1992 Paris, PUF (Collection "Histoires"), 1992, in 8° broché, 496 pages ; figures dans le texte ; couverture illustrée.
Exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé de la la traductrice, sur la page de faux-titre. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Cambridge (Mass.) et Londres, Harvard University Press, 1985, gr. in-8°, xiv-398 pp, 41 figures et 15 tableaux, biblio, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état. Edition originale, envoi a.s. de Paul Hohenberg. Texte en anglais
"La formation de l'Europe urbaine (XIe-XXe siècles) : le sujet est d'envergure. Les auteurs n'ont pas prétention à l'exhaustivité. Ils situent leur étude dans une perspective purement économique et sociale et s'ils admettent avoir moins insisté sur les aspects politiques, culturels ou morphologiques du développement des villes, leur approche dynamique des mécanismes qui ont contribué à créer les conditions favorables à l'épanouissement urbain s'impose comme une synthèse très stimulante de nos connaissances. Le cadre chronologique et spatial choisi est à la mesure de l'objet : l'analyse du processus d'urbanisation s'inscrit tout naturellement dans la longue durée – le millénaire qui mène des communes médiévales aux agglomérations de l'ère industrielle – et dans l'espace européen pris dans son acception la plus large, de l'Irlande à Constantinople, de Gibraltar à l'Oural. D'inspiration braudélienne, la démarche de Paul Hohenberg et de Lynn Hollen Lees saisit les villes dans la spécificité de leurs fonctions économiques et culturelles : lieux de production et d'échanges - échanges de populations, de biens, d'informations –, mais aussi centres de pouvoir..." (Line Teisseyre-Sallmann, Annales, Histoire, Sciences Sociales, 1988)
PUF, 1992, in-8°, 496 pp, avant-propos de Pierre Chaunu, 41 figures et 15 tableaux, biblio, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
"La formation de l'Europe urbaine (XIe-XXe siècles) : le sujet est d'envergure. Les auteurs n'ont pas prétention à l'exhaustivité. Ils situent leur étude dans une perspective purement économique et sociale et s'ils admettent avoir moins insisté sur les aspects politiques, culturels ou morphologiques du développement des villes, leur approche dynamique des mécanismes qui ont contribué à créer les conditions favorables à l'épanouissement urbain s'impose comme une synthèse très stimulante de nos connaissances. Le cadre chronologique et spatial choisi est à la mesure de l'objet : l'analyse du processus d'urbanisation s'inscrit tout naturellement dans la longue durée – le millénaire qui mène des communes médiévales aux agglomérations de l'ère industrielle – et dans l'espace européen pris dans son acception la plus large, de l'Irlande à Constantinople, de Gibraltar à l'Oural. D'inspiration braudélienne, la démarche de Paul Hohenberg et de Lynn Hollen Lees saisit les villes dans la spécificité de leurs fonctions économiques et culturelles : lieux de production et d'échanges – échanges de populations, de biens, d'informations –, mais aussi centres de pouvoir..." (Line Teisseyre-Sallmann, Annales, Histoire, Sciences Sociales)