Presses de la Renaissance 2001 in8. 2001. Broché. 283 pages. Historien mondialement connu de l'Allemagne contemporaine et professeur à Sciences po chroniqueur à La Croix et "compagnon de route" des catholiques Alfred Grosser est à l'image d'un Aron ou d'un Steiner une grande figure de la conscience actuelle. Né en 1925 dans une famille juive allemande il a voué sa vie à comprendre l'histoire et l'évolution des mentalités politiques européennes. C'est en témoin et en historien qu'il scrute donc dans ce livre la réalité de cette religion-sSur qu'est pour lui le catholicisme. Athée il s'interroge sur les modalités du dialogue avec les juifs sur un dépassement des vieux antagonismes par le dialogue; proche des catholiques il analyse le champ interne aux milieux chrétiens (rapport avec les protestants et les musulmans nature du message spirituel et du dogme). Ce qui ressort de ce livre savant et éclairé c'est la nécessité de penser une religiosité plurielle ouverte à l'action sociale à la tolérance et à l'échange. Grosser refuse le repli identitaire ou la laïcisation à outrance pour promouvoir une émulation entre croyants et non-croyants. Un plaidoyer pour une religion conçue comme un humanisme moral et une ouverture à l'autre. --François Angelier Quatrième de couverture Dans cet ouvrage Alfred Grosser s'interroge sur la spiritualité contemporaine et interpelle à nouveau les chrétiens dont il est depuis toujours un « compagnon de route ». S'élevant contre toute intolérance il renvoie dos à dos aussi bien la laïcité agressive que l'auto-enfermement identitaire de certains croyants. Il replace les diverses Églises dans leurs perspectives historiques et tout en rappelant les tragédies et les crimes d'hier et d'aujourd'hui il se montre sensible aux renouvellements moraux et spirituels des dernières décennies. Loin d'un Dieu terrible et menaçant le christianisme met à présent davantage l'accent sur un Dieu qui par l'incarnation s'est fait homme souffrant. L'entente alors n'est-elle pas possible avec l'humanisme athée qui se soucie lui aussi prioritairement de cet homme-là ? Aux yeux de l'auteur de profondes différences subsistent cependant dans la façon même de concevoir la vie et la mort. Avec une lucidité remarquable il se livre ainsi à une réflexion très documentée sur les grandes questions morales qui agitent notre actualité (identités inégalités IVG euthanasie...). En lisant ce livre on est séduit par la richesse des idées d'Alfred Grosser sa générosité et la franchise avec laquelle il s'exprime. S'il se présente comme un « athée spiritualiste » il montre avant tout le visage d'un homme qui tente de faire partager ses valeurs. Voir l'ensemble des Descriptions du produit Bon Etat
Flammarion 1992 16x23x3cm. 1992. Broché. 360 pages. Très Bon Etat
Seuil 1982 poche. 1982. broché. 437 pages.
Presses de la Renaissance 2001 283 pages in8. 2001. Broché. 283 pages. Historien mondialement connu de l'Allemagne contemporaine et professeur à Sciences po chroniqueur à La Croix et "compagnon de route" des catholiques Alfred Grosser est à l'image d'un Aron ou d'un Steiner une grande figure de la conscience actuelle. Né en 1925 dans une famille juive allemande il a voué sa vie à comprendre l'histoire et l'évolution des mentalités politiques européennes. C'est en témoin et en historien qu'il scrute donc dans ce livre la réalité de cette religion-sSur qu'est pour lui le catholicisme. Athée il s'interroge sur les modalités du dialogue avec les juifs sur un dépassement des vieux antagonismes par le dialogue; proche des catholiques il analyse le champ interne aux milieux chrétiens (rapport avec les protestants et les musulmans nature du message spirituel et du dogme). Ce qui ressort de ce livre savant et éclairé c'est la nécessité de penser une religiosité plurielle ouverte à l'action sociale à la tolérance et à l'échange. Grosser refuse le repli identitaire ou la laïcisation à outrance pour promouvoir une émulation entre croyants et non-croyants. Un plaidoyer pour une religion conçue comme un humanisme moral et une ouverture à l'autre. --François Angelier Quatrième de couverture Dans cet ouvrage Alfred Grosser s'interroge sur la spiritualité contemporaine et interpelle à nouveau les chrétiens dont il est depuis toujours un « compagnon de route ». S'élevant contre toute intolérance il renvoie dos à dos aussi bien la laïcité agressive que l'auto-enfermement identitaire de certains croyants. Il replace les diverses Églises dans leurs perspectives historiques et tout en rappelant les tragédies et les crimes d'hier et d'aujourd'hui il se montre sensible aux renouvellements moraux et spirituels des dernières décennies. Loin d'un Dieu terrible et menaçant le christianisme met à présent davantage l'accent sur un Dieu qui par l'incarnation s'est fait homme souffrant. L'entente alors n'est-elle pas possible avec l'humanisme athée qui se soucie lui aussi prioritairement de cet homme-là ? Aux yeux de l'auteur de profondes différences subsistent cependant dans la façon même de concevoir la vie et la mort. Avec une lucidité remarquable il se livre ainsi à une réflexion très documentée sur les grandes questions morales qui agitent notre actualité (identités inégalités IVG euthanasie...). En lisant ce livre on est séduit par la richesse des idées d'Alfred Grosser sa générosité et la franchise avec laquelle il s'exprime. S'il se présente comme un « athée spiritualiste » il montre avant tout le visage d'un homme qui tente de faire partager ses valeurs. Voir l'ensemble des Descriptions du produit
Bon état - . quelques marques de lecture et/ou de stodckage sur couverture et coins une marque de plis sur un coin de la face avant de couverture mais du reste en bon état - envoi rapide et soigné dans enveloppe à bulles depuis france
Fayard, 1978, gr. in-8°, 438 pp, notes, index, broché, couv. à rabats, bon état
Les rapports entre les États-Unis et les pays européens n'ont jamais été simples – notamment depuis la Seconde Guerre mondiale. Malgré la continuité des alliances, les suspicions, les divergences et les désaccords ne manquent pas. La décolonisation, l'attitude envers l'URSS et le Tiers Monde, la crise de Berlin ou celle de Cuba... autant d'occasions de contradictions entre les puissances occidentales. Cette fresque qui nous est présentée ici, Alfred Grosser l'a peinte avec un maximum de sympathie pour les hommes et les différents courants de pensée qui ont fait ces trente-cinq dernières années. Un souci rare d'objectivité. Une remise en cause de tous les préjugés nationaux. Un livre pour l'explication de notre temps. — "Bien peu de livres, dans l'abondante production que l'édition française consacre depuis peu aux relations internationales, deviendront des classiques et présenteront encore quelque intérêt, disons dans une dizaine d'années. C'est l'histoire des malentendus occidentaux qui constitue la trame majeure du beau livre d'Alfred Grosser..." (Pierre Milza, Revue française de science politique, 1980)
Le centurion Broché D'occasion bon état 01/01/1977 278 pages
Editions Alvik, 2007, in-8°, 279 pp, édition revue et corrigée, broché, couv. illustrée, bon état
Dix-sept ans après la chute du mur de Berlin, Alfred Grosser met au point le nouveau portrait de l'Allemagne réunifiée. Cette Allemagne est-elle vraiment devenue « une » ? Qu'en est-il du poids de la mémoire du régime communiste s'ajoutant à celui, écrasant, du nazisme ? Alfred Grosser aborde ici des questions essentielles comme les institutions politiques, les problèmes économiques, l'immigration ou encore l'insertion européenne en menant une comparaison critique avec la France. Il bouscule les idées reçues et détaille les réussites et les échecs de l'Allemagne de Berlin.
P, Seuil, 1969, in8br, 332pp Langue: Français
Hoffmann und Campe. 1993. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 319 pages. Pages de garde pliées.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 430-Langues germaniques. Allemand
Seit Kriegsende hat Alfred Grosser seine französischen Landsleute zum Verständnis für die Deutschen aufgerufen. In Deutschland hat er sich aus einem Gefühl der Mitverantwortung für die demokratische Entwicklung eingesetzt. »Mein Deutschland« ist Alfred Grossers persönlichstes Werk, ein autobiographisches und zugleich politisch engagiertes Buch, das den weiten Bogen von der Emigration des achtjährigen Frankfurters bis zu den Nachwehen der Wiedervereinigung spannt. Classification Dewey : 430-Langues germaniques. Allemand
Armand Colin, 1972, in-8°, 439 pp, biblio, index, broché, bon état
L'héritage reçu, l'Indochine, la C.E.D., Vincent Auriol, les communistes, les catholiques, l'Algérie, etc. — "Le livre d'A. Grosser se place dans une perspective qui mérite de retenir l'attention. Outre l'intérêt qu'il présente pour la connaissance des faits, il stimule l'esprit par sa manière d'en appréhender l'enchaînement. Assurément la méthode utilisée, maniée par des mains inexpertes, risque d'ouvrir le champ à des essais superficiels ; elle n'est valable qu'étayée par une culture et une information qui, elles, ne s'improvisent pas... Ces exigences, A. Grosser les a satisfaites avec un scrupule dont témoigne, entre autre, l'orientation bibliographique qui accompagne l'ouvrage..." (Georges Burdeau, Revue française de science politique)
Gallimard, 1953, in-12, 340 pp, préface d'Edmond Vermeil, notes bibliographiques, reliure demi-toile verte à coins à la bradel, dos lisse avec titres dorés (rel. de l'époque), bon état, envoi a.s.
"Une étude fouillée qui commence par l'historique des négociations interalliées à propos de l'Allemagne entre 1941 et 1945. Rappel indispensable, car l'attitude des Alliés allait déterminer pour longtemps l'orientation et les destins du pays vaincu. Même au plus fort de la « Grande Alliance », la vieille idée d'utiliser l'Allemagne contre la Russie et le communisme hante certains esprits en Angleterre et aux États-Unis. A la mort de Roosevelt elle gagne les milieux dirigeants. Mais c'est surtout à partir de l'échec de la Conférence de Moscou en mars 1947, qu'elle domine la politique allemande des Occidentaux, avec tout ce que cela comporte sur les plans économique, social, politique, idéologique. La scission s'accentuant entre les anciens alliés entraîne la bipartition de l'Allemagne. L'auteur donne à ce propos une part de responsabilité à la France qui, au nom d'un fédéralisme inspiré par le souci de sa sécurité, s'oppose la première à l'établissement d'une administration centrale pour l'ensemble du pays. Quant au peuple allemand, quelles vont être ses réactions au lendemain de la tragédie nationale, dont il ne semble pas entièrement responsable, au dire de M. Grosser ? Il leur manifeste, en effet, beaucoup de compassion, de sympathie même et rappelle l'existence d'une Résistance sporadique qui néanmoins compte, de 1933 à 1938, 435 000 victimes de l'Hitlérisme. (...) Plus loin, l'auteur souligne d'ailleurs qu'il est devenu à l'heure actuelle de mauvais goût, voire dangereux, de rappeler ses états de service dans la Résistance. Si la dénazification aboutissait à un échec, la décartellisation, sur le plan économique, allait connaître un sort identique. Pour aider au relèvement de l'Allemagne, les Occidentaux étaient mus par différents mobiles. La crainte de laisser sans contrepoids la puissance accrue de l'URSS n'était pas le seul. Les milieux d'affaires anglo-saxons avaient des intérêts dans ce pays. De plus son entretien revenait fort cher à l'Amérique. Aussi fallait-il le remettre au travail et abandonner la plupart des restrictions prévues, les réparations, les démontages, la limitation de la production, etc. Les anciens maîtres de forge tels Krupp, les magnats de la finance et bien d'autres qui avaient commandité le nazisme, furent remis en selle. (...) Au total, l'image très complète que nous donne de l'Allemagne de Bonn M. Grosser est fort sombre et incite, comme le souligne M. Vermeil, à la plus grande vigilance." (Pierre Angel, Annales ESC, 1955)
Flammarion, 1984, gr. in-8°, 347 pp, broché, bon état
Le point sur plus de quarante années d'engagements de la France dans le monde, économiques, politiques et militaires, d'octobre 1944 au printemps 1989. Les Affaires extérieures ? C'est aussi bien la décolonisation que la construction de l'Europe, les relations avec l'allié américain et l'Union soviétique, ou le rôle de la France dans le Tiers-Monde. Elles ont provoqué les divisions les plus durables et les plus profondes dans cette "puissance moyenne particulière". La Quatrième République en est morte. Les Présidents depuis 1958 les considèrent comme leur domaine de prestige. Et pourtant, malgré les alternances, les apparences, les volte-face, les succès et les échecs, on retrouve une grande continuité dans la politique extérieure de la France, souvent plus ambitieuse qu'efficace. — "... Vouloir couvrir une période de quarante ans en 320 pages (le reste du livre est constitué d'une bibliographie sélective et commentée) est manifestement une gageure. Alfred Grosser réussit cependant son entreprise, dans un style très personnel et avec le don de synthèse qu'on lui connaît. Les jugements portés sur la conduite des affaires notamment de Valéry Giscard d'Estaing et de son successeur trahissent le souci de se démarquer des camps politiques en présence et de prendre du champ pour se concentrer sur la question à son avis essentielle : quelle est la place de la France dans le monde, pour quoi faire et à quelles fins ?" (Walter Schütze, Politique étrangère, 1984)
Flammarion Broché D'occasion état correct 01/09/1984 352 pages
A. Colin Broché D'occasion état correct 01/01/1975 286 pages
Armand Colin Broché D'occasion très bon état 01/01/1972 150 pages
Gallimard Broché D'occasion état correct 28/01/1953 344 pages
La documentation française Notes et études documentaires Dos carré collé 1981 In-8 (16x24 cm), dos carré collé, 288 pages, ouvrage collectif sous la direction d'Alfred Grosser, Notes et étude documentaires n°4621 - 4622, 25 mai 1981 ; coiffes et coins un peu frottés, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.