Paris, Fantin, 1817. 1 vol. in-8. Broché, pièce de titre en papier. Faux-titre, titre, [2]ff table, 384pp.
Edition originale. “L’auteur expose avec beaucoup de lucidité les graves inconvénients d’une mauvaise répartition de l’impôt….. Nous ne connaissons pas d’adversaires plus énergique des lois prohibitives, et son opposition est d’autant plus courageuse que l’auteur appartient à l’administration” (Blanqui).Alexandre-Maurice Blanc de Lanautte, Comte d’Hauterive, diplomate et économiste accompagna Coiseul-Gouffier à Constantinople; il travailla au ministère dès son retour d’Amérique en 1798.INED 2231
[Chez Henrics] - ANONYME ; [ HAUTERIVE, Alexandre Maurice Blanc de la Nautte, Comte d' ]
Reference : 65809
(1800)
1 vol. grand in-8 reliure de l'époque plein veau raciné, dos lisse orné (lyre et motifs à entrelacs), roulette d'encadrement à clé grecque en plats, Chez Henrics, A Paris, Brumaire an 9 (Octobre 1800), IV-350 pp. et 1 f. n. ch.
La Biographie des contemporains précise, selon Quérard, que "cet ouvrage a placé son auteur de plein saut au premier rang des écrivains et des diplomates". L'ouvrage avait été commandé au lendemain du coup d'Etat du 18 Brumaire, par Napoléon Bonaparte, comme un manifeste au nations étrangères. Selon le catalogue de l'Ined, on y évoque la situation politique de la France vis-à-vis des autres nations européennes. Puis, sous des titres alléchants : "Population et industrie de la France", "Moeurs et Lois de la France", l'auteur dresse l'état de la situation intérieure du pays. "Mais il se laisse dépasser par son sujet, et ne parle guère que de la puissance belligérante de la nation française". Etat très satisfaisant (premier plat lég. frotté, second plat frotté avec petites piq. de vers en mors, petits accrocs en coiffes, belle fraîcheur intérieure) pour cet exemplaire à grandes marges. INED, 2232
S.l. [Paris] s.d. [1804] petit in-8 dérelié
26 pp.Seulement deux exemplaires au CCF (BnF et Chambéry). Cette nécrologie fut attribuée aussi, avec des probabilités équivalentes, au baron J.-F. de Bourgoing et au prince Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, qui furent tous deux en contact avec Azara.José Nicolas de Azara (1730-1804) fut longtemps ambassadeur d'Espagne près le Saint-Siège, où il exerça une grande influence et où il protégea de tout son pouvoir les savants et les artistes. Chargé de l’ambassade d’Espagne en France en 1798, il signa pour son pays la Paix d’Amiens avant d’être disgracié en 1803