Henry de Montherlant (1895-1972), écrivain. Photo dédicacée, 322*238mm (photo 238*178mm). Dédicacée à l'encre rouge sous la photo : « A Mr André Jouniaux avec le meilleur souvenir de Montherlant ». André Jouniaux était un homme de théâtre. [356]
Henry de Montherlant (1895-1972), écrivain. L.A.S., 5 mars 1951, 2p in-8. A Roger Nimier (1925-1962), nouvellement rédacteur en chef de la revue Opéra, rachetée en février par Plon. Il lui envoie une partie du manuscrit de « l'histoire d'amour de la rose de sable » qu'il souhaite récupérer après usage pour la publication. Il est question aussi du manuscrit donné à l'illustrateur, Jean-Denis Maillart, qui ne doit pas être utilisé pour la composition. L'oeuvre n'est pas nommée ici mais on trouve bien cette publication eu feuilleton dans le hebdomadaire, avec les illustrations de Maillart. Cette oeuvre eut plusieurs publications plus ou moins partielles avant l'édition définitive de 1968. Très intéressant document. [164]
Henry de Montherlant (1895-1972), écrivain. L.A.S., 10 avril [1951?], 1p in-8. A Roger Nimier (1925-1962), nouvellement rédacteur en chef de la revue Opéra, rachetée en février par Plon. Il lui envoie un article d'Etienne Olgè, pseudonyme d'une professeur de Paris, madame M Lanze, comme convenu avec et avec Charles Orengo, éditeur chez Plon. Il est question aussi de la publication d'une photo de Jeanne Sandelion comme convenu avec Orengo. [164]
MONTHERLANT (Henry de) écrivain français (1895-1972) membre de l’Académie française en 1960.
Reference : 96C24
Belle correspondance relative à des illustrations et à une collaboration pour « Malatesta » et pour « le cardinal d’Espagne ». 23 août 1946. Il interroge Brayer à propos de « Malatesta ». « Est-il encore temps que je vous envoie utilement le volume d’Yriarte consacré entièrement à Malatesta ? C’est un in-4° de 450 pages, avec 190 gravures sur le texte, iconographie de Sigismond d’Isolla, etc… Comme c’est un volume relié encombrant, ne me le demandez que si réellement il peut vous être utile. Avez-vous travaillé à Malatesta ? Où en êtes-vous ?... ». 19 avril 1958. « Je vous fais rapporter la maquette et les documents que vous m’avez confiés. J’y joins le texte que j’ai donné le 16 avril à Mr Arthaud. Si vous voulez une photographie de la reine Jeanne la Folle, de qui je parle, je pourrai vous en prêter une, que vous me rendriez en même temps que celle du Cardinal… ». 31 octobre 1959. Il comptait se rendre non pas au cocktail mais au vernissage. « Mais je vois annoncé dans l’Art et la Mode que j’y donnerai des signatures. Je n’ai de ma vie - pas une fois donné des signatures dans une librairie. » Il préfère donc ne pas se rendre à ce vernissage. Il sera question également de « La Guerre civile, Les Bestiaires », ainsi que pour « La Reine morte ». « Je vous remercie de vous être astreint à refaire la composition pour le livre de poche. Elle me parait aussi plus animée, plus attrayante en vue du but auquel elle est destinée. Le livre n’est pas déjà si folichon ; il faut bien l’égayer - si on peut dire ainsi par sa couverture… ». 12 janvier 1970. Il lui annonce la création de « Malatesta » à la Comédie française, et espère qu’il pourra s’y rendre. « Je n’oublie pas la magnifique originale de cette pièce illustrée par vous… ». Enfin, concernant son portrait qu’il trouve très beau, il lui précisera : « Il est à la fois précis et fort. Je ne manquerai pas d’en demander de temps en temps un cliché à Marc Vaux, puisque c’est lui le photographe… ».