1885 Paris, Ollendorff, 1885 , 1888, 1889 ; 3 volumes in-18 de VIII - 316pp.; (4) - V- (I) - 384pp.; VII - (I) - 388pp. ; les 3 volumes en reliure uniformé, demi-basane violine, dos à nerfs, filts pointillés dorés sur les nerfs, auteur et titre dorés. Les 3 volumes bien que portant des mentions d'édition, sont à la date des éditions originales. Reliure uniforme très légèrement frottée, bon exemplaire.
Maurice Irisson d'Hérisson, dit le Comte d'Hérisson (Paris 1839 - Constantine 1893), était officier et publiciste, il donna plusieurs essais historiques. Il traite ici de la bataille et du siège de Metz où ka France capitula en aout 1870, de la Guerre de 1870 et de la Commune. Il fut membre de l'état-major de Trochu en tant qu'officier d'ordonnance, et il participa au côté de Jules Favre aux négociations avec la Prusse de Bismarck. (GrG)
Paris, Basset, 1827. En 36 sections montées sur toile et pliées, formant une carte de 0,95 x 1,23 m.
Belle carte murale routière de la France, dressée par Eustache Hérisson, et publiée en 1827. Elle a été dressée d'après les actes du Congrès de Vienne, et le Traité de paix du 20 novembre 1815. Le Congrès de Vienne, prévu par le premier Traité de Paris du 30 mai 1814, s'était déroulé du 18 septembre 1814 au 9 juin 1815, afin de redéfinir les frontières de l'Europe après la chute de Napoléon. Quant au Traité de paix, il fut signé à Paris le 20 novembre 1815, à la suite de la défaite de Napoléon à Waterloo, de son abdication et de la restauration de Louis XVIII. La France fut alors ramenée à ses frontières de 1790. Le nombre de ses départements fut réduit à 86, alors qu'ils étaient 133 lors des conquêtes napoléoniennes. La carte figure le réseau routier détaillé du royaume de France, et montre les routes de 1ère, 2ème et 3ème classe, et les routes départementales. Elle indique également les tribunaux de 1ère instance, les tribunaux de commerce, les cours d'assises, les cours royales, les manufactures d'armes, les stations de poste, ainsi que les lieux de bataille. La Corse est représentée séparément en bas à droite (177 x 118 mm). Cartographe et ingénieur-géographe, Eustache Hérisson fut l'élève de Rigobert Bonne, ingénieur hydrographe de la Marine. Bel exemplaire, contours aquarellés à l'époque.
P., Ollendorff, 1885, in-12, v-384 pp, neuvième édition, reliure demi-basane verte, dos lisse à doubles filets pointillés (rel. de l'époque), rousseurs, bon état
Le capitaine Maurice d'Hérisson, après avoir participé à la conquète de Pékin avec le général Cousin de Montauban, a appartenu à l' état-major du général Trochu et a assisté Jules Favre lors des négociations avec Bismarck. Il raconte ici sa guerre de 1870 contre les Prussiens. Excellent journal, rempli d'intéressants détails et anecdotes sur Paris pendant le Siège. — "Un volume au titre modeste, consacré en grande partie au siège de Paris par les Allemands. L'auteur, simple capitaine de mobiles, devenu officier d'ordonnance du général Trochu, parlant facilement plusieurs langues étrangères, et en particulier l'allemand, a été souvent chargé de missions importantes ; s'est trouvé en contact, à plusieurs reprises, avec des hommes considérables français, allemands et même americains ; il a pris part à de grands événements et les raconte dans son livre avec un charme inexprimable. Son ouvrage est amusant, saisissant, intéressant au dernier point. Nous allons l'analyser rapidement. Le comte d'Hérisson, capitaine de mobiles, ayant fait l'expédition de Chine auprès du général de Montauban, se trouvait à New-York au moment de la guerre avec la Prusse. II s'embarque aussitôt, vient à Paris trouver le ministre de la guerre, son ancien général, qui le dirige sur le camp de Châlons. Connu du général Schmitz, chef d'état-major de Trochu, il est attaché comme officier d'ordonnance à ce dernier général avec lequel il revient à Paris. II prend au siège la part la plus active, est journellement envoyé en mission, et, au moment des négotiations, il est cédé à M. Jules Favre, qu'il accompagne, lorsqu'il s'agit de conclure l'armistice. Bien accueilli par les officiers allemands et par M. de Bismarck lui-même, il voit à plusieurs reprises ce dernier et M. de Moltke dans les conférences. II peint avec un grand brio ces différentes circonstances ; enfin, il est le héros de deux aventures curieuses : l'une relative à M. de Moltke, l'autre relative à M. de Bismarck, auquel il arrache in extremis une concession heureuse pour l'armée de Paris, et cela par sa seule initiative. Ce livre contient des appréciations très vraies et très justes sur les troupes, leur mise en route et le désordre qu'elles montrèrent dans les premiers moments de la guerre et au camp de Châlons. Un long épisode relatif au départ de l'impératrice de Paris, quelques mots élogieux sur la façon noble et digne avec laquelle la princesse Marie-Clotilde s'est retirée, enfin différents épisodes racontés de la façon la plus amusante nous ont paru de nature à intéresser les lecteurs, quels qu'ils soient. Une fois le volume commencé, on a de la peine à l'abandonner. Terminons en disant que le capitaine d'Hérisson, malgré les obligations qu'il a eues au loquace général Trochu, et tout en cherchant à l'exonérer des fautes qu'on lui a reprochées, tout en cherchant à expliquer sa conduite au 4 septembre et ses opérations pendant le siège, ne peut s'empêcher de laisser percer ce qu'il pense sur cet officier général, plus éloquent discoureur que grand chef militaire. L'auteur a imité en cela le général Lebrun qui, lui aussi, n'a pas craint de laisser entrevoir dans son livre la verité sur le duc de Magenta." (Baron A. Du Casse, Revue Historique, 1885)
P., Ollendorff, 1885, in-12, 384 pp, reliure demi-percaline carmin, dos lisse avec fleuron et double filet dorés, pièce de titre chagrin noir (rel. de l'époque), 2e plat de la reliure défraîchi, qqs rares rousseurs, bon état
Le capitaine Maurice d'Hérisson, après avoir participé à la conquète de Pékin avec le général Cousin de Montauban, a appartenu à l' état-major du général Trochu et a assisté Jules Favre lors des négociations avec Bismarck. Il raconte ici sa guerre de 1870 contre les Prussiens. Excellent journal, rempli d'intéressants détails et anecdotes sur Paris pendant le Siège. — "Un volume au titre modeste, consacré en grande partie au siège de Paris par les Allemands. L'auteur, simple capitaine de mobiles, devenu officier d'ordonnance du général Trochu, parlant facilement plusieurs langues étrangères, et en particulier l'allemand, a été souvent chargé de missions importantes; s'est trouvé en contact, à plusieurs reprises, avec des hommes considérables français, allemands et même americains ; il a pris part à de grands événements et les raconte dans son livre avec un charme inexprimable. Aussi, son ouvrage a-t-il un succés considérable. Il est amusant, saisissant, intéressant au dernier point. Nous allons l'analyser rapidement. Le comte d'Hérisson, capitaine de mobiles, ayant fait l'expédition de Chine auprès du général de Montauban, se trouvait à New-York au moment de la guerre avec la Prusse. II s'embarque aussitôt, vient à Paris trouver le ministre de la guerre, son ancien général, qui le dirige sur le camp de Châlons. Connu du général Schmitz, chef d'état-major de Trochu, il est attaché comme officier d'ordonnance à ce dernier général avec lequel il revient a Paris. II prend au siège la part la plus active, est journellement envoyé en mission, et, au moment des négotiations, il est cédé à M. Jules Favre, qu'il accompagne, lorsqu'il s'agit de conclure l'armistice. Bien accueilli par les officiers allemands et par M. de Bismarck lui-même, il voit à plusieurs reprises ce dernier et M. de Moltke dans les conférences. II peint avec un grand brio ces différentes circonstances ; enfin, il est le héros de deux aventures curieuses : l'une relative à M. de Moltke, l'autre relative à M. de Bismarck, auquel il arrache in extremis une concession heureuse pour l'armée de Paris, et cela par sa seule initiative. Ce livre contient des appréciations très vraies et très justes sur les troupes, leur mise en route et le désordre qu'elles montrèrent dans les premiers moments de la guerre et au camp de Châlons. Un long épisode relatif au départ de l'impératrice de Paris, quelques mots élogieux sur la façon noble et digne avec laquelle la princesse Marie-Clotilde s'est retirée, enfin différents épisodes racontés de la façon la plus amusante nous ont paru de nature à intéresser les lecteurs, quels qu'ils soient. Une fois le volume commencé, on a de la peine à l'abandonner. Terminons en disant que le capitaine d'Hérisson, malgré les obligations qu'il a eues au loquace général Trochu, et tout en cherchant à l'exonérer des fautes qu'on lui a reprochées, tout en cherchant à expliquer sa conduite au 4 septembre et ses opérations pendant le siège, ne peut s'empêcher de laisser percer ce qu'il pense sur cet officier général, plus éloquent discoureur que grand chef militaire. L'auteur a imité en cela le général Lebrun qui, lui aussi, n'a pas craint de laisser entrevoir dans son livre la verité sur le duc de Magenta." (Baron A. Du Casse, Revue Historique, 1885)
P., Ollendorff, 1890, in-12, iii-423 pp, important index des noms cités, reliure percaline brique, dos lisse avec pièce de titre basane noire, date dorée en queue, couv. conservées, bon état, ex-libris Jean-Claude Lachnitt
Vie et mort d'Eugène Louis Napoléon, fils de Napoléon III, qui vécut en Angleterre après la chute de l'Empire, et mourut tué par les Zoulous en Afrique du Sud en 1879. — "Le livre de M. d'Hérisson sur Napoléon IV sera lu avec intérêt à cause de celui qui en est l'objet. Peu de destinées sont aussi mélancoliques que celle de ce jeune prince, chevaleresque, enthousiaste, jeté dans l'exil au moment où il arrivait à l'adolescence, sur qui retombait l'effroyable responsabilité de crimes et de fautes dont il était innocent, poussé involontairement à la mort par une mère qui, pourtant, l'adorait. (...) La thèse de l'auteur est que Napoléon IV ait été victime d'une trahison organisée par les républicains avec l'aide des communards. En rapportant sérieusement de pareils contes, sur la foi de Fidus (E. Loudun), d'après le récit d'un communard anonyme publié par un journal dont on ne dit pas le nom, M. d'Hérisson donne la mesure de son esprit critique." (L. Farges, Revue historique, 1891)
J. Noël et Fourmage, éditeurs Carte 1854 Carte ancienne (env. 87 x 63 cm dépliée), de l'Empire Ottoman, théâtre de la guerre en Europe et en Asie, dressée par Hérisson, comprenant un plan de Constantinople, de Chouma et ses environs, de Varna et de Silistrie, ainsi que de magnifiques ornements aquarellés (drapeaux), 2e édition, 1854 ; un petit défaut dans la marge gauche, par ailleurs très bel exemplaire. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
1806 A Paris chez Desray, libraire, rue Hautefeuille 1806 IN8 oblong relié plein velin vert 45 cartes réhaussées de couleurs
1 mors fendu reliure d époque encore solide
P., Ollendorff, 1890, in-12, iii-423 pp, important index des noms cités, reliure demi-percaline, dos lisse avec pièce de titre basane noire, fleuron et double filet doré en queue (rel. de l'époque), dos lég. frotté, bon état
Vie et mort d'Eugène Louis Napoléon, fils de Napoléon III, qui vécut en Angleterre après la chute de l'Empire, et mourut tué par les Zoulous en Afrique du Sud en 1879. — "Le livre de M. d'Hérisson sur Napoléon IV sera lu avec intérêt à cause de celui qui en est l'objet. Peu de destinées sont aussi mélancoliques que celle de ce jeune prince, chevaleresque, enthousiaste, jeté dans l'exil au moment où il arrivait à l'adolescence, sur qui retombait l'effroyable responsabilité de crimes et de fautes dont il était innocent, poussé involontairement à la mort par une mère qui, pourtant, l'adorait. (...) La thèse de l'auteur est que Napoléon IV ait été victime d'une trahison organisée par les républicains avec l'aide des communards. En rapportant sérieusement de pareils contes, sur la foi de Fidus (E. Loudun), d'après le récit d'un communard anonyme publié par un journal dont on ne dit pas le nom, M. d'Hérisson donne la mesure de son esprit critique." (L. Farges, Revue historique, 1891)
Paris, Paul Ollendorff, 1885, in-8°, 2 ff. + V (+ 1) + 384 p., ex libris armoirié ‘René Grand d’Hauteville’, reliure en demi-cuir, titre doré au dos.
Phone number : 41 (0)26 3223808
2° édition. Paris, Ollendorff. 1890. In-12 (18x11). III-423 pages. Demi-lustrine bleue façon bradel.
Etude contenant 28 chapitres, portrait à pleine page d'après photographie, index. Bon état.
La Commune Paris, Ollendorff. 1889. In-12 (18x11). VII-388 pages. Demi-lustrine bleue façon bradel.
Cet ouvrage d'un Officier de carrière montre une certaine compréhension du mouvement insurrectionnel, et une hostilité totale à Thiers, auteur direct de la Commune et du massacre des otages il aurait fallu Henri IV, et il y eut Thiers. Sa sympathie va à Varlin et à Louise Michel (sa lettre en épilogue). Réf : Le Quillec n° 2261. Très bon état. Mention fictive 11° édition.
Roald Dahl, Janine Hérisson + Henri Robillot
Reference : RO20268938
(2008)
ISBN : 2070617149
GALLIMARD / FOLIO JUNIOR N°418. 2008. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Rousseurs. 267 PAGES - Nombreuses photos noir/blanc, dans et hors texte - exemplaire de bibliotheque avec divers tampons/annotations/etiquettes sans conséquence sur la lecture + recouvert d'un film plastique adhésif + renforts adhésif sur les charnières intérieures. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Roald Dahl, Janine Hérisson + Henri Robillot (Traduction) Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Paris, Stock, 1979. 13 x 23, 522 pp., quelques illustrations en N/B, cartonnage d'édition + jaquette, bon état (jaquette défraîchie).
traduit de l'américain par Janine Hérisson et Henri Robillot.
Paris, Paul Ollendorff Editeur, 1886 (4e édition). 1 volume in-12, 442 pp., demi-percaline rouge, plats cartonnés unis, couvertures imprimées conservées légèrement défraîchies, quelques rousseurs éparses, un petit trou en page de sommaire, bon état général. Ex-libris de Daniel Schlumberger.
Le Comte d'Hérisson était membre de la délégation diplomatique, en qualité d'interprète sinophone lors de l'Expédition de Chine de 1860. Il narre ici dans son journal les différents épisodes de son voyage, de la campagne militaire et du Sac du Palais d'été. Récit historique et pittoresque par un témoin oculaire de premier plan.
Paris Paul Ollendorff 1886 1 vol. relié in-12, demi-basane bordeaux, dos lisse orné de filets dorés, 442 pp. (dos un peu frotté). Mention de 18e édition. Signature manuscrite en page de garde. Bon exemplaire
Paris, Paul Ollendorff 1885 In-12 18 x 11 cm. Reliure demi-basane verte, dos lisse orné de filets dorés, V-384 pp., V-384 pp., table des matières.
Bon état d’occasion
Paris, Ledoyen, 1824. 557 x 759 mm.
Belle carte figurant les 86 départements de la France, dressée par le cartographe et ingénieur-géographe Eustache Hérisson, élève de Rigobert Bonne, ingénieur hydrographe de la Marine. Elle a été augmentée en 1824 par l'éditeur parisien Ledoyen. La Corse est représentée séparément en bas à droite. Sur la droite figure un tableau statistique des 86 départements, donnant pour chacun le chef-lieu, le nombre d'habitants du chef-lieu, et l'ancienne province dont répondait le département. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire, contours aquarellés à l'époque.
Paris, Paul Ollendorff 1885 In-12 18 x 11,5 cm. Reliure demi-chagrin havane, dos à nerfs encadrés de petis fers dorés, V-384 pp. Exemplaire en bon état.
Bon état d’occasion
Paris, Paul Ollendorff Editeur, 1886 (3e édition). 1 volume in-12, 442 pp., demi-basane à coins, dos à nerfs, plats cartonnés marbrés, tranches jaspées, rousseurs claires éparses, bon état général.
Le Comte d'Hérisson était membre de la délégation diplomatique, en qualité d'interprète sinophone lors de l'Expédition de Chine de 1860. Il narre ici dans son journal les différents épisodes de son voyage, de la campagne militaire et du Sac du Palais d'été. Récit historique et pittoresque par un témoin oculaire de premier plan.
Où se trouvent les découvertes les plus nouvelles et les trois voyages de COOK.Dressée par HERISSON,A Paris chez Basset rue Jacques au coin de celle des Mathurins n°670. Format 780 x 540 mm.Contours coloriés d’époque.Une déchirure,avec manque,réparée,angle inférieur droit. Quelques renforts aux pliures,carte de format rare probablement publiée séparément
P., Ollendorff, 1886. Petit in-8, broché, [1]f.-442 pp. 24e édition (même année que l'originale).
Interprète et secrétaire particulier au général Cousin-Montauban, commandant en chef des troupes françaises de l’expédition de Chine en 1860, Maurice d’Irisson d'Hérisson (1839-1893) assista notamment à la marche sur Pékin et à la mise à sac du Palais d'été. Couverture jaune défraîchie avec petits accrocs au dos, qqs. piqûres. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Demi-reliure dos toile, 18X12 cm, 1885 mention de 36° édition, 384 pages, Paul Ollendorff éditeur. Légères rousseurs sans gravité, bon état.
Paris, Basset, 1810. En deux feuilles pouvant être jointes pour former une carte de 0,84 x 1,17 m.
Belle et rare carte murale de l'Amérique, dressée par Eustache Hérisson, élève de Rigobert Bonne, ingénieur hydrographe de la Marine. La carte montre les routes des grands voyages de La Pérouse entre 1785 et 1788, de Mackenzie à l'extrême nord du continent, de Vancouver, ainsi que les trois voyages du capitaine Cook effectués entre 1768 et 1780. En carton figurent six petites cartes des îles de Saint-Domingue, Portorico, la Guadeloupe, la Martinique, Sainte-Lucie et Tobago. Bel exemplaire, replié, contours aquarellés à l'époque. Petites taches claires au bas de la 1ère feuille.
Paris, Paul Ollendorff, 1896, in 8 de VII-332 pp., rel. demi-bas.rouge,pieces de titre ivoire et verte passés,ex libris gravé - bon ex. 2e édition ?. "On y trouve quelques traits, assez rares, de première main, sur Napoléon", (Tulard, p. 563).
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03