A Cologne, , 1774. 6 tomes en 3 vol. in-12 de (16)-297-(23) pp. ; (4)-309-(23) pp. ; (4)-331-(27) pp. ; (4)-351-(23) pp. ; (4)-309-(19) pp. ; (4)-207-(13) pp., demi-basane brune, dos lisse orné de filets dorés, pièces de titre en maroquin rouge, tranches rouges (reliure de l'époque).
« Bien que cette oeuvre soit presque exclusivement écrite par Goudar, un des aventuriers amis de Casanova, nous savons par deux témoignages, que Casanova, lui-même, a contribué à un certain nombre de lettres (tome IV, lettres 46, 48, 72, 75; tome V, lettres 12, 39, 80, 83), qui figurent parmi ses premières oeuvres » (Rives-Child, 6).Ange Goudar, aventurier et polygraphe, rencontra Casanova pour la première à Paris, en 1759 ; il publia une foule de brochures et de livres, traitant aussi bien de l'économie politique que de la musique et de la danse, publiés souvent sous le nom de sa femme, Sara Goudar, et dont plusieurs sont dédiés à l'ami du Vénitien, lord Pembroke. Ami intime de Casanova, Goudar lui proposa en 1760 de lui vendre, pour soumettre Marianne Charpillon, un fauteuil spécialement combiné : muni de ressorts, ses bras s'écartaient et réduisaient à l'immobilité la personne qui s'y asseyait. L'idée seule d'employer un tel meuble, qualifié par lui de "redoutable", révolta Casanova pour qui la participation volontaire de la femme était essentielle.Bon exemplaire complet, mais modeste ; 1 coiffe usée. Mars, 77 ; Sgard, 387.
A Cologne, , 1774. 6 vol. in-12 de (16)-297-(23) pp. ; (4)-309-(23) pp. ; (4)-331 (27) pp. ; (4)-351-(23) pp. ; (4) 309 (19) pp. ; (4)-207-(13) pp., veau porphyre, dos lisse orné, triple filet d'encadrement sur les plats, pièces de titre et de tomaison vertes, tranches rouges (reliure de l'époque).
« Bien que cette oeuvre soit presque exclusivement écrite par Goudar, un des aventuriers amis de Casanova, nous savons par deux témoignages, que Casanova, lui-même, a contribué à un certain nombre de lettres (tome IV, lettres 46, 48, 72, 75; tome V, lettres 12, 39, 80, 83), qui figurent parmi ses premières oeuvres » (Rives-Child, 6).Ange Goudar, aventurier et polygraphe, rencontra Casanova pour la première à Paris, en 1759 ; il publia une foule de brochures et de livres, traitant aussi bien de l'économie politique que de la musique et de la danse, publiés souvent sous le nom de sa femme, Sara Goudar, et dont plusieurs sont dédiés à l'ami du Vénitien, lord Pembroke. Ami intime de Casanova, Goudar lui proposa en 1760 de lui vendre, pour soumettre Marianne Charpillon, un fauteuil spécialement combiné : muni de ressorts, ses bras s'écartaient et réduisaient à l'immobilité la personne qui s'y asseyait. L'idée seule d'employer un tel meuble, qualifié par lui de "redoutable", révolta Casanova pour qui la participation volontaire de la femme était essentielle.Provenance : bibliothèque de Vimal Lajarigge d'Ambert (ex-libris sur chaque volume), conseiller de préfecture du Puy-de-Dôme.Bel exemplaire. Mars, 77 ; Sgard, 387.