in12. Sans date. Relié. 4 titres reliés en un volume In-12 (160x102 mm). Demi-Cuir marron Dos à cinq faux-nerfs orné de filets dorés. - Essais poétiques par Mlle Hortense Rolland chez Garnier 1853. - Chemin perdu La fée des pleurs Renoncement L'hôtelier de saint hubert par André Lemoyne chez Firmin Didot 1863. - Les victimes par H. Bazouge chez Alphonse Lemerre 1875. - Helvétia - Hymne à la suisse par Edouard Grenier chez Sandoz et Fischbacher 1877. Avec envois des auteurs
Etat Correct Reliure en assez bon état avec la coiffe inférieure absente et les mors fendillés. A noter une ancienne tache d'eau claire aux pages
Editions Sociales Couverture souple 1963 In 12 broché, 203 pp . Photos hors tecte . Couverture légèrement défraichie
Auguste Picard 1925 174 pages collection Etudes d'archéologie rhénane. in-8. 1925. broché. 174 pages. Illustrations en noir
Mauvais état. Couverture brunie avec manques de papier en tête et queue de dos. Intérieur propre avec papier non coupé
1840 Paris AUBERT ,sans date vers 1840,IN FOLIO oblong,
THIEBAUD 476,tres rare,
Recueil in folio ( 36 x 28 cm), demi-percaline ocre à la bradel, titre doré au dos " Album de Grenier " ( reliure vers 1900); 21 lithographies en noir par Grenier, ou d'après ses oeuvres par Formentin ou Magnier et Huard ou Motte, vers 1840. La plupart de 14 x 16 cm ou 16 x18 cm et sur tirées sur chine appliquée.
Scènes romantiques, champêtres, ou intimistes et familiales. François Grenier de Saint-Martin ( 1793-1867 ) était peintre, aquarelliste, pastelliste et lithographe ( Cf Bénézit . T. 6). Etiquette de titre frottée ( titre en partie effacé), rares piqûres. ( GrG)
Grenier, receveur particulier des finances et grenadier de la garde nationale de Montbéliard,
Reference : 013494
Grenier, receveur particulier des finances et grenadier de la garde nationale de Montbéliard, 3 chansons patriotiques, manuscrites et imprimées. Probablement imprimées à Montbéliard. Trois chansons : Chant Patriotique de Montbéliard du 29 juillet 1830, 1p in-4 imprimée avec mention en pied « Grenier Receveur Particulier des Finances ». Un vers modifié à l'encre d'une première main. Le Départ (romance). Manuscrit anonyme, 1p in-4, d'une deuxième main, avec corrections et variantes de la première main. Ecrite au dos du chant patriotique. Chanson, 1p in-4, sur l'air de « Elle aime à rire, elle aime à boire », qui reflète le ralliement à Louis-Philippe, « vive le Roi, la Liberté ». Imprimée avec mention en pied « Grenier Grenadier de la garde Nationale de Montbéliard » Rares documents. [304-2]
Dammarie-les-Lys, Editions Amatteis, 1986, gr. in-8°, ix-235 pp, préface de Théophile Thuillier, iIllustrations de Servin, Yon, Bœtzel, Hamel, Lunel, Mansuy, Panché, etc. dans le texte et sur 18 planches à pleine page ou sur double page (comprises dans la pagination), 3 pages de chansons avec les partitions, broché, couv. illustrée, bon état. Réimpression en fac-similé (dans un plus grand format) de l'édition originale au format in-12 de Coulommiers, 1883
Etudes des moeurs briardes et coutumes villageoises dans le département au début du XIXe siècle – Les noces de nos grands-parents – Le baptême du nouveau-né – La « Veille » au village – Le vin des morts – Les O de l'Avent – La Rinette – Le gaufrier ensorcelé – La fête des vignerons – Le réveillon – Le carnaval – Les enfants de coeur et le Tartellage – L'eau bénite du maître d'école – Une journée de vendange – Le Marc – Payer à la dragonne – Battre la charrée – Le congé – Les Feux de Saint-Jean. — Enfant de Villiers sur Morin, Jules Grenier est né en 1844 d'un père vigneron. Très jeune à l'âge de quatre ans, il perd l'usage de ses jambes à cause d'une typhoîde. Après l'école primaire, malgré une mauvaise santé, il rentre comme apprenti chez un tailleur à Villiers. Il collectionne petit à petit les anecdoctes, les trditions et les dictons de la vie dans son pays tout en s'intéressant de très près à la recherche historique sur la Brie. Jules Grenier envoie ses premières notes au “Publicateur” en 1865 à Meaux en y ajoutant des des croquis de la vie quotidienne de la vie paysanne briarde. Son frère Alphonse, tambour à Crécy, part défendre Paris en 1870. Jules se fait journaliste et écrit au jour le jour dans son carnet sur le récit de l'invasion allemande. Ce qui donnera en collaboration avec son frère “Le journal d'un mobile de Seine et Marne à la défense de Paris”. Son style le fera remarquer et il collaborera à l'Almanach Historique de Seine et Marne et à l'Almanach le Briard. Curieux de tout, il s'intéresse à la sténographie et fonde en 1877 le Cercle de la Brie et une “Gazette sténographique de Seine et Marne”. En 1882, il publie chez un libraire-éditeur à Coulommiers “La Brie d'Autrefois” qui aura un grand succès. Souffrant de plus en plus, il continue malgré tout et fait ériger un monument à la mémoire du peintre paysagiste Amédée Servin, fondateur de la colonie artistique de Villiers sur Morin, qui a illustré les récits de son ouvrage. Puis il s'occupe d'un projet sur le chemin de fer local et fait éditer une brochure à ce sujet en 1887. Il meurt en 1888, à l'âge de quarante-quatre ans. — "Quel Parisien, à la fin du XIXe siècle, n'avait entendu évoquer Crécy ou Villiers-sur-Morin, Coutevroult ou Montbarbin, La Ferté-Gaucher ou Coulommiers ? Tous ces noms étaient vite devenus familiers aux citadins de l'époque, amateurs de parties de campagne et sensibles au charme de cette contrée toute proche de la capitale, vantée par les poètes, les peintres et les publicistes, pour son irremplaçable lumière et la qualité à la fois luxuriante et intimiste de ses sites. Pourtant, c'est bien loin de toute mode passagère et de tout folklore complaisant ou mythique, que Jules Grenier, l'auteur de “La Brie d'Autrefois”, travaille pendant de nombreuses années sur la Brie, sa région natale, multipliant les études et les croquis et publiant, en 1883, avec le concours (à titre gracieux) de peintres devenus ses amis, ce qui demeure son oeuvre capitale. Natif de Villiers-sur-Morin et ayant passé les quarante-quatre ans de sa courte vie (1844-1888) dans ces lieux élus par les artistes paysagistes, il a eu pour seule ambition, tout au long de son existence, de faire connaître et aimer cette Brie d'autrefois dont il s'était employé à retrouver les moeurs et les coutumes. Impossible de comprendre une région aussi attachante et aussi singulière que cette Brie des bords du Grand-Morin, ses sites naturels et architecturaux, ses fermes solidement retranchées, cette impression de puissance et de prospérité qui s'en dégageait, sans connaître les usages qui lui avaient permis de se perpétuer. Aussi les facéties pré et post-nuptiales, les gronderies de la Rinette, le vin des morts et les veilles au village, les farces de l'Accli et le peloton d'épingles qui permet le congé, le mode de payer à la dragonne et l'habitude de battre la charrée, longuement (et plaisamment) racontés ici, ne sont-ils pas les entractes insignifiants d'une vie dure et laborieuse, mais l'expression même des croyances et des mentalités séculaires du lieu. A ce titre, elles répondront sans aucun doute à la curiosité de tous les amoureux du passé." (Micberth)
GRENIER (Albert), Joseph Vendryès, Ernest Tonnelat et B.-O. Unbegaun.
Reference : 59967
(1948)
PUF, 1948, pt in-8°, 467 pp, biblio, index, broché, dos passé, bon état (Coll. Mana - Introduction à l'histoire des religions)
"Ce volume de Mana, dû à la collaboration de quatre savants spécialistes, présente un tableau des religions de l'Europe ancienne à l'exception de celles du monde « égéen » et du monde grec qui font l'objet des volumes I et II de la même série. La plus grosse partie du travail est revenue à M. Grenier pour l'exposé des religions étrusque (pp. 3-79) et romaine (pp. 81-233). 230 pages pour une matière aussi riche, c'est peu de chose sans doute mais si M. Grenier a dû faire un choix, il n'a cependant rien omis d'essentiel ; quant à ses notes qui présentent l'état actuel des questions, elles sont d'une richesse remarquable : on y trouvera une documentation bien à jour, une bibliographie intelligemment discutée, et ce non seulement pour la religion mais encore pour les domaines connexes comme l'histoire, l'archéologie, la linguistique,... (...) M. Vendryes a divisé son étude sur la religion des Celtes (pp. 239-320) en trois chapitres dont le premier, intitulé Introduction et sources, apparaîtra comme particulièrement important : on y trouvera de judicieuses considérations sur la valeur de nos sources (auteurs grecs et latins, inscriptions gauloises, littérature irlandaise) et sur le crédit à accorder aux études de mythologie comparée. Un deuxième chapitre est consacré aux dieux (ici aussi le syncrétisme artificiel avec les dieux gréco-romains a souvent voilé la véritable nature des dieux indigènes) ; vient enfin un dernier chapitre, Le clergé et le culte, dont une bonne partie est un exposé lumineux sur les fonctions, le prestige, le rang social et la doctrine des druides – et des druidesses. A l'époque historique, les peuplades germaniques, réparties sur de vastes territoires, apparaissent déjà nettement différenciées tant par la culture que par la langue ; c'est ce qui fait que, dans son étude sur la religion des Germains (pp. 323-385), Ernest Tonnelat a été amené à scinder sa matière en deux parties bien distinctes : l'une, consacrée aux Croyances et cultes dans la Germanie ancienne, est relativement maigre car, sur les Germains du sud de la Baltique, nous n'avons guère que les données des historiens latins (surtout César et Tacite), c.-à-d. d'hommes naturellement et inconsciemment enclins à ramener à leurs propres croyances celles des peuples étrangers qu'ils s'efforcent de décrire ; mais l'autre partie où sont examinées les Croyances et cultes dans la Scandinavie ancienne se fonde sur des sources beaucoup plus riches et plus sûres, à savoir les œuvres des vieux poètes Scandinaves écrites à un moment (VIIIe-IXe s.) où les traditions du paganisme étaient encore vivaces. A M. Unbegaun revenait sans doute, dans l'économie de cette oeuvre collective, la tâche la moins aisée car les Slaves (pp. 389- 445) n'ont connu l'écriture qu'après leur conversion au christianisme ; dès lors, sur leurs antiques croyances, nous n'avons que des données fragmentaires et inégales qu'il convient de scruter avec soin mais non sans méfiance. (...) Ainsi qu'il est de règle dans la collection, un index alphabétique (pp. 447-462), commun aux cinq sections traitées, termine ce volume particulièrement nourri." (Maurice Leroy, Revue belge de philologie et d'histoire, 1950)
1787 basane marbrée, dos à n., (mq. coiffe supérieure). in-12, XXIV-576pp., (1f. errat.), Riom chez Martin Degoutte 1787,
Sous la Restauration Grenier était Premier Pdt. de la Cour Royale de Riom.
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
Gallimard, 2011. In-4 br. Texte de Roger Grenier, nombreuses illustrations de Georges Lemoine. Visite guidée et illustrée du siège historique des Éditions Gallimard, au 5, rue Sébastien-Bottin. E.O. sur papier d'édition.
MORTAGNE DE (CA)
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782896628933
nrf Bibliothèque de la Pléiade Gallimard (1 janvier 1982)
Relié, jaquette illustrée, rhodoïd, comme neuf.
1 vol. in-12 br., couverture plastifiée, collection Hetzel, Michel Lévy Frères, s.d. [ 1861 ], 2 ff., 200 pp. et 1 f. n. ch.
Edition originale dédicacé par le poète Edouard Grenier (1819-1901), en juin 1861, "à Mr Henry Martin, hommage affectueux d'un confrère". Belle provenance, de la bibliothèque de l'historien républicain Henry Martin. Républicain tout aussi convaincu, Edouard Grenier fut le grand ami de Lamartine. Etat satisfaisant (couverture plastifiée avec petit manque au dos en tête, qq. rouss., bon état par ailleurs) pour ce titre peu commun. Vicaire, III, 1129
BARATEAU (Emile), LONLAY (Eugène de), CONSTANTIN (Marc), TOURTE (Francis). GRENIER.
Reference : 11592
Paris 1 Dessins de F. Grenier. Lithographies de Langlade. Bertauts imprimeurs. Paris, Mayence, Schott et Fils, Au Ménestrel et J. Meissonnier Fils, (1830), in-4, plein veau en relief, travail au repoussé : au centre, un médaillon montre deux couples en habit Renaissance lisant sur fond de paysage le médaillon est entouré de motifs de cuirs enroulés et de végétation, tranches dorées, couverture conservée, suivie de douze illustrations hors-texte et de douze doubles de partition et paroles.
Ouvrage dédié au roi des Belges, Léopold Ier. Une illustration lithographiée en noir et en couleurs, par F. GRENIER et imprimée par Bertauts, précède chaque chanson transcrite sur une double page avec partition pour piano et paroles. Voici la liste des chansons : "Les Usages Bretons" - "Curieuse" - "Brise-Tout" - "Deux coeurs ! " - "S'il voulait m'aimer ... un peu ! " - "Le Capitaine Roquefinette" paroles d'Émile Barateau ; "L'Hirondelle d'Hiver" - "Pars !" - "Rita l'Espagnole" paroles de Francis Tourte ; "Ton jolie nom" - "L'Alouette" paroles d'Eugène de Lonlay ; "La Bulle de savon" par Constantin. La très belle couverture en cuir sculpté donne à cet ouvrage de la période romantique beaucoup de charme. Rousseurs éparses internes petites usures et restaurations à la reliure.
2002 1 Cuivres originaux par Ivan THEIMER, traduction italienne de Olga SPANIO, Verona, Edizion d'Arte Gibralfaro, 2002, broché, in-8, plat de couverture cartonné titré orné d'un médaillon bas-relief en argent patiné au décor de tortue végétale signée Ivan THEIMER dans la plaque, sous boîte cartonnée à fenêtre, 33 pages.
Edition numérotée limitée à 129 exemplaires, 99 en chiffres arabes et 30 en chiffres romains, à double version, française et italienne en caractère Dante imprimé à la main sur papier Alcantara. Roger Grenier (Caen 1919) écrivain, journaliste et homme de radio français, régent du Collège de Pataphysique 2 fut engagé par Albert Camus dans l'équipe de Combat, puis à France-Soir 4, membre du comité de lecture des Editions Gallimard depuis novembre 1963, il reçoit le Grand Prix de Littérature de l'Académie Française en 1985 pour l'ensemble de son uvre composée de plus d'une trentaine d'ouvrages. Cet ami de Ivan THEIMER (Olomouc-Moravie-1944), qui partage le même engouement pour les tortues, signe cette histoire initiée dans son enfance à Pau "Pareil au héros de L'Iliade, je cours après mes tortues ... à les poursuivre je vagabonde à travers mon enfance ... Où vont-elles m'entrainer ?". La réplique est donnée en 12 cuivres par Ivan THEIMER qui saisit à la pointe sèche la saga de ces trois tortues, et son imaginaire déborde ! Son médaillon, bas-relief en argent, est une véritable porte d'entrée dans ces promenades tortueuses. Ivan THEIMER, sculpteur, peintre et illustrateur, (Olomouc-Moravie-1944), s'initie à l'Ecole des Arts Décoratifs de Uherské Hradiste puis se réfugie en France en 1968 et reprend ses études à l'Académie des Beaux-Arts de Paris. Sa participation au Salon de la Jeune Sculpture est le point de départ d'expositions internationales en France, Suisse, Italie, Etats-Unis ... La célébrité lui sourit grâce à ses réalisations monumentales : sculpture pour le "Monument de la Déclaration des Droits de l'Homme" au Champs de Mars à Paris, "Obélisques" au Palais de l'Elysée, la "Fontaine d'Orion" à Olomouc, "L'Obélisque" de la Place de la Victoire à Bordeaux ... Il réalise les décors pour "Le Barbier de Séville" pour l'opéra de Rossini au Festival d'Aix en Provence, et ceux de "Julius Caesar" de Häendel pour l'Opéra de Götebourg en Suède. Graveur à l'eau-forte de talent il illustre " Le passegiate" de J.J. Rousseau, "Le Roi Cophetua" de Julien Gracq, "La nuit de Gheel" de Jean Mistler, "Trois tortues et quelques autres" de Roger Grenier, "Chère Charlotte" de Bohumil Hrabal ...
2002 1 Cuivres originaux par Ivan THEIMER, traduction italienne de Olga SPANIO, Verona, Edizion d'Arte Gibralfaro, 2002, broché, in-8, plat de couverture cartonné titré orné d'un médaillon bas-relief en argent patiné au décor de tortue végétale signée Ivan THEIMER dans la plaque, sous boîte cartonnée de fond noir sous impression de cecle d'argent, 33 pages (Claude Chalanson emboitage).
Edition numérotée limitée à 129 exemplaires, 99 en chiffres arabes et 30 en chiffres romains, à double version, française et italienne en caractère Dante imprimé à la main sur papier Alcantara. Roger Grenier (Caen 1919) écrivain, journaliste et homme de radio français, régent du Collège de Pataphysique 2 fut engagé par Albert Camus dans l'équipe de Combat, puis à France-Soir 4, membre du comité de lecture des Editions Gallimard depuis novembre 1963, il reçoit le Grand Prix de Littérature de l'Académie Française en 1985 pour l'ensemble de son uvre composée de plus d'une trentaine d'ouvrages. Cet ami de Ivan THEIMER (Olomouc-Moravie-1944), qui partage le même engouement pour les tortues, signe cette histoire initiée dans son enfance à Pau "Pareil au héros de L'Iliade, je cours après mes tortues ... à les poursuivre je vagabonde à travers mon enfance ... Où vont-elles m'entrainer ?". La réplique est donnée en 12 cuivres par Ivan THEIMER qui saisit à la pointe sèche la saga de ces trois tortues, et son imaginaire déborde ! Son médaillon, bas-relief en argent, est une véritable porte d'entrée dans ces promenades tortueuses. Ivan THEIMER, sculpteur, peintre et illustrateur, (Olomouc-Moravie-1944), s'initie à l'Ecole des Arts Décoratifs de Uherské Hradiste puis se réfugie en France en 1968 et reprend ses études à l'Académie des Beaux-Arts de Paris. Sa participation au Salon de la Jeune Sculpture est le point de départ d'expositions internationales en France, Suisse, Italie, Etats-Unis ... La célébrité lui sourit grâce à ses réalisations monumentales : sculpture pour le "Monument de la Déclaration des Droits de l'Homme" au Champs de Mars à Paris, "Obélisques" au Palais de l'Elysée, la "Fontaine d'Orion" à Olomouc, "L'Obélisque" de la Place de la Victoire à Bordeaux ... Il réalise les décors pour "Le Barbier de Séville" pour l'opéra de Rossini au Festival d'Aix en Provence, et ceux de "Julius Caesar" de Häendel pour l'Opéra de Götebourg en Suède. Graveur à l'eau-forte de talent il illustre " Le passegiate" de J.J. Rousseau, "Le Roi Cophetua" de Julien Gracq, "La nuit de Gheel" de Jean Mistler, "Trois tortues et quelques autres" de Roger Grenier, "Chère Charlotte" de Bohumil Hrabal ...
2002 1 Cuivres originaux par Ivan THEIMER, traduction italienne de Olga SPANIO, Verona, Edizion d'Arte Gibralfaro, 2002, broché, in-8, plat de couverture cartonné titré orné d'un médaillon bas-relief en argent patiné au décor de tortue végétale signée Ivan THEIMER dans la plaque, sous boîte cartonnée à fenêtre, 33 pages.
Edition numérotée limitée à 129 exemplaires, 99 en chiffres arabes et 30 en chiffres romains, à double version, française et italienne en caractère Dante imprimé à la main sur papier Alcantara. Roger Grenier (Caen 1919) écrivain, journaliste et homme de radio français, régent du Collège de Pataphysique 2 fut engagé par Albert Camus dans l'équipe de Combat, puis à France-Soir 4, membre du comité de lecture des Editions Gallimard depuis novembre 1963, il reçoit le Grand Prix de Littérature de l'Académie Française en 1985 pour l'ensemble de son uvre composée de plus d'une trentaine d'ouvrages. Cet ami de Ivan THEIMER (Olomouc-Moravie-1944), qui partage le même engouement pour les tortues, signe cette histoire initiée dans son enfance à Pau "Pareil au héros de L'Iliade, je cours après mes tortues ... à les poursuivre je vagabonde à travers mon enfance ... Où vont-elles m'entrainer ?". La réplique est donnée en 12 cuivres par Ivan THEIMER qui saisit à la pointe sèche la saga de ces trois tortues, et son imaginaire déborde ! Son médaillon, bas-relief en argent, est une véritable porte d'entrée dans ces promenades tortueuses. Ivan THEIMER, sculpteur, peintre et illustrateur, (Olomouc-Moravie-1944), s'initie à l'Ecole des Arts Décoratifs de Uherské Hradiste puis se réfugie en France en 1968 et reprend ses études à l'Académie des Beaux-Arts de Paris. Sa participation au Salon de la Jeune Sculpture est le point de départ d'expositions internationales en France, Suisse, Italie, Etats-Unis ... La célébrité lui sourit grâce à ses réalisations monumentales : sculpture pour le "Monument de la Déclaration des Droits de l'Homme" au Champs de Mars à Paris, "Obélisques" au Palais de l'Elysée, la "Fontaine d'Orion" à Olomouc, "L'Obélisque" de la Place de la Victoire à Bordeaux ... Il réalise les décors pour "Le Barbier de Séville" pour l'opéra de Rossini au Festival d'Aix en Provence, et ceux de "Julius Caesar" de Häendel pour l'Opéra de Götebourg en Suède. Graveur à l'eau-forte de talent il illustre " Le passegiate" de J.J. Rousseau, "Le Roi Cophetua" de Julien Gracq, "La nuit de Gheel" de Jean Mistler, "Trois tortues et quelques autres" de Roger Grenier, "Chère Charlotte" de Bohumil Hrabal ...
Gallimard, Paris 1965, 14,5x21,5cm, broché.
Edition originale, un des 105 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Agréable exemplaire. Envoi autographe signé de Roger Grenier à Joseph Breitbach. Nous joignons une carte de voeux de Gallimard pour l'année 1996sur laquelle Roger Grenier présente ses voeux à Joseph Breitbach. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Générique Broché D'occasion état correct 01/01/1950 150 pages
Fitzgerald Francis Scott Aury Dominique Grenier Roger Mayoux Suzanne
Reference : 29635VPPG
ISBN : B0014WOLTO
Gallimard Le Mesnil impr. Firmin-Didot et Cie Broché D'occasion état correct 01/01/1963 364 pages
Générique Broché D'occasion état correct 01/01/1957 150 pages
Générique Broché D'occasion bon état 01/01/1951 150 pages
Éditions sociales Broché D'occasion bon état 01/01/1969 271 pages
Fitzgerald Francis Scott Aury Dominique Grenier Roger Mayoux Suzanne
Reference : DND16JR
ISBN : B0014WOLTO
Gallimard Le Mesnil impr. Firmin-Didot et Cie Broché D'occasion état correct 01/01/1963 364 pages