Paris, Imprimerie de la République, s.d. (1796) in-8, titre, 17 pp., broché sous couverture moderne de papier bleu imprimé.
L'horticulteur Jacques-Martin Cels (1740-1806) avait été nommé membre de la section d'économie rurale de l'Académie des sciences en 1795.Le vétérinaire François-Hilaire Gilbert (1757-1800) avait remporté divers prix sur des questions relatives à l’agriculture, dont la principale concernait les prairies artificielles. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris : Imprimerie de la République, an IV [ 1795 ] In-8, (2)-72 pages. Broché, couverture moderne.
Première édition. "Une maladie désastreuse a ruiné, dans les deux dernières années, les postes, les messageries, les dépôts militaires et un nombre très considérable d'exploitations, tant rurales qu'industrielles. […] C'est rendre un important service à l'art vétérinaire et aux campagnes, que d'éclairer une cause aussi destructive. Personne ne pouvait le faire avec plus de succès que le citoyen Gilbert […]. Il commence par décrire les différens signes et les divers périodes du vertige abdominal. Il en expose les causes et les traitemens, tant préservatifs que curatifs" (La Décade philosophique, littéraire et politique, n° 57, 30 brumaire an IV)François-Hilaire Gilbert (1757-1800) est un des grands vétérinaires de la fin du XVIIIe siècle. Passionné de chevaux, il étudie puis enseigne à l'Ecole vétérinaire d'Alfort, dont il deviendra le direceur adjoint. Lauréat de plusieurs concours agricoles, membre de l'Académie des Sciences et de l'Institut à sa création en 1795, il se voit confier par le gouvernement la lutte contre les épizooties. Il est l’un des premiers promoteurs des prairies naturelles et de l’acclimatation en France du mouton mérinos d’Espagne.
Metz, Imprimerie de Behmer, an 4 ou 1796 in-12, iv pp., pp. 5-263, broché sous couverture d'attente de papier bleu. Petits manques au dos, rousseurs.
Troisième édition, après celles de 1789 et 1795 (la première sous le titre de Traité des prairies artificielles ou Recherches sur les espèces de plantes qu’on peut cultiver avec le plus d’avantage en prairies artificielles, dans la généralité de Paris). L'ouvrage joua un rôle important dans le développement en France des prairies artificielles, comme en attestent les nombreuses rééditions jusqu'en 1826.Le vétérinaire François-Hilaire Gilbert (1757-1800) avait remporté divers prix sur des questions relatives à l’agriculture, dont la principale concernait précisément les prairies artificielles, de la Société royale d’agriculture de Paris dont il devient correspondant en 1787.Quérard III, 349 (donne 1790 pour l'originale, mais les exemplaires de la BnF sont bien de 1789).Ex-libris manuscrit Alexandre Chapotte. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, veuve d'Houry & Debure, 1789 in-8, [2] ff. n. ch., 300 pp., avec 5 tableaux dépliants hors texte, broché sous couverture d'attente de papier marbré. Dos très défraîchi, fortes mouillures.
Édition originale. L'ouvrage joua un rôle important dans le développement en France des prairies artificielles, comme en attestent les nombreuses rééditions jusqu'en 1826.Le vétérinaire François-Hilaire Gilbert (1757-1800) avait remporté divers prix sur des questions relatives à l’agriculture, dont la principale concernait précisément les prairies artificielles, de la Société royale d’agriculture de Paris dont il devient correspondant en 1787.Quérard III, 349 (donne par erreur 1790 pour l'originale). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT