Gustave Goetschy (fin XIXe), journaliste, critique d'art. L.A.S., Paris, sd [mercredi matin - 10 décembre 1884 ?], 2p in-8 (36 lignes). En-tête du Matin. Intéressante lettre qui répond à un reproche de Scholl qui voulait un article dès le début du Salon, probablement le Salon d'hiver qui eut lieu à partir du 10 décembre 1884. Il explique qu'il n'est pas reporter mais critique et qu'il faut donc du temps pour écrire des articles. Il lui en promet 4 pour le 15. [125]
Gustave Goetschy (fin XIXe), journaliste, critique d'art. C.A.S., sd, 11 lignes. Carte de recommandation pour un journaliste Michaux qui était alors à L'Illustré Moderne. [125]
Gustave Goetschy (fin XIXe), journaliste, critique d'art. L.A.S., Paris, 13 juillet 1884, œp in-8 (4 lignes). En-tête du Matin. Il félicite Scholl qui vient d'être élevé au grade d'officier de la Légion d'Honneur. [125]
Gustave Goetschy (fin XIXe), journaliste, critique d'art. L.A.S., Paris, sd [1884], 1p in-8 (21 lignes). En-tête du Matin. Intéressante lettre dans laquelle il tente de se justifier en mentionnant d'autres critiques, Javel et Drumont, qui n'ont pas écrit plus d'articles que lui. Il promet le dernier article pour le 15 et « vous n'entendrez plus parler de moi ». « Je tirerai ma révérence ». [125]