Flammarion Lagny impr. E. Grévin et fils Broché D'occasion bon état 01/01/1964 237 pages
Lectures Françaises numéro spécial sous la direction de Henry Coston, juin 1964, in8 br, 157pp. Edition tirée à 500 exemplaires sur bouffant numérotés ( n°479). Langue: Français
Librairie Académique Perrin Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1965 Book condition, Etat : Bon relié, cartonnage éditeur, pleine toile grise, titre en rouge, illustré d'une photographie d'Isorni en plaidoirie, sous jaquette rhodoid In-8 1 vol. - 315 pages
1ere édition, 1965 Contents, Chapitres : 1. Le crime et la conscience : L'affaire Bernardy de Sigoyer - La peine de mort - L'affaire Ledru - Et de quelques autres - 2. Le serment et la conscience - 3. Les personnes et la conscience - 4. Les crimes politiques et la conscience : Deux conceptions - Une affaire personnelle - Le maréchal Ney - Les affaires d'Algérie - Dreyfus - Brasillach - Philippe Pétain - 5. Le déicide et la conscience : La défense de Jésus - Jésus et les juifs - Le procès fait aux juifs - Remerciements - Jacques Isorni (né le 3 juillet 1911 à Paris et mort le 8 mai 1995 dans la même ville) est un avocat, homme politique et écrivain français. Il est notamment connu pour avoir été le défenseur du maréchal Pétain lors de son procès pour intelligence avec l'ennemi et haute trahison, tenu en juillet-août 1945 à la Libération. (source : Wikipedia) infimes petits manques sur la jaquette rhodoid transparente sans gravité, sinon bel exemplaire, frais et propre
Paris Flammarion 1951 1 vol. broché in-12, broché, 336 pp., 16 planches hors-texte, (dos légèrement creusé et quelques rousseurs sur la couverture). Édition originale. Relation du procès et de l'emprisonnement du maréchal Pétain au lendemain de sa mort par son ancien avocat. Bon exemplaire du service de presse enrichi d'un bel envoi autographe signé de l'auteur "A François Mauriac, en hommage aux débats de sa conscience, J. Isorni" et avec son prière d'insérer joint.
1 vol. in-8 br., La Table Ronde, Paris, 1965, 236 pp.
Ave une lettre signée de Jacques Isorni, évoquant la figure de Marc Jacquet (collaborateur d'Alfred Pose) : "Si j'ai parlé de Marc Jacquet dans les termes que vous connaissez, c'est que j'ai trouvé le renseignement d'une manière très précise dans le livre de Chamine "La Querelle des généraux". Je serai très heureux de toutes les précisions que vous pourrez me donner et notamment sur les inexactitudes que j'ai pu commettre". Bon état (ouvrage sous papier cristal contrecollé en garde).
Paris La Table Ronde 1972 In-8, maroquin bleu nuit sur les deux tiers du premier plat, rouge sur le reste de la reliure dont les plats ondulent verticalement à la façon d'un drapeau au vent et sont ornés de sept étoiles de formes variées mosaïquées de maroquin blanc, nom de l'auteur et titre de l'ouvrage poussés or sur le dos sans nerfs; chaque doublure est constituée de plaques planes cartonnées recouvertes d'un papier crème et montées sur les ondulations des plats, gardes de papier ornées de sept étoiles dorées, non rogné, couverture imprimée. Boîte-étui (Henri Mercher, 1975). Edition originale. Un des 50 exemplaires numérotés sur vélin pur fil, seul tirage sur grand papier. Précieux exemplaire de l'éditeur, portant sur le faux titre cet envoi autographe signé de l'auteur: A Gwen-Aël Bolloré, en souhaitant que ce livre ne nous rapproche pas sur les banc de la correctionnelle. En hommage. J. Isorni. Gwen-Aël Bolloré a confié ce volume à Henri Mercher en 1975, et nous joignons la facture de la reliure dans laquelle elle est ainsi décrite: Création d'un objet in-8 raisin destiné à protéger le livre Philippe Pétain de Maître Isorni. Reliure nouvelle aux plats ondulés comme un drapeau. Ces plans sont vissés sur un contre plat plan. Le drapeau bleu et rouge de détache sur le fond blanc du contre plat. Bannies par les uns, prônées par les autres, les sept étoiles blanches sont dispersées et déformées par des conceptions contradictoires. Dans le livre, des gardes blanches où les sept étoiles d'or ont repris leur place par la volonté de l'auteur. Exemplaire accompagné d'un exemplaire broché sur papier ordinaire du second et dernier tome, Philippe Pétain, 1940-1951, en édition originale, conservé dans une boîte-étui similaire à celle qui contient le premier volume. Ce second tome n'a jamais été relié par Henri Mercher. Très étonnante reliure décorée signée par Henri Mercher (1912-1976) qui, notamment par sa technique des plats rapportés, peut être considéré comme l'initiateur lointain et mal reconnu du grand changement qui a donné un nouvel élan créatif à la reliure d'art durant ces trente dernières années.
La Table ronde, 1972, in-8°, 489 pp, 35 photos et fac-similés sur 24 pl. hors texte, broché, bon état
Tome I seul (sur 2). — "Me Isorni a entrepris de nous donner une biographie de Pétain aussi complète qu'il est possible aujourd'hui de le faire. Voici le premier volume qui va jusqu'au 21 mai 1940. Sur cette longue période, des inédits ont été publiés, particulièrement sur la vie privée du futur maréchal, et Me Isorni en verse d'autres au dossier. Des travaux ont été également menés à bonne fin, spécialement sur le commandement à la fin de la première guerre mondiale. A travers le récit des événements, c'est donc la personnalité de son héros, au sens propre, que l'auteur essaie de dégager. Secret, certes, ce qui n'a pas été sans lui nuire, prenant la situation au sérieux quand les circonstances sont graves, et ne se payant pas de mots, mais d'une activité intelligente et inlassable pour parer aux dangers, tel apparait, aux moments critiques, l'homme de guerre. Et le portrait se poursuit pendant la paix, au Maroc, au ministère, à l'ambassade en Espagne. Naturellement, sur son chemin, l'auteur rencontre Foch, de Gaulle et quelques autres qui furent en désaccord ou en opposition avec Pétain ; il n'est pas tendre pour eux. Récit intéressant et riche où il y a beaucoup à retenir, mais plaidoyer sans réserve. C'est là qu'on peut être moins d'accord avec l'avocat." (E. Tesson, revue Etudes, 1972)
Paris, Flammarion, 1963; in-12, 349 pp., planches, broché. Souligné par endroits au stylo rouge.
Envoi de Jacques Isorni au capitaine Ulrich. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris Flammarion 1962 1 vol. broché in-12, broché, 220 pp., fac-similés hors-texte. Très bon état.
Paris Flammarion 1951 1 vol. broché in-12, broché, 336 pp., photos et fac-similés hors-texte. Très bon état.
Liège Editions Dynamo, Pie 1965 Plaquette in-12 assemblée par une cordelette, couverture imprimée.Edition originale de ce texte anti-gaulliste légèrement remanié qui avait paru pour la première fois dans Les Ecrits de Paris, illustrée en frontispice d'un dessin caricatural de Ben. Jacques Isorni, avocat du maréchal Pétain, reprend et commente une correspondance adressée par Charles de Gaulle à Paul Reynaud pendant les années 1936, 1937 et 1938, qui montre à quelles flatteries et quelle servilité s'abaissaient les faveurs d'un homme politique et, lorsque cet homme politique revint au pouvoir, les faveurs du pouvoir. Cette plaquette a été publiée à l'occasion du second anniversaire de la mort du lieutenant-colonel Jean-Marie Bastien-Thiry, célèbre pour avoir organisé et dirigé l'attentat du Petit-Clamart, le 22 août 1962. Tirage limité à 51 exemplaires numérotés. Un des 40 exemplaires sur vélin blanc, dont la couverture a été coloriée à la main.
, Paris, La Table Ronde, 1973., Broche, couverture d' editeur, 15x21cm, 489pp., illustre n/b/.
Flammarion, Paris 1968, 15x21cm, reliure de l''éditeur.
Edition originale. Reliure de l'éditeur en plein cartonnage ocre, jaquette conservée comportant de légères déchirures marginales sans gravité. Petites rousseurs sur la tranche supérieure. Agréable exemplaire complet de son prière d'insérer. Envoi autographe daté et signé de Jacques Isorni à Hubert Beuve-Méry enrichi de la signature de Louis Cadars. . - Photos sur www.Edition-originale.com -
La Table Ronde, Paris 1972, 15x21,5cm, broché.
Edition originale sur papier courant. Agréable exemplaire. Envoi autographe signé de Jacques Isorni à Alfred Fabre-Luce : "... le rapprochement de la vérité et de la réalité..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Photographie format 40 x 30 cm - beau tirage plastique noir et blanc - années 1980 pour l'émission "Apostrophes"-
Louis Monier fut le grand photographe français spécialiste des "Visages de la Littérature" et le photographe attitré de l'émission "Apostrophes" de Bernard Pivot -
Flammarion, Paris 1969, 12,5x19,5cm, broché.
Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Envoi autographe signé de Jacques Isorni à Marcel Arland. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
FLAMMARION. vers 1960. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 220 + 234 + 140 + 336 pages. . . . Classification Dewey : 843.081-Le roman historique
Classification Dewey : 843.081-Le roman historique
1984 Paris, Robert Laffont, 1984. Un fort volume broché de format in 8° de 540 pp., cahiers photo au milieu du volume.
Etat de neuf.
Broché, 20X14 cm, 228 pages, 1963, portrait en première page, la table ronde. Bon état.
1951 Collection " Mon Métier " / Editions du Conquistador (1951) - In-12 broché de 126 pages - Couverture illustrée - Exemplaire en très bon état
Laffont, 1984, gr. in-8°, 539 pp, 8 pl. de photos hors texte, index, broché, bon état
Premier tome (sur 3) des mémoires du célèbre avocat anti-gaulliste : l'adolescence, les procès Philippe Pétain, Robert Brasillach, Louis Renault, etc. — "La passion a dominé ma vie. Celle-ci s'achèvera, riche de combats et d'émotions, ma seule richesse, avec tous ces souvenirs que j'en garde, presque toujours exceptionnels, et qui parfois encore me hantent, douloureusement. Des vivants et des morts se sont emparés de tout mon être. Ils m'ont poursuivi et ils demeurent en moi. Je leur ai voué les sentiments les plus forts et les plus contradictoires. J'ai aimé et detesté dans de graves circonstances. Je n'ai pas le droit de l'oublier. J'ai abordé la politique non pas en quittant mon métier, mais en l'exerçant. Il m'a conduit à elle par la violence des événements, en l'exerçant. Il m'a conduit à elle par la violence des événements, par les combats les plus divers contre les pouvoirs au nom de la conception que je me suis faite de la justice. Ma force a été d'être toujours du côté des prisonniers, quels qu'ils soient, s'ils me demandaient de les assister. Ma fierté sera d'être demeuré libre, encore que la liberté ait été pour moi un risque grave dans un pays où elle est conçue comme la nôtre. Elle m'aura permis d'être, pendant quarante ans, sans que je l'eusse cherché, le témoin de choses exécrables et criminelles, que je n'ai pu empêcher. Elles s'accomplissaient sous le masque de la Justice, parfois vêtue de robes rouges ou de défroques militaires. J'ai alors pensé que c'était un devoir pour moi de témoigner. Avant de poser définitivement la plume dont j'ai peut-être abusé, je désire donc écrire, contre l'indifférence et l'oubli, ce que fut ma destinée mêlée à tant d'autres. Mon existence s'est déroulée dans un continuel contresens ; exilé à l'intérieur de mon propre pays, et, dans le temps qui reste devant moi, je ne sais si je reviendrai jamais de cet exil qui ne dit pas son nom. Le sort a voulu que je ne fusse qu'un marginal dont la ligne, cependant, aura été toute droite." (Jacques Isorni)
Laffont, 1984, gr. in-8°, 539 pp, 8 pl. de photos hors texte, index, broché, couv. lég. passée, bon état, envoi a.s. à un historien américain « qui cherche la vérité, avec toute ma sympathie et mon respect pour la manière dont il travaille »
Premier tome (sur 3) des mémoires du célèbre avocat anti-gaulliste : l'adolescence, les procès Philippe Pétain, Robert Brasillach, Louis Renault, etc. — "La passion a dominé ma vie. Celle-ci s'achèvera, riche de combats et d'émotions, ma seule richesse, avec tous ces souvenirs que j'en garde, presque toujours exceptionnels, et qui parfois encore me hantent, douloureusement. Des vivants et des morts se sont emparés de tout mon être. Ils m'ont poursuivi et ils demeurent en moi. Je leur ai voué les sentiments les plus forts et les plus contradictoires. J'ai aimé et detesté dans de graves circonstances. Je n'ai pas le droit de l'oublier. J'ai abordé la politique non pas en quittant mon métier, mais en l'exerçant. Il m'a conduit à elle par la violence des événements, en l'exerçant. Il m'a conduit à elle par la violence des événements, par les combats les plus divers contre les pouvoirs au nom de la conception que je me suis faite de la justice. Ma force a été d'être toujours du côté des prisonniers, quels qu'ils soient, s'ils me demandaient de les assister. Ma fierté sera d'être demeuré libre, encore que la liberté ait été pour moi un risque grave dans un pays où elle est conçue comme la nôtre. Elle m'aura permis d'être, pendant quarante ans, sans que je l'eusse cherché, le témoin de choses exécrables et criminelles, que je n'ai pu empêcher. Elles s'accomplissaient sous le masque de la Justice, parfois vêtue de robes rouges ou de défroques militaires. J'ai alors pensé que c'était un devoir pour moi de témoigner. Avant de poser définitivement la plume dont j'ai peut-être abusé, je désire donc écrire, contre l'indifférence et l'oubli, ce que fut ma destinée mêlée à tant d'autres. Mon existence s'est déroulée dans un continuel contresens ; exilé à l'intérieur de mon propre pays, et, dans le temps qui reste devant moi, je ne sais si je reviendrai jamais de cet exil qui ne dit pas son nom. Le sort a voulu que je ne fusse qu'un marginal dont la ligne, cependant, aura été toute droite." (Jacques Isorni)