1982 Brou de noix et encre noire sur papier cartonné signé et daté en bas à droite, 1982, 50 x 65.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Robert Hossein, avec l'aide de l'historien Alain Decaux, réalisa en 1982 une des adaptions les plus fidèles du roman de Victor Hugo "Les Misérables". Ce dessin est un projet pour l'affiche du film. Jean GOURMELIN synthétise le film en choisissant une scène qui est l'apothéose du roman de Victor Hugo et qui fait parti de l'imagerie collective. La scène se passe à Paris pendant l'insurrection républicaine de juin 1832, lors des émeutes sanglantes des barricades. "Les goujats" sont massés contre une chaîne, symbolisant à la fois les chaînes du forçat Jean Valjean et les barricades. Les personnages principaux, les "héros de la République" sont au premier plan, serrés les uns contre les autres et facilement reconnaissables: Jean Valjean (Lino Ventura), Thénardier (Jean Carmet), Gavroche, Marius, Cosette, Fantine... Tandis qu'une figure se détache de la composition à l'encre brune, tout de noir vêtu, droit, tel une ombre menaçante, l'inspecteur Javert (Michel Bouquet) assiste, stoïque à la scène.
1970 Sépia et plume signé en bas à droite, (1970), 31 x 47.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Dans un grenier, des hommes et des femmes nus, tels des atlantes et des cariatides, soutiennent avec leurs têtes des poutres. Ils servent de piliers, assurant ainsi la stabilité de l'édifice. Ce dessin est une allégorie du faible (symbolisé par la nudité) soumit. Dessin reproduit page 49 in "Dessins de Jean Gourmelin - 1982 Taichung, Formose Editions Printer".
1980 Encre de Chine, (1980), 10 x 28 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Dessin, pour le magazine Le Point, repésentant un couple, allongé sur une plage. Chacun a une jamble pliée, l'autre reposant sur la première. Ils partagent le même ouvrage... qui recouvre leurs têtes. Ils adoptent par mimétisme la même attitude, étant en accord "parfait". Linversion est un thème qu'aborde de manière récurrente l'artiste. Est-ce un clin d'oeil à l'inanité des vacanciers ? Jean GOURMELIN collabore pour le magazine Le Point entre 1973 et 1988. Il y illustra des sujets de société.
1980 Encre de Chine et lavis signé et daté en bas à droite, 1956, 49 x 65 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Voici un sujet léger : Par une belle journée ensoleillée, un couple est sur une plage. L'homme est assis et regarde au loin la mer où vogue un voilier ; Au même moment sa compagne lit, profitant d'un moment de tranquilité. En 1956, Jean GOURMELIN, travaillait pour le Maître verrier Max Ingrand et ne se consacrera pleinement au dessin qu'à partir de 1968.
1995 Encre de Chine signée et datée en bas à droite, 1995, 49 x 65 cm., encadrée.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Un homme -comptable de profession- est allongé au milieu d'une multitude de zéros. Il est submergé par cette succession de chiffres sans fin... qui se répète inlassablement, comme ses journées immuables ! Jean GOURMELIN montre la fragiité de l'homme qui ne tient qu'à un fil... Ce dessin fut présenté lors de la rétrospective qui eu lieu à Meudon en avril 2013.
1953 Encre de Chine et lavis signé en bas à gauche, (1953), 39.5 x 52 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Jean GOURMELIN, peint sa compagne Luce, avec tendresse et amour.
1710 Encre de Chine signée en bas à droite, 17 x 10 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Ce dessin est un clin d'oeil à la peinture de genre. Il représente un artiste assis face à son tableau -modèle- vivant... Jean Gourmelin célèbre la peinture en montrant qu'il ne s'agit pas d'une "nature morte", mais bien au contraire d'un Art vivant !
1986 Encre de chine et plume signée et datée et haut à droite, 1986, 37 x 28.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Dans un univers onirique, au caractère improbable et tragique, des hommes et des femmes sont sur le départ... Dessin reproduit dans le catalogue de l'exposition "Jean Gourmelin - Dessins et aquarelles" du Musée d'Art et d'Histoire de la ville de Meudon en 2004.
1969 Dessin à l'encre sur papier fort, signé et titré en bas à gauche, 1969, 15.5 x 17 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Enfant et adultes, armés de masque, tuba, palmes, rame, pelle, caméra et d'un harpon sont prêts à défendre leurs vacances au péril de leur vie.Tels leurs ancêtres parisiens-héros de la République lors des émeutes de juin 1832 (immortalisés par Delacroix), ces vacanciers parisiens sont statufiés par Jean GOURMELIN. Dessin de presse pour France-Soir. Annotations manuscrites de l'artiste, à la mine de plomb et cachet de France-soir.
1975 Encre de Chine, titrée en haut à droite, signée en bas à droite, (1975), 30 x 25 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Les joueurs de cartes sont un thème récurrent en Histoire de l'Art. En regardant ce dessin de Jean GOURMELIN, comment ne pas penser aux frères Le Nain, à Georges de La Tour, au Caravage, à Paul Cézanne et à Fernand Léger ? L'intensité du jeu est forte. La scène est réduite à l'essentiel : Un plan serré présente trois mains tenant des cartes et appartenant à trois joueurs différents. Les joueurs s'affrontent. Mais qui va gagner ? Est-ce le meilleur ou bien est-ce dû au hasard ? Au verso annotations manuscrites et à la mine de plomb de l'artiste, pour l'impression.
1980 Aquarelle signée et datée en bas à gauche, 1980, 15 x 30 cm., encadrée.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées (Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Le soleil couchant éclaire ces corps dénudés, à contre-jour, qui évoluent sur cette plage de La Baule, au mois d'août 1980, où les Gourmelin aimaient y passer leurs vacances.
Paris, éd. Denoël - Culture, art, Loisirs, 1973, in-8, cartonnage toilé blanc avec texte en noir, brun et orange éd., gardes ill. en noir, 256 pp., nb. dessins en noir de Jean GOURMELIN, table des matières, Un grand classique de la littérature de science-fiction par un grand maître de la littérature fantastique. Très belle illustration de Jean Gourmelin. Pas courant Très bon état; coiffes légèrement enfoncées mais sans manque
1982 Encre sur transparent et sanguine sur papier signée et datée en bas à droite, 1982, 50 x 65.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Avec Robert Hossein, aidé par l'historien Alain Decaux, qui réalisa une des adaptions les plus fidèles du roman de Victor Hugo "Les Misérables", il crée les affiches. Une chaîne brisée, constituée d'anneaux figuratifs, constitue le décor de ce projet d'affiche. Du côté droit se détache quatre visages dont ceux de Jean Carmet (l'aubergiste Thénardier) et Lino Ventura (Jean Valjean), de l'autre côté Michel Bouquet qui incarne l'inspecteur Javert. Sur le dessin figure des traces de colle, de scotch et plis.
1982 Encre de Chine, (1960), 30 x 65 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Trois hommes et trois femmes sont sur une plage à marée basse. Chacun profite à sa manière de ce moment de détente. Déchirures, légers plis et salissures au dessin.
1953 Pastels et gouache, (1953), 26.5 x 49 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Sur la plage, un livre ouvert, Luce arborant un maillot de bain jaune, regarde au loin la mer.
1985 Encre de Chine signée en bas à gauche, (1985), 21 x 30.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Le syndrome de la page blanche, l'angoisse des artistes en quête de la perfection...
1968 Encre de Chine signée en bas à gauche, 1968, 13.7 x 17.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Un gorille, fort et vigoureux, soulève d'une seule main un mannequin en tissu sur un support en bois avec pied tripode. Illustration pour les Chefs d'Oeuvre du dessin.
1980 Encre et aquarelle signée et datée en bas à gauche, 1980, 30 x 24 cm
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Les lettres de l'alphabet, en relief, forment un labyrinthe dans lequel chacun essaie de retrouver son chemin. Les lettres "S.P.D.Z.X." paraissent au premier plan. Il s'agit d'u dessin commandé par une entreprise.
1980 Encre de Chine, 1980, 13 x 28 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Un gynécologue, adossé contre la porte de son cabinet, empêche une foule de patientes nues et implorantes, d'y entrer. Dessin de presse pour le magazine Le Point.
1970 Encre de Chine signée en bas à droite, (1970), 27.5 x 27 cm., encadrée.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Un Sphinx, domine colossalement la scène, de par sa taille monumentale, composé d'une tête humaine, d'un buste féminin et de pattes de lion allongées et griffues. Face à cette statue fabuleuse -symbolisant la fécondité- Oedipe ouvre grand son manteau, tel un voyeuriste. Son pantalon tire-bouchonné gît sur le sol, découvrant ainsi ses attributs...
1980 Dessin à l'encre de Chine signé en bas à droite, (1980), 16 x 30 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). La justice est en danger. Bien qu'impartiale, la cécité de Thémis en témoigne, ainsi que le glaive à double tranchant et la table des lois, les chaînes qui assurent l'équilibre des deux plateaux de la balance sont brisées. Le mécanisme de pesée n'est plus assuré et la décision de justice qui se veut juste et égale est menacée. Dessin de presse pour le magazine Le Point.
1975 Dessin à l'encre de Chine, titré en haut à gauche à la mine de plomb, signè en bas à droite, (1975), 25.5 x 14 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). La Dame de coeur est représentée par un double portrait symétrique. Coiffée d'une couronne et vêtue à la mode des XVIe ou XVIIe siècles, elle porte dans ses bras un bébé serré dans un lange. Cett carte symbolise à la fois le domaine sentimal et le domaine relationnel ainsi que la féminité. Le bébé, dans les bras de la reine de coeurn renforce le côté maternel de la carte. Illustration pour le magazine Le Hasard.
1970 Encre de Chine, signée en haut à gauche et en bas à droite, (1970), 30 x 22.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Le principe du jeu d'échec est d'empêcher un roi de se déplacer afin de le déclarer mat (mort). Mais le but de ce jeu d'origine indienne, revisité par la culture chrétienne autour de l'an mille, est de jouer plus que de gagner, comme lors des guerres féodales où l'important était de combattre plus que de vaincre. Ce jeu d'échec se présente avec un plateau quadrillé en noir et en blanc. Ces deux couleurs symbolisent le bien et le mal, la bonté et le péché, la vie et la mort, le jour et la nuit... des pièces sont posées sur le plateau où apparaissent des pions, des tours, un cavalier et un roi. Au dos cachet de la revue Pilote, Dargaud éditeur.
1980 Encre de Chine, titrée à l'encre en haut à gauche et signée dans le dessin à la mine de plomb, (1980 ), 31.5 x 24.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Cette illustration nous fait penser à l'aphorisme de Théophile Gautier "Un papillon blanc qui voltige, Un coup doeil au hasard jeté, Vous fait surprendre sur sa tige La fleur dans sa simplicité". Un visage, en forme de dé, à pour pupille des dés dont le total amène au chiffre 7, le "nombre parfait". Annotations manuscrites et esquisse à la mine de plomb au dos.
1970 Encre de Chine signée en bas à droite, ( 1970), 30 x 23 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Scène mythologique dans laquelle le centaure Nessus, mi-homme mi-cheval, enlève Déjanire la femme d'Hercule. Ils sont dans la fôret de Thessalie ; les arbres, à la disposition symétrique, sont des cactus dont les troncs sont transformés en futs de colonnes corinthiennes.