Paris, Librairie José Corti, 1951. In-12 broché de 353-[3] pages, couverture d'éditeur, premier plat jaune, non coupé, à l'état de neuf, sous chemise, étui.
Édition originale. Tiré à 100 exemplaires numérotés, celui-ci un des 60 sur vélin pur fil Lafuma (n°99), après 40 vélin de Rives. Superbe exemplaire du roman le plus célèbre de Julien Gracq. Il lui sera décerné le prix Goncourt l'année de sa parution, mais l'auteur le refusera. En effet, en 1949, il avait fait paraître La littérature à l'estomac, pamphlet où il dénonçait les compromissions commerciales du monde littéraire de son temps. Dès lors il ne pouvait accepter cette récompense.
José Corti Paris 1951 In-12 ( 185 X 120 mm ) de 353 pages, broché. EDITION ORIGINALE, mention de 5e mille au bon achevé d'imprimer du 25 septembre 1951. Prix Goncourt refusé par Julien GRACQ. Bel exemplaire.
Saint-Florent le Vieil 5 Août [ca 1985], 15x10cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée de Julien Gracq, (19 lignes à l'encre noire), adressée à son ami et monographe Ariel Denis, rédigée depuis sa villégiature vendéenne, au verso d'une reproduction photographique représentant une vague se fracassant sur des rochers. Julien Gracq débute sa carte en comparant la vigueur de l'Océan Atlantique à la quiétude de la Méditerranée: "Voilà (au verso) un effet de vagues dont vous ne trouverez pas l'équivalent au Lido et que dispensent ici assez généreusement les marées d'équinoxe..." Son correspondant est le bienvenu en Vendée où Julien Gracq coule des jours paisibles, qu'il consacre notamment à la lecture et plus particulièrement à la redécouverte de Gogol: "J'ai relu non Tolkien, mais Gogol (nom souligné), ainsi que le commentaire de Gogol par Nabokov. Très étrange personnage, habité par la manie ambulatoire et par de singulières divagations sociales." Les vacances vénitiennes d'Ariel Denis font se souvenir à Julien Gracq qu'il a été récement sollicité par la ville des doges : "J'ai reçu du président de la région de Venise une invitation pour être "rapporteur" (??) de je ne sais quel congrès qui se tient là-bas cet été Europa Genti (?) Ce que j'ai décliné !" - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, José Corti, 1947. In-12, broché, couverture rempliée,non coupé, 207 pp.
Édition originale du plus remarquable des ouvrages consacrés à André Breton. Tirage à 70 ex numérotés. UN DES 50 EXEMPLAIRES SUR PUR FIL (après 20 ex sur vélin du Marais) seul grand papier. " Cet ouvrage a été unanimement salué comme le plus beau et subtil des livres consacrés à André Breton, bien que son auteur, dune modestie légendaire, ait jugé bon longtemps après de minorer son travail " : « Ce nest pas un regard sur lensemble de luvre de Breton, cest un projet beaucoup plus restreint () Cest lécrivain qui était mon sujet, et, dans le cas de Breton, il sagissait dune part très incomplète de son uvre, puisque cétait la vie surtout qui lintéressait. » « Compagnon de route » des surréalistes, Julien Gracq manifesta toujours une profonde admiration pour André Breton et cet ouvrage témoigne de son attachement à son uvre. On sait que Breton, qui était aussi son ami, faisait grand cas des romans de Julien Gracq, quil plaçait au plus haut dans lesprit du surréalisme, ainsi quil le déclara en 1952 : « Julien Gracq, plus quau surréalisme tel quil se définit théoriquement, reste absolument fidèle à lesprit qui animait son premier livre Au Château dArgol et dans lequel le surréalisme a immédiatement trouvé son bien. () Plus que romancier, Gracq savère avoir été poète puisquil a promu une légend. Exemplaire en parfait état. Photos sur demande.
Paris 24 octobre 1985, 14,5x10,5cm, quatre feuilles + une enveloppe.
Lettre autographe signée, sur un bristol, de Julien Gracq, 15 lignes à l'encre noire, adressée au journaliste Jean-Claude Lamy, à propos du texte d'un article pour lequel il donne son approbation et d'un album de photographies concernant un autre écrivain. Hormis quelques modifications qu'il entend y apporter, notamment sur le fait de n'être pas photographié, même par Robert Doisneau, il autorise la parution de cette interview. Nous joignons l'enveloppe adressée par Julien Gracq depuis son domicile parisien. Nous joignons également le texte de trois pages de l'article comportant des corrections et ratures de Jean-Claude Lamy et quatre modifications et corrections de la main de Julien Gracq. Quelques lettres ont bavé sans gravité, agréable exemplaire. "Paris 24 octobre Cher monsieur. Merci de m'avoir soumis le texte que je vous retourne : il correspond en gros aux propos tenus et je ne vois à vous soumettre que deux ou trois formulations un peu différentes. Je regarde avec plaisir les photos de l'album que vous l'aimable pensée de m'adresser : il s'agit là d'un écrivain qui ne m'a jamais laissé indifférent. Rappelez vous notre conversation : une seule photo pour illustrer votre texte (j'aurais préféré" aucune ! malgré le talent très grand de Robert Doisneau) Avec mon bon souvenir. J. Gracq." - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.l.n.d. (circa 1920). 1 f. plié, avec tableaux et diagramme Avec le tampon ex-biblioteca Julien Gracq de la vente.
Parties d'échecs du jeune Julien Gracq avec sa soeur, Suzanne. Tous les coups sont reportés et notés, avec commentaires. Ce feuillet est le seul de tous sur lequel Gracq a dessiné un échiquier avec pièces, sur une position donnée. Un exemplaire du catalogue présentant la totalité de ses ouvrages sur les échecs est offert pour tout achat. Il est également disponible contre 20 € (tirage limité à 400 exemplaires). Nombreuses parties et diagrammes reproduits, avec préfaces, souvenirs et notes. Par un des grands maîtres du jeu. « On peut ressentir le monde comme un carré d'hiéroglyphes d'un problème d'échecs. Il suffit de poser la pièce sur cette case que rien ne désigne pour que tout soit changé. Vu d'un certain angle, il y a là une opération absolument magique. » (in Un beau ténébreux) Louis Poirier n'était pas encore Julien Gracq lorsqu'il s'initia, vers l'âge de treize ans, aux échecs. Or, l'attrait passionné qu'il ne cessera de leurs porter s'est volontairement tenu dans la sphère de la théorie. « J'ai dû tout aux livres, et presque rien à la pratique du jeu, restée chez moi très intermittente...». Loin d'enrichir sa bibliothèque par simple manie de collectionneur, il était un lecteur « crayon en main » comme en témoignent les petites annotations en marge de ses livres consacrés aux échecs ou les feuillets manuscrits couverts d'analyses, de problèmes ou de coups joué. « Je suis un joueur médiocre, ou plutôt un lecteur de parties [...]. Cela se rattache sans doute au plaisir que je prends aux ouvrages de stratégie : j'ai du goût pour la stratégie en chambre. » Composée en majorité d'ouvrages classiques qui visent à former les joueurs d'un point de vue stratégique, à approfondir leur capacité d'analyse et à arrondir leur style, cette bibliothèque traduit des choix où ne figurent presque aucun livres « légers », de ceux qui visent à amuser l'amateur du jeu, tels que des livres sur les pièges d'ouvertures ou des anthologies de coups spectaculaires. Livres difficiles, au sens où ils requièrent du lecteur une attention très soutenue, encore appelés « livres à problèmes», ceux qui entrèrent dans sa collection exposent des positions particulières avec une consigne telle que « les blancs jouent et gagnent » et demandent au cerveau du joueur une sorte d'effort digne de l'haltérophilie, mal nécessaire pour enrichir sa capacité de calcul et d'analyse. Louis Poirier s'imposait cette discipline, assez remarquable voire exceptionnelle chez un joueur amateur. Souvent, attaquait-il des problèmes manifestement au-dessus de son niveau de jeu comme en témoignent les notes qui nous sont parvenues, présentant des solutions en majorité fausses. Tout indique qu'il notait soigneusement la solution entrevue et, évitant la tentation de vérifier la solution du livre, passait au problème suivant. « Je n'ai jamais été initié, dira-t-il, au jeu d'échecs. J'ai tâtonné dans leur direction de moi-même, sans guide, mais difficilement, obstinément je leur ai appartenu dès le début sans que j'y eusse la moindre aptitude, comme la boussole au pôle magnétique [...].» Louis Poirier commença à pratiquer le jeu des échecs vers l'âge de treize ans. Plus tard, étudiant boursier à l'Ecole normale supérieure, il voyage en compagnie de son condisciple Henri Queffelec à Budapest. Ce dernier explique comment il y avait croisé en 1931, le grand joueur d'échecs Lagos-Steiner : « Poirier le connaissait de renom. il était déjà passionné d'échecs. il eut avec lui un long a parte. Je l'admirais du coin de l'oeil. les deux hommes n'échangeaient que des phrases très courtes, isolées par des silences au cours desquels ils ne se regardaient pas. On sentait qu'ils réfléchissaient ensemble. Ils avaient mieux à faire que de s'épier. » Jeune professeur à Quimper, il participe aux tournois d'échecs de Brest, Lorient et anime le cercle d'échecs de Quimper où sera invité le grand maître Znosko-Borovsky. Au soir de sa vie, l'auteur reviendra sur son rapport particulier aux échecs : « Je me suis beaucoup intéressé au jeu d'échecs, par périodes, qui reviennent de façon quasi cyclique. Ce sont des périodes où je n'écris pas. » (Réf. Revue 303, n° 93, Gracq ; Gracq. Lettrines 2.)
Paris La Jeune Parque 1947 grand in-16 broché Paris, La Jeune Parque, 1947. 17,5 x 11,5 cm, grand in-16, 313 (6) pp., broché.
Edition originale de la longue préface de Julien Gracq. Exemplaire du service de presse enrichi d'un ENVOI autographe signé et daté (15 avril 1947) de Julien Gracq à Thierry Maulnier (Jacques Talagrand, 1908-1988) : "à l'archicube Thierry Maulnier, en toute sympathie". Intéressante association faisant référence à leur fréquentation commune des bancs de l'Ecole Normale Supérieure. Couverture un peu défraîchie, quelques rousseurs aux tranches. Bon
Sion-sur-l'Océan (Vendée) 13 Août [ca 1985], 15x10cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée de Julien Gracq, (20 lignes à l'encre noire), adressée à son ami et monographe Ariel Denis, rédigée depuis sa villégiature vendéenne, au verso d'une reproduction photographique représentant Sion-sur-Océan vue du ciel. Julien Gracq se remémore ses vacances vénitiennes: "Je me souviens de m'être baigné au Lido, avec Queffélec, en 1931, dans une Adriatique exagérément chaude. Le plein été à Venise, est tout de même un peu étouffant, à cause de l'humidité..." et souhaiterait découvrir la cité des doges sous une autre saison : "... ce que je regrette, c'est de n'y être pas allé en hiver, où les brumes et les inondations font des paysages si insolites. Mais la ville, en toute saison, reste inépuisable." Julien Gracq profite de la tranquilité estivale pour découvrir de nouveaux textes et écrivains: "Je répare consciensieusement quelques lacunes dans mes lectures : ainsi Gargantua et Pantagruel ouverts par excès de scrupule et que je referme avec la conviction que je n'aurai plus à les rouvrir : il y a dans la haulte (mot illisible) - on ne me l'enlèvera de l'idée - un élément de débilité mentale caractérisée ! " il souhaite de bonnes vacances à son ami et surtout bon courage pour son avenir de professeur :"Bonne chance surtout dans vos démêlés avec l'ordinateur, sorte de loto sacralisé de l'Education Nationale..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris s.d. (1978), 14,5x20,5cm, une feuille.
Importante lettre autographe signée, de Julien Gracq, 53 lignes à l'encre noire, adressée à son proche ami et monographe Ariel Denis l'intronisant comme son biographe. Julien Gracq se trouve désolé car son ami Ariel Denis n'a pas été retenu, malgré son intervention, par l'Académie de Berlin pour enseigner : "Je vous avais recommandé de mon mieux mais je doute que cela ait été en Allemagne d'une grande efficacité... Je sais d'ailleurs que, comme vous le pressentiez, les concurents étaient en nombre." Afin de venir en aide à son ami, l'auteur du Rivage des Syrtes a proposé à l'éditeur Seghers qui voulait éditer un ouvrage lui étant consacré dans sa fameuse collection "Poètes d'aujourd'hui" le nom d'ariel Denis, n'ayant pas de nouvelles du premier biographe pressenti pour cette publication : "Ils me demandent de leur suggérer un nom. J'ai indiqué celui de Lautrat... Et j'ai indiqué le vôtre, ne sachant bien sûr aucunement si un travail de ce genre pourrait vous plaire... Il va de soi que si Seghers s'adressait à vous, vous devez être absolument libre d'accepter ou de refuser." Il espère aussi revoir son ami prochainement avant les vacances estivales : "... si je ne vous revois pas avant juillet, je vous souhiate des vacances à la fois paisibles et laborieuses, en comptant vous revoir d'ici l'automne." Il achève sa missive sur ses jugements de cinéphile averti :"J'ai surtout revu des films de Tati, et je me suis beaucoup ennuyé, dans une salle déserte, au film de Mme Sagan." A l'instigation de Julien Gracq, Ariel Denis acceptera bien la proposition de Seghers d'éditer un volume, dans sa collection "Poètes d'aujourd'hui", concernant l'auteur d'Au château d'Argol, devenant par la même l'un de ses meilleurs et de ses plus remarquables biographes. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Sion-sur-l'Océan (Vendée) s.d. (circa 1995), 15x10,5cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée de Julien Gracq de 20 lignes adressée à son ami et monographe Ariel Denis, rédigée au feutre noir, au verso d'une photo représentant le château de la Flocellière en Vendée, non loin de son appartement de Sion-sur-l'Océan. Julien Gracq félicite Ariel Denis pour la justesse de son dernier article: "... je trouve votre compte rendu excellent et particulièrement compréhensif..." bien qu'il se fende d'un léger et humoristique bémol : "... ma seule objection étant l'adjectif à la mode prégnant (mot souligné) qui me paraît à proscrire absolument dès qu'il ne s'agit plus de femmes enceintes". L'auteur d'"Au château d'Argol" se montre confiant pour l'avenir de son ami: "... Peut-être des comptes-rendus de cette qualité vous ouvriront-ils l'accès à une porte dans les éditions du Sorbier ?"tout en restant prudent et modeste pour le sien : "...je me refuse à trop espérer... enfin, il se produira bien un jour quelque péripétie positive dans cette quête ! " Enfin, Julien Gracq évoque la période des vacances et achève sa missive par une question raillant le sous-titre de la carte postale "Séminaire des vocations d'Ainés facade est" : "cette carte est aussi un rébus : qu'est-ce qu'un séminaire des vocations d'Ainés?" - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Chez Grasset, 1954. In-8 broché de 139-[7] pages, couverture rempliée rose, titre imprimé en rose. Non coupé.
Edition originale, un des 1400 exemplaires numérotés sur vélin de Lana (256). Bel exemplaire.
José Corti, 2002, 314 p., broché,traces d'usage, tampons et petite tache sur la première de couverture, état correct.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
Complexe, 1986, 113 pp., broché, couverture légèrement empoussiérée, passages signalés au crayon et au stylo, état correct.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
Paris, José Corti, 1985. In-12 de [6]-213-[5] pages, couverture illustrée, à rabats.
Édition originale tirée à 125 exemplaires sur papier rhapsodie d'Arjomari, seul grand papier (65). Bien complet de sa bande annonce "Un portrait souvenir de Nantes". En parfaite condition.
Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 2003 In-12 ( 175 X 110 mm ) de LXXXVI-1447 pages, pleine basane havane, dos lisse orné de filets dorés, sous rhodoïd et étui illustré. ( Présentation de l'éditeur ). Edition établie par Bernhild BOIE. Très bel exemplaire.
Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 1996 In-12 ( 175 X 110 mm ) de LXXXVI-1447 pages, pleine basane havane, dos lisse orné de filets dorés, sous rhodoïd et étui illustré. ( Présentation de l'éditeur ). Edition établie par Bernhild BOIE. Très bel exemplaire.
Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 1989 In-12 ( 175 X 110 mm ) de LXXXVI-1447 pages, pleine basane havane, dos lisse orné de filets dorés, sous rhodoïd et étui illustré. ( Présentation de l'éditeur ). Edition établie par Bernhild BOIE. Très bel exemplaire.
Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 1989 In-12 ( 175 X 110 mm ) de LXXXVI-1447 pages, pleine basane havane, dos lisse orné de filets dorés, sous rhodoïd et étui illustré. ( Présentation de l'éditeur ). Edition établie par Bernhild BOIE. Très bel exemplaire.
Paris, José Corti, 1988. In-12 broché de 147-[5] pages.
Édition originale tirée à 150 exemplaires sur vélin Arche des papeteries Arjomari (95), plus quelques hors commerce. Non coupé, sauf le dernier feuillet, car la justification est faite à la main!
Paris, José Corti, 1950. In-12 broché de 73-[3] pages, couverture de papier lavande (ou lilas).
Edition originale sur papier d'édition.
Paris, José Corti, 1992. In-12 broché de 308-[4] pages, couverture de papier rose.
Exemplaire du second tirage.
Paris, José Corti, 1974. In-12 broché de 244-[2] pages, couverture lavande à rabats. Mini défaut au second plat.
Edition originale tirée à 293 exemplaires numérotés, celui-ci un des 150 sur vergé ivoire (248), et non pas vélin ivoire comme imprimé au second plat.
Paris, José Corti, 1952. In-8 broché de 321-[7] pages, couverture à rabats, imprimée en deux tons.
Deuxième édition. Tirage limité à 2000 exemplaires numérotés, celui-ci un des 750 sur vélin du Marais (186). Le Prix Goncourt 1951, refusé par l'auteur.
BRETON André (dir.); PERET Benjamin; SADE Marquis de; ARTAUD Antonin; PAZ Octavio; LEBEL Robert; GRACQ Julien; PIEYRE DE MANDIARGUES André;HEROLD Jacques et al:
Reference : 7312
(1950)
Paris, Editions du Sagittaire, 1950. In-8 broché de [2]-226-XII pages, couverture illustrée couleur. Nom de possesseur sur le premier plat.
Nombreuses illustrations en noir et en deux tons, in et hors-texte, de Dorothea Tanning, B. Péret, Marcel Jean Max ernst, Jacques Hérold, Chirico, Dali, Marcel Duchamp et quelques autres.
Paris, José Corti, 1976. In-12 broché, 76-[2] pages, couverture imprimée.
Edition originale sur papier d'éditeur.