DURANDEAU (Joachim) - (Jean-Jacques Weiss) - HALEVY (Daniel et Ludovic) -
Reference : 31707
Paris : Fourneau, sd (ca1891) - pleine percaline à la bradel ( 23 x14cm) avec pièce de titre, reliure signée Paul Vié, avec l'ex-libris de Ludovic Halévy, 56pp. - envoi autographe signé de l'auteur à Ludovic Halévy et lettre autographe signé relié avec le volume - commentaires autographe in-fine par Daniel Halévy fils de Ludovic - bon état -
Lettre autographe dans laquelle l'auteur s'explique sur l'anonymat qu'il a choisi pour ce livre et demande à l'académicien s'il peut en écrire quelque chose dans Le Figaro et Le Temps. Jean-Jacques Weiss (1827-1891), homme de lettre, ministre, proche des milieux bonapartistes.
Alençon : Imprimerie Alençonnaise, 1944 - plaquette brochée de 4 pages illustrées de 3 hors texte en noir - rousseurs éparses -
Darmstadt : Otto Reichl, 1928 - 16x6x13 cm - pleine percaline noire imprimée en lettres dorées, 208 pages - Exemplaire abondamment annoté en marge et en fin au crayon par Daniel Halévy - Exemplaire en bon état - Première édition d'une des oeuvres les plus importantes de l'auteur (La Dialectique entre le Moi et l'inconscient) -
P., Calmann-Lévy, 1935, 2 vol. in-12, 230 et 224 pp, reliures bradel papier crème, dos lisses, pièces de titre basane vermillon, couv. illustrées conservées (un portrait de L. Halévy d'après un dessin de Paul Renouard au tome I, une vignette d'Edmond Morin au tome II), bel état. Edition originale, le tome I est un des 320 exemplaires numérotés sur vélin du Marais (seul grand papier), enrichi d'un envoi a.s. de Daniel Halévy, le tome II est sur papier courant
"Ludovic Halévy est un homme séduisant, il écrit avec agrément, il approche de grands personnages : Morny, Gambetta, il connaît les coulisses du théâtre et moins bien celles de la politique, il fréquente le grand monde mais il est plus qu'un homme du monde ; son fils Daniel l'a fait revivre en publiant presque intégralement ses Carnets. Ludovic Halévy était le demi-frère de Prévost-Paradol et la carrière tragique de Prévost-Paradol tient une place considérable dans le second des Carnets. Vraisemblablement le suicide de Prévost-Paradol a contribué à éloigner Ludovic des prises de position politiques. De là sa faiblesse et aussi son charme : il n'a voulu être qu'un témoin de son temps. La politique était un jeu trop cruel." (Pierre Guiral) — "Rédigés sous la forme d'un journal, ces carnets concernent essentiellement la société littéraire et artistique de l'époque. Excellent témoignage." (Bourachot, 201)
Paris, Brandus et Cie., Troupenas et Cie., 1849. 1 feuillet. 323 pages. (28x18,5 Cm). Cartonnage imprimé de l'éditeur. Fromental Halevy est principalement connu pour ses opéras et opérettes. Né à Paris, Halévy a étudié le piano et la composition avec les musiciens les plus renommés de l'époque, dont Étienne Nicolas Méhul et Luigi Cherubini. Fromental a été un mélodiste très abondant, parfois inspiré, souvent sincère jusqu'à la naïveté. La première de l'opéra 'Le Val d'Andorre' eut lieu le 11 novembre 1848 à l'Opéra-Comique à Paris. Presque complètement oublié de nos jours, il fut l'une des plus grandes réussites d'Halévy : il y'en eut 165 représentations, et le théâtre redressa sa situation financière, qui était alors précaire. Le critique de la Revue et gazette musicale de Paris écrivit que l'œuvre était le succès total le plus brillant qu'ait jamais connu l'Opéra-Comique.
Paris, Michel Lévy et divers éditeur, 1872-1873. "11 x 18, 30 + 16 + 25 + 52 + 102 + 83 + 103 + 84 + 110 pages, reliure dos cuir ornée de filets dorés, bon état (reliure état d'usage; peu de rousseurs)."
"MEILHAC H. et HALEVY Ludovic, Les sonnettes, comédie en un acte en prose, Paris, Michel Lévy, 1873; MEILHAC H. et HALEVY Ludovic, Madame attend Monsieur, comédie, en un acte, Paris, Michel Lévy, 1872; MEILHAC H. et HALEVY Ludovic, Toto chez Tata, comédie en un acte, Paris, Michel Lévy, 1873; MEILHAC H. et HALEVY Ludovic,Le Roi Candaule, comédie en un acte en prose, Paris, Michel Lévy, 1873; LABICHE Eugène et DURU Alfred, Doit-on le dire ?, comédie en trois actes, Paris, E. Dentu, 1873; DURU Alfred, Les deux noces de Boisjoli, vaudeville en trois actes, Paris, Dentu, 1872; CLAIRVILLE, SIRAUDIN , La fille de Madame Angot, opéra-comique en trois actes (musique de Ch. Lecoq), Paris, Tresse, 1873; JAIME Ad. et NORIAC Jules, La timbale d'argent, opéra-bouffe en trois actes (musique de L. Vasseur), Paris, Michel Lévy, 1872; CLAIRVILLE, CHIVOT et DURU, Les cent vierges, opéra-bouffe en trois actes (musique de Charles Lecoq), Paris, E. Lachaud, 1872."
Edition Grasset "Les Amis des Cahiers verts", 1929. In-8 broché (19 x 14 cm), couverture rempliée vert-pâle, 104 pages. Illustré de 2 dessins in texte (dont Portrait de Ludovic Halévy, reproduction d'un monotype de DEGAS) et 2 portraits photographiques hors texte (Gambetta et le Marquis du Lau). Plaquette tirée à 3882, celui-ci le n°756 sur Alfa Navarre.- Quelques rousseurs dans les marges, non coupé. Bon exemplaire.
RICOEUR (Paul). GARIEL (Philippe). TAVERNIER (René). BEIGBEDER (Marc). MICHAUD (Raymonde). RILKE (Rainer Maria). HALEVY (Daniel).
Reference : 45165
Lyon, directeur Jacques Aubenque. Un volume 14,2x22,5cm, 140 pages. Bon état.
Créée à Lyon en juillet 1941 par deux camarades de lycée, l’éditeur et imprimeur Marc Barbezat et le philosophe Marc Beigbeder, Confluences offre un très large panorama de littératures française et étrangère. «Je ne crois pas qu’il existe à l’heure actuelle une revue qui fasse aux jeunes une place plus large, qui nous ait révélé plus de noms nouveaux», écrivait un rédacteur des Cahiers du Sud en 1944. Confluences comptera 58 numéros jusqu’en 1947. La mention de nouvelle série était un stratagème imaginé par les directeurs pour faire croire à l’administration de Vichy que la revue paraissait avant-guerre. Car la censure frappait indistinctement tous les nouveaux titres.
HALEVY (Daniel). CODET (Louis). MAURIAC (François). SALMON (André). HERVIEU (Louise). GABORY (André). BONGUIE (Emile de). SUARES (André).
Reference : 45017
Paris, éditions Emile-Paul. Directeurs: Emile-Paul et Maurice Martin du Gard. Comité de rédaction: Edmond Jaloux, Valery Larbaud, André Germain et Philippe Soupault. Gérant: Paul Budry. Fascicule 16,6x25,2cm broché de 72 pages.
Bonne revue littéraire (60 livraisons jusqu'en 1922), fondée par l'écrivain, critique et éditeur Paul Budry et soutenu par le mécène André Germain. "Bénéficiant de la présence de Philippe Soupault au comité de rédaction, Louis Aragon et André Breton apportèrent à la revue une contribution régulière, entretenant de l’évolution des préoccupations de la jeune génération et des derniers exploits en date du mouvement dada." (Lacroix, catalogue revues, février 2019. n°207).
Paris Boussod, Valadon 1887 grand in 4 demi chagrin avec coins , dos à nerfs orné .
très bel exemplaire illustré par Madeleine Lemaire , serpentes imprimées .
Paris : Calmann-Levy, 1883 - un volume in-8 (13,5x19,7cm) demi veau glacé vert, dos à 5 nerfs orné de caissons richement ornés, de filets, auteur et titre dorés, tranche supérieure dorée (reliure de l'époque), couverture conservée, 210 pages illustrées d'un frontispice et de 8 bandeaux en tête de chapitre d'après Jules Massard - EDITION ORIGINALE : un des 200 exemplaires numérotés sur papier vergé du Marais - belle reliure bien établie par Vaillant-Flammarion
ARIES (Philippe) - HALEVY (Daniel) - MARCEL (Gabriel) - D'HARCOURT (Robert) - GEORGE (André) - CLOUARD (Henri) - collectif
Reference : 32363
Paris : "J'ai lu", 1946 - petit format 18,8x12,2 cm agrafé, 32 pages - 1/50 exemplaires numérotés sur papier vélin alfa - bon état -
ARIES (Philippe) - HALEVY (Daniel) - MARCEL (Gabriel) - D'HARCOURT (Robert) - GEORGE (André) - CLOUARD (Henri) - collectif
Reference : 32373
Paris : "J'ai lu", 1947 - petit format 18,8x12,2 cm agrafé, 70 pages -
Extrait de "la France catholique", juin 1952 - plaquette agrafée de 15 pages - bon état -
plaquette agrafée de 16 pages - bon état -
Paris : Plon (Coll. "le roman des grandes existences"), 1931 - in-12 broché de 320 pages - bon état -
Grasset, 1941, in-12, 393 pp, broché, bon état. Edition originale sur papier courant (achevé d'imprimer du 12 mars 1941)
"Ce livre offre un grand intérêt. (...) C'est à travers la vie de Péguy que nous pouvons apercevoir, grâce à M. Daniel Halévy, tout un pan de l'histoire de la IIIe République. A coup sûr, M. Daniel Halévy n'est pas tendre à l'égard de celle-ci, mais peu nous importe, et il nous suffit qu'il introduise honnêtement le témoignage de Péguy lui-même pour que nous lui sachions gré de son effort, en vue de faire revivre les milieux humains où a vécu son héros. La politicaillerie dont Péguy s'est dégagé et qui l'a fait souffrir dans son âme et dans son corps, les milieux universitaires, l'école de Georges Sorel, les mouvements littéraires personnifiés par Claudel et Romain Rolland, l'École normale du temps de Perrot et de Lucien Herr, la Sorbonne historique et sociologique, et, avant encore, le collège Sainte-Barbe et les milieux populaires d'Orléans, – comme, au terme du livre, et de la vie de Péguy, – l'attente de la guerre de 1914 et ses premières réalités, – jusqu'à la mort de Péguy, le 5 septembre 1914, tout cela défile dans le livre de M. Daniel Halévy, avec les précisions, les références, les discussions utiles. Ainsi ce livre, qui est l'hommage d'un admirateur et d'un ami, est aussi une contribution historique de premier ordre." (Georges Bourgin, Revue Historique, 1943) — "La jeune floraison des Cahiers dura dix ans. De 1910 à 1914, il y aura Péguy et sa grandeur solitaire portée par les Cahiers, mais dressée plus haut qu’eux. De 1900 à 1910, il y eut les Cahiers, c’est-à-dire Péguy dans un entourage, en plein travail et entrain de jeunesse fraternelle. Après avoir quelques mois campé dans la chambre de Jérôme Tharaud, il transporta ses dossiers rue de la Sorbonne, dans une École de Journalisme qu’une agitée du dreyfusisme, Mme Dick May, avait installée là. Les Cahiers eurent une table, un espace réservé au premier étage. À côté des paperasses de Péguy, il y avait celles de Guieysse et de ses Pages libres. L’École de Dick May commença un voisinage qui dura longtemps. En octobre 1901, les Cahiers et les Pages libres, se déplaçant ensemble, s’installèrent, à vingt pas de l’École, dans une boutique dont une inscription rappelle aujourd’hui l’ancien emploi. La boutique, étroite et longue, fut divisée et cloisonnée. On ouvrait la porte : un couloir (plutôt un boyau) menait vers l’arrière boutique, où se tenait Guieysse : à gauche, une porte, et, franchie cette porte, il restait un petit espace qui était le domaine de Péguy. Sa boutique." (p. 102-103)
Grasset 14,5 x 19 Paris 1929 Broché, couverture rempliée recouverte de papier cristal, 105 pp., Edition originale. Exemplaire numéroté XXXI sur alfa Navarre. Reproductions d'un monotype d'un portrait de Ludovic Halévy par Degas et d'un croquis d'un portrait de Ludovic Halévy par Paul Renouard. Couverture avec bandes de rousseurs et rousseurs internes.(ALDeb4)
P.-Genève, La Palatine, 1960, in-12, 187 pp, broché, couv. illustrée, bon état. Edition originale (il n'est pas mentionné de grands papiers)
Intime de la famille Breguet durant son adolescence, Degas devint ensuite intime de la famille Halévy: Ludovic, sa femme, Louise Breguet, et leurs deux fils Élie et Daniel. Celui-ci, dès sa quinzième année, voit en Degas son maître en noblesse de caractère, et note tous ses propos. Daniel Halévy n’a jamais cessé de s’interroger sur la tristesse de Degas, sur l’évolution de son œuvre, sur les raisons de sa rupture avec les Halévy au moment de l’Affaire Dreyfus. Il n’a jamais cessé de penser à Degas comme celui qui lui avait appris la grandeur. À la fin de sa vie, en 1960, alors qu’il a près de 88 ans, il compose, à partir des extraits de son Journal, son dernier livre: “Degas parle...” témoignage émouvant et capital, utilisé par tous les spécialistes du peintre.
recueillies & annotées par Daniel Halévy et Emile Pillias. 587 lettres + supplément. Joint une lettre autographe de Ludovic Halévy " Mon cher ami, reçois mes biens sincères et bien affectueuses félicitations. Si tu continues à (..?..), tu en seras bientôt en grande situation, et ce sera justice, et j'en serai bien heureux (?). Ludovic Halévy Fort volume broché, 210x130, bon état général, non paginé, environ 700pp. Grasset, Paris, 1938 Ludovic Halévy, né le 1er janvier 1834 à Paris où il est mort le 7 mai 1908, est un dramaturge, librettiste d'opérettes et d'opéras, et romancier français ref/201
[Calmann Lévy, Ancienne Maison Michel Lévy Frères] - MEILHAC, H. [ Meilhac, Henri (1831-1897) ] ; HALEVY, Lud. [ Halévy, Ludovic (1834-1908) ]
Reference : 30071
(1880)
1 vol. in-12 br., Calmann Lévy, Ancienne Maison Michel Lévy Frères, Paris, 1880, 2 ff. , 149 pp.
Edition originale. Etat satisfaisant (fente en dos) pour ce titre rare. De 1860 à 1881, le duo Henri Meilhac et Ludovic Halévy fut très prolifique, tant en matière de vaudevilles et de comédies, que de livrets d'opérettes ou d'opéras. Ils collaborèrent ainsi à des oeuvres aussi célèbres que celles d'Offenbach (de "La Belle Hélène" à "La Périchole") ou de Bizet ("Carmen").
In-8,format:14x19cm,broché,chez Grasset,Paris:"les amis des cahiers verts",1929,ex. numéroté:1070/3650,sur papier Alphax Navarre,tirage justifié avec un portrait de Ludovic Halévy et en frontipice,un portrait pleine page de Gambetta.Préface de Halévy+105 pages+table. - très bel état,
Ray I1*
Paris : E. Heu, [1866?],(291 p.) ; 28 cm.broche,couverture imprimée conservée,sous chemise factice,quelques pages mal coupées,texte assez frais,pages 83/84 manquantes,E.H.742
rare,dans l’etat
Couverture rigide Berlin, Schlesinger , sd ,( début XXè ) in4 percaline rouge , plat joliment décoré , 382 pp Paroles bilingue, cachet Langue: Français