1879 Pages Choisies, Vers et Proses, Extraits de toute l'uvre (1879 - 1927), Argentan, Emile Langlois, 1929, 1 volume relié, 192 x 143 mm; 316 pp; Frontispice, rousseurs sur les plats, intérieur frais,Paul Harel, ses Obsèques, quelques Articles nécrologiques, Argentan, Imprimerie Langlois, 1927, 1 volume broché, 225 x 140 mm; 110 pp; Frontispice, bon état.uvres, I, Paul Harel, Dieppe, Imprimerie de la Vigie de Dieppe, 1954, 1 Volume broché, 205 x 140 mm. 215 pp. Frontispice et 1 hors texte.
A l'enseigne du Grand Saint André, Paul Harel, repris l'exploitation de l'auberge de son aïeul à Echauffour, il tenait table ouverte pour certains et tous profitaient de ses largesses, de ses histoires, de ses vers et de sa prose.« Paul Harel nest plus, 10 mars 1927, Ah, quon était bien reçu chez Paul Harel, même lorsque, gueux ou baladin, on avait la poche vide ! Sur les nappes immaculées, jalonnées de pichets normands, éclataient des assiettes rouges de Lisieux. Les mets étaient exquis. De charmants recueils de vers naquirent ainsi, parmi le fumet des plats. » « Son talent de poète se manifeste dès son jeune âge par des chansons et des pièces de vers. Ils contiennent une grande richesse dexpression, ils sont pittoresques et remplis de bon sens et de belle humeur. Sa réputation ne tarda pas à dépasser le pays natal, ses vers lui valurent le titre de membre de lAcadémie de CaenIl ne continua pas moins à tenir son auberge de la Croix Saint-André qui devint un sujet dexcursion littéraire pour toute la région. »
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. "Cliché Pirou à Paris. ""Sd, vers 1895, portrait photographique original (10,5x16cm)de Paul Harel (18 mai 1854 et mort en 1927). Fils dun avocat de Saint-Lô, Paul Harel court les champs plus qu'il ne fréquente lécole. Il est mis en apprentissage à lâge de quatorze ans chez le pharmacien de Montreuil-l'Argillé, où il vend des onguents tout en apprenant un peu de latin chez le curé local. De seize à dix-neuf ans, il est typographe à Nogent-le-Rotrou, où il imprime les uvres de Paulin Paris, Gaston Paris et Paul Meyer. Théophile Féret a dit de lui : « Depuis les Rimes de broche et dépée, tout le monde connaît le cabaretier dÉchauffour, et depuis les Souvenirs dauberge, il a annexé sa grande salle à la littérature normande. Avant Barrès, il a dégagé quelques-unes des intimes correspondances entre la lignée, le sol et le culte ancestral. Il a voulu nous raciner à la terre natale. » Dans la préface de son premier recueil, Sous les pommiers, paru en 1879, Paul Harel a pris soin dexpliquer pourquoi il embrassé la profession dhôtelier : « Mon père était avocat, mon grand-père aubergiste ; jai repris le métier de celui-ci par amour du pittoresque. Jai cru devoir donner ce mauvais exemple à mes contemporains, en un temps où les fils de la terre désertent leurs foyers, où la vie des ancêtres est inconnue, sinon dédaignée. » S'il na pas regretté son choix, cest bien aussi un peu parce que, pour lui, « le grand secret de tout est dans la charité », et que lancestrale profession lui permet de pratiquer cette vertu sur une large échelle en accueillant chez lui les miséreux, les gueux qui passent sur la route :Voici la Misère qui passe,Ouvrez la ports à deux battants ! La Bonne Auberge. Paul Harel a été aimé en retour. Il jouit, dans son pays, dune popularité de bon aloi. « Dans lOrne, dit encore Féret, on lui porte une tendresse religieuse. » Paul Harel a chanté les charmes de la nature et la vie rurale avec une sincérité et une simplicité qui nexcluent ni le pittoresque ni la grandeur. Dans son dernier volume, quil préfère aux autres, Les Heures lointaines (1903), il puise surtout son inspiration dans la foi, quil ne conçoit point sans la charité. En 1895, il fut appelé à diriger, à Paris, une grande revue catholique, La Quinzaine. Mais les splendeurs de la capitale ne purent lui faire oublier son pays natal : aimant la simplicité rustique, il résigna bientôt ses fonctions directoriales pour retourner à Échauffour. Source Wikipédia."""
05/11/1913 Jolie lettre de remerciements au sénateur Labbé : ...il n'y a aucun mal. Personne ici n'est hostile au facteur Suyen. Je vous demanderai simplement la permission de vous reparler de lui quand l'heure sera venue. Cette récompense bien méritée, je serai heureux qu'il vous la doive, à vous dont la bienveillance s'étend à tous vos compatriotes, sans distinction d'opinion. Cela vous vaut des coeurs et des voix. Quand mes trois fils, qui votaient pour la première fois cette année, m'ont demandé : Papa, pour qui vote-t-on ? Pour le docteur Labbé, mes enfants. Et nous sommes allés tous les quatre déposer votre nom glorieux dans l'urne. Et nous ne sommes pas républicains !...Plutot que d'embrasse la carrière d'avocat de son père, Paul Harel préféra reprendre l'auberge que son grand père avait ouvert dans l'Orne. Mais Harel était vraiment né poète. Il était avant tout un artiste qui excellait dans lart de peindre la vie rurale et familière ainsi que les paysages normands.
P., Alph. Lemerre, 1895 ; in-12, broché. 51pp. Portrait in-texte. Cachets de bibliothèque sur le titre. Bon état.
Texte d'une conférence donnée en l'honneur du poète normand en 1895 au théâtre de La Potinière. Harel est resté attaché toute sa vie à ses origines normandes, jusqu'à reprendre l'activité d'aubergiste de son grand-père dans son village natal d'Echauffour (Orne). Il mena en parallèle une carrière de poète et publia une trentaine de recueils dont "Souvenirs d'auberge" en 1894, ou "Voix de la glèbe" en 1895. Deux poésies de ces recueils sont données à la suite du texte de la conférence.
1 vol. in-8 reliure de l'époque demiu-veau brun, dos à 5 nerfs, couv. conservées, Alphonse Lemerre, Paris, 1886, 159 pp. et Deuxième édition, 1888, 180 pp.
Bon état (dos un peu frotté) pour ce volume réunissant deux ouvrages, dont la réédition de son premier recueil "Sous les Pommiers". Poète catholique, Paul Harel avait repris la profession d'aubergiste de son grand-père. Dans son auberge d'Echauffour, il peut accueillir les miséreux de passage ; car "le grand secret de tout est dans la charité"... Ses poèmes chantent souvent la bonne chère, le bien manger et le bien boire, telle cette poésie intitulée "Le Château-Latour" : "Commandant, chaque vigne est malade à sont tour / Mais les Normands n'ont pas de basses jalousies / Qua Dieu fasse mentir les noires prophéties / Et jette un oeil clément sur le Château-Latour"...
Dieppe La Vigie de Dieppe 1954 Un volume in-8 broché, couverture blanche, 215 pages. Très bon état, exemplaire non coupé.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
"PLON NOURRIT ET CIE. 1904. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Coiffe en tête abîmée, Intérieur frais. 229 pages + une coupure de presse ""la fuite en egypte de Paule Harel"" - coiffe en tête légèrement abîmée - portrait en héliogravure sous serpente en frontispice - plats et contre plats jaspés - coins frottés - dos à 5 nerfs - titre + auteur + filet dorés sur le dos.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie"
Classification Dewey : 841-Poésie
Paul ollendorff 1882 195 pages in12. 1882. Relié. 195 pages.
Etat Correct pages jaunies trace étiquette haut dos
HAREL Paul - [Echauffour 1854 - 1927] - Poète et aubergiste français
Reference : GF25408
Il envoie son abonnement - "J'ai gouté l'esprit de vos compositions..."- Il y a entre eux des "affinités magiques" - ..."c'est l'essentiel" -
[En tant que bien culturel de catégorie 8, (décret no 93-124 du 29 janvier 1993), cet article ne peut être vendu sans formalité que dans la Communauté Européenne ]- mormons
Langlois Relié 1934 Deux volumes en un, in-8 (13 x 19.5 cm), relié demi-basane, dos à 5 nerfs avec pièce de tittre doré, couvertures d'origines illustrées conservées, non-rogné. Cet ouvrage comprend : 1. Souvenirs d'Auberge édité en 1934, 208 p.) / 2. Figures et Musiques Lointaines : Nouveaux Souvenirs d'Enfance et d'Auberge édité en 1934, 196 p.) ; légères marques d'usage sur les plats d'origine, par ailleurs intérieur frais, très bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
EDITIONS DE L'OEUVRE SAINT LUC. 1920. In-8. Broché. Etat d'usage, 1er plat abîmé, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
PLON NOURRIT ET CIE. 1904. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. IX + 68 pages - ouvrage recouvert d'un plastique transparent - coins frottés - quelques rousseurs sans conséquence sur la lecture - étiquette collée sur la coiffe en pied.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Classification Dewey : 841-Poésie
BLOUD & GAY. 1922. In-12. Broché. Bon état, Tâchée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 214 pages - 1 dechirure en tête sur le 1er plat - quelques taches brunes sur le 1er plat, page de faux-titre, de titre sur la tranche.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
ALPHONSE LEMERRE. 1886. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 159 pages. Tampon sur les pages de titre et la page 25. Quelques annotations au crayon à papier sans réelle conséquence sur la lecture. Etiquette collée sur le dos. Plats demi-jaspés.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
JANVIER. FEVRIER. MARS. AVRIL. MAI. JUIN. JUILLET. AOUT. SEPTEMBRE. OCTOBRE. NOMVEMBRE. DECEMBRE. LES GRIOTTES. THERESE. LA ROBE. LES DEUX BILLETS. SOUS LA COTE. ETC. Classification Dewey : 841-Poésie
1854 - 1927. Poète. Son inspiration est parfois tirée de ses occupations culinaires (il était aubergiste), mais surtout de la nature : Sous les pommiers - Rimes de broche et d’épée - Gousses d’ail. 5 L.A.S.
Émile langlois 1930 316 pages in12. 1930. Broché. 316 pages.
Très Bon Etat
Échauffour le 18 novembre 1910 : “Un peuple qui ne croit plus, qui ne prie plus, qui ne chasse plus, qui ne chante plus, qui ne boit plus, qui ne mange plus, est un peuple mort” !!
Échauffour le 9 avril 1912 : “...nous boirons du pommard...”
Échauffour le 7 mai 1912 : À un ami, il vient d’être “réélu à la stupéfaction de (ses) adversaires! Ces cochons-là ont fait une abominable campagne contre moi...”
Échauffour le 14 juin 1912 : “J’ai rencontré l’autre jour des gens charmants qui ont une fille intelligente et gracieuse mais elle boite, comme Louise de Lavallière ...”
Échauffour le 18 janvier 1912 : “Puisque vous m’écrivez, l’idée me vient de vous mettre à même de publier La Forêt, pièce inédite”...
Échauffour le 20 avril 1912 : “.. je pars demain soir pour Bréhec et c’est de là que je filerai pour Paris”...”...
Échauffour le 28 juin 1912 : “.. je vous ai ce matin expédié sous pli recommandé les derniers feuillets de mon texte primitif. C’est de beaucoup le meilleur à tous les points de vue ..”
Échauffour le 31 mai 1912 : “ .. ce serait parfait que vous fassiez passer le VI et le VII ensembles, la foire et la chasse ...”