L.A.S., 26 avril 1849, 1pœ In-12 (15 lignes). Guizot, alors en exil, recommande à un ancien collègue un jeune homme : « bon sujet, intelligent, zélé et qui ne demande qu'à sortir d'une triste situation ».
François Pierre Guillaume GUIZOT (1787-1874) - Historien et homme politique français, secrétaire général au Ministère de la Justice sous Barbé-Marbois, il démissionna avec son chef le 7 mai 1816.
Reference : 8363
1 Ordonnance S. (315 x 210) 1 page, à entête du Ministère de la Justice, datée du 17 janvier 1816, du Château des Tuileries. Timbre sec. Très bon état.
Ordonnance de Louis : " Article 1er : Le Sr. De Barthès, colonel, est nommé pour remplir les fonctions de Prévot de la Cour prévotale du département de l'Aude séante à Carcassonne. Article 2e : Le Prévot ci-dessus nommé remplira ses fonctions près la dite cour pendant la durée de la loi, conformément aux dispositions contenues en l'article cinq de la loi du 20 décembre 1815. " Signé Louis " Roi de France et de Navarre ", Marbois, " Garde des sceaux de France, Ministre Secrétaire d'Etat au département de la Justice ". Signature autographe de Guizot " Maîtres des requêtes, Secrétaire général du Ministère de la Justice et du Sceau, Chevalier de la Légion d'honneur ". François Barbé-Marbois (1745-1837) fut Ministre de la Justice du 26 septembre 1815 au 7 mai 1816. Le bandeau "BOUQUINERIE AURORE" visible sur le scan n'est bien-sûr pas présent sur le document original, il n'a été placé ici que pour garder le caractère unique du document.
GUIZOT François ( Nimes 1787 - Saint-Ouen-le Pin 1874), homme politique français, historien.
Reference : 10088
2 lettres in-12°, du dimanche 24 avril 1853 sur papier blanc et du 8 avril 1872, sur papier bleu au chiffre “F. G. “ en en-tête. Les destinataire sont restés inconnus. Il retourne un résumé avec des modifications “pour la complète exactitude de mon idée“, et envoie des remerciements à un cher confrère “ je vous renvoie votre rédaction, très légèrement modifiée. Elle était fidèle et très convenable…“.
Guizot oeuvra, en tant que Ministre de l'Instruction publique pour l'enseignement public primaire et développa les Ecoles normales pour la formation des Instituteurs. Il obtint contre la politique belliqueuse défendue par Thiers, l’aboutissement d’une Entente cordiale avec l'Angleterre. Bien que très impopulaire comme ministre, il fut reconnu de son temps comme historien et homme politique. (CL2-Gr) 60 €