Lausanne, Edita 1970 In-4 broché 26 cm. 246 pages. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
Lausanne. 1970. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 244 pages. Texte sur 2 colonnes. Nombreuses gravures en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte.Jaquette en bon état.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 929.2-Histoire des familles célèbres
Classification Dewey : 929.2-Histoire des familles célèbres
EDITA LAZARUS. 1970. In-4. Relié. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 239 pages - jaquette en état d'usage, déchirures, illustrée en couleurs - nombreuses illustrations en couleurs et en monochrome dans et hors texte - textes sur deux colonnes.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 929.2-Histoire des familles célèbres
Classification Dewey : 929.2-Histoire des familles célèbres
Lausanne, Edita, 1970, pt in-4°, 244 pp, texte sur deux colonnes, très nombreuses illustrations et fac-similés en noir et en couleurs dans le texte et à pleine page, certaines contrecollées, reliure pleine toile bleu roi avec trois fleurs de lys au 1er plat de l'éditeur, jaquette illustrée, pt trace d'humidité ancienne au 2e plat, bon état
"Il s'agit moins, dans ce beau livre, de grande histoire que d'histoire des mœurs. Certes, celle-ci est inséparable de celle-là. Et le regretté Philippe Huisman comme Mme Marguerite Jallut ont intimement lié l'une et l'autre. Il reste que les deux auteurs, en se penchant sur le destin douloureux de la dernière reine de France, ont eu surtout pour objectif d'interroger la fin de ce siècle de la « douceur de vivre » que Marie-Antoinette incarna si exactement. Aussi bien, suit-on ici, à travers les quatre saisons de sa courte existence, l'évolution du goût de l'archiduchesse d'Autriche, devenue dauphine, puis reine du plus beau des royaumes qui allait ignominieusement la rejeter et la sacrifier. L'ouvrage témoigne d'un grand raffinement matériel, qui est à l'image du règne qu'il évoque avec ime attention et un soin dignes de tous les éloges. Par son abondante illustration qui est à peu près exclusivement en couleurs, il présente plus que l'essentiel de l'histoire de l'art français à partir du déclin du règne de Louis XV jusqu'à l'explosion révolutionnaire. L'analyse d'un « style de vie » – celui de la cour, mais aussi celui de la ville. Les fêtes de Versailles, mais aussi les fêtes de Paris. Les transformations du palais, sous l'influence de la reine, la décoration de Trianon, les puérilités du Hameau où cette reine enfant s'amusait à jouer à la fermière. Et puis, dans la capitale, le Salon, l'attrait qu'il exerçait alors sur le public parisien (cent mille visiteurs en un mois...), le tournant caractéristique qui s'y dessine entre 1781 et 1785, l'apparition des thèmes guerriers et héroïques qui se mêlent aux thèmes badins et sentimentaux, « l'amour de la vie et de tous ses fruits, [dissimulant] pour quelques mois encore la dangereuse, la malsaine, l'affreuse séduction de la mort. » Oui, « ce terrible complexe suicidaire n'atteint pas seulement les êtres, il peut aussi atteindre les peuples ou une classe sociale tout entière. » Voilà ce qu'ont à juste titre souligné les auteurs au cours de leur livre brillant et amer. Une des ultimes images reproduit le visage pathétique de l'« Autrichienne » conduite au supplice, telle que la vit le régicide Louis David d'une des fenêtres de Paris ensanglanté. Un chef-d'œuvre atroce. Mieux que tout autre, il symbolise l'« impossible bonheur » de Marie-Antoinette." (Yvan Christ, Revue des Deux Mondes, 1970)
Lausanne, Edita . Lazarus, 1970, in-4, cart. toilé bleu orné sur le plat sup. d'un médaillon décoré de trois fleurs de lys et jaquette éd., 239 pp., 259 illustrations dont 159 en couleurs, 4 hors-texte sur doubles pages, fac-similés, index des illustrations. Texte sur deux colonnes. (GL27A)
Cachet d'appartenance à sec.