Paris, Charles Douniol, 1861 in-8, 16 pp., en feuilles.
Discute les reproches d'ingratitude et d'injustice envers le gouvernement impérial, voire la patrie française, adressés au clergé catholique en raison de son opposition à la politique italienne de Napoléon III. Jacques Ginouilhiac (1806-1875) fut évêque de Grenoble de 1853 à 1870, avant d'être élevé au siège primatial de Lyon. Il avait la réputation d'un modéré et se rangea parmi les opposants à l'infaillibilité lors du Concile du Vatican (ce qui lui coûta le chapeau de cardinal, et il demeura un des rares archevêques de Lyon à ne pas le recevoir). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT