Paris, Calmann Lévy/ boussod valadon et cie , 1888; in-4, 215 pp., cartonnage de l'éditeur. Demi basane bleu a coin 5 nerfs illustré par madame madeleine lemaire tete doré reliure legerement frotté.
Demi basane bleu a coin 5 nerfs illustré par madame madeleine lemaire tete doré reliure legerement frotté.
Paris, Calmann Lévy, s.d.; in-12, 110 pp., br.
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Paris, Edition andré sauret , 1972; in-8, cartonnage de l'éditeur. Les 2 volumes. Sous boitage en 2 volumes séparer.
Sous boitage en 2 volumes séparer.
Paris, Boussod valadon et cie , s.d.; in-folio, 245 pp., cartonnage de l'éditeur. Demi cuir a nerf et coins dessins par L;marchetti et alfred paris.
Demi cuir a nerf et coins dessins par L;marchetti et alfred paris.
Paris, Calmann Lévy, s.d.; in-12, 272 pp., cartonnage de l'éditeur. Demi cuir rouge a caisson.
Demi cuir rouge a caisson.
Paris, Librairie grasset , 1921; in-12, 170 pp., broché. Les cahiers verts tres bon état pages non coupé numéroté 1765/3430.
Les cahiers verts tres bon état pages non coupé numéroté 1765/3430.
Paris, Calmann levy , 1888; in-4, 209 pp., demi basane a nerf avec dorure a coins . Illustré par madame madeleine lemaire.
Illustré par madame madeleine lemaire.
Paris, Librairie l conquet, 1893; in-8, 35 pp., broché, couverture illustr. Illustrations de henry somm.
Illustrations de henry somm.
Paris, Librairie grasset, 1925; in-12, 364 pp., broché couverture illustrée. Edition limitée. "le deuxième livre de génie" traduit du chinois par soulié de morant.
Edition limitée. "le deuxième livre de génie" traduit du chinois par soulié de morant.
Paris, Michel Lévy Frères, 1875; in-12, 160 pp., demi percaline. Quelque tache de rousseur.
Quelque tache de rousseur.
P., Calmann-Lévy, 1935, 2 vol. in-12, 230 et 224 pp, reliures bradel papier crème, dos lisses, pièces de titre basane vermillon, couv. illustrées conservées (un portrait de L. Halévy d'après un dessin de Paul Renouard au tome I, une vignette d'Edmond Morin au tome II), bel état. Edition originale, le tome I est un des 320 exemplaires numérotés sur vélin du Marais (seul grand papier), enrichi d'un envoi a.s. de Daniel Halévy, le tome II est sur papier courant
"Ludovic Halévy est un homme séduisant, il écrit avec agrément, il approche de grands personnages : Morny, Gambetta, il connaît les coulisses du théâtre et moins bien celles de la politique, il fréquente le grand monde mais il est plus qu'un homme du monde ; son fils Daniel l'a fait revivre en publiant presque intégralement ses Carnets. Ludovic Halévy était le demi-frère de Prévost-Paradol et la carrière tragique de Prévost-Paradol tient une place considérable dans le second des Carnets. Vraisemblablement le suicide de Prévost-Paradol a contribué à éloigner Ludovic des prises de position politiques. De là sa faiblesse et aussi son charme : il n'a voulu être qu'un témoin de son temps. La politique était un jeu trop cruel." (Pierre Guiral) — "Rédigés sous la forme d'un journal, ces carnets concernent essentiellement la société littéraire et artistique de l'époque. Excellent témoignage." (Bourachot, 201)
Paris, Brandus et Cie., Troupenas et Cie., 1849. 1 feuillet. 323 pages. (28x18,5 Cm). Cartonnage imprimé de l'éditeur. Fromental Halevy est principalement connu pour ses opéras et opérettes. Né à Paris, Halévy a étudié le piano et la composition avec les musiciens les plus renommés de l'époque, dont Étienne Nicolas Méhul et Luigi Cherubini. Fromental a été un mélodiste très abondant, parfois inspiré, souvent sincère jusqu'à la naïveté. La première de l'opéra 'Le Val d'Andorre' eut lieu le 11 novembre 1848 à l'Opéra-Comique à Paris. Presque complètement oublié de nos jours, il fut l'une des plus grandes réussites d'Halévy : il y'en eut 165 représentations, et le théâtre redressa sa situation financière, qui était alors précaire. Le critique de la Revue et gazette musicale de Paris écrivit que l'œuvre était le succès total le plus brillant qu'ait jamais connu l'Opéra-Comique.
Paris, Michel Lévy et divers éditeur, 1872-1873. "11 x 18, 30 + 16 + 25 + 52 + 102 + 83 + 103 + 84 + 110 pages, reliure dos cuir ornée de filets dorés, bon état (reliure état d'usage; peu de rousseurs)."
"MEILHAC H. et HALEVY Ludovic, Les sonnettes, comédie en un acte en prose, Paris, Michel Lévy, 1873; MEILHAC H. et HALEVY Ludovic, Madame attend Monsieur, comédie, en un acte, Paris, Michel Lévy, 1872; MEILHAC H. et HALEVY Ludovic, Toto chez Tata, comédie en un acte, Paris, Michel Lévy, 1873; MEILHAC H. et HALEVY Ludovic,Le Roi Candaule, comédie en un acte en prose, Paris, Michel Lévy, 1873; LABICHE Eugène et DURU Alfred, Doit-on le dire ?, comédie en trois actes, Paris, E. Dentu, 1873; DURU Alfred, Les deux noces de Boisjoli, vaudeville en trois actes, Paris, Dentu, 1872; CLAIRVILLE, SIRAUDIN , La fille de Madame Angot, opéra-comique en trois actes (musique de Ch. Lecoq), Paris, Tresse, 1873; JAIME Ad. et NORIAC Jules, La timbale d'argent, opéra-bouffe en trois actes (musique de L. Vasseur), Paris, Michel Lévy, 1872; CLAIRVILLE, CHIVOT et DURU, Les cent vierges, opéra-bouffe en trois actes (musique de Charles Lecoq), Paris, E. Lachaud, 1872."
Edition Grasset "Les Amis des Cahiers verts", 1929. In-8 broché (19 x 14 cm), couverture rempliée vert-pâle, 104 pages. Illustré de 2 dessins in texte (dont Portrait de Ludovic Halévy, reproduction d'un monotype de DEGAS) et 2 portraits photographiques hors texte (Gambetta et le Marquis du Lau). Plaquette tirée à 3882, celui-ci le n°756 sur Alfa Navarre.- Quelques rousseurs dans les marges, non coupé. Bon exemplaire.
Grasset, 1941, in-12, 393 pp, broché, bon état. Edition originale sur papier courant (achevé d'imprimer du 12 mars 1941)
"Ce livre offre un grand intérêt. (...) C'est à travers la vie de Péguy que nous pouvons apercevoir, grâce à M. Daniel Halévy, tout un pan de l'histoire de la IIIe République. A coup sûr, M. Daniel Halévy n'est pas tendre à l'égard de celle-ci, mais peu nous importe, et il nous suffit qu'il introduise honnêtement le témoignage de Péguy lui-même pour que nous lui sachions gré de son effort, en vue de faire revivre les milieux humains où a vécu son héros. La politicaillerie dont Péguy s'est dégagé et qui l'a fait souffrir dans son âme et dans son corps, les milieux universitaires, l'école de Georges Sorel, les mouvements littéraires personnifiés par Claudel et Romain Rolland, l'École normale du temps de Perrot et de Lucien Herr, la Sorbonne historique et sociologique, et, avant encore, le collège Sainte-Barbe et les milieux populaires d'Orléans, – comme, au terme du livre, et de la vie de Péguy, – l'attente de la guerre de 1914 et ses premières réalités, – jusqu'à la mort de Péguy, le 5 septembre 1914, tout cela défile dans le livre de M. Daniel Halévy, avec les précisions, les références, les discussions utiles. Ainsi ce livre, qui est l'hommage d'un admirateur et d'un ami, est aussi une contribution historique de premier ordre." (Georges Bourgin, Revue Historique, 1943) — "La jeune floraison des Cahiers dura dix ans. De 1910 à 1914, il y aura Péguy et sa grandeur solitaire portée par les Cahiers, mais dressée plus haut qu’eux. De 1900 à 1910, il y eut les Cahiers, c’est-à-dire Péguy dans un entourage, en plein travail et entrain de jeunesse fraternelle. Après avoir quelques mois campé dans la chambre de Jérôme Tharaud, il transporta ses dossiers rue de la Sorbonne, dans une École de Journalisme qu’une agitée du dreyfusisme, Mme Dick May, avait installée là. Les Cahiers eurent une table, un espace réservé au premier étage. À côté des paperasses de Péguy, il y avait celles de Guieysse et de ses Pages libres. L’École de Dick May commença un voisinage qui dura longtemps. En octobre 1901, les Cahiers et les Pages libres, se déplaçant ensemble, s’installèrent, à vingt pas de l’École, dans une boutique dont une inscription rappelle aujourd’hui l’ancien emploi. La boutique, étroite et longue, fut divisée et cloisonnée. On ouvrait la porte : un couloir (plutôt un boyau) menait vers l’arrière boutique, où se tenait Guieysse : à gauche, une porte, et, franchie cette porte, il restait un petit espace qui était le domaine de Péguy. Sa boutique." (p. 102-103)
DURANDEAU (Joachim) - (Jean-Jacques Weiss) - HALEVY (Daniel et Ludovic) -
Reference : 31707
Paris : Fourneau, sd (ca1891) - pleine percaline à la bradel ( 23 x14cm) avec pièce de titre, reliure signée Paul Vié, avec l'ex-libris de Ludovic Halévy, 56pp. - envoi autographe signé de l'auteur à Ludovic Halévy et lettre autographe signé relié avec le volume - commentaires autographe in-fine par Daniel Halévy fils de Ludovic - bon état -
Lettre autographe dans laquelle l'auteur s'explique sur l'anonymat qu'il a choisi pour ce livre et demande à l'académicien s'il peut en écrire quelque chose dans Le Figaro et Le Temps. Jean-Jacques Weiss (1827-1891), homme de lettre, ministre, proche des milieux bonapartistes.
Grasset 14,5 x 19 Paris 1929 Broché, couverture rempliée recouverte de papier cristal, 105 pp., Edition originale. Exemplaire numéroté XXXI sur alfa Navarre. Reproductions d'un monotype d'un portrait de Ludovic Halévy par Degas et d'un croquis d'un portrait de Ludovic Halévy par Paul Renouard. Couverture avec bandes de rousseurs et rousseurs internes.(ALDeb4)
P.-Genève, La Palatine, 1960, in-12, 187 pp, broché, couv. illustrée, bon état. Edition originale (il n'est pas mentionné de grands papiers)
Intime de la famille Breguet durant son adolescence, Degas devint ensuite intime de la famille Halévy: Ludovic, sa femme, Louise Breguet, et leurs deux fils Élie et Daniel. Celui-ci, dès sa quinzième année, voit en Degas son maître en noblesse de caractère, et note tous ses propos. Daniel Halévy n’a jamais cessé de s’interroger sur la tristesse de Degas, sur l’évolution de son œuvre, sur les raisons de sa rupture avec les Halévy au moment de l’Affaire Dreyfus. Il n’a jamais cessé de penser à Degas comme celui qui lui avait appris la grandeur. À la fin de sa vie, en 1960, alors qu’il a près de 88 ans, il compose, à partir des extraits de son Journal, son dernier livre: “Degas parle...” témoignage émouvant et capital, utilisé par tous les spécialistes du peintre.
recueillies & annotées par Daniel Halévy et Emile Pillias. 587 lettres + supplément. Joint une lettre autographe de Ludovic Halévy " Mon cher ami, reçois mes biens sincères et bien affectueuses félicitations. Si tu continues à (..?..), tu en seras bientôt en grande situation, et ce sera justice, et j'en serai bien heureux (?). Ludovic Halévy Fort volume broché, 210x130, bon état général, non paginé, environ 700pp. Grasset, Paris, 1938 Ludovic Halévy, né le 1er janvier 1834 à Paris où il est mort le 7 mai 1908, est un dramaturge, librettiste d'opérettes et d'opéras, et romancier français ref/201
[Calmann Lévy, Ancienne Maison Michel Lévy Frères] - MEILHAC, H. [ Meilhac, Henri (1831-1897) ] ; HALEVY, Lud. [ Halévy, Ludovic (1834-1908) ]
Reference : 30071
(1880)
1 vol. in-12 br., Calmann Lévy, Ancienne Maison Michel Lévy Frères, Paris, 1880, 2 ff. , 149 pp.
Edition originale. Etat satisfaisant (fente en dos) pour ce titre rare. De 1860 à 1881, le duo Henri Meilhac et Ludovic Halévy fut très prolifique, tant en matière de vaudevilles et de comédies, que de livrets d'opérettes ou d'opéras. Ils collaborèrent ainsi à des oeuvres aussi célèbres que celles d'Offenbach (de "La Belle Hélène" à "La Périchole") ou de Bizet ("Carmen").
In-8,format:14x19cm,broché,chez Grasset,Paris:"les amis des cahiers verts",1929,ex. numéroté:1070/3650,sur papier Alphax Navarre,tirage justifié avec un portrait de Ludovic Halévy et en frontipice,un portrait pleine page de Gambetta.Préface de Halévy+105 pages+table. - très bel état,
Ray I1*
Paris : E. Heu, [1866?],(291 p.) ; 28 cm.broche,couverture imprimée conservée,sous chemise factice,quelques pages mal coupées,texte assez frais,pages 83/84 manquantes,E.H.742
rare,dans l’etat
Couverture rigide Berlin, Schlesinger , sd ,( début XXè ) in4 percaline rouge , plat joliment décoré , 382 pp Paroles bilingue, cachet Langue: Français