P., Didot, 1823, un volume in 4, broché, couverture muette moderne, 61pp.
---- EDITION ORIGINALE de la THESE de doctorat présentée par C.L.S. HEURTELOUP à la Faculté de médecine de Paris le 29 Mai 1823 ---- "C.L.S. Heurteloup est reçu docteur en médecine en 1823. Il est connu pour ses travaux sur la lithotritie et le thocénose, évacuation de la pierre par aspiration. Il invente, avec Civiale et Leroy d'Etiolles un lithotome pour broyer les calculs vésicaux par voie urétrale" ---- "Among the isolated french contributons of importance are... the introduction of lithotrity by Leory d'Etiolles, Civiale and Heurteloup...". (Garrison History of medicine p. 493) ---- Du diagnostic des inflammations internes chez les enfans et principalement chez ceux qui viennent de naître -Ophthalmie - Coryza - Membranes muqueuses du larynx et de la trachée, de l'estomac et de l'intestin grèle - Inflammtion de la membrane muqueuse du gros intestin - etc**2666/E7.Doss
Paris, Firmin Didot, imprimerie, 1827, in-8, [4]-104 pp. 1 pl. dépl, Demi-basane olive postérieure, dos lisse et fleuronné, pièce de titre rouge, Édition originale ce pamphlet peu courant. La planche en lithographie représente et compare les lithopriones utilisés par Civiale et Leroy d'Etiolles. L'auteur entend ici se défendre des attaques portées contre lui par l'un de ses principaux ennemis, Jean Civiale (1792-1867) à la suite de la publication de son ouvrage sur la lithotritie (Civiale. De la lithotritie, ou broiement de la pierre dans la vessie. Paris, Béchet, 1827); il tente, dans le même mouvement, de retourner l'opinion de l'Académie contre lui, qu'il accuse de plagiat et d'incompétence. Un tableau analytique sur plusieurs pages résume les observations relevées dans l'ouvrage de Civiale et comporte les réflexions de l'auteur en regard. Heurteloup (1793-1864) fut en effet d'un des nombreux urologues pouvant prétendre avoir introduit la lithotritie moderne. Il contribua ainsi au perfectionnement des instruments destinés à broyer les calculs, à l'instar de Civiale, Amussat et Leroy d'Étiolles, chacun mettant en avant sa méthode et défendant son invention. Heurteloup déprécie ici les instruments mis au point par ses adversaires et raille en particulier ceux de Civiale, invitant ses lecteurs à "embarrasser" leur inventeur en lui demandant de les manoeuvrer en leur présence (p. 104). Dos insolé et usagé. Rousseurs, principalement en tête et en fin d'ouvrage, ainsi que sur la planche; petite déchirure sans manque à la planche. Couverture rigide
Bon [4]-104 pp. 1 pl. dépl.
Paris, Imprimerie du Départment de la Guerre, 1793. 39 pages. (19x12 Cm). Dérelié. Heurteloup, né à Tours en 1750, mort en 1812 fut nommé en 1782 chirurgien major des hôpitaux de la Corse, puis directeur de l'hôpital militaire de Toulon. A partir de 1793 il siégea au Conseil de Santé. Mouillures et rousseurs éparses.
Paris, Labé, 1855. 224 pages (14x23cm). Couverture imprimée dont il manque le plat inférieur. Plat supérieur dérelié. Dos fendillé. Petits manques de papier dans les marges. Exemplaire non rogné. Rousseurs. Edition Originale. Le Baron Heurteloup (1793-1864) fut un des grands spécialistes des maladies des voies urinaires.
Paris, Labé, 1859. 380 pages. (23x14 Cm). Broché. Couverture imprimée. Dos cassé avec manque de papier. Salissures. Heurteloup était médecin et homme militaire français qui occupe pendant une période la fonction de chirurgien sous-aide dans l'armée de Louis XV qui est stationnée en Corse. Couverture fragilisée. Exemplaire non-coupé. Rares rousseurs.
Grenoble, imprimerie Breynat, 1892, 1 broché, hommage de l'auteur. in-8 de 176 pages, ex-dono autographe de Victor Colomb ;
Phone number : 06 80 15 77 01
Paris Imprimerie du Département de la guerre 1793 plaquette in-8 de 39 pp. demi-veau [Rel. moderne],
V. Rozier 2031.Edition originale. Heurteloup, né à Tours en 1750 et mort à Paris en 1812, étant nommé en 1770 chirurgien élève à l'Ile de Corse. Avançant rapidement dans la carrière de chirurgien militaire il obtint en 1782 le poste de chirurgien major des hôpitaux de la Corse, et fut placé en 1786 à la tête de l'hôpital militaire de Toulon. Enfin en 1793 il entra au conseil de santé, dans lequel il siégea jusqu'à sa mort. (Hoefer)