Gyp, Sibylle Riqueti de Mirabeau, comtesse de Martel, dite (1849-1932), romancière.
Reference : 002056
Gyp, Sibylle Riqueti de Mirabeau, comtesse de Martel, dite (1849-1932), romancière. Manuscrit autographe signée, sd [ca.1900], 17p in-folio Important manuscrit d'un article satirique titré Une Poison., à l'encre violette, avec de nombreuses ratures et corrections. Il a pour sujet Madame Collomb, la poison, et mentionne Henri Bérenger, Georges Grosjean, etc.. Cette poison a « dans le visage, quelques-uns des traits » de la meneuse de revue Louise Balthy (1867-1925), « mais d'une Balthy vieillie et ridée ». Elle mentionne aussi son côté antidreyfusard en disant « les gens « côté Dreyfus » m'inspirent un dégoût contre lequel je ne peux pas réagir ». Cette Collomb mêlait Déroulède et Cavaignac dans un complot royaliste. Déchirure à la première page. Bel article satirique contre cette Madame Collomb que nous n'avons pas su identifier.
Gyp, Sibylle Riqueti de Mirabeau, comtesse de Martel, dite (1849-1932), romancière.
Reference : 002053
L.A.S., sd [jeudi - ca.1899], 3p in-8 (les 2 dernières écrites comme une seule page). Elle envoie la couverture d'un livre auquel la page de Folleuil a été arrachée. Elle va probablement le soir au Palais Royal et se propose d'envoyer vite son dialogue. Signée G. Elle publie en 1899 Monsieur de Folleuil, recueil de dialogues. Elle en a sûrement proposé un à son destinataire.
Gyp, Sibylle Riqueti de Mirabeau, comtesse de Martel, dite (1849-1932), romancière.
Reference : 002054
L.A., sd [ca.1899], 2p in-8. Elle envoie Costumes avant Folleuil à . car Folleuil a déjà été lu la semaine précédente. Le texte sera facile à couper s'il est trop long. Elle mentionne « Bal au bois », sûrement un dialogue. Elle publie en 1899 Monsieur de Folleuil, recueil de dialogues. Elle envoie ici un dialogue mais qui ne semble pas faire partie du recueil.
Gyp, Sibylle Riqueti de Mirabeau, comtesse de Martel, dite (1849-1932), romancière.
Reference : 002055
L.A., sd [ca.1899], 3p in-8. Elle a fait « beaucoup plus court », probablement avec ses dialogues. Elle a gardé Folleuil rodeur « pour le souper aux petites tables ». Elle n'envoie plus de théâtre car « j'ai pensé que les autres n'étaient pas réussis ». Elle publie en 1899 Monsieur de Folleuil, recueil de dialogues. Elle envoie ici un dialogue mais qui ne semble pas faire partie du recueil.