Macon / protat freres editeur 1917 in4. 1917. Broché. 141 pages. Bon Etat Jules Courmont né à Lyon le 24 janvier 1865 et mort dans la même ville le 24 février 19171 est un médecin et biologiste français
Sans lieu 1944 in8. 1944. agrafé. manque n° 9 Bon Etat intérieur propre
Librairie hachette 1932 in12. 1932. Broché. 177 pages. Bon Etat
Payot 1919 12x18. 1919. reliure demi-basane. 345 pages. état intérieur propre et sans rousseurs couverture très frottée sur ses bords
Hachette, 1925, in-12, 369 pp, reliure demi-basane verte, dos lisse orné de motifs floraux, titres dorés, couv. illustrée d'un bois gravé conservée, tête dorée (rel. de l'époque), bon état. Edition originale tirée à 2215 ex., un des 2000 ex. numérotés sur papier vélin du Marais
"M- Herriot sait comprendre Rancé, la Trappe, l'oeuvre et la grandeur des moines de la plus sévère observance ; il rend justice à Charlotte Corday et lave de diverses calomnies la courageuse meurtrière. De la première page à la dernière, il évoque, non pas toute la Normandie, mais toute la « forêt normande », c'est à dire qu'il exclut de son domaine la vallée de la Seine. Les quatre premiers chapitres se rapportent surtout à la description imagée et poétique du sol, de la race et de toute l'admirable flore architecturale qui, au Moyen-âge et à la Renaissance, poussa de Lisieux à Caen, Falaise, Bayeux, Coutances... Cinquième chapitre : le tourment de M. de Rancé.- Sixième et dernier : un couteau de 40 sous (celui qui tua Marat)." (Louis Béthléem, Revue des Lectures, 1926) — "Pour le touriste en Normandie, M. Edouard Herriot, qui publie aujourd'hui “Dans la forêt normande”, sera désormais un guide idéal. C'est plaisir de s'attarder, avec lui, de Caen, musée de la Renaissance, véritable capitale de la Normandie secrète, à Vire, capitale du Bocage, « villette de granit et d'ardoise, de calme et d'opulence, de quiétude et de bonne chère » ; de Carouges, aux maisons de pierre noire, toutes rehaussées de géraniums rouges, à Coutances, cité des roses ; de Falaise et de son faubourg de Guibray, si bruyant au XIIIe siècle et baignée, de nos jours, d'« adorable silence », à Mayenne, où l'on croit rencontrer la grande ombre de Mme de Sévigné et à Fougères où, mieux qu'on n'admire ses tours et ses courtines, on comprend le drame du rattachement de la Bretagne à la France ; de Bêllème, blottie au coeur de sa futaie de hêtres, au Merlerault, célèbre par ses herbes et où les étalons s'appellent Raphaël, Voltaire, Homère ou Dupleix, et jusqu'à Flers, à Villers, à Condé, à Alençon « qui donne à la Normandie une vue sur les splendeurs dorées de l'Ile-de-France, comme le roc de Graaville lui assure un regard sur les lointains infinis de la mer ». Des fleurs et de la lumière de Normandie, M. Herriot parle en poète, avec une tendresse subtile et colorée. Mais c'est avec un lyrisme plein de force qu'il peint la forêt, la forêt qui a “fait” la race ; les clairières jonchées de « chablis », les écorces crevassées sous la « gélivure » ; la lutte des espèces : celle des arbres contre les arbres, celle des fauves contre les fauves, cette dernière se terminant d'ailleurs, presque au regret de l'auteur, par la victoire de l'homme. Historien, M. Herriot rencontre à chaque pas l'Histoire – que ce soit au mont Saint-Michel ou dans la forêt d'Andaine au joli nom de fée... Deux physionomies pittoresques et sympathiques nous sont enfin restituées par le livre de M. Herriot celle de l'abbé de Rancé, le célèbre ami de Chateaubriand, et celle de Charlotte Corday, que nous suivons du domaine familial du Mesnil-Imbert jusqu'au Palais-Royal où elle achète le couteau de quarante sous avec lequel elle va tuer Marat précurseur du bolchevisme, selon M. Herriot..." (Le Petit Parisien) —"M. Edouard Herriot, dont on connaît le beau talent d'écrivain, nous invite à admirer en sa compagnie les beautés naturelles et artistiques qui peuplent la terre normande et à parcourir avec lui les innombrables souvenirs laissés par le passé dans cette région..." (Le Figaro) — "Le volume de M. Herriot contient aussi un aperçu de l'histoire normande, notamment au point de vue de l'art, et deux études sur Rancé et Charlotte Corday..." (A. Albert-Petit, Journal des débats politiques et littéraires) — Table : I. La Terre et la Race ; II. Aux temps héroïques ; III. Un Parthénon chrétien ; IV. Regards sur la Renaissance ; V. Le tourment de M. de Rancé ; VI. Un couteau de quarante sous (Caen et l'insurrection girondine, Marat et Charlotte Corday).
Cahier des amis des moulins 1935 in8. 1935. Broché. 75 pages. Bon état (BE) interieur propre
Tallandier in8. Sans date. Broché. 64 pages. Bon Etat couverture usée aux angles
Fasquelle 1930 in8. 1930. Broché. 48 pages. Etat Correct trace d'humidite sur la couverture
Nouvelle librairie de france 1958 in4. 1958. Reliure editeur. 375 pages. Bon Etat
Nouvelle librairie de france 1958 in4. 1958. Reliure editeur. 412 pages. Bon Etat
Nouvelle librairie de france 1958 in4. 1958. Reliure editeur. 379 pages. Bon Etat
Nouvelle librairie de france 1966 in4. 1966. Reliure editeur. 614 pages. Bon Etat
Nouvelle librairie de france 1958 in4. 1958. Reliure editeur. 384 pages. Bon Etat
Hachette / le pays de france in4. Sans date. Cartonné. envoi suivi pour la France et l'étranger Bon Etat nombreuses photographies d'époque
Hachette 1933 in12. 1933. Broché. 247 pages. veuillez lire la description complète de nos annonces avec leur état ; envois en suivi pour la France et l'étranger Bon Etat intérieur propre sans rousseurs quelques taches sur la couverture
Flammarion, 1948, in-8°, 268 pp, broché, pt accroc au 2e plat, bon état. Edition originale, un des 550 ex. numérotés sur Beau Vélin
Tome I seul (sur 2) des souvenirs de Edouard Herriot (1872-1957). Fils d’un officier d’infanterie, il obtint une bourse pour préparer l’École normale supérieure. Il y fut reçu en 1891, et obtint en 1893 son agrégation de lettres, qui lui ouvrit les portes d’une brillante carrière d’universitaire. Il fut d’abord professeur à Nancy, puis à Lyon, en classe de rhétorique. Après un premier ouvrage consacré à Philon le Juif et l’école d’Alexandrie, couronné par le prix Victor Cousin de l’Académie des Sciences morales et politiques, il soutint sa thèse de doctorat sur Madame Récamier. À Lyon, il s’engagea dans l’Affaire Dreyfus aux côtés d’Emile Zola, Anatole France et Charles Péguy, et fonda la section lyonnaise de la ligue des Droits de l’Homme. Il entra véritablement en politique dans le sillage du maire de la capitale des Gaules, Augagneur, qui, en 1904, le prit sur sa liste aux élections municipales. Herriot allait lui succéder à la mairie en 1905. Figure montante du parti radical, il fut élu en 1912, à quarante ans – l’âge minimum requis –, sénateur du Rhône. Pendant la Première Guerre mondiale, il fut appelé comme ministre des Travaux publics, du transport et du ravitaillement dans le cinquième ministère Briand. À l’issue du conflit, le parti radical-socialiste, moribond, le porta à sa tête ; il le reconstruisit. En 1923, ce parti, sous son impulsion, s’associa avec la SFIO pour fonder le Cartel des gauches. Après la victoire du Cartel, aux élections législatives de 1924, Herriot devint chef du gouvernement, mais tomba bientôt, renversé sous l’influence des milieux de la banque et de l’industrie hostiles à sa politique financière. Jusqu’aux années 1930, Edouard Herriot devait poursuivre sa carrière de parlementaire. Il revint également au gouvernement comme ministre de l’Instruction publique dans le cabinet de l’Union nationale fondé par Raymond Poincaré en 1926. À ce poste, dans un climat politique apaisé, il mit en œuvre la réforme de l’école unique. Il retrouva le chemin du pouvoir en 1932, à la tête d’un gouvernement de concentration qui ne devait durer que quelques mois. Après le 6 février 1934, il fut encore ministre d’état dans le gouvernement Doumergue, puis membre de plusieurs gouvernements de droite, cependant que son parti évoluait vers la gauche et le Front Populaire. En 1935, réservé quant à cette alliance, Herriot démissionnait de la présidence de son parti, où il fut remplacé par Daladier. Antimunichois de la première heure, partisan de la fermeté face à Hitler et soutien de Paul Reynaud, il s’abstint en 1940, alors qu’il était président de la Chambre, après avoir soutenu Paul Reynaud, de voter les pleins pouvoirs au maréchal Pétain. À l’été 1942, lorsque le gouvernement décida de dissoudre le bureau des Chambres, il fut mis en résidence surveillée, arrêté, puis déporté en Allemagne en 1944. À son retour en France à la Libération, il devait retrouver la direction du parti radical, la mairie de Lyon, et également la présidence de l’Assemblée nationale.
Ville de Lyon, 1919, Plaquette in ocavo de 30 pages en feuillets agrafés, ensemble un peu sali mais de belle tenue.
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Lyon, Syndicat des Fabricants de Soieries et Tissus de Lyon, Editions Archat, sd (1937), 1 plaquette, in-4, brochée, couverture rempliée, 15 p.. 4 illustrations couleur en hors texte de E. Cocard, 2 portraits noir et blanc hors texte de Edouard Herriot par Buchmann dont un sur soie.
Sous papier cristal d'origine. Superbe exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Paris, Publications de la Sorbonne, Série « Etudes », 1975. In-8, broché, couverture illustrée d'un portrait d'Edouard Herriot, 193 pages. Tirage limité à 1200 exemplaires numérotés. Etudes et témoignages par René Cassin, J.B. Duroselle, Pierre Cot, Paul Bastid, Jean Georgel, Edouard Bonnefous, P.O. Lapie, Daniel Mayer, Pierre Mendès-France, etc. Etat de neuf.
Flammarion, 1950, in-12, 207 pp, broché, bon état
"Ces Mémoires portent sur les événements de 1940, à Bordeaux et à Vichy, puis sur l'arrestation dont la victime a gardé, on le conçoit, un amer souvenir. Il est seulement fâcheux que M. Herriot n'ait pas su conserver un jugement plus impartial sur les affaires publiques. C'est ainsi que l'armistice lui apparaît non seulement comme une manifestation anglophobe, mais comme une mesure dirigée contre le Parlement et même la République !" (Henri du Passage, Etudes, 1950) — "Jules Jeanneney et Edouard Herriot, le 10 juillet 1940, n'avaient brillé ni par leur courage, ni par leur clairvoyance. Sacrifiant à un juridisme pointilleux, les deux présidents s'étaient résolus à immoler la République sur l'autel de l'unité nationale. Sans adhérer aux principes de la révolution nationale, ils admettaient la légalité d'un régime qu'ils n'aimaient guère, sans chercher pour autant à le combattre." (Olivier Wieviorka). — Le 9 juillet 1940 au matin, Edouard Herriot prend la parole devant la Chambre des députés. Après avoir fait état du décret de convocation, il déclare ouverte la session extraordinaire et enchaîne par une brève allocution écoutée debout par les députés, sans faire mention, même d'un mot, à l'armistice. Une véritable ode au Maréchal Pétain, et aucune mise en garde sur les périls du débat qui s'ouvre... Il conclut, en appelant au rassemblement autour du maréchal Pétain. Il n'hésite pas à parler de « vénération », avant de critiquer une République devenue « trop facile ».
Club du Livre du Mois collection Broché D'occasion bon état 01/01/1957 473 pages
Pïerre de Tartas 1954 Pierre de Tartas, 1954, feuillets sous chemise papier illustrée et emboîtage. N°13 sur vélin de Rives, avec un envoi d'Edouard Herriot, lithographies originales de René Aubert. Un envoi d'Edouard Herriot, 1 esquisse originale signée, 1 suite des planches en noir avec remarques sur Vélin d'Arches et 1 suite en noir sur Vélin de Rives. Etui de l'emboîtage insolé et légèrement frotté par endroits, dos de la chemise de l'emboîtage insolé. Bon état pour le reste et intérieur très propre.
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Un volume in 8, 1/2 chagrin marron. plats de papier marbré bleu-vert. titre doré. tête dorée. ébarbé. couvertures conservées. Ex Libris de Joseh Eugène Brizon. reliure époque. Exemplaire N° 729 / 2215 sur vélin. 369 pages. Edité à la librairie Hachette, en 1925, avec un joli bois sur la couverture et reprise sur la page de titre. Envoi : " A mon ami Brizon. Cordialement. E. Herriot."EDITION ORIGINALE. Exemplaire propre.Édouard Herriot (1872 -1957 ) est un homme politique français, membre du Parti radical. Maire de Lyon et Sénateur. Il a été président du Conseil à trois reprises : de 1924 à 1925, pour deux jours en 1926, et en 1932. En 1946, il est élu membre de l'Académie française.