Lacordaire (Henri-Dominique, père) ; Perreyve (Henri, abbé), recueil et présentation
Reference : 27760
(1863)
Charles Douniol 1863 In-8 relié d’époque, 399 p. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
MICHAUX (Henri) - GIMFERRER (Pere) - DUPIN (Jacques) - DAIVE (Jean) - TAPIES (Antoni) - PASTERNAK (Boris) - RESTRAT (Alain-Christophe) - FERRER (Joaquin) - ESTEBAN (Claude) - BORCHARDT (Rudolf) - DAUMAL (René) -
Reference : 43583
Paris : Maeght, 1975. Directeur Claude Esteban. Un volume broché (19x26 cm) sous couverture d'après Raoul Ubac, 160 pages. Illustrations hors texte en noir sur papier couché de Joaquin Ferrer (8 planches) et Antoni Tapies (8 pl.). Bon état.
P. Oliven, 1938. In-12, 333 pages. Broché.
Bon état.
OLIVEN J.. Non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Agraffes rouillées, Intérieur acceptable. 15 pages. Tampon sur la page de titre.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
NON PRECISE. VERS 1950. In-4. Broché. Bon état, Tâchée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 48 pages. Quelques annotations à l'encre dans le texte. Texte dactylographié.. . . . Classification Dewey : 230-Christianisme. Théologie chrétienne
"SOMMAIRE : Christianisme et réalisme - Corps et Ame - Mourir pour vivre - Obéissance et Liberté - Humilité et Magnanimité -etc. ""Ce texte destiné aux auditeurs a été rédigé d'après des notes"". Classification Dewey : 230-Christianisme. Théologie chrétienne"
P., oliven, 1938, petit in 12 broché, 333 pages.
PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
1891 2 volumes (two books), broché grand in-octavo (paperback in-octavo), dos et couverture marrons imprimés - légèrement défraîchis (brown spine and cover printed - spine and cover lightly faded), tranches non rognées (edges no smooth), pages de garde blanches (white endpapers), page de faux-titre (half title page), illustration : 1 carte en couleurs repliée in fine (folding map in colours at rear), très légères rousseurs (very light redness marks), sans mouillure (without scar of waterstain), LXXXVIII+483 et 471 pages, 1891 à Paris Librairie Plon - E. Plon Nourrit et Compagnie - Imprimeurs-Editeurs,
bon état général malgré les petits défauts signalés (good condition in spite of the smalls defects indicated)
Teilhard de Chardin (Pierre), sur - Henri Madelin, préface - François Crouzel - Edouard Boné - Bernard Vandermeersch - Jacques Fabre - François Russo - Madeleine Barthelemy-Madaule - Christian d'Armagnac - Gustave Martelet - Gérard-Henry Baudry - cardinal Casaroli à Mgr. Poupard - père Arrupe
Reference : 85962
(1982)
Editions Le Centurion Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1982 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, avec des bandes vertes et marrons sur les bords du plat supérieur grand In-8 1 vol. - 192 pages
1ere édition, 1982 Contents, Chapitres : Avant-propos - Allocution du père Madelin, 17 septembre 1981 - 1. François Crouzel : L'oeuvre scientifique du père Tailhard - Edouard Boné : Le paléontologiste à l'épreuve du temps - Bernard Vandermeersch : L'origine de l'homme selon la paléontologie actuelle - Jacques Fabre : Les niveaux réels et les mécanismes de l'évolution - 2. François Russo : Les langages du père Teilhard de Chardin - Madeleine Barthelemy-Madaule : La problématique teilhardienne - Christian d'Armagnac : Foi en l'homme et foi en Dieu - Gustave Martelet : Les grandes intuitions chrétiennes de Teilhard - Gérard-Henry Baudry : Le Christ et la fin de l'histoire - François Russo : Eléments de bibliographie - Annexes : Lettre du cardinal Casaroli à Mgr. Poupard - Lettre du père Arrupe au père Madelin - Lettres inédites : Lettre au père Gaston Fessard, au père René d'Ouince, au père Edouard Boné - Nexus, texte de 1940 couverture jaunie avec quelques rousseurs et des parties un peu insolée, la couverture reste en bon état, intérieur propre, papier un peu jauni, étiquette de particulier sur le haut de la première page, cela reste un bon exemplaire
Jean Delorme (1547?-1637), médecin, docteur de l'université de Montpellier en 1577, médecin du duc de Lorraine Charles III, conseiller et médecin ordinaire du roi Henri IV, médecin ordinaire puis premier médecin du roi Louis XIII, premier médecin de Louise de Lorraine (épouse d'Henri III), premier médecin de la régente Marie de Médicis, père de Charles Delorme, l'important premier médecin de Louis XIII. Il aurait été aussi brièvement premier médecin d'Henri IV.
Reference : 013790
Jean Delorme (1547?-1637), médecin, docteur de l'université de Montpellier en 1577, médecin du duc de Lorraine Charles III, conseiller et médecin ordinaire du roi Henri IV, médecin ordinaire puis premier médecin du roi Louis XIII, premier médecin de Louise de Lorraine (épouse d'Henri III), premier médecin de la régente Marie de Médicis, père de Charles Delorme, l'important premier médecin de Louis XIII. Il aurait été aussi brièvement premier médecin d'Henri IV. P.S. avec note autographe, [1615], 1p in-4 oblong. Sur parchemin. Document avec le recto signé « Delorme » et une note autographe « Po[u]r la somme de iiiiC L l[ivres] t[ournois] ». Au dos une note d'une autre main « pour servir de quittance. » (4 lignes). Le document n'a pas été rempli ensuite au dessus de la signature mais devait concerner les 450 livres d'appointements en tant que conseiller et médecin ordinaire pour l'année 1615. [280-2]
Phone number : +33 6 30 94 80 72
Henri Le Dran ou Ledran (1656-1720), maître chirurgien juré à Paris et chirurgien major des gardes françaises de Sa Majesté, ayant beaucoup oeuvre pour remettre en vigueur l'extirpation du cancer du sein, sauva le maréchal de Villars blessé à la bataille de Malplaquet en 1709, père d'Henri-François Le Dran (1685-1770).
Reference : 013835
Henri Le Dran ou Ledran (1656-1720), maître chirurgien juré à Paris et chirurgien major des gardes françaises de Sa Majesté, ayant beaucoup oeuvre pour remettre en vigueur l'extirpation du cancer du sein, sauva le maréchal de Villars blessé à la bataille de Malplaquet en 1709, père d'Henri-François Le Dran (1685-1770). P.S., 16 janvier 1697, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Quittance pour le paiement d'une rente, contresignée par deux notaires. [329-2]
Gabriel de Pontoise ou Ponthoyse (ca.1501-av.1555), conseiller et médecin ordinaire du roi Henri II et du dauphin (futur François II), originaire de Saint Barthélémy d'Anjou, sieur de la Romanerie. Son père Bernard, qui était aussi médecin, fut médecin du pape Alexandre VI et son épouse, Louise de Sainte-Marte est dame d'honneur de la Reine-mère.
Reference : 013864
Gabriel de Pontoise ou Ponthoyse (ca.1501-av.1555), conseiller et médecin ordinaire du roi Henri II et du dauphin (futur François II), originaire de Saint Barthélémy d'Anjou, sieur de la Romanerie. Son père Bernard, qui était aussi médecin, fut médecin du pape Alexandre VI et son épouse, Louise de Sainte-Marte est dame d'honneur de la Reine-mère. P.S. « Deponthoyse », 13 octobre 1552, 1p in-4 oblong. Sur parchemin. Intéressante pièce certifiant les « drogues et médicamens fournys » par les apothicaires du dauphin, Noël Chastin et Martin Da., tant pour le duc d'Orléans [futur Charles IX], que la reine [Catherine de Médicis], madame Elisabeth [fille d'Henri II, future reine consort d'Espagne], madame Claude [autre fille d'Henri II] et le duc d'Angoulême [futur Henri III], ainsi que pour leurs chambres. [330-2]
COLLECTIF. Yves Leroux, Henri Queffélec, Eric Auphan, Daniel Gélin, Père Bellégo, Père Jourda, Jean Guitton, Julien Gracq, John de Courcy-Ireland, Charles Le Quintrec.
Reference : 20818
Paris : Association des Amis d'Henri Queffélec, Cahiers Henri Queffélec, N° 2, juin 1994.
Très bel exemplaire. [20818]
Tokyo, Presses Salésiennes, 1947. 1 volume in-8, XXII-224 pp., reliure moderne pleine toile, couvertures imprimées conservées, enrichi de 2 cartes et 4 illustrations, très bon état.
Très rare étude sur le manuscrit du Père de Bèze qui participa en 1687 à l'une des Ambassades de la Cour de France au Royaume de Siam. "Le long mémoire, resté jusqu'ici inédit, que nous publions sur la vie et la mort de Constance Phaulcon, avec ses documents annexes, occupe une place de choix dans le dossier si considérable qui a été réuni au sujet des premières relations du Siam avec les pays étrangers, et spécialement avec la France." (Extrait de l'Introduction).
Tokyo, Presses Salésiennes, 1947. 1 volume in-8, XXII-224 pp., reliure moderne plein cuir bordeaux, couvertures imprimées conservées, papier jauni uniformément, enrichi de 2 cartes et 4 illustrations, non coupé, très bon état malgré le jaunissement du papier.
Très rare étude sur le manuscrit du Père de Bèze qui participa en 1687 à l'une des Ambassades de la Cour de France au Royaume de Siam. "Le long mémoire, resté jusqu'ici inédit, que nous publions sur la vie et la mort de Constance Phaulcon, avec ses documents annexes, occupe une place de choix dans le dossier si considérable qui a été réuni au sujet des premières relations du Siam avec les pays étrangers, et spécialement avec la France." (Extrait de l'Introduction).
Emmanuel Mounier (1905-1950), philosophe, fondateur de la revue Esprit, père du personnalisme, disciple d'Henri Bergson, Charles Péguy et Jacques Chevalier, secrétaire de Chevalier après Jean Guitton.
Reference : 013209
Emmanuel Mounier (1905-1950), philosophe, fondateur de la revue Esprit, père du personnalisme, disciple d'Henri Bergson, Charles Péguy et Jacques Chevalier, secrétaire de Chevalier après Jean Guitton. L.A.S., Grenoble, 5 février 1927, 2p in-8. Très intéressante lettre du jeune Mounier au jeune Jean Guitton (1901-1999). Il est question d'un ouvrage d'Henri Bergson, probablement la réédition de L'Intuition philosophique. Elle mentionne aussi Samuel Silvestre de Sacy (1905-1975) et son maître Jacques Chevalier (1882-1962). « Mon cher ami, Avec ce mot je vous envoie le bel exemplaire de Mr Chevalier et le vôtre. Le premier pour que vous demandiez à Bergson une dédicace promise (on vous conseille de prendre rendez-vous 1 jour 1/2 à l'avance : la précision n'est pas de moi). Quant à votre exemplaire, mon intermédiaire me fait savoir que l'absence de numéro n'en diminue pas la valeur. Je n'en ai pas encore facture. Merci beaucoup de votre cahier sur Sacy et des affectueuses pensées dont vous l'accompagnez. Mr Chevalier vous envoie aussi de l'espérance. Il vous aspire comme vous m'aspirez, notre groupe est vraiment plus aristotélicien qu'il ne parait, à cela près que la matière première (ne suis-je pas le benjamin ?) se blottit pour quelque temps encore tout contre la Forme pure. Je ne pourrai lire Trois jeunes saints qu'à partir du 10, et je tâcherai de vous envoyer les quelques lignes demandées vers le 15. C'est bien de Mlle L. de vous avoir donné son signalement. Je n'ai jamais trouvé ingénuité plus stylisée. Je vous laisse répondre aux questions angoissées d'une maurrassienne amie de ma soeur. Je vous livre cette courte phrase que j'ai recueillie, ces jours derniers, dans Romantisme et révolution, et qui me semble capitale. Il s'agit de Ch[arles] Jundzill, [mot illisible], qui représente avec beaucoup de netteté, dit M[aurras], le malaise qu'ont éprouvé presque tous les esprits qui, nés dans la tradition catholique, s'en sont éloignés par la suite : « on emploierait un langage bien inexact si l'on disait que Dieu lui manquait. Non seulement Dieu ne manquait pas à son esprit, mais son esprit sentais, si l'on peut s'exprimer ainsi, un besoin rigoureux de manque de Dieu : aucune interprétation théologique du monde et de l'homme ne lui était plus supportable » (p.95 des oeuvres complètes). Les quelques lignes qui suivent sont aussi très significatives. Je suis très pressé et très fidèlement à vous. E Mounier Une vieille chose joliment dire par Mr Ch., hier, à un cours, en réponse à une objection : « il n'y a de définition que de ce qui n'existe pas ». » Deux petits trous de classements mangeant des mots sans empêcher la compréhension. Cette lettre provient des papiers de l'abbé Fabre que Jean Guitton avait connu en captivité pendant la seconde guerre mondiale. [308-2]
Emmanuel Mounier (1905-1950), philosophe, fondateur de la revue Esprit, père du personnalisme, disciple d'Henri Bergson, Charles Péguy et Jacques Chevalier, secrétaire de Chevalier après Jean Guitton.
Reference : 013210
Emmanuel Mounier (1905-1950), philosophe, fondateur de la revue Esprit, père du personnalisme, disciple d'Henri Bergson, Charles Péguy et Jacques Chevalier, secrétaire de Chevalier après Jean Guitton. L.A.S., 17 mai 1927, 2p in-8 Très intéressante lettre du jeune Mounier au jeune Jean Guitton (1901-1999). Il parle notamment de son maître Jacques Chevalier (1882-1962), d'Henri Bergson, de René Cadiou (1900-1973). « Mon cher ami, Je ne réalise pas ce qu'a de douloureux ce sacrifice volontairement offert, et libéralement consenti puisque je reçois une note sur l'organisation du travail que je n'avais pas demandée, et, en double exemplaire, la conférence du Pr Berry [ou Perry]. J'apprécie cependant à sa juste valeur l'amputation acceptée par vos archives de la note 2, qui m'est précieuse. Vous m'avez trouvé, m'a-t-on dit, très ému dans ma dernière lettre. Du tout. Ou plutôt je n'ai pas été ému des faits signalés, mais de ce que Mr Chevalier, du moins le soir où il m'en a parlé, en ressentait un fort découragement. Voici maintenant nos comptes : Vous me devez Bergson 35 Blondel 44 (l'ex que je vous avais annoncé à 40 est à 42F) 79 Je vous apporte : Cotisation Pa. + Anglès [? Noms illisibles] - 40 (Je vous rappelle que ma cotisation s'est volatilisée ici en frais pour le groupe). En plus de cela, je vous demanderais de me rendre le service suivant. D'accord avec M. Chev., j'emploie les 25F qui me restent, en surplus de la souscription pour le Bergson - maroquin, à remercier M. Bergson de la photo qu'il a donnée pour l'ouvrage. Pourriez-vous commander chez un fleuriste une gerbe de 25F et demander qu'on la portât avec la carte ci-jointe ? Merci beaucoup. Cela fait à mon passif 65F Reste au vôtre 70-65 = 14F. Il est inutile de me les envoyer. Vous profiterez de la prochaine affaire que vous aurezà traiter avec M. Chev. ou tout autre philosophe grenoblois. J'ai fait connaissance avec les yeux [mots manquants] ami Cadiou. Je ne l'ai vu qu'une courte 1/2 heure après une réunion à Primerose, mais ce fut assez pour me faire regretter de ne pouvoir, par la faute des circonstances, accepter son invitation pour lendemain. J'espère le retrouver auprès de vous à Paris. Toujours bien à vous et tout autant à mon diplôme qui touche à sa fin. E Mounier [la fin de la signature manque] [Note en tête] Vous serez bien aimable de cacheter la carte ». Manque de papier en haut et en bas, dûs à l'ouverture de la lettre, avec quelques mots manquants. Cette lettre provient des papiers de l'abbé Fabre que Jean Guitton avait connu en captivité pendant la seconde guerre mondiale. [308-2]
Emmanuel Mounier (1905-1950), philosophe, fondateur de la revue Esprit, père du personnalisme, disciple d'Henri Bergson, Charles Péguy et Jacques Chevalier, secrétaire de Chevalier après Jean Guitton.
Reference : 013215
Emmanuel Mounier (1905-1950), philosophe, fondateur de la revue Esprit, père du personnalisme, disciple d'Henri Bergson, Charles Péguy et Jacques Chevalier, secrétaire de Chevalier après Jean Guitton. L.A.S., Paris, 15 janvier 1929, 2p in-8. Très intéressante lettre du jeune Mounier au jeune Jean Guitton (1901-1999). Il est notamment cité le père Guillaume Pouget (1847-1933), important religieux ayant influencer Bergson, Chevalier, Mounier, Guitton et tant d'autres ou encore Jean Daniélou (1905-1974) alors agrégé de grammaire, étudiant de philosophie, Gaëtan Bernoville (1889-1960), fondateur de la revue des Lettres et l'abbé Emmanuel Boyreau (1859-1937).. « Cher ami, Je pensais te voir hier chez le P. Pouget. Nous ne nous rencontrerons plus avant le jeudi 24, car je passe ces 8 jours à Tours où je vais travailler dans le calme et l'amitié. Tu pourras m'y faire toute communication éventuelle 13 rue François Clouet. N'ayant pas encore reçu ma carte pour la [bibliothèque] Nationale, ni trouvé la tienne[?] à Ste Geneviève, j'ai confié à Grenoble, où se trouve la collection, ton renseignement pour Louvain. Je dois recevoir de Mr Chev. sa 2e conférence d'Espagne, ms unique. Si tu ne le trouves pas chez le P. Pouget, c-à-d si je ne l'ai pas reçu avant mon départ, voudras-tu le prendre chez Daniélou (1er étage ch. 27), à qui je donne la consigne de le garder, - le lire au P.P. pour les retouches et l'envoyer sans retard recommandé à Bernoville, aux Lettres, 10 rue de la Pépinière, Paris 8e. Mr Chev. s'est montré assez ému des critiques que tu lui as portées à Grenoble (je dis portées, car il n'a vu en toi qu'une amitié attentive, et il ne lui vient pas à l'idée que nous puissions en partager quelqu'une). Je te parlerai de cela. « Amitiés à J.G. vous lui diez que les articles de Renard et de Charmoillaux dans notre dernier bulletin de l'U.N. ont fait un beau tapage et menace de ns conduire à une dislocation ; je vais tâcher de dénouer la crise et d'arranger les esprits : mais A.F. et jeunes démocrates sont à chier et chat, et je suis navré de voir la guerre et l'esprit de parti installés chez les catholiques ». Je passe. Mon souvenir respectueux au vénéré chanoine Boyreau, et toute mon amitié pour toi. E Mounier Connais-tu l'affaire de la NRF et de la "Nouvelle Revue des Jeunes"? ». Cette lettre provient des papiers de l'abbé Fabre que Jean Guitton avait connu en captivité pendant la seconde guerre mondiale. [308-2]
Emmanuel Mounier (1905-1950), philosophe, fondateur de la revue Esprit, père du personnalisme, disciple d'Henri Bergson, Charles Péguy et Jacques Chevalier, secrétaire de Chevalier après Jean Guitton.
Reference : 013217
Emmanuel Mounier (1905-1950), philosophe, fondateur de la revue Esprit, père du personnalisme, disciple d'Henri Bergson, Charles Péguy et Jacques Chevalier, secrétaire de Chevalier après Jean Guitton. L.A.S. (+enveloppe à une autre date), Grenoble, 10 octobre 1928, 2p in-8. Très intéressante lettre du jeune Mounier au jeune Jean Guitton (1901-1999), surnommé ici Nestor. Il mentionne notamment le père Guillaume Pouget (1847-1933), important religieux ayant influencer Bergson, Chevalier, Mounier, Guitton. « Mon cher Nestor, Je n'ai pas encore eu le temps, - car je suis toujours en vacances, - de vous remercier de vos démarches. J'attends les décisions ministérielles. C'est par ailleurs chose conclue avec Ste Geneviève. Il ne me manque plus qu'un nippon à 150f et mon temporel sera assuré. J'ai bien songé à tout l'embarras matériel amené par votre déménagement ; plus encore à ce qu'il emportait en vous, cette année surtout. Nous ne sommes jamais seuls, même là où nous ne voyons rien. Chaque soir je prends Mr Chev. à la sortie de son cours. Nous montons vers Montfleury quand les couchants sont beaux. Je serai à Paris autour du 1er nov. ne tarderons-nous pas à nous y voir ? Le P. Pouget m'attend. Vous qui sortez de la place, vous me direz si une candidature à Thiers en juin prochain, au besoin un peu préparée à l'avance, aurait des chances de succès. Je ne charge pas encore Mr Chev. de ces soucis qu'il faut régler les nôtres le plus possible hors de lui. C'est pourquoi je m'adresse au Premier Ciel. A bientôt. E Mounier ». Cette lettre provient des papiers de l'abbé Fabre que Jean Guitton avait connu en captivité pendant la seconde guerre mondiale. [308-2]
Emmanuel Mounier (1905-1950), philosophe, fondateur de la revue Esprit, père du personnalisme, disciple d'Henri Bergson, Charles Péguy et Jacques Chevalier, secrétaire de Chevalier après Jean Guitton.
Reference : 013218
Emmanuel Mounier (1905-1950), philosophe, fondateur de la revue Esprit, père du personnalisme, disciple d'Henri Bergson, Charles Péguy et Jacques Chevalier, secrétaire de Chevalier après Jean Guitton. L.A.S., Grenoble, 26 décembre 1929, 2p in-8. Très intéressante lettre du jeune Mounier au jeune Jean Guitton (1901-1999).Il mentionne notamment le père Guillaume Pouget (1847-1933), important religieux ayant influencer Bergson, Chevalier, Mounier, Guitton. « Mon cher Jean, Je pense que comme au Laus[?] tu dois avoir besoin d'une bonne lettre sereine. J'ai reçu la veille de Noël un mot un peu agité et ému de Mlle Silve qui me parle de je ne sais quelle lettre d'elle à M. Chev. qui s'est retrouvée chez le P. Pouget. Je n'y comprends pas grand chose si ce n'est que le maître a fait des siennes et que tu dois être une fois de plus agité et triste de ces écarts. A moins qu'avec les lettres qui m'arrivent de Paris j'en sois encore aux antépénultièmes évènements et que tout aille mieux provisoirement définitivement. Je pense que tu as un peu de paix maintenant. M. Chevalier est arrivé à cette époque où l'homme est trop pris par son milieu, par ses déceptions et par ses limites pour rester poète, [mot illisible]. Merci de tout ce que tu me dis sur ma thèse. J'y penserai quand j'aurai le temps de penser à autre chose qu'à Péguy, quand je serai dépossédé. Mr Ch. me déconseille énergiquement Fénelon : je serai amené, me dit-il, à beaucoup trop de théologie. Je suis las des conseils, plus las encore d'avoir à me fixer un but au lieu de travailler dans la joie en attendant les rencontres. Pour l'instant je vais toujours m'occuper de mon bon ami Jean des Anges. Je ne me sens pas une peau d'universitaire. Tarvernier, qui avait renoué avec Versailles, puis cessé une seconde fois, vient de trouver chez Hatier une place de chef de publicité à 1800 par mois pour débuter. J'ai oublié ton papier et ton Ravaisson avant mon départ. Tu auras cela à mon retour. Je serai à Paris, le 6 janvier. Qu'est-ce que cette oeuvre pougetienne que tu m'annonces et dont il n'y a pas trace dans ta lettre ? Je tiendrai à cette note du P.P. Si tu n'as pas le temps de la recopier, envoie la moi qq. jours, je m'en chargerai. Envoie de tes nouvelles. Pax vobiscum et à toi dans une amitié sans hâte. E.M. ». Cette lettre provient des papiers de l'abbé Fabre que Jean Guitton avait connu en captivité pendant la seconde guerre mondiale. [308-2]
Shanghai mprimerie de la Mission Catholique à l'Orphelinat de T'Ou-Sè-Wè, ZI-KA-Wei 1911/18 -in-8 cartonné 13 volumes, cartonnage à la chinoise avec lacets reliant les plats, rouge et gris-jaune in-octavo Editeur (paperback in-octavo Editor) (25 x 17,5 cm), dos imprimé en noir, plats décorés à la chinoise : mors de toile rouge, plats décorés à froid (plaque spéciale Editeur), 1er plat orné d'une illustration en rouge (différente sur chaque volume), toutes tranches lisses jaspées rouges, abondamment illustré en couleurs : - PREMIERE PARTIE - Premier volume. TOME I N° 1. V. S. n° 32, 1911, XII+VI+146 pages+75 illustrations+10 photos. - Deuxième volume. 1ERE PARTIE - TOME I N° 2. V. S. n° 33, 1911, 70 pages+88 illustrations+1 photo. - Troisième volume. 1ERE PARTIE - TOME II N° 3. V. S. n° 34, 1912, X+106 pages+35 illustrations+2 photos, - Quatrième volume.1ERE PARTIE - TOME II N° 4. V. S. n° 35, 1912, 166 pages+55 illustrations+3 photos, - Cinquième volume.1ERE PARTIE - TOME V V. S. n° 36, 1913, XVII+92 pages+104 illustrations:La lecture des talismans chinois. Explication de ceux qui ont paru dans les N° 1 et n° 2 - 2EME PARTIE - TOME VI: Variétés Sinologiques n° 39, 1914, XII+196 pages+54 illustrations+3 photos.Recherches sur les superstitions en Chine. Deuxième partie, Le panthéon chinois. - 2EME PARTIE - TOME VII.:Variétés sinologiques n° 41, Imprimerie de la Mission catholique, Zi-ka-wei, 1914, VI+102 pages+53 illustrations. - 2EME PARTIE - TOME VIII.: Variétés sinologiques n° 42, Imprimerie de la Mission catholique, Zi-ka-wei, 1914, VIII+164 pages+40 illustrations. - 2EME PARTIE - TOME IX: CHAPITRE IV : Taoïsme : Dieux, Immortels, Génies.: Variétés sinologiques n° 44, Imprimerie de la Mission catholique à lorphelinat de Tou-sé-wé, Zi-ka-wei, 1915, X+218 pages+76 illustrations. -2EME PARTIE - TOME X: CHAPITRE V : Ministères transcendants -Variétés sinologiques n° 45, Imprimerie de la Mission catholique à lorphelinat de Tou-sé-wé, Zi-ka-wei, 1915, VIII+180 pages+39 illustrations. 2EME PARTIE - TOME XI: Chap. VI, Dieux protecteurs et Patrons. Variétés sinologiques n° 46, Imprimerie de la Mission catholique à lorphelinat de Tou-sé-wé, Zi-ka-wei, 1916, XII+192 pages+59 illustrations. 2EME PARTIE - TOME XII. Chapitres VI, Dieux protecteurs et Patrons ; VII, Dieux composites ; VIII, Divinités stellaires. Variétés sinologiques n° 48. Zi-ka-wei, 1918, VIII+234 pages+57 illustr.-TROISIEME PARTIE : Popularisation des trois religions -Section II : Confucius, ses disciples, le confucéisme - A. VIE DE CONFUCIUS ILLUSTRÉE - B. LES 144 SAGES DU TEMPLE DE CONFUCIUS d'après les documents chinois - Recherches sur les superstitions en Chine, TOME XIII.: Variétés sinologiques n° 49, Zi-ka-wei, 1918. XVI+262 pages + 81 illustrations, 1911/1918 Chang-Hai, Imprimerie de la Mission Catholique à l'Orphelinat de T'Ou-Sè-Wè, ZI-KA-Wei EDITEUR
Présentation à l'époque par Henri Doré : Louvrage dont jentreprends la publication sera divisé comme il suit : PREMIERE PARTIE : Les pratiques superstitieuses. (Tomes I-V). On y traite des pratiques superstitieuses qui enlacent le Chinois païen du berceau à la tombe. Mes études portent surtout sur les deux provinces du Kiang-sou et du Ngan-hoei. Je mentionne donc les superstitions que je connais pour les avoir vues pratiquer de mes propres yeux. Que dautres travaillent sur le même sujet dans les autres provinces, et nous aurons les éléments dun travail complet sur la question. Je donne les illustrations et les fac-similés dun grand nombre de documents recueillis dans ces deux provinces.SECONDE PARTIE : Le panthéon chinois. (Tomes VI-XII). Elle renferme ce quon peut trouver dhistorique, et de connaissances pratiques, sur les hommes réels ou mythiques honorés comme dieux, esprits, ou génies : cest-à-dire, une notice documentée sur chacun deux, suivie dune ou plusieurs images.TROISIEME PARTIE : Popularisation des trois religions (Tomes XIII). Cette troisième partie comprendra une notice illustrée sur Confucius (les livres sur Lao-tse et Bouddha manquent).... Texte français. Ces volumes font partie de l'uvre monumentale du père jésuite Henri Dore sur la religion populaire chinoise..........Beaux Exemplaire..............SUPERBEMENT ILLUSTRES..............RARISSIME.............en bon état (good condition). bon état
NEVEU (Gérald) - GUGLIELMI (Joseph) - GUERY (Pierre) - KOCHMANN (René) - DELUY (Henri) - TODRANI (Jean) - KREA (Henri) - ARSEGUEL (Gérard) - MALRIEU (Jean) - CERDA (Jordi Pere) - BEC (Serge) - VITON (Jean-Jacques) - AUBIEN (Colette) - RICHARD (Lionel) - MERMET (Colette) - BUTTITA (Ignazio) -
Reference : 43745
Marseille, rédacteur en chef : Henri Deluy. Comité de rédaction : Gabriel Cousin, André Libérati, Jean Malrieu, Gérald Neveu, Jean Todrani. Un volume 13,4x21cm agrafé de 74 pages. Exemplaire en bon état.
Fondée au début des années 1950 à Marseille par Gérald Neveu, Action poétique est une des revues de poésie de la seconde moitié du XXème siècle en France qui connut la plus grande longévité. Animée par Henri Deluy, de 1958 jusqu'à sa dernière livraison en 2012 (210 numéros), Action poétique inscrit la poésie dans le champ théorique de la création française : désir de changer le monde, de s’ouvrir à lui, à travers des traductions défricheuses, et d’interroger la langue qui permet de lui donner forme. "Une des plus vastes encyclopédies de la poésie, couvrant tous les âges, tous les pays, de Gilgamesh à la poésie multimédia." (Jean-Yves Lacroix, Catalogue Revues, janvier 2019, p.4)
Gabriel Le Bras Dom Maur Cocheril Dom Jacques Hourlier Frère Elisée Alford et Frère Paul-Marie de la Croix Frère Damien Vorreux Frère Henri-Charles Chéry Père Emile Rideau Frère Yves Poutet
Reference : GFD76GM
ISBN : B072M7L61K
Flammarion Relié D'occasion bon état 01/01/1979 1524 pages
L'HÔPITAL (Guillaume-François-Antoine, marquis de), PAULIAN (père Henri-Aimé)
Reference : 17348
(1768)
1768 Avignon, Veuve Gérard, Paris, Desaint Saillant, Panckoucke, Durand, 1768, in-8 de (4)-XXXI-380 pp. et 8 pl. dépl. gravées hors-texte, rel. d'ép. demi-veau brun marbré, dos à nerfs orné de fers dorés, pièe de titre de maroquin brun, bon ex.
Édition originale de l'important commentaire de 118 pages, par le père jésuite mathématicien Aimé-Henri PAULIAN, du célèbre ouvrage du marquis de L'Hôpital. Il commente ici l'ouvrage qui fut le premier livre français sur le calcul différentiel, s'appuyant sur les leçons données au marquis de L'Hôpital (1661-1704), par Jean Bernoulli, pendant l'hiver 1691-1692, sur le calcul différentiel inventé par Gottfried Wilhelm Leibniz en 1684.
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant
Reference : 013763
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant un retour en grâce en 1635. Il fut signataire du rapport d'autopsie de Louis XIII. P.A.S., 7 janvier 1645, 1p in-4. Sur parchemin. Intéressante pièce certifiant la livraison de « plusieurs médicamens et autres marchandises » pour les officiers domestiques du duc par Claude Souart (1577-1664) pour l'année 1644 et pour un montant de 4500 livres. Souart était apothicaire du duc d'Orléans et de la reine. Si l'orthographe habituellement retenue est « Brunier », il signe bien « Brunyer » sur notre document. [279-2]
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant
Reference : 013764
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant un retour en grâce en 1635. P.A.S., 3 janvier 1647, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Intéressante pièce certifiant la livraison de médicaments pour les officiers d'écuries du duc par Claude Souart (1577-1664) pour l'année 1646 et pour un montant de 700 livres. Souart était apothicaire du duc d'Orléans et de la reine. Si l'orthographe habituellement retenue est « Brunier », il signe bien « Brunyer » sur notre document. [279-2]