Paris, Chez saugain fils , 1743; in-4, 543 pp., cartonnage de l'éditeur. Quatrieme partie contenant les observations sur le retrait seigneurial, féodal, censuel ou emphitéotique/ les observations sur la foi et hommage, sur le souffrance/ les observations sur la commise tant par desaveu que par félonie, et du droit de commis, ou commise en emphitéose/ les observations sur la saisie féodale et censuelle/ les observations sur le champart, ou terrage alias agriere agrier tome 4 seul photo sur demande.
Quatrieme partie contenant les observations sur le retrait seigneurial, féodal, censuel ou emphitéotique/ les observations sur la foi et hommage, sur le souffrance/ les observations sur la commise tant par desaveu que par félonie, et du droit de commis, ou commise en emphitéose/ les observations sur la saisie féodale et censuelle/ les observations sur le champart, ou terrage alias agriere agrier tome 4 seul photo sur demande.
Paris, Librairie vuibert, 1944; in-8, 306 pp., broché, couverture illustr reliure refaite en papier. Chaleur taché sur la premiere page.
Chaleur taché sur la premiere page.
Ilkirch Graffenstaden, Amicale des anciens du 1er régiement du génie, 1994; in-4, 360 pp., cartonnage de l'éditeur. Très bon état édition 1994 - dédicacé de l'auteur. exemplaire n)286/2000 dont 750 ex numérotés,nombreuses illustrations n/b.
Très bon état édition 1994 - dédicacé de l'auteur. exemplaire n)286/2000 dont 750 ex numérotés,nombreuses illustrations n/b.
Paris, Fleurus - editons gautier-languereau, 1956; in-12, 123 pp., cartonnage de l'éditeur. Bon état - illustrations de Dimpre.
Bon état - illustrations de Dimpre.
Paris, Librairie Fernand Nathan, 1916; in-12, 546 pp., cartonnage de l'éditeur. Bon état ptes usures (coins usagés).
Bon état ptes usures (coins usagés).
A Neuchatel, De l'imprimerie Paul Attinger, 1948; in-8, 122 pp., broché. Très bon état - exemplaire n°2821/3000 sur papier vergé cremeIllustré de 6 reproductions de gravures anciennes h-texte.
Très bon état - exemplaire n°2821/3000 sur papier vergé cremeIllustré de 6 reproductions de gravures anciennes h-texte.
Paris, Edition d'art H. PIazza , 1926; in-12, 148 pp., broché, couverture illustr. D'après les textes anciens - 6e édition - bon état.
D'après les textes anciens - 6e édition - bon état.
Nancy, Mémoire de la sociétét d'archéologie de Lorraine, 1888; in-8, LXXXII, broché (usures).
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Paris, Éditions du monent, 2009; in-8, 218 pp., broché, couverture illustr. Très bon état.
Très bon état.
IMPORTANT ET INTERESSANT MEMOIRE DUN APOTHICAIRE DE LOUIS XV, relatif à son invention dune « eau préservative » et à celle dune « eau pour les yeux » par le comte dOsenbray. Cet exposé est destiné à sa famille, afin quelle puisse, si nécessaire, faire valoir ses droits. Dans ce but, le mémoire établit les faits qui se rapportent à ses inventions et récapitule les démarches entreprises par Guyot et ses protecteurs pour obtenir réparation des préjudices quil estime avoir subis.Guyot fait valoir tout dabord que Louis-Léon Pajot, comte dOnsenbray (Paris, 1678-1754), académicien honoraire, lui léguait par testament sa collection dhistoire naturelle constituant son cabinet, reconnaissant que leau conservatrice, dont il usait pour la conservation de celle-ci, était de linvention de Guyot. Or le roi ayant désiré acquérir pour lAcadémie des sciences le secret de cette eau, versa à Guyot une pension de 1 200 livres. Du fait de cet octroi, dOsenbray transforma, par un codicille, le legs de son cabinet à Guyot, en faveur de lAcadémie, ce qui représentait une perte de 20 000 livres.Pour finir, il procède au récit des ennuis quil a rencontrés à la suite de la distribution gratuite aux pauvres (distribution qui dure depuis 60 ans, dont 40 par lui-même) de leau pour les yeux conformément aux souhaits de son inventeur, le comte dOnsenbray.
Où l'on a joint Leurs causes, leurs effets, la manière de les construire, & l'amusement qu'on peut en tirer pour étonner agréablement, Par M. Guyot de la Société Littéraire & Militaire de Beançon, 4 vol. in-8 reliure de l'époque plein veau marbré, Chez Gueffier, Paris, 1769-1770, 2 ff., IV-XXIII-243 pp. et 3 ff. n. ch. (dont "Prix de toutes les Pièces de Récréations contenues en ce premier volume" liste annotée à l'époque) avec 23 planches dépliantes en couleurs ; 2 ff., X pp., 1 f., 322 pp. et 1 f. n. ch. (dont "Prix des Récréations contenues en ce 2e volume") avec 16 planches dépliantes (dont 13 en couleurs) ; XVI-240 pp. et 4 ff. n. ch. (dont "Prix de toutes les Pièces de Récréations contenues en ce Troisième volume") avec 23 planches dépliantes (dont 22 en couleurs) et un tableau dépliant ; 2 ff., X pp., 1 f., 232 pp. et 1 f. n. ch. (dont "Prix de toutes les Pièces de Récréations contenues en ce 4e volume") avec 11 planches dépliantes en couleurs et 3 tables hors texte
Exceptionnelle provenance pour cet exemplaire : des bibliothèques du savant François-César Le Tellier de Courtanvaux (1718-1781) puis de celle de l'astronome Charles Messier (1730-1812), célèbre créateur du "Catalogue Messier" d'objets du ciel profond. Tous deux membres de l'Académie des Sciences dont Le Tellier de Courtanvaux fut deux fois président (en 1669 et 1775), les deux savants s'y succédèrent, car Courtanvaux meurt en 1781 et Charles Messier y est nommé associé dans la classe d'astronomie en avril 1782 (Cf PV de l'Académie des Sciences, T. 101, 1782, folio 78). Charles Messier a curieusement collé son propre ex-libris circulaire, avec son chiffre couronné entouré de la mention "Astron. de La Mar. de l'Ac. R. des Sc. &a 1782" (Astronome de la Marine de l'Académie des Sciences ), au centre de l'ex-libris de son prédécesseur. L'exemplaire est bien complet des 73 planches dépliantes, dont 69 rehaussées à l'aquarelle. L'exemplaire est bien complet des 4 listes des prix de "Pièces de récréation" vendu par Guyot, parmi lesquelles la "Baguette magnétique", le "Cadran merveilleux", "L'Oracle magnétique", la "Mouche Sçavante", la "Découverte inconcevable", ec... Etat très satisfaisant (reliures frottées avec petits mq. en coiffes et fentes en mors, 4 points de colle anciens ont occasionnés de petits accrocs à 4 ff. ou planches dans le tome 3, bon état par ailleurs, ex-libris gravés de Le Tellier de Courtanvaux et Charles Messier répétés dans chaque volume, cachet d'ex-libris de Le Tellier de Courtanvaux répété dans chaque volume) pour cet exemplaire exceptionnel témoignant de l'intérêt que les plus grands savants de leur époque pouvaient porter à ces "Récréations physiques". Caillet, 4900 (signale l'édition de 1782 et précise : "Orné d'un nombre considérable de planches qui dans certains exemplaires on été coloriées à l'époque d'une façon absolument parfaite"). Exceptional provenance for this copy : from the libraries of the scholar François-César Le Tellier de Courtanvaux (1718-1781) then that of the astronomer Charles Messier (1730-1812), famous creator of the "Messier Catalog" of deep sky objects . Both members of the Academy of Sciences of which Le Tellier de Courtanvaux was twice president (in 1669 and 1775), the two scientists succeeded one another, because Courtanvaux died in 1781 and Charles Messier was named associate in the class of astronomy in April 1782 (Cf PV of the Academy of Sciences, T. 101, 1782, folio 78). Charles Messier curiously pasted his own circular ex-libris, with its crowned figure surrounded by the words "Astron. de La Mar. de l'Ac. R. des Sc. &a 1782" (Astronome de la Marine de l'Académie des Sciences), at the center of the ex-libris of its predecessor. The copy is complete with 73 folding plates, including 69 enhanced with watercolor. The copy is complete with the 4 price lists of "Recreation pieces" sold by Guyot, including the "Magnetic Wand", the "Wonderful Dial", "The Magnetic Oracle", the "Mouche Sçavante", the "Magnetic Fly". Inconceivable discovery", etc... Very satisfactory condition (rubbed bindings with small mq. in caps and jaw slots, 4 old glue dots caused small tears to 4 ff. or boards in volume 3, otherwise good condition , ex-libris engraved by Le Tellier de Courtanvaux and Charles Messier repeated in each volume, ex-libris stamp of Le Tellier de Courtanvaux repeated in each volume) for this exceptional copy testifying to the interest that the greatest scholars of their era could bring to these "Physical Recreations". Caillet, 4900 (indicates the 1782 edition and specifies: "Adorned with a considerable number of plates which in certain copies were colored at the time in an absolutely perfect way").
Paris, Quillau, 1739, 1 demi basane, dos orné, coins émoussés, coiffes manquantes. in-12, titre, XIV-386 pp. ;
Réedition par Henri Guyot, de l'ouvrage d'Honoré Bicais, paru à Londres en 1659, qu'il enrichi de nouveaux articles et de sentences tirées de Corneille Celse. Dans ce manuel de médecine, Guyot et Nicais présentent les aphorismes, les maximes ou centenses tirées des oeuvres d'Hippocrate.Honoré Nicais, né à Oraison (Alpes de Hautes provence), il occupait pa première chaire de medecine à l'université d'Aix en Provence.
Phone number : 06 80 15 77 01
P., J. Brouillet, Armand Colin, 1873 et 1896, 2 vol. in-12, xxiv-185 et 60 pp, les deux ouvrages reliés ensemble en un volume demi-basane verte, dos lisse avec titres et triples filets dorés, couvertures de la “Morale de la concurrence” conservées (rel. de l'époque), dos uniformément passé, bon état. Editions originales
Disciple de Turgot, de Jean-Baptiste Say et de Frédéric Bastiat, l'économiste et publiciste Yves Guyot (1843-1928) a aussi été, dans le sillage de son mentor Léon Gambetta, l'une des grandes figures républicaines de la IIIe République. En 1868, il est rédacteur en chef de l'Indépendant du Midi, où il côtoie Jules Guesde puis il est chargé de la rédaction de la journée politique au journal Le Rappel (1870). Conseiller municipal de Paris (1874-1885), il siège à gauche. Membre fondateur de l'Ecole d'anthropologie (1875), il entre en 1881 à la Société d'économie politique. Député radical de Paris (1885-1893), Guyot se porte à la tête du combat contre le général Boulanger. Il devient pendant trois ans ministre des Travaux publics (1889-1892), puis rédacteur en chef du célèbre Journal des économistes, directeur du journal Le Siècle (1892-1902) mais aussi président de la Société d'Économie politique (1913-1922) et de la Société de statistique de Paris. Il participa activement à tous les grands débats publics de son époque – où il intervint autant en libre penseur partisan de la séparation de l'Eglise et de l'Etat et en dreyfusard de la première heure, qu'en farouche partisan de la liberté économique sous toutes ses formes.
1738 A Paris, chez Chaubert, quay des Augustins à la Renommée, & à la Prudence, 1738.Relié avec : Le Consentement forcé, comédie en un acte, en prose. Par M. Guyot de Merville. Représentée pour la première fois par les Comédiens François, le 13 août 1738. A Paris, chez Chaubert, quay des Augustins à la Renommée, & à la Prudence, 1738.Les Epoux réunis. Comédie, en trois actes, & en vers. Par M. Guyot de Merville. Représentée pour la première fois par les Comédiens François le 31 octobre 1738. A Paris, chez Prault, père, quai de Gesvres, au Paradis, 1739.Un volume in-8° (183 x 123 mm) constitué de trois brochures de [4]+10+55+[1bl] pages, IV+75+[1] pages, VIII+114+[2] pages. Reliure en demi basane brun à coins, dos à nerfs sans ornements, pièce de titre rouge (reliure de lépoque).
Au premier contreplat, grand et très belle ex-libris héraldique gravé par Pierre-Philippe Choffard (1730 1809) et daté de 1779, pour Jean-Armand Tronchin (1732 1813), qui fut notamment resident de Genève à Paris de 1787 à 1792.
Yves Guyot (1843-1928), économiste, journaliste, homme politique. L.A.S., lundi 5 août [1882], 2pŒ in-8. A Arthur Mangin. Longue lettre à laquelle était joints un résumé et diverses réponses de Guyot à d'autres membres, probablement de la Société d'Economie politique, dont les rapports étaient rédigés par Mangin. Ces membres sont notamment Charles Lavollée et Gustave de Molinari (les autres noms étant difficiles à déchiffrer). Il est notamment question de l'Acte Torrens, une procédure d'enregistrement des terres dans les colonies. Cette procédure fut utilisée en Tunisie. Un article sur ce sujet signé par Guyot fut publié dans L'Economiste français en octobre 1882. [300-3]
Damascene Morgan, Paris 1901,grand IN8 broche, XVI pp. 176 pp et 4 planches hors texte de reliures, 6 vacations à partir du 25 mars 1901.
bon état,
Paris, Marpon et Flammarion, et Librairie Physiologique, 1882 [achevé d'imprimer le 31 mai 1882 par Ch. Unsiger]. 1 volume in-16 (12,5 x 8,5 cm) de 179-(1) pages. Reliure plein maroquin rouge janséniste, gardes et doublures de papier chromolithographié à la manière des "Petits bréviaires" et autres "Paroissiens Romains" de l'époque, tête dorée (fine reliure de l'époque, non signée). Exemplaire à l'état proche du neuf. Intérieur comme neuf, sans rousseurs. Photographie originale pornographique de l'époque (1900) ajoutée postérieurement au verso de la justification du tirage. ÉDITION ORIGINALE POSTHUME. UN DES 50 EXEMPLAIRES SUR PAPIER DE CHINE, SEUL TIRAGE DE LUXE. ÉPREUVE PHOTOGRAPHIQUE D’ÉPOQUE AJOUTÉE MONTRANT UNE « SCÈNE D'AMOUR EXPÉRIMENTAL » (Dimensions du cliché : 65 x 45 mm) Voici le compte rendu qui en est fait dans les colonnes du Livre d'Octave Uzanne (livraison du 10 mai 1883) : « Ce n'est pas du meilleur moment des amours qu'il est parlé dans ces quelques pages, écrites naguère à l'usage d'un prince de la maison impériale et publiées aujourd'hui, pour la plus grande garantie des maris contre certaines infortunes, par deux amis de l'auteur. Aux hommes mariés M. le docteur Guyot donne le conseil, - il faut qu'on nous entende à demi-mot, - le conseil d'être et de demeurer amoureux. « Ne soyez pas trop réservés, leur dit-il, ce serait imprudence de votre part. La pratique de toutes les vertus et, en plus, la vertu, sont choses faciles pour la femme qui trouve, en son mari, un amant à la fois passionné et délicat. L'amour fait la famille ou la détruit ; par suite, il perd les nations ou assure leur grandeur. Il faut savoir aimer ; et prouver l'amour, c'est le faire éprouver. » Se rappelle-t-on cette lettre de Falconet, dans laquelle Diderot a parlé de son amour pour Mlle Volland ? « Entre ses bras, ce n'est pas mon bonheur, c'est le sien que j'ai cherché ! » M. le docteur Jules Guyot ne connaissait sans doute pas cette jolie phrase, expression d'un amour profondément sincère. Quoi qu'il en soit, tous les conseils qu'il formule se pourraient résumer en un seul : Ne recherchez pas votre bonheur, mais celui de votre femme. F.G. [Octave Uzanne ?] Ouvrage organisé en douze méditations précédées d'un Discours préliminaire à la manière de la Physiologie du goût de Brillat-Savarin, comme suit : Le mariage selon la physiologie expérimentale - La manière d'habiter et de faire génération - L'appareil générateur du genre humain - Le spasme génésique chez l'homme et chez la femme - La théologie et la fonction génésique - Les intruments de l'amour expérimental - Règles à suivre dans l'art de faire l'amour - Les symphonies conjugales de l'amour - L'épouse incomprise et le mari battu - L'hygiène physique et morale de l'amour - La fécondation de l'épouse - Les devoirs physiologiques de l'époux. Suivi d'une Notice biographique sur le docteur Guyot et d'un Lexique. « Lorsque l'appareil négatif (matrice) n'est pas éveillé, soit par le besoin naturel, soit par une stimulation artificielle, ou bien lorsqu'il vient d'éprouver le spasme génésique, tous les organes qui le constituent sont mous et tombants. Ils ne représentent qu'un ensemble de muqueuses rapprochées et sans consistance. Tout contact direct, même du clitoris, toute tentative de coït, y exerce une sensation pénible, une répulsion instinctive, un sentiment de dégoût et d'aversion. [...] » (extrait) SUPERBE EXEMPLAIRE FINEMENT RELIÉ A L'EPOQUE A LA MANIÈRE D'UN PAROISSIEN ROMAIN ... QUI N'EN N'EST PAS UN ! TIRAGE RARE. JOLIE ÉPREUVE PHOTOGRAPHIQUE D’ÉPOQUE « ILLUSTRATIVE »
Phone number : 06 79 90 96 36
P., Ernest Weil, s.d. (1873), in-4°, 800 pp, texte sur 2 colonnes, illustré de nombreux dessins de A. Lemot, deux parties reliées en un volume demi-toile vermillon, dos lisse avec titres dorés et filets à froid (rel. de l'époque), qqs rares rousseurs, bon état. Edition originale
Disciple de Turgot, de Jean-Baptiste Say et de Frédéric Bastiat, l'économiste et publiciste Yves Guyot (1843-1928) a aussi été, dans le sillage de son mentor Léon Gambetta, l'une des grandes figures républicaines de la IIIe République. En 1868, il est rédacteur en chef de l'Indépendant du Midi, où il côtoie Jules Guesde puis il est chargé de la rédaction de la journée politique au journal Le Rappel (1870). Conseiller municipal de Paris (1874-1885), il siège à gauche. Membre fondateur de l'Ecole d'anthropologie (1875), il entre en 1881 à la Société d'économie politique. Député radical de Paris (1885-1893), Guyot se porte à la tête du combat contre le général Boulanger. Il devient pendant trois ans ministre des Travaux publics (1889-1892), puis rédacteur en chef du célèbre Journal des économistes, directeur du journal Le Siècle (1892-1902) mais aussi président de la Société d'Économie politique (1913-1922) et de la Société de statistique de Paris. Il participa activement à tous les grands débats publics de son époque -- où il intervint autant en libre penseur partisan de la séparation de l'Eglise et de l'Etat et en dreyfusard de la première heure, qu'en farouche partisan de la liberté économique sous toutes ses formes. Car c'était avant tout un non-conformiste épris de liberté individuelle, un individualiste en lutte contre le collectivisme et toutes les tyrannies en général. Ainsi donne-t-il des conférences de soutien aux mouvements féministes de l'époque en 1887. — L'ouvrage s'interrompt aux temps modernes, du fait de la menace de la censure et de l'interdit de la publication qui pesait sur la troisième livraison, laquelle devait couvrir l'époque contemporaine. Du reste, la censure avait déjà agi en supprimant une gravure sur la page de titre. — « La même année (1872), je terminais l’introduction de l’Histoire des prolétaires, en disant que le but de ces études était de suivre les efforts faits par les prolétaires pour arriver à conquérir cette liberté du travail reconnue par la Déclaration des droits de l’homme mais qui, dans notre organisation sociale, est restée à l’état de vœu au lieu de devenir une réalité. Je n’ai pas changé de méthode. Je considère toujours que c’est par l’étude et l’observation des lois de la science sociale que l’humanité peut réaliser des progrès. Les déclamations des socialistes révolutionnaires, les prétentions des socialistes possibilistes, les explosions de dynamite n’ont pas modifié des idées qui avaient été fortifiées chez moi, à cette époque, par le spectacle lamentable des hommes et des choses de la Commune ; je considère que tout ce qui la rappelle ou prépare le retour d’un événement analogue ne peut pas être plus utile à l’avenir des travailleurs que ne l’a été dans le passé cette odieuse folie. » (Yves Guyot, La Tyrannie socialiste, 1893)
Paris TRIANON 1933 1 Illustrations de Charles GUYOT. Paris, Edition du Trianon, collection "Imaginaires", 1933, in-12, broché, couverture imprimée rempliée, 120 pages.
Un des 825 ex. num. sur vergé de Rives orné de quatre très beaux cuivres de Charles GUYOT.
Édition d'Art, H. Piazza 1922 1 in-4 Illustrations de A. RACKHAM. Paris, L'Édition d'Art, H. Piazza, imprimerie Kadar, 1922, in-4, broché, sous couverture rempliée, sous étui cartonné avec le tiré à part de 16 planches, 103 pages
Arthur Rackham (1867-1939) est un dessinateur et aquarelliste anglais, spécialisé dans l'illustration féerique (Osterwalder, I, 857-858). Ce recueil réunit huit contes, écrits par Charles Guyot, qui se veulent être la suite de célèbres contes de Perrault, Grimm et Andersen. Charles Guyot eut l'idée de réutiliser les illustrations qu'Arthur Rackham réalisa, au début du XXème siècle, pour la version originale de ces contes. Vingt-deux illustrations hors-texte et contrecollées (16 en couleurs et 6 en noir), protégées par des serpentes légendées, ornent cet ouvrage ainsi que des illustrations in-texte, des lettrines et culs-de-lampe. Tirage limité à 1.300 exemplaires numérotés. Un des 300 exemplaires avec un état en couleurs. Arthur Rackham est un dessinateur et aquarelliste anglais, spécialisé dans l'illustration féerique (Osterwalder, I, 857-858).
Paris, Librairie Historique F. Teissèdre, 1999 16 x 24 cm, 431 pp., illustrations en couleur, broché.
Témoignage inédit, recueilli et annoté par Jean-Hugues de Font-Réaulx.Engagé dans la cavalerie en 1790, Claude Étienne Guyot prit part aux campagnes de la Révolution et de l'Empire du premier au dernier instant, et ses notes reflètent – sans prétention ni emphase – l'état d'esprit des combattants de cette période. Le témoignage de Guyot s'avère être d'autant plus précieux que celui-ci, devenu colonel des chasseurs de la Garde, fut le principal chef de l'escorte de Napoléon à partir de 1807. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT