Reissance du livre 1927 collection l'évolution de l'humanité. in8. 1927. broché. 503 pages. Bon Etat intérieur propre
Gallimard / soleil 1972 in8. 1972. reliure pleine toile editeur. 281 pages. Très bon état
Rageot 2004 12x18. 2004. Broché. 224 pages. Bon Etat intérieur propre
Fata morgana 1985 in8. 1985. Broché. 147 pages. Bon Etat intérieur propre couverture légèrement salie
Gallimard / les essais 1955 in12. 1955. Broché. 200 pages. Bon Etat intérieur propre
Hachette 1857 in12. 1857. Reliure demi-basane. 126 pages. Etat Correct de la reliure mais tres nombreuses rousseurs en l'etat
Guilde du livre 1964 14 x 16. 1964. Reliure editeur. 182 pages. Très Bon Etat seulement 5000 exemplaires
Livre de Poche Jeunesse 2007 18x13x1cm. 2007. Poche. 190 pages. Bon Etat
Editions Gallimard 2003 in8. 2003. Broché. 215 pages. In-8 (14 x 20 5 cm) 215 pages Très Bon Etat
Michel Boujut Jean Douchet Serge Daney Lise Grenier
Reference : 151575
(1987)
ISBN : 2859566406
Folio 1975 poche. 1975. Broché. 315 pages. Bon Etat intérieur propre couverture frottée sur ses bords
1840 Paris AUBERT ,sans date vers 1840,IN FOLIO oblong,
THIEBAUD 476,tres rare,
Recueil in folio ( 36 x 28 cm), demi-percaline ocre à la bradel, titre doré au dos " Album de Grenier " ( reliure vers 1900); 21 lithographies en noir par Grenier, ou d'après ses oeuvres par Formentin ou Magnier et Huard ou Motte, vers 1840. La plupart de 14 x 16 cm ou 16 x18 cm et sur tirées sur chine appliquée.
Scènes romantiques, champêtres, ou intimistes et familiales. François Grenier de Saint-Martin ( 1793-1867 ) était peintre, aquarelliste, pastelliste et lithographe ( Cf Bénézit . T. 6). Etiquette de titre frottée ( titre en partie effacé), rares piqûres. ( GrG)
Grenier, receveur particulier des finances et grenadier de la garde nationale de Montbéliard,
Reference : 013494
Grenier, receveur particulier des finances et grenadier de la garde nationale de Montbéliard, 3 chansons patriotiques, manuscrites et imprimées. Probablement imprimées à Montbéliard. Trois chansons : Chant Patriotique de Montbéliard du 29 juillet 1830, 1p in-4 imprimée avec mention en pied « Grenier Receveur Particulier des Finances ». Un vers modifié à l'encre d'une première main. Le Départ (romance). Manuscrit anonyme, 1p in-4, d'une deuxième main, avec corrections et variantes de la première main. Ecrite au dos du chant patriotique. Chanson, 1p in-4, sur l'air de « Elle aime à rire, elle aime à boire », qui reflète le ralliement à Louis-Philippe, « vive le Roi, la Liberté ». Imprimée avec mention en pied « Grenier Grenadier de la garde Nationale de Montbéliard » Rares documents. [304-2]
Dammarie-les-Lys, Editions Amatteis, 1986, gr. in-8°, ix-235 pp, préface de Théophile Thuillier, iIllustrations de Servin, Yon, Bœtzel, Hamel, Lunel, Mansuy, Panché, etc. dans le texte et sur 18 planches à pleine page ou sur double page (comprises dans la pagination), 3 pages de chansons avec les partitions, broché, couv. illustrée, bon état. Réimpression en fac-similé (dans un plus grand format) de l'édition originale au format in-12 de Coulommiers, 1883
Etudes des moeurs briardes et coutumes villageoises dans le département au début du XIXe siècle – Les noces de nos grands-parents – Le baptême du nouveau-né – La « Veille » au village – Le vin des morts – Les O de l'Avent – La Rinette – Le gaufrier ensorcelé – La fête des vignerons – Le réveillon – Le carnaval – Les enfants de coeur et le Tartellage – L'eau bénite du maître d'école – Une journée de vendange – Le Marc – Payer à la dragonne – Battre la charrée – Le congé – Les Feux de Saint-Jean. — Enfant de Villiers sur Morin, Jules Grenier est né en 1844 d'un père vigneron. Très jeune à l'âge de quatre ans, il perd l'usage de ses jambes à cause d'une typhoîde. Après l'école primaire, malgré une mauvaise santé, il rentre comme apprenti chez un tailleur à Villiers. Il collectionne petit à petit les anecdoctes, les trditions et les dictons de la vie dans son pays tout en s'intéressant de très près à la recherche historique sur la Brie. Jules Grenier envoie ses premières notes au “Publicateur” en 1865 à Meaux en y ajoutant des des croquis de la vie quotidienne de la vie paysanne briarde. Son frère Alphonse, tambour à Crécy, part défendre Paris en 1870. Jules se fait journaliste et écrit au jour le jour dans son carnet sur le récit de l'invasion allemande. Ce qui donnera en collaboration avec son frère “Le journal d'un mobile de Seine et Marne à la défense de Paris”. Son style le fera remarquer et il collaborera à l'Almanach Historique de Seine et Marne et à l'Almanach le Briard. Curieux de tout, il s'intéresse à la sténographie et fonde en 1877 le Cercle de la Brie et une “Gazette sténographique de Seine et Marne”. En 1882, il publie chez un libraire-éditeur à Coulommiers “La Brie d'Autrefois” qui aura un grand succès. Souffrant de plus en plus, il continue malgré tout et fait ériger un monument à la mémoire du peintre paysagiste Amédée Servin, fondateur de la colonie artistique de Villiers sur Morin, qui a illustré les récits de son ouvrage. Puis il s'occupe d'un projet sur le chemin de fer local et fait éditer une brochure à ce sujet en 1887. Il meurt en 1888, à l'âge de quarante-quatre ans. — "Quel Parisien, à la fin du XIXe siècle, n'avait entendu évoquer Crécy ou Villiers-sur-Morin, Coutevroult ou Montbarbin, La Ferté-Gaucher ou Coulommiers ? Tous ces noms étaient vite devenus familiers aux citadins de l'époque, amateurs de parties de campagne et sensibles au charme de cette contrée toute proche de la capitale, vantée par les poètes, les peintres et les publicistes, pour son irremplaçable lumière et la qualité à la fois luxuriante et intimiste de ses sites. Pourtant, c'est bien loin de toute mode passagère et de tout folklore complaisant ou mythique, que Jules Grenier, l'auteur de “La Brie d'Autrefois”, travaille pendant de nombreuses années sur la Brie, sa région natale, multipliant les études et les croquis et publiant, en 1883, avec le concours (à titre gracieux) de peintres devenus ses amis, ce qui demeure son oeuvre capitale. Natif de Villiers-sur-Morin et ayant passé les quarante-quatre ans de sa courte vie (1844-1888) dans ces lieux élus par les artistes paysagistes, il a eu pour seule ambition, tout au long de son existence, de faire connaître et aimer cette Brie d'autrefois dont il s'était employé à retrouver les moeurs et les coutumes. Impossible de comprendre une région aussi attachante et aussi singulière que cette Brie des bords du Grand-Morin, ses sites naturels et architecturaux, ses fermes solidement retranchées, cette impression de puissance et de prospérité qui s'en dégageait, sans connaître les usages qui lui avaient permis de se perpétuer. Aussi les facéties pré et post-nuptiales, les gronderies de la Rinette, le vin des morts et les veilles au village, les farces de l'Accli et le peloton d'épingles qui permet le congé, le mode de payer à la dragonne et l'habitude de battre la charrée, longuement (et plaisamment) racontés ici, ne sont-ils pas les entractes insignifiants d'une vie dure et laborieuse, mais l'expression même des croyances et des mentalités séculaires du lieu. A ce titre, elles répondront sans aucun doute à la curiosité de tous les amoureux du passé." (Micberth)
GRENIER (Albert), Joseph Vendryès, Ernest Tonnelat et B.-O. Unbegaun.
Reference : 59967
(1948)
PUF, 1948, pt in-8°, 467 pp, biblio, index, broché, dos passé, bon état (Coll. Mana - Introduction à l'histoire des religions)
"Ce volume de Mana, dû à la collaboration de quatre savants spécialistes, présente un tableau des religions de l'Europe ancienne à l'exception de celles du monde « égéen » et du monde grec qui font l'objet des volumes I et II de la même série. La plus grosse partie du travail est revenue à M. Grenier pour l'exposé des religions étrusque (pp. 3-79) et romaine (pp. 81-233). 230 pages pour une matière aussi riche, c'est peu de chose sans doute mais si M. Grenier a dû faire un choix, il n'a cependant rien omis d'essentiel ; quant à ses notes qui présentent l'état actuel des questions, elles sont d'une richesse remarquable : on y trouvera une documentation bien à jour, une bibliographie intelligemment discutée, et ce non seulement pour la religion mais encore pour les domaines connexes comme l'histoire, l'archéologie, la linguistique,... (...) M. Vendryes a divisé son étude sur la religion des Celtes (pp. 239-320) en trois chapitres dont le premier, intitulé Introduction et sources, apparaîtra comme particulièrement important : on y trouvera de judicieuses considérations sur la valeur de nos sources (auteurs grecs et latins, inscriptions gauloises, littérature irlandaise) et sur le crédit à accorder aux études de mythologie comparée. Un deuxième chapitre est consacré aux dieux (ici aussi le syncrétisme artificiel avec les dieux gréco-romains a souvent voilé la véritable nature des dieux indigènes) ; vient enfin un dernier chapitre, Le clergé et le culte, dont une bonne partie est un exposé lumineux sur les fonctions, le prestige, le rang social et la doctrine des druides – et des druidesses. A l'époque historique, les peuplades germaniques, réparties sur de vastes territoires, apparaissent déjà nettement différenciées tant par la culture que par la langue ; c'est ce qui fait que, dans son étude sur la religion des Germains (pp. 323-385), Ernest Tonnelat a été amené à scinder sa matière en deux parties bien distinctes : l'une, consacrée aux Croyances et cultes dans la Germanie ancienne, est relativement maigre car, sur les Germains du sud de la Baltique, nous n'avons guère que les données des historiens latins (surtout César et Tacite), c.-à-d. d'hommes naturellement et inconsciemment enclins à ramener à leurs propres croyances celles des peuples étrangers qu'ils s'efforcent de décrire ; mais l'autre partie où sont examinées les Croyances et cultes dans la Scandinavie ancienne se fonde sur des sources beaucoup plus riches et plus sûres, à savoir les œuvres des vieux poètes Scandinaves écrites à un moment (VIIIe-IXe s.) où les traditions du paganisme étaient encore vivaces. A M. Unbegaun revenait sans doute, dans l'économie de cette oeuvre collective, la tâche la moins aisée car les Slaves (pp. 389- 445) n'ont connu l'écriture qu'après leur conversion au christianisme ; dès lors, sur leurs antiques croyances, nous n'avons que des données fragmentaires et inégales qu'il convient de scruter avec soin mais non sans méfiance. (...) Ainsi qu'il est de règle dans la collection, un index alphabétique (pp. 447-462), commun aux cinq sections traitées, termine ce volume particulièrement nourri." (Maurice Leroy, Revue belge de philologie et d'histoire, 1950)