2 books for « herzen alexandre ivan... »Edit

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‎Herzen (Alexandre Ivanovitch)‎

Reference : 87268

(1956)

‎Textes philosophiques choisis‎

‎Editions en Langues Etrangères, Moscou Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1956 Book condition, Etat : Bon relié, cartonnage éditeur pleine percaline, bordeaux et blanc, illustré d'un portrait de A. Herzen en médaillon fort et grand In-8 1 vol. - 663 pages‎


‎1 photographie de A. Herzen en frontispice 2eme édition, 1956 "Contents, Chapitres : V. Lénine : A la mémoire de A. Herzen - Le dilettantisme dans la science - Lettres sur l'étude de la nature - Extraits du journal - A propos des cours publics de M. Granovski - Les cours publics de M. Le professeur Roulier - De l'autre rive - Le peuple russe et le socialisme, lettre à Jules Michelet - Lettre à Alexandre Tchoumikov - La jeune Moscou, extrait des Mémoires et pensées - Lettres à un adversaire - Lettre à son fils Alexandre Herzen - A un vieux camarade - Notes et index - Alexandre Ivanovitch Herzen, né le 25 mars 1812 (6 avril dans le calendrier grégorien) à Moscou et mort le 9 janvier 1870 (21 janvier dans le calendrier grégorien) à Paris, est un philosophe, écrivain et essayiste politique occidentaliste russe. Connu comme le « père du socialisme populiste russe », il est considéré comme un inspirateur du climat politique qui a mené à l'abolition du servage de 1861. - Il reçoit une éducation aristocratique, développant une sensibilité précoce aux idées révolutionnaires et un caractère impétueux. Le soulèvement des décabristes, en décembre 1825, est un événement-clé dans la vie de Herzen. « Les récits du soulèvement, du procès, de l'épouvante qui régnait à Moscou, me firent une très forte impression ; un monde nouveau m'était révélé, vers lequel convergeait de plus en plus ma vie intérieure. Je ne sais comment cela se fit, mais tout en comprenant peu, ou de façon vague, ce que tout cela signifiait, je sentais que je ne me trouvai pas du côté de la mitraille et de la victoire, de la prison et des chaînes. L'exécution de Pestel et de ses camarades tira définitivement mon âme de son sommeil d'enfant. » Herzen entre à l'université de Moscou en 1830. Arrêté le 9 juillet 1834 (21 juillet dans le calendrier grégorien), il est jugé et subit un bannissement à Perm et à Viatka de 1834 à 1838. En mars 1838, il revient clandestinement à Moscou et, le 9 mai 1838, il épouse Natalie Zakharine. En 1841, il s'installe à Saint-Pétersbourg, où il continue sa carrière de fonctionnaire. Il redevient suspect et se retrouve bientôt à Novgorod avec sa femme et leurs deux enfants ; l'un d'eux Alexandre A. Herzen devient professeur de physiologie à Lausanne. Il passe la frontière russe le 19/31 janvier 1847 et s'installe à Paris, où il collabore avec Proudhon. Il part en Italie en octobre. En février 1848, il est à Rome, où il apprend les événements de 48. Il revient précipitamment à Paris. Outre l'échec politique de la révolution, il vit alors plusieurs épisodes personnels douloureux. D'abord, sa femme Nathalie, délaissée pour la politique, prend comme amant le poète allemand, Georg Herwegh (le couple ne se réconcilie qu'en 1851), puis en 1851, la mère de Herzen et l'un de ses fils se noient dans un naufrage au large des îles de Lérins. Le 2 mai 1852, c'est son épouse qui meurt de tuberculose. Parti de Paris pour Londres, le 25 août 1852, il vit entre Genève, Nice et Paris. Patriote, il s'occupe principalement de combattre le régime tsariste par ses articles dans L'étoile polaire (1857-65). De 1857 à 1865, avec Nikolaï Ogarev, il publie Kolokol (La Cloche), journal d'inspiration socialiste libertaire et visant la cause révolutionnaire russe. L'intellectuelle Malwida von Meysenbug fait connaître au public allemand les travaux d'Alexandre Herzen en tant que militant politique et écrivain. Dans les années 1860, il rencontre à plusieurs reprises l'écrivain Fiodor Dostoïevski, qui le tenait en haute estime. Malgré la censure, ses articles ont un grand impact en Russie, notamment sur Pierre Kropotkine, qui décrit, dans ses mémoires, la lecture de L'Étoile polaire comme un élément l'ayant poussé à la réflexion politique. Mort à Paris le 9 janvier 1870 (21 janvier dans le calendrier grégorien), juste avant la Commune, il repose à Nice au cimetière du château. (source : Wikipedia)" bon exemplaire, frais et propre, papier à peine jauni‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR15.00 (€15.00 )

‎HERZEN (Alexandre Ivanovitch).‎

Reference : 6214

(1847)

‎[A qui la faute ? ]‎

‎Pratz, Saint-Pétersbourg, 1847. 1847 1 vol in-8° (235 x 150 mm) de 222 pp. (rousseurs et légères salissures sur les pages, ex-libris gravé collé sur le premier contre-plat). Demi basane à coins d'époque, dos lisse orné et titré en cyrillique, plats recouverts de papier marbré. (dos et coins discrétement restaurés)‎


‎Rare exemplaire de lédition originale de ce roman social dû à Alexandre Ivanovitch Herzen (1812-1870), philosophe, écrivain et essayiste politique occidentaliste russe considéré comme le « père du socialisme populiste russe » et inspirateur de l'abolition du servage de 1861. Alexandre Herzen est le fils Henriette-Wilhelmine Luisa Haag (1795-1851), une jeune servante allemande recueillie par Ivan Alexeïevitch Iakovlev, haut représentant de l'aristocratie russe. Il reçoit une éducation aristocratique, largement en français, développant une sensibilité précoce aux idées révolutionnaires et un caractère impétueux. Le soulèvement des décabristes, en décembre 1825, est un événement-clé dans sa vie. « Les récits du soulèvement, du procès, de l'épouvante qui régnait à Moscou, me firent une très forte impression [] L'exécution de Pestel et de ses camarades tira définitivement mon âme de son sommeil d'enfant. » (Alexandre Herzen, Passé et Méditation). Il subit un bannissement à Perm et à Viatka de 1834 à 1838. En mars 1838, il revient clandestinement à Moscou et épouse Nathalie Zakharine (1817-1852), une épistolière et écrivaine russe. En 1841, il s'installe à Saint-Pétersbourg où il poursuit une carrière de fonctionnaire. Devenu suspect, Il passe la frontière russe avec sa femme et leurs deux enfants le 31 janvier 1847 et s'installe à Paris, où il devient un proche de Proudhon. En 1748, Après un court séjour Rome, Il vit entre Genève, Nice et Paris. Patriote, il s'occupe principalement de combattre le régime tsariste par ses articles dans L'Étoile polaire (1857-1865). De 1857 à 1865, avec Nikolaï Ogarev, il publie Kolokol (La Cloche), journal d'inspiration socialiste libertaire visant la cause révolutionnaire russe. L'intellectuelle Malwida von Meysenbug fait connaître au public allemand ses travaux de militant politique et écrivain. Dans les années 1860, il rencontre à plusieurs reprises l'écrivain Fiodor Dostoïevski qui le tient en haute estime. Malgré la censure, ses articles ont un grand retentissement en Russie, notamment sur Kropotkine qui décrit, dans ses Mémoires, la lecture de L'Étoile polaire comme un élément l'ayant poussé à la réflexion politique. Il meurt à Paris le 9 janvier 1870 juste avant la Commune. Dédié à, son épouse Natalia Alexandrovna Zakarine, « À qui la faute ? » était dabord paru, en partie censuré, dans la revue Otechestvennye Zapiski (1845-1846). Il est considéré comme le premier roman purement « social » de la littérature russe. Le célèbre critique littéraire russe Vissarion Belinsky (1811-1848) a écrit que ce roman est « artistiquement faible, mais qu'il constituait une précieuse analyse sociale et psychologique de la vie russe contemporaine ». Dans la première partie, Dmitri Kroutsiferski, fils pauvre d'un médecin de province, est engagé comme tuteur du fils du riche propriétaire terrien Negrov. Kroutsiferski finit par épouser Lioubov, la fille illégitime de Negrov. Dans la deuxième partie, Kroutsiferski et Lioubov vivent un mariage heureux et ont un enfant. Leur bonheur est brisé lorsqu'un jeune et riche propriétaire terrien, Beltov, se lie d'amitié avec la famille et entame une relation illicite avec Lioubov. Beltov finit par quitter la Russie pour l'Europe, laissant le jeune couple avec un mariage brisé et sans espoir. La première partie est une satire de la petite noblesse terrienne russe, révélant sa grossièreté et sa mesquinerie. La deuxième partie présente le type de « l' homme superflu » en la personne de Beltov. Provenance : collection dun exilé russe : « Popov » (ex-libris en Exemplaire conservé dans sa reliure russe dorigine. 1 vol. 8vo (235 x 150 mm) with 222 pp. (foxing and slight soiling to pages, engraved bookplate pasted to first counterplate). Contemporary half basane with corners, smooth spine decorated and titled in Cyrillic, boards covered with marbled paper (spine and corners discreetly restored). A rare copy of the first edition of this social novel by Alexander Ivanovich Herzen (1812-1870), a Russian Westernist philosopher, writer and political essayist considered the father of Russian populist socialism and the inspiration behind the abolition of serfdom in 1861. Alexander Herzen was the son of Henriette-Wilhelmine Luisa Haag (1795-1851), a young German servant taken in by Ivan Alexeyevich Yakovlev, a high-ranking member of the Russian aristocracy. He received an aristocratic education, largely in French, developing an early sensitivity to revolutionary ideas and an impetuous character. The Decabrist uprising in December 1825 was a key event in his life. The accounts of the uprising, the trial and the terror that reigned in Moscow made a very strong impression on me [...] The execution of Pestel and his comrades definitively awakened my soul from its childish slumber. (Alexander Herzen, Past and Meditation). He was banished to Perm and Viatka from 1834 to 1838. In March 1838, he returned illegally to Moscow and married Nathalie Zakharine (1817-1852), a Russian letter-writer. In 1841, he moved to St. Petersburg, where he pursued a career as a civil servant. Having become a suspect, he crossed the Russian border with his wife and their two children on January 31, 1847, and settled in Paris, where he became close to Proudhon. In 1748, after a short stay in Rome, he lived between Geneva, Nice and Paris. A patriot, his articles in L'Étoile polaire (1857-1865) focused on the Tsarist regime. From 1857 to 1865, with Nikolai Ogarev, he published Kolokol (The Bell), a libertarian socialist-inspired newspaper dedicated to the Russian revolutionary cause. The intellectual Malwida von Meysenbug introduced his work as a political activist and writer to the German public. In the 1860s, he met writer Fyodor Dostoyevsky on several occasions, who held him in high esteem. Despite censorship, his articles had a great impact in Russia, not least on Kropotkin, who in his Memoirs describes reading The North Star as having inspired him to think politically. He died in Paris on January 9, 1870, just before the Commune. Dedicated to his wife Natalia Alexandrovna Zakarine, Whose fault is it? was first published, partly censored, in the magazine Otechestvennye Zapiski (1845-1846). It is considered the first purely social novel in Russian literature. The famous Russian literary critic Vissarion Belinsky (1811-1848) wrote that the novel was artistically weak, but a valuable social and psychological analysis of contemporary Russian life. In the first part, Dmitri Kroutsiferski, the poor son of a provincial doctor, is hired to tutor the son of the wealthy Negrov landowner. Kroutsiferski ends up marrying Lyubov, Negrov's illegitimate daughter. In the second part, Krusifersky and Lyubov enjoy a happy marriage and have a child. Their happiness is shattered when a wealthy young landowner, Beltov, befriends the family and begins an illicit relationship with Lyubov. Beltov eventually leaves Russia for Europe, leaving the young couple with a broken and hopeless marriage. The first part satirizes the Russian landed gentry, revealing their coarseness and pettiness. The second part presents the type of superfluous man in the person of Beltov. Provenance: collection of a Russian exile: Popov (bookplate in French). Copy preserved in its original Russian binding.‎

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