Il remercie son correspondant pour la carte pneumatique qu’il lui a adressé et serait ravi que le Figaro Littéraire « rende compte d’une exposition qui représente l’effort et présente le travail de cette dernière année. »
Il se rétablit « d’une santé ébranlée » et ne pourra se rendre à Paris pour l’exposition de son confrère « … Vous savez que j’aime le peintre et l’homme que vous êtes et j’aurais aimé vous le dire de vive voix devant vos œuvres … ».