Bon exemplaire.
FRETIERE,Marseille 1888,IN12 broché,non rogné,couvertures illustrées conservées,de la bibliotheque R.Reboul,32p.,publicités
etat neuf,ex dono manuscrit de Jean de Montsoreau
1842 1842 P , Delloye - Garnier , 1842 , in12 1/2 chagrin vert , dos à nerfs , XIX - 201 pp , 1 portrait frontispice . Rousseurs , coiffes légèrement frottées. Langue: Français
Paris, Lévy, "Bibliothèque Contemporaine", 1866, 1 br. in-8, f.t., portrait gravé en frontispice, titre, 332 pp. ;
Jean Reboul, poète de Nimes.[...] "Lamentation. A la ville de Nîmes". - Lettres à: M. De Fresne, Mademoiselle Rachel; monseigneur Dupanloup - Lettre du comte de Montbel. - Lettre du comte de Chambord. - Lettre de l'archiduc Maximilien d'Est. - Lettre de monseigneur Plantier écèque de Nimes. - Lettre de M. De Fresne au R. P. Lacordaire et réponse de Lacordaire. - Poésies. - Poème adressé à Mathieu de la Drome. - Lettre de M. Demians sur les derniers instants de Reboul. - Billet defaire part de la ville de Nimes [..].
Phone number : 06 80 15 77 01
Gauthier-Villars. 1950. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. XX+148 pages - quelques figures en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 530-Physique
Collection monographies des probabilités fascicule VII. Classification Dewey : 530-Physique
Les Nouvelles Presses du Languedoc 2011 200 pages 15x2x18cm. 2011. Broché. 200 pages.
Très bon état
Les Nouvelles Presses du Languedoc 2011 200 pages 15x2x18cm. 2011. Broché. 200 pages.
Très bon état
Les Nouvelles Presses du Languedoc 2011 200 pages 15x2x18cm. 2011. Broché. 200 pages.
Très bon état
Les Nouvelles Presses du Languedoc 2011 200 pages 15x2x18cm. 2011. Broché. 200 pages.
Très bon état
Les Nouvelles Presses du Languedoc 2011 200 pages 15x2x18cm. 2011. Broché. 200 pages.
Très bon état
Les Nouvelles Presses du Languedoc 2011 200 pages 15x2x18cm. 2011. Broché. 200 pages.
Très bon état
Les Nouvelles Presses du Languedoc 2011 200 pages 15x2x18cm. 2011. Broché. 200 pages.
Très bon état - L'ouvrage qui n'a jamais été lu peut présenter de légères traces de stockage mais est du reste en très bon état. envoi rapide et soigné dans un emballage adapté depuis France
Générique Broché D'occasion état correct 01/01/1947 150 pages
Les Nouvelles Presses du Languedoc 2011 200 pages 15x2x18cm. 2011. Broché. 200 pages.
Comme neuf - livre issu de destockage - pouvant présenter d'infimes traces de stockage - Expédié soigneusement dans emballage adapté
Eugène Reboul (1827-1896), journaliste, technicien du monde de l'assurance, fondateur du Moniteur des assurances.
Reference : 015330
Eugène Reboul (1827-1896), journaliste, technicien du monde de l'assurance, fondateur du Moniteur des assurances. L.A.S., Paris, 16 juin 1868, 4p in-8. A l'écrivain Edmond About (1828-1885). Lettre d'affaires : About veut revendre à Hachette ses droits sur « L'Assurance » et Reboul lui rappelle sa promesse d'avoir la préférence. Il s'agit certainement d'un journal qui a précédé le Moniteur des assurances, fondé en 1868. [353-2]
Les Nouvelles Presses du Languedoc 2011 200 pages 15x2x18cm. 2011. Broché. 200 pages.
Très bon état - L'ouvrage qui n'a jamais été lu peut présenter de légères traces de stockage mais est du reste en très bon état. envoi rapide et soigné dans un emballage adapté depuis France
[Imprimerie de la Charité] - REBOUL, G. et J.-A. [ REBOUL, Georges et Jean-Antoine ]
Reference : 43494
(1942)
1 vol. in-8 br., Facultés des Sciences et de Médecine de Montpellier, Imprimerie de la Charité, Montpellier, 1942, 109 pp.
Bon exemplaire (parfait état)
Bonneville, éditions de la Terre, 1927, 1 br., couverture illustrée d'un bois de Claude Madier, manque au dos. in-8, de 213 pp., bois gravé de Claude Madier en frontispice, exemplaire numéroté, un des 1100 sur papier bouffant ;
Edition originale. Récit situé dans un village du Coiron.Jules Reboul était maire d'Aubignas.
Phone number : 06 80 15 77 01