Aulnat [Puy-de-Dôme], 25 janvier 1947 - 26 février 1947 10 pièces in-8, en feuilles, généralement sur papier d'écolier réglé.
Dossier qui réunit un choix de lettres de Gilbert Grosdidier (né en 1927) à ses parents après son incorporation pour ses classes à la base aérienne d'Aulnat (la localité accueille aujourd'hui l'aéroport civil de Clermont, mais servait aussi de base militaire après la guerre). Troisième enfant de Henri Grosdidier et de Madame, il avait également une soeur (Monique), et un frère aîné (André), mort au combat pendant la Bataille de France (27 mai 1940, retraite sur Dunkerque), alors qu'il servait comme sergent au 8e Régiment de Zouaves.Le jeune homme est arrivé le 3 janvier, pour une période de deux ou trois mois de classes dans le "peloton des caporaux".I. Du 25 janvier 1947 : sur son séjour à l'infirmerie pour une angine. Il se plaint du froid extrême et de la mauvaise qualité de la nourriture ; en somme, il se rend compte qu'il est à l'armée.II. Du 26 janvier 1947 : poursuite du séjour salvateur à l'infirmerie ("Pour l'instant, je ne m'en fais pas : je suis planqué et bien au chaud").III. Du 29 janvier 1947 : il est exempté d'exercice et continue de fréquenter l'infirmerie ("Nous sommes dans de petites chambres de trois lits, confortables à souhait, un poêle qui ronfle formidablement ; hier soir, il faisait au moins 30° au-dessus, dans la chambre, on était à moitié à poil, tu parles si ça change, nous n'avons pas beaucoup de soins mais par contre un traitement qui n'est pas mal pour moi : nous avons le matin du chocolat en plus du pain sec, un quart de lait dans la matinée et un autre pareil dans l'après-midi, les repas sont les mêmes qu'au réfectoire, mais plus abondants"). IV. Du 31 janvier 1947 : spéculation sur les permissions à venir et sur la fin de la période de classes ("On ne sait toujours pas la date de la fin de nos classes. Ceux qui sont arrivés au camp le 18 novembre ont fini leurs classes aujourd'hui. Ils vont avoir une perme de détente de 10 jours, ils ont donc fait 3 mois de classes. En ce qui nous concerne, je ne pense pas que nous en ferons autant"). V. Du 5 février 1947 : longue lettre sur un grand jour, car apparemment jour de vol à voile pour le jeune homme. "J'ai fait un premier vol hier matin en double, j'en ai refait un autre l'après-midi (...). J'étais un peu émotionné, vous pensez, c'était mon premier vol seul, ça fait quand même une drôle d'impression, surtout sur cette vieille cage à poules qu'est le 15 A". Suit le détail technique de l'exercice.VI. Du 7 février 1947 : vaccination et perspectives de permissions. Gilbert reçoit confirmation que les classes dureront bien trois mois ("En ce moment, nous en bavons comme des Russes avec notre fusil ; ça c'est vraiment crevant : sans arrêt le monter, le descendre, présentez armes, mettez les baïonnettes, retirez, etc., surtout que l'on a un adjudant qui est un saligaud de premier ordre qui éprouve un malin plaisir à nous faire trimer, celui-là pourvu qu'il s'en aille la semaine prochaine").VII. Du 11 février 1947 : nouveau jour de vol ("Nous appartenons à un club civil, seulement nous volons dans une section militaire, car il y a deux moniteurs, un civil et un militaire. Nous volons donc comme les civils, seulement nous payons moins cher qu'eux, car pour nous le commandant fournit l'essence qui nous est nécessaire").VIII. Du 14 février 1947 : il se prépare à passer son brevet B pour le vol à voile.IX. Du 24 février 1947 : retour de permission, avec une "absence illégale de 36 heures", qui lui vaut un sévère remontage de bretelle chez son lieutenant, et quelques punitions (12 jours de "trou" quand même).X. Du 26 février 1947 : suite et fin des punitions. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
A la Haye, Chez Jean Neaulme, 1735. 2 forts volumes in-4 de [14]-866-[44-table] et [2]-408-[3]-348-[40-table] pages, cartonnage d'attente, titre à la plume au dos. Très rares rousseurs.
Bien complet des 16 portraits gravés par Picart.
A Paris chez Le Jay 1788, In/8 de XVI - 232 pages, pleine basane mouchetée de l époque, dos lisse orné de fleurons dorés, pièce de titre. avec manque, un petit manque sur le mors. Portrait de l'auteur en frontispice gravé par Le Beau. Nicolas Joseph Florent Gilbert, né le 15 décembre 1750 dans le sud du duché de Lorraine à Fontenoy-le-Château, mort le 16 novembre 1780 à Paris, poète lorrain francophone.
Lausanne, Payot, coll. poétique d'écrivains romands, 1967. In-12 broché de 65-[2] pages, couverture imprimée rempliée. Belle condition.
Edition originale. Exemplaire d'Isabelle Martin, connue et appréciée dans le monde du journalisme culturel romand, dans lequel elle a glissé la page de titre de "Gustave Roud - Qui suis-je", par Gilbert Salem à la Manufacture. Et si elle l'y a glissé, c'est que cette page lui est dédicacée par Gilbert Salem.
[Lausanne], Rencontre, sans date. In-4 non paginé (et pour cause), cartonnage d'éditeur illustré en couleurs, dos muet.
Illustré à toutes pages en noir par Gilbert Koull. Chaque page est coupée en trois partie, d'un côté un poème, de l'autre des personnages et animaux, à combiner comme des cadavres exquis.
Châteauroux, imprimé par les établissements Méllottée, Paris, en vente à la librairie du Recueil Sirey, 1932, 2 (sur 3) vol. in-8, X pp., 530 pp. ; 393 pp., demi-chagrin marine à coins, dos à nerfs, têtes dorées, premières couvertures conservées (reliure de l'époque). Charnières frottées.
Édition originale. Sans le volume III (La Mer territoriale et la zone contiguë) paru en 1934. Un quatrième volume était prévu sur les conditions de la guerre maritime, mais l'auteur n'eut pas le temps de le livrer à l'impression.Gilbert Gidel (1880-1958) se consacra entièrement au droit international public, enseignant successivement aux universités de Montpellier, Grenoble, Rennes et à la Faculté de droit de Paris (à partir de 1920). Il fut aussi délégué à la Conférence maritime de La Haye de 1930 et à la Conférence de Genève sur le droit de la mer de 1958. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1741 A Paris, chez Briasson, ruë S. Jacques, à la Science & lAnge Gardien, 1741. Sept volumes in-12° (108 x 170 mm) de [4]+24+[4]+732 / [4]+645 / [4]+759+[1bl] / [4]+782 / [4]+768 / [4]+755+[1bl] / [4]+716+[4] pages; huit figures gravées, dont quatre dépliantes, au volume V. Curieusement, les faux-titre et titre du volume II sont des doubles de ceux du volume III. Reliures de lépoque en plein veau moucheté, dos à nerfs ornés dun fleuron «à la toile daraignée», pièces de titre en maroquin rouge, tranches marbrées. Coiffe inférieure du volume I et coiffes supérieures des volumes IV à VI arasées, petites fentes sans gravité au bas des charnières des volumes III et V, sinon, très bon exemplaire.
Le volume I traite des belles-lettres et de lhistoire de la philosophie; le volume II de la logique et de la métaphysique; le volume III de la morale et des lois et coutumes; le volume IV de la politique et de lhistoire et de la chronologie; le volume V de la géométrie et de la physique; le volume VI de la médecine et chimie et des naturalistes et des arts, et le volume VII des sciences ocultes, telles que lastrologie judiciaire, la magie, la cabale et les nombres, les oracles, les sybilles, les augures, les présages ou le songes.
Paris, Gallimard, 1952 - 1957 2 vol. in-8, 537 pp., un feuillet volant d'errata ; 716 pp., brochés sous couvertures illustrées.
Édition originale (en dépit de la mention fictive de 6e édition qui figures au titre du volume I) de la première biographie scientifique du divin Marquis.C'est en 1942, face aux ruines du château de Lacoste, autrefois propriété de Sade, que Gilbert Lély (1904-1985) reçut comme une véritable illumination — "sa première rencontre mystique avec Sade", comme il dira -. Puis, en 1948, il rencontra le comte Xavier de Sade, qui lui ouvrit les archives de sa famille, lui permettant ainsi d'entamer un travail d'historiographe et éditeur du marquis ; jusque là, les travaux manquaient cruellement de documents authentiques.Cioranescu, XVIII, 58 150 (ne cite curieusement que le volume II). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Librairie française et étrangère, 1824 in-8, [2] ff. n. ch., 118 pp., broché sous couverture noisette imprimée. Rousseurs, petite galerie de vers intérieure (stoppée).
L'opuscule complète la collection intitulée Procédure suivie au parlement de Paris contre l'institut et les constitutions des Jésuites, parue en 1823, et qui forme une nouvelle publication, par un descendant de l'une des grandes familles parlementaires, des pièces du procès de la suppression des Jésuites : elle était motivée par le rétablissement de l'Ordre par Pie VII en 1814 et ses efforts pour regagner en France influence et prestige. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Rouen, Édouard Frère, 1837 in-8, VII-176 pp., avec trois planches gravées au trait, dont un plan, demi-veau havane, dos lisse orné de filets et doubles caissons dorés (rel. du milieu du XIXe). Dos insolé, rousseurs.
La première édition est de 1816. Antoine-Pierre-Marie Gilbert (1785-1858), grand sonneur de Notre-Dame de Paris en survivance de son père Antoine-Pierre (1809), composa un grand nombre de monographies sur les cathédrales et églises de France.Frère, II, 22. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Chartres, Garnier-Allabre, 1824; in-8, XII-131 pp., frontispice, 5 planches, broché. Joint une lettre autographe de l'auteur adressée à M. Edouard Frère. Envoi au même.
La première édition date de 1812.Antoine-Pierre-Marie Gilbert (1785-1858), grand sonneur de Notre-Dame de Paris en survivance de son père Antoine-Pierre (1809), composa un grand nombre de monographies sur les cathédrales et églises de France. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Adrien Le Clère et le concierge des tours de la métropole, 1821 in-8, titre, x pp., 447 pp., un f. n. ch. d'errata, avec 4 planches hors texte, dont un plan, broché sous couverture d'attente de papier vert, étiquette de titre au dos, non coupé. Rousseurs.
La première édition est de 1811. Antoine-Pierre-Marie Gilbert (1785-1858), grand sonneur de Notre-Dame de Paris en survivance de son père Antoine-Pierre (1809), composa un grand nombre de monographies sur les cathédrales et églises de France.Ex-libris Yves-Louis Mongrolle. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Mercure de France, 1989 in-8, [3] ff. n. ch., II pp., pp. 9-694, avec un portrait-frontispice, broché.
La première édition était parue dès 1952 (volume I) et 1957 (volume II). La nôtre est la première à paraître après la mort de l'auteur, par les soins de sa veuve Marie-Françoise Le Pennec.C'est en 1942, face aux ruines du château de Lacoste, autrefois propriété de Sade, que Gilbert Lély (1904-1985) reçut comme une véritable illumination — "sa première rencontre mystique avec Sade", comme il dira -. Puis, en 1948, il rencontra le comte Xavier de Sade, qui lui ouvrit les archives de sa famille, lui permettant ainsi d'entamer un travail d'historiographe et éditeur du marquis.Cioranescu, XVIII, 58 150 (ne cite curieusement que le volume II). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Jean-Jacques Pauvert, 1965 fort vol. in-8, 725 pp., un f. n. ch. et un feuillet d'errata inséré avant le faux-titre, avec 16 planches hors texte, exemplaire présentant les pp. 30, 61 & 62 en double : à leur emplacement logique, et au début du volume, sous forme de ff. anopisthographes, demi-chagrin cerise, dos à nerfs, tête mouchetée, couverture à rabats et dos conservés (reliure moderne).
La première édition était parue dès 1952 (volume I) et 1957 (volume II). La nôtre est la refonte de la deuxième édition de 1962, parue au Cercle du livre précieux. C'est en 1942, face aux ruines du château de Lacoste, autrefois propriété de Sade, que Gilbert Lély (1904-1985) reçut comme une véritable illumination — "sa première rencontre mystique avec Sade", comme il dira -. Puis, en 1948, il rencontra le comte Xavier de Sade, qui lui ouvrit les archives de sa famille, lui permettant ainsi d'entamer un travail d'historiographe et éditeur du marquis.Non cité par Cioranescu.Envoi autographe de l'auteur au rétivien Philippe Havard de La Montagne, - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Guillaumin [Imprimerie de Bourgogne et Martinet], 1837 - 1839 2 forts vol. gr. in-8, [2] ff. n. ch., 996 pp. ; [2] ff. n. ch., pp. 997-2252, texte sur deux colonnes, demi-chagrin fauve, dos à faux-nerfs ornés de filets et caissons dorés, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Rousseurs.
La première édition est de 1837. Le libraire Gilbert-Urbain Guillaumin (1801-1864) s'était spécialisé en premier lieu dans la littérature et l’histoire, domaines qu'il abandonna parce cet axe ne lui permettait pas de couvrir ses frais.Il se spécialisa ensuite dans le domaine alors très porteur de l’économie : et, en 1840, il débuta la Collection des principaux économistes qui regroupait les ouvrages de fondateurs de la science économique libérale, tels que Turgot, Adam Smith ou Jean-Baptiste Say. Il se signala alors comme l'un des animateurs d'un groupe de pression qui militait en faveur d'un libéralisme libre-échangiste.Entre autres, Auguste Blanqui, Eugène Flachat, Ed. Corbière, Payen, Reybaud, Horace Say, etc., ont collaboré à la rédaction des notices de ce dictionnaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, EDHIS, 1970 in-12, 329 pp., [11] pp. n. ch., basane havane, dos à nerfs orné de fleurons et doubles caissons dorés, pièce de titre cerise, tranches rouges (reliure de l'éditeur à l'imitation). Charnière supérieure fendue, charnière inférieure frottée.
Tirage limité à 280 exemplaires numérotés à la presse (20/280).Réimpression anastatique de l'édition de 1700, absolument introuvable, et cette fois-ci au sens propre. Quérard notait déjà : "Cet ouvrage a été détruit par l'auteur lui-même. Il n'en reste qu'un seul exemplaire". Apparemment, cet unique exemplaire se trouve actuellement dans la réserve de la BnF, d'après lequel a été exécutée notre réimpression.L'ouvrage décrit un pays imaginaire placé, à la structure fortement collectiviste, "où l'on n'attache nulle honte à l'acte de reproduction, où les enfants sont élevés par l'État et où l'on jouit d'un vrai bonheur, parce qu'il est conforme à la nature et à la raison". Il commence par l'itinéraire en Lituanie d'un protestant chassé de France par la révocation de l'Édit de Nantes, Christofile, de sa fille Eudoxe (qui, née d'une mère catholique, est alternativement protestante et catholique) et de son gendre Alâtre, et surtout y rapporte leurs entretiens avec les Avaïtes, habitants d'un pays imaginaire. Pour être admis à Calejava, il faut que les voyageurs soient "persuadés de l'existence d'un Dieu, de l'immortalité de l'âme et des peines et des récompenses de l'autre vie" ; mais il faut en même temps qu'ils soient "convaincus de ces vérités par des raisons solides et naturelles et non par l'autorité", car le sieur Gilbert, en cela parfaitement conformiste, rejette dogmes et miracles et prêche la tolérance et la solidarité, conditions du bonheur auquel Dieu destine les hommes et qu'ils peuvent acquérir en suivant la raison. L'auteur, avocat à Dijon, est un quasi-inconnu.Quérard III, 348 (pour l'originale). Absent de Hartig. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Metz, Imprimerie de Behmer, an 4 ou 1796 in-12, iv pp., pp. 5-263, broché sous couverture d'attente de papier bleu. Petits manques au dos, rousseurs.
Troisième édition, après celles de 1789 et 1795 (la première sous le titre de Traité des prairies artificielles ou Recherches sur les espèces de plantes qu’on peut cultiver avec le plus d’avantage en prairies artificielles, dans la généralité de Paris). L'ouvrage joua un rôle important dans le développement en France des prairies artificielles, comme en attestent les nombreuses rééditions jusqu'en 1826.Le vétérinaire François-Hilaire Gilbert (1757-1800) avait remporté divers prix sur des questions relatives à l’agriculture, dont la principale concernait précisément les prairies artificielles, de la Société royale d’agriculture de Paris dont il devient correspondant en 1787.Quérard III, 349 (donne 1790 pour l'originale, mais les exemplaires de la BnF sont bien de 1789).Ex-libris manuscrit Alexandre Chapotte. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, veuve d'Houry & Debure, 1789 in-8, [2] ff. n. ch., 300 pp., avec 5 tableaux dépliants hors texte, broché sous couverture d'attente de papier marbré. Dos très défraîchi, fortes mouillures.
Édition originale. L'ouvrage joua un rôle important dans le développement en France des prairies artificielles, comme en attestent les nombreuses rééditions jusqu'en 1826.Le vétérinaire François-Hilaire Gilbert (1757-1800) avait remporté divers prix sur des questions relatives à l’agriculture, dont la principale concernait précisément les prairies artificielles, de la Société royale d’agriculture de Paris dont il devient correspondant en 1787.Quérard III, 349 (donne par erreur 1790 pour l'originale). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Robert Laffont / France Loisirs, 1997, in/8 reliure éditeur, jaquette en couleurs, 415 pages.
"Gilbert Bordes passe sa jeunesse à Orliac-de-Bar. Aujourd’hui installé à Étampes dans la région parisienne, il effectue de fréquents déplacements pour retrouver les saveurs de sa Corrèze natale. Il a été rédacteur en chef du magazine La pêche et les poissons et chroniqueur radio sur RTL1. Passionné d’écriture depuis son enfance, il publie son premier roman en 1989."
Editions de Belledonne, 1995, in/8 broché, 133 pages. Illustrations en noir de Christiane Besset-Coffano.
"Avec cet excellent ouvrage, dont l'histoire côtoie de près les contes et légendes, Gilbert Coffano a su donner à la tradition orale, ses lettres de noblesse. L'imagination de l'auteur se nourrit aux sources de l'histoire, que sa plume retranscrit fidèlement. Au fil des pages, on découvre " la légende du Luitel, de La Mure, de La Combe-de-Lancey, de Villard-Bonnot, du lac de Crop, du barrage du Chambon, de l'Ours de Gaspard de la Meije, du mystère de la maison du diable à Grenoble, de Vizille, de Domène, de Montalieu, de la Bête du Graisivaudan " et bien d'autres dont " les mystérieuses pierres précieuses du Versoud ou le mystère de la Maison Forte de Pontcharra, la légende de Ponce Pilate à Vienne ", etc. " Légendes et Nouvelles du Pays Dauphinois ", un ouvrage de qualité, illustré, où légendes et contes laissent au lecteur une bonne odeur du terroir. (Claude MULLER, Membre de l'Académie delphinale, Vice-Président de la Société des Ecrivains Dauphinois)"
Editions de Belledonne, 1996, in/8 broché, 160 pages. Illustrations en noir de Christiane Besset-Coffano. Préface de Roger Canac.
"Avec cet excellent ouvrage, dont l'histoire côtoie de près les contes et légendes, Gilbert Coffano a su donner à la tradition orale, ses lettres de noblesse. L'imagination de l'auteur se nourrit aux sources de l'histoire, que sa plume retranscrit fidèlement. Au fil des pages"
Lausanne, l'Age d'Homme, La Merveilleuse Collection, 1967. Petit in-8 broché de 92-[4] pages, couverture jaune rempliée.
Illustrations en noir in et hors-texte. Édition originale au tirage limité à 1525 exemplaires, celui-ci un des 25 de tête sur papier Johannot à la cuve, numérotés en romain (XIV). Belle condition.
Lausanne, Études de lettres, 1979. In-8 broché de 125-[3] pages, couverture imprimée en rouge. Belle condition, non coupé.
Illustrations in-texte en noir à pleine page, dont quelques fac-similés et documents. Tirage limité à 380 exemplaires, celui-ci un des 300 non notés HC et non numérotés. Correspondance entre Roud et Pourrat, entre 1929 à 1959, avec une présentation et des notes par Gilbert Guisan et Doris Jakubec.
Zurich, Fédérations des coopératives Migros, Editions M, 1988. Cabas en papier de la Migros, 40,5 x 32 x 17 centimètres, poignées.
Cabas édité par la Migros, créé par l'artiste genevois Gilbert Mazliah. Un des 150 exemplaires signés et numérotés par l'artiste et enrichi d'une intervention aux feutres doré et argenté, sur les poignées notamment (142/150). On joint la facture, un article y relatif du magazine Construire et un exemplaire non signé du cabas.
A Paris, Chez Maradan, 1789. 2 tomes en un volume in-8 de [4]-XVI-280-200 pages, demi-belle-basane verte à coins, dos lisse orné de filets dorés, étiquette de titre caramel.
Orné d'une vignette de titre. Edition originale de la traduction.