55 Bände in 28. Stuttgart und Tübingen, in der J. G. Cotta'schen Buchhandlung (gedruckt bei Cotta in Augsburg), 1828-1835. Kl.-8°. Marmorierte Pappbände der Zeit mit hs. Papier-Rückenschildchen.
Hagen 23, Ausgabe C2beta, mit Bogennorm "Goethe's Werke". - Ausgabe letzter Hand in der sogenannten Taschen- oder Kleinoktav-Ausgabe auf Druckpapier. "Von Goethe unter Mitwirkung von Göttling, Eckermann und Riemer sorgfältig vorbereitete Ausgabe. Beruht in ihren bereits früher gedruckten Teilen auf den vorwiegend von Göttling, in geringem Masse von Goethe selbst korrigierten Bänden von B bzw. auf den inzwischen erschienenen Eindzeldrucken" (Hagen). Die Bände 1-10 tragen das Erscheinunsjahr 1828 (bei Hagen 1827) "ein wahrscheinlich erst nach 1830 entstandener Neudruck" (Hagen). Die Bände 41-55 mit dem Vortitel "Goethe's nachgelassene Werke. Erster - Fünfzehnter Band". Letzterer enthält die "Inhalts- und Namen-Verzeichnisse über sämmtliche Goethe'schen Werke" von Carl Theodor Musculus und Riemer, sowie die Anzeige für die 55bändige Ausgabe in gross Octav. Die erst 1842 erschienenen Nachtragsbände sind, wie meist, nicht vorhanden. - Teilweise etwas gebräunt, Kanten und Rückenschildchen etwas berieben.
Phone number : 41 (0)44 261 57 50
Weimar, Vlg. der Goethe-Gesellschaft, 1929. 4°. 2 nn. Bl., 31 S. Orig.-Ln. mit Goldprägedruck. Schriften der Goethe-Gesellschaft, Bd. 42.
Mit Exlibris.
München, Phantasus-Vlg., 1919. Gr.-8°. (80) S. Mit handkolorierten Lithografien von Rudolf Grossmann. Orig.-Halbpergamentband mit Marmorpapierbezug und Kopfgoldschnitt.
Rodenberg 457. – Nr. 151 von 200 Exemplaren, im Impressum vom Künstler signiert. – Der Einband leicht berieben.
Lizenzausgabe. Augsburg, Weltbild Vlg., 1991. gr.-8°. Orig.-Pp. mit Schutzumschlag.
Zürich, Vlg. Gebr. Fretz A.G., 1932. 8°. 112 S. Mit 60 Taf. Orig.-Ln. mit Goldprägedruck (berieben und leicht fleckig).
Zürich, Johannespresse, 1949. 8°. 37 (3) S. Mit 5 Illustr. nach Lithographien von Charles Hug. Privater Halblederbd. in Pappschuber.
Nr. 110 v. 305 (GA 400 Ex.) auf weissem Bütten. Vorliegendes Märchen von Goethe ist seiner "Dichtung und Wahrheit" entnommen.
(2. Auflage). Samedan, Engadin Press Co. vorm. Simon Tanner, 1911. 8°. (1) Bl., 103 S. (dv. 3 S. Presse-Stimmen). Mit 4 Illustr. u. 24 Abb. auf Tafeln. Halblederbd. d. Zt. auf 4 falschen Bünden mit goldgepr. Rückentitel u. Rückenvergoldung (leicht berieben u. etwas stockfleckig).
Inhalt: Goethe als Prophet des alpinen Wintersports. Joseph Victor Scheffel und das Engadin. Conrad Ferdinand Meyer in den Bündner Bergen. - Mit Namenszug auf fl. Vorsatz.
Paris, Garnier Frères, non daté (1877?). In-12 de 183 x 120 mm, VIII + 448 pages. "Nouvelle édition précédée d'une notice sur Goethe et sur Gérard de Nerval." Relié demi-maroquin marron sombre, dos à 5 nerfs avec la mention "GOETHE - FAUST" frappée or. Plats jaspés, gardes colorées. Mentions au crayon et au stylo sur la page de titre, la seconde apparaissant à demi effacée sur les pages environnantes. Page de papier de soie protégeant la page de titre. Gérard Labrunie (1808-1855), dit Gérard de Nerval, a commencé sa carrière littéraire avec Goethe. À moins de vingt ans, il publie une traduction en français de la première partie du Faust de Goethe, qui sort de presse en novembre 1827. Goethe appréciera la traduction : "Le 3 janvier 1830, l’écrivain allemand avait fait, devant son secrétaire Johann Peter Eckermann, « un grand éloge de la traduction de Gérard [celle de 1828], disant que, quoique en prose pour la meilleure partie, elle était très réussie ». Et Goethe aurait ajouté : « Je n’aime plus lire le Faust en allemand [...] ; mais dans cette traduction française [il s’agit toujours de la traduction de Gérard], tout agit de nouveau avec fraîcheur et vivacité ». Ces propos se trouvent reproduits par Eckermann dans le tome II, publié en 1836, de ses Gespräche mit Goethe, mais restèrent complètement inconnus du public français." (Michel Brix, "Nerval et le mythe de Faust") À la mort de Nerval, le parnassien Théophile Gauthier se fendra d'un commentaire sur les éloges de Goethe au jeune traducteur.
Papier jauni, nombreuses rousseurs à l'intérieur qui ne gênent pas la lecture. Reliure solide, bon état général.
Gotha bey Carl Wilhelm Ettinger 1790 in-8 (16 x 24,5cm) pleine reliure papier, tel que paru // Pappband mit Zeitgenössischem grauem Papier, 86p. Erstausgabe, mit dem Namen des Autors über dem Titel. Eine 2. Ausgabe mit dem Titel "Die Metamorphose der Pflanzen" erschien erst 1817. Initialen in Bleistift aus dieser Zeit (Foto 3). Gutes und sauberes Exemplar. Weitere Fotos auf unserer Website librairiechaboud.be // Edition originale, avec le nom de l'auteur imprimé au-dessus du titre. Une nouvelle édition est parue en 1817 sous le titre "Die Metamorphose der Pflanzen". Inititiales du temps au crayon (voir photo 3), bon exemplaire, sans annotations.
Mit dieser Schrift gilt Goethe als einer der Mitbegründer der vergleichenden Morphologie. Hier versucht er, die Einheit des Typs in verschiedenen Pflanzenarten zu erklären, indem er behauptet, dass alle Pflanzen von einer mysteriösen „Urpflanze“ abstammen, wobei die einzelnen Gattungen Modifikationen dieses Idealtyps sind. „Goethe glaubte, dass der Biologe durch den Vergleich einer großen Anzahl pflanzlicher und tierischer Formen eine klare Vorstellung von den zugrunde liegenden Archetypen gewinnen könne … Was Goethe in der Biologie und Zoologie suchte, war nichts weniger als eine Theorie, die alle lebenden Formen erklären würde " (Dictionary of Scientific Biography).Avec cet écrit, Goethe est considéré comme un des co-fondateurs de la morphologie comparée. Il tente ici d'expliquer l'unité de type chez différentes espèces végétales, en affirmant que toutes les plantes dérivent d'une mystérieuse « plante archétypale », die "Urpflanze", les genres individuels étant les modifications de ce type idéal. " Goethe pensait que le biologiste, en comparant un grand nombre de formes végétales et animales, pouvait obtenir une idée claire des archétypes sous-jacents... Ce que Goethe recherchait en biologie et en zoologie n'était rien de moins qu'une théorie qui expliquerait toutes les formes vivantes. " (DSB).
Gallimard, collection Du monde entier, 1988. Fort volume in-8 (640 pages), couverture décorée, un peu tachée - pour le reste en belle condition, visiblement jamais lu.
C'est un très vieil homme qui garde auprès de lui Johann Peter Eckermann, un jeune poète, sans grand talent, mais dont le principal mérite, aux yeux du vieux Goethe (et de la postérité), est d'être un des plus fidèles magnétophones de l'Histoire. Pendant neuf ans, Eckermann va recueillir les paroles de son dieu, dont l'âge n'émousse pas le génie, ni ne ralentit la parole : " Hiver et été semblaient toujours se combattre en lui, dit Eckermann, mais ce qui était admirable, c'était de voir chez ce vieillard la jeunesse prendre toujours le dessus. " Incité, provoqué, interrogé par son fidèle écouteur, Goethe va parcourir les chemins de sa vie et les allées de son œuvre. Dans ses promenades à Weimar en compagnie de ce jeune dévot, il revoit les grandes rencontres de son destin, Napoléon et Byron, Schiller et Manzoni. Les yeux de la mémoire de Goethe ont une fraîcheur vivace, en même temps que ses jugements ont pris les distances de la sagesse et de l'ironie. Il ne renie certes pas le jeune homme romantique et passionné qu'il fut, aussi plein de feu que son ami Byron et que le jeune Schiller. Mais les querelles littéraires lui semblent maintenant dérisoires et les débats théoriques ennuyeux. Il n'écoute plus que ce " démon " intérieur, " libre et impétueux " dont Eckermann reproduit les confidentes jaillissantes. SI le Goethe intime, celui des amours de jadis et des sentiments personnels, est pudiquement maintenu à l'arrière-plan, le Goethe secret affleure pourtant aux détours de ces propos en liberté. Les limites mêmes d'Eckermann assurent qu'ils sont fidèles : il vénérait trop son grand homme pour avoir pu altérer beaucoup " la voix de son maître ".
Paris, Presses universitaires de France PUF, Revue germanique internationale 12/1999. Revue semestrielle sous la direction de Michel Espagne et Michel Le Rider. Au sommaire : Autour de "Faust" et de "Werther" - Le philosophe, le savant, Goethe intime, Goethe et ses masques - Goethe, les arts et les collections - Goethe et la Romania - Goethe au XXè siècle. In-8 broché de 308 pp. Bon état.
Précieuse édition française illustrée des Souffrances du jeune Werther. Paris, de l’Imprimerie de P. Didot l’Aîné, 1809. In-8 de vi pp., (1) f., 234 pp. et 3 planches hors-texte. Maroquin rouge, triple filet doré encadrant les plats, dos à nerfs richement orné, double filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, non rogné. Reliure signée R. Wallis binder. 217 x 134 mm.
Précieuse édition française des Souffrances du jeune Werther dans une traduction nouvelle donnée par le comte de La Bédoyère. Cohen 442. Werther, ce roman dont l'influence fut si grande sur toutes les littératures européennes, parut à Leipzig en 1774 ; la première traduction française est, croyons-nous, celle de George Deyverdun (Maestricht, J.-E. Dufour, 1775 et 1776, 2 vol. in-12), puis vint celle de Seckendorf (Erlangen, 1776, in-8), suivie de près par celle d'Aubry qui, d'après Quérard, serait en grande partie l'œuvre du comte de Schmettau, (Mannheim et Paris, Pissot, 1777, in-8). D'autres traductions furent ensuite publiées par L.-C. de Salse (Basle, J. Decker, 1800, 2 vol. in-8), H. de La Bédoyère (Paris, Colnet, an XII, in-12), Sévelinges (Paris, Demonville, 1804, in-8), Allais (Paris, Dauthereau, 1827, 2 vol. in-32), Pierre Leroux (Paris, Charpentier, 1839, in-12), et Louis Énault (Paris, Hachette, 1855, in-12). En 1774 paraît à Leipzig le premier roman d’un auteur presque inconnu, âgé de 25 ans : Les Souffrances du jeune Werther. Cette œuvre rencontre en Allemagne un succès immédiat. Les revues discutent de la moralité ou de l’immoralité des deux petits volumes, les lecteurs se les arrachent, certains voient dans le destin de Werther un modèle à suivre. La célébrité de Johann Wolfgang Goethe est faite et son nom restera longtemps attaché à cet événement littéraire, au premier roman allemand qui franchit véritablement les frontières de l’Allemagne. Une première traduction française paraît en 1776. Lorsque, trente-deux ans plus tard, le 2 octobre 1808, Napoléon traversant l’Allemagne en conquérant se trouve à Erfurt, il demande à voir Goethe : c’est pour parler avec l’auteur de Werther, un livre qu’il a lu sept fois et qui l’a accompagné lors de sa campagne d’Egypte. « Le Werther est un défi au roman vertueux des Lumières. Mais son discours est avant tout une profession de foi subjectiviste : une quête du sens de la vie par une âme exigeante qui ne se contente plus des modes traditionnels de l’insertion sociale ni des conceptions en vigueur concernant le salut » (Dictionnaire des Œuvres). Les Souffrances du jeune Werther, premier roman de Goethe, connut un succès incroyable dès sa sortie, apportant ainsi du jour au lendemain une notoriété considérable dans toute l'Europe à son auteur. Cela déclencha ce qu'on appela alors la « fièvre werthérienne ». Mme de Staël écrira que « Werther a causé plus de suicides que la plus belle femme du monde... ». Goethe lui-même déclara « L'effet de ce petit livre fut grand, monstrueux même... parce qu'il est arrivé au bon moment, mais... le suicide n'est en aucun cas une solution défendue par le livre ». Le volume est orné de 3 superbes figures de Moreau gravées par de Ghendt et Simonet. « Existe sur papier vélin, avec les figures avant la lettre » mentionne Cohen, cas du présent exemplaire. Précieux exemplaire sur grand papier vélin, bien complet des 3 figures avant la lettre, conservé à toutes marges car non rogné, relié en maroquin rouge au XIXe siècle par R. Wallis.
30 Bände. Zürich, Artemis, 1948–1950, 1960, 1964–1972. 8°. Dünndruckausgabe mit jeweils ca. 1000 Seiten. Braune Orig.-Lederbände mit goldgepr. Rückenschildern und Kopfgoldschnitt.
Eine textlich umfangreiche Dünndruck-Studienausgabe; textkritisch teils nur nach dem Stand der verschiedenen Vorlage-Editionen. Mit 6 Ergänzungsbänden: Tagebücher, Briefe aus dem Elternhaus, Goethes Gespräche (4 Bände). - Sehr gut erhalten.
Leipzig, Insel-Verlag, 1907. 8°. 224, 2 S. Mit 1 Titelvignette u. (faksimil.) Exlibris auf fest. Vorsatz. Orig.-Lederbd. mit Steh-, Aussenkanten- sowie Rückenvergoldung (minim bestossen).
Nr. 180 v. 500 Ex. der Faksimileausgabe nach der Ersten Ausgabe von 1774.
Zürich, Lüssi Verlag, 1962. 8°. 261 S. Mit Abb. auf zum Teil gef. Tafeln. Privater Halblederband.
Mit dreiseitigem Typoskript zum Thema, wohl von der Autorin.
2. Auflage. Frankfurt a.M., Rütten & Loening, 1924. 8°. (1) Bl., 209 S. , (1) Bl. Mit einem Frontispitz und mehreren Tafeln nach antiken Vorlagen. Privater Halbpergamentbd. d. Zt.
10 Bde in 5. Leipzig, Reclam, (um 1930). 6 Tafeln. Goldgepr. Orig.-Ldr m. Kopfgoldschn.
Dünndruckausgabe.- Vereinzelt stockfleckig.
Basel, Birkhäuser, 1974. 8°. (2) Bl., (18) S. Mit Illustrationen nach Federzeichnungen von Irène Zurkinden. Orig.-Leinenbd. = "Basler Drucke", Bd. 23.
Nr. 197 von 600 Ex.
o.O., Sansoni, 1954. Gr.-8°. 156 S., 2 Bl. Goldgeprägter Orig.-Leinenband mit Schutzumschlag.
Köln, Heinr. Rommerskirchen, 1801. 8°. 181 Seiten, 1 Blatt. Pappband mit Rückenschild. Sammlung der Lieblingsdichter Deutschlands, 16.
Stärkere Gebrauchsspuren. Durchgehend stockflecking. Mit handschriftlichen Besitzereintrag (C.F. König).
(München, Verlag der Literarisch-artistischen Anstalt, 1846). 4°. 1 gest. Titel sowie 36 Stahlstich-Tafeln von R. Rahn & H. Schleich nach Wilhelm Kaulbach. Lose Bl. in Halbleinenmappe d. Zt. mit 2 textilen Schliessen (bestossen).
Erste Ausgaabe der illustrierten Version. Ohne den Text (257 S.). - Durchgehend gebräunt u. stellenweise stockfleckig.
10 Bände. Leipzig, Philipp Reclam jun, o.J. (um 1920). 8°. Orig.-Ln.