Paris - Francfort Bassompierre J.-F. - J. Vanden Berghen 1777 in 12 1 volume relié demi basane (plats légèrement teints en rouge), dos à nerfs orné, 167 et 201 pages. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Reliure
Mémoires de Cécile, écrits par elle-même, revus par M. de la Place Guichard, Eléonore Œuvre posthume par une fille d'un receveur des tailles de Normandie; née en 1719, morte à Paris, en 1747 Tome II, vol in.12, 180x120, relié pleine basane époque, accrocs, bon état int. traces de crayon de bois, frais, 204pp. Paris, Chez Rollin fils, 1751
Mémoires de Cécile, écrits par elle-même, revus par M. de la Place Guichard, Eléonore Cet ouvrage connut un grand succès à l'époque puisqu'il fut réimprimé plusieurs fois dans les années suivantes et ce pendant plus de vingt ans. C'est l'histoire véritable (sans doute quelque peu romancée et arrangée) de Mademoiselle Eléonore Guichard. "M. de La Place vient de nous donner un roman qui n'est pas de lui, mais d'une jeune dame morte depuis quelque temps. Il est intitulé Mémoires de Cécile écrits par elle-même. Cécile est exposée d'abord après sa naissance sur un grand chemin. Elle est recueillie par un chevalier de Malte qui lui donne une éducation parfaite. Ses talents, sa beauté et sa vertu la font aimer passionnément d'un neveu et d'un petit neveu du chevalier. Le neveu, homme sans politesse et sans mœurs, n'oublie rien pour la corrompre, et n'en peut venir à bout ; son fils est plus heureux, parce qu'il est plus digne de l'être. Le goût que Cécile a pour l'un et l'aversion très-active qu'elle se sent pour l'autre font le fond de ce roman. Il est bien heureusement dénoué par la connaissance qu'elle acquiert de sa naissance, qui se trouve très-illustre et la met dans le cas d'épouser son amant. Les Mémoires de Cécile sont agréables. "Ce livre aurait été bien réellement écrit par Mlle Éléonore Guichard, fille d'un receveur des tailles en Normandie, née en 1719, morte à l'âge de 28 ans à Paris en 1747, et publié par La Place, Paris, 1751 On lit dans une note que Mademoiselle Eléonore Guichard réunissait aux attraits de la figure, les grâces de l'esprit. C'est pour elle que Bernis composa la chanson qui commence par ces mots : Le connais-tu, ma chère Éléonore ? etc. Elle aurait écrit plusieurs chansons qui n'ont pas été imprimées Tome II, vol in.12, 180x120, relié pleine basane époque, accrocs, bon état int. traces de crayon de bois, frais, 204pp. Paris, Chez Rollin fils, 1751. Edition Originale ref/28