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Le Vicomte de Launay. Lettres parisiennes. Précédées d’une introduction par Théophile Gautier. En 4 volumes.
Paris, Michel Lévy Frères, 1862-1863, pt. in-8vo, frontispice gravé portrait de l’auteur + 307 p. / 322 p. / 320 p. / 316 p., reliure en toile postérieure.
Le Vicomte de Launay, Pseudonyme de Mme Girardin, femme de lettres française. Autre pseudonyme ‘Irène de Châteaudun’ pour ‘La croix de Berny’, écrit en coll. avec d'autres écrivains. Les pièces poétiques furent baptisés par Lamartine ‘La dixième Muse’. (Van Tieghem). Image disp.
(SLACES, NVVA)
Phone number : 41 (0)26 3223808
Le Vicomte de Launay (Lettres choisies). Introd. de F. Roger-Cornaz.
Lausanne et Paris, Librairie Payot, 1913, in-8°, XV + 327 p., ill. avec des vignettes de Will Heer, brochure originale.
Le Vicomte de Launay, Pseudonyme de Mme Girardin, femme de lettres française. Autre pseudonyme ‘Irène de Châteaudun’ pour ‘La croix de Berny’, écrit en coll. avec d'autres écrivains. Les pièces poétiques furent baptiser par Lamartine ‘La dixième Muse’. (Van Tieghem).
(SLACES, NVVA)
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Essais poétiques.
Paris, Imprimerie Gaultier-Lagruonie, 1824 ; in-8 ; demi-chagrin bleu nuit à petits coins, dos à quatre nerfs, décoré de palettes décoratives dorées et fleurons à froid, titre doré, exemplaire non rogné (reliure de l'époque, gardes changées) ; 116 pp. et frontispice lithographié d'après Collière.
Edition originale bien conforme à Vicaire (III-989) du premier ouvrage de Delphine Gay, alors tout juste âgée de 20 ans.Symbole fort de la femme de lettres du Romantisme, Delphine, qui a reçu une solide éducation classique et musicale par les soins de sa mère Sophie Gay, saura, très jeune, lui emboiter le pas avec un talent bien supérieur. Après des débuts dans la poésie, elle se fera connaitre sous le pseudonyme du vicomte de Launay, par ses Lettres parisiennes parues de 1836 à 1848 dans La Presse, un des journaux fondés par son mari Emile de Girardin. Fréquentée par Vigny, Hugo, Mme Récamier, Emile Deschamps puis Balzac, Lamartine, Litz, Alphonse Karr, Jules Hetzel, Joseph Mery, Jules Janin, etc. ; les domiciles successifs des époux Girardin deviennent des lieux privilégiés de la vie parisienne. En 1839, Delphine entame une belle carrière d'auteur de théâtre avec "L'école des journalistes", interdit par la censure.
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