8 books for « gerspach edouard »Edit

‎Répertoire détaillé des tapisseries des Gobelins exécutées de 1662 à 1892.. Histoire. - Commentaires. - Marques‎

‎Paris, A. Le Vasseur, 1893 in-8, 250 pp., [2] ff. n. ch., toile bleue, dos lisse, pièce de titre noire (reliure de l'époque). Dos bruni.‎

‎Édition originale. Édouard-Zacharie Gerspach (1833-1906) fut directeur de la manufacture des Gobelins, de 1885 à 1893. Ex-libris manuscrit Lombard. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Documents sur les anciennes faïenceries françaises et la manufacture de Sèvres‎

‎Paris, Renouard, 1891, in-8, 246pp, broché, couverture imprimée, Édition originale. Édouard Gerspach (1833-1906), spécialiste de la mosaïque, administrateur des manufactures. A partir de 1870, attaché à la direction des beaux-arts et devient chef de cabinet du ministre. Chargé en 1876 d'organiser la manufacture nationale de mosaïque de Sèvres, il y est nommé directeur en 1883. En 1885, il est nommé administrateur de la manufacture des Gobelins. Intérieur propre. Non coupé. 246pp. ‎

‎Le colonel Rossel, sa vie et ses travaux, son rôle pendant la guerre et la Commune, son procès.‎

‎Paris, E. Dentu, 1873. In-8 broché de (VI)-230 pp., couverture imprimée, non coupé. ‎

‎Édition originale. Collection "Études sur la Commune". « Cette étude de l'activité de Rossel pendant la Comune est l'occasion pour l'auteur de brosser un large tableau de l'action militaire de la Commune ». Dos fendu, petits manques de papier, des rousseurs. Le Quillec, 2007 ; Del Bo, p. 96. ‎

‎Répertoire détaillé des Tapisseries des Gobelins exécutées de 1662 à 1892 - Histoire - Commentaires - Marques.‎

‎ Paris, A. Le Vasseur et Cie, 1893. Un vol. au foramt in-8 (252 x 163 mm) de 1 f. bl., 250 pp.? é ff. n.fol. et 1 f. bl., broché.‎

‎ Importante monographie. ''Tous les documents dont je me suis servi sont officiels. Ils comprennent les états des travaux des ateliers de la Manufacture, les inventaires des gardes du magasin des tapisseries, l'inventaire général du mobilier de la couronne, les inventaires des gardes des modèles, la correspondance.'' Dos renforcé à l'aide d'adhésif. Manque en marge du premier plat ainsi qu'au premier feuillet (blanc). Du reste, bonne condition. Exemplaire non coupé. ‎

‎L'art De La Verrerie‎

‎ Maison Quantin - Compagnie Générale d'Impression et d'Edition 14,5 x 21 Paris 1885 Volume petit in-8, cartonnage moutarde de l'éditeur orné sur le plat supérieur d'une enseigne enguirlandée au trait noir "Maison Quantin Editeur", dos décoré, titres dorés, 320 p. nombreuses gravures in et hors-texte. Collection "Bibliothèque de l'enseignement des Beaux-Arts". Cette collection a été dirigée par Jules Comte (1846-1912), qui a été un des promoteurs de l'enseignement des Beaux-Arts au début de la Troisième République. Elle compte une soixantaine de volumes de vulgarisation, mais chacun confié à un spécialiste et agrémenté de nombreuses illustrations. Cartonnage exceptionnellement conservé, dos parfait, rousseurs sur la page de garde, en excellent état.(EvB36) Livre ‎

‎La Mosaïque‎

‎ Ancienne Maison Quantin 14,5 x 21 Paris Volume petit in-8, [années 1890], cartonnage moutarde éditeur orné sur le plat supérieur d'une enseigne enguirlandée au trait noir "Ancienne Maison Quantin", signé en queue "Engel relieur", dos décoré, titres dorés, 271 p. nombreuses illustrations. Répertoire géographique et nomenclature des artistes et des mosaïstes. Nouvelle édition. Collection "Bibliothèque de l'enseignement des Beaux-Arts". Cette collection a été dirigée par Jules Comte (1846-1912), qui a été un des promoteurs de l'enseignement des Beaux-Arts au début de la Troisième République. Elle compte une soixantaine de volumes de vulgarisation, mais chacun confié à un spécialiste et agrémenté de nombreuses illustrations. Cartonnage exceptionnellement conservé, dos parfait, en excellent état. (EvB36) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST Livre ‎

‎Lettre autographe signée à un confrère. Florence 27 avril 1904. 4 pp. in-8. Déchirure restaurée sans nuisance au texte. ‎

‎Curieuse et sévère lettre à l’encontre des critiques d’art à propos de l’art italien. Il félicite son correspondant pour la manière dont il aurait infligé une humiliation à Henry Lapauze. « Ce Monsieur infatué le prend de très haut et couvre son ignorance par l’aplomb […] cependant, puisqu’il a accès dans la Revue des Deux mondes, dans le Correspondant et ailleurs sans doute. Je l’ai attrapé dans une simple affaire de statistique et pour faire passer ma copie, j’ai dû avoir recours à un journal presqu’ignoré. Je suis honteux lorsque je lis dans nos grandes revues des articles ineptes sur les arts d’Italie, de ce Lapauze, du belge Fierens-Gevaert et d’autres. Je ne parle pas des appréciations mais seulement des erreurs inadmissibles. Et cependant les paradoxes font ici de l’effet. Par exemple dans le livre de l’Abbé Broussolle la jeunesse du Perugin, Huysmans a fait une préface où il a écrit « l’odieux Raphaël » et personne en France n’a protesté à ma connaissance du moins. Il y a plus, le volume a été couronné par l’Académie française ; il est clair que le rapporteur ne l’a pas lu car il est absolument sans valeur. La maison Firmin Didot a publié un volume d’un nommé (Marcel) Niké, un pseudonyme certainement, Florence historique, artistique, monumentale. C’est inepte, à chaque page des erreurs énormes ». Il poursuit en lui citant un exemple. « Niké parlant de la Madone du Grand Duc écrit : "ce petit chef d’œuvre exécuté pour le grand duc Ferdinand, fut considéré comme une sorte de palladienne dans la famille de Médicis, delà lui vient son surnom de la Vierge du grand duc". Or jamais les Médicis n’ont possédé ce tableau et c’est le grand duc Ferdinand III de la maison de Lorraine qui l’a acheté en 1799 ! Et il y en a bien d’autres de ce calibre dans le volume ; j’ai tenté d’en faire la critique dans deux journaux de Paris ; l’un ne m’a pas répondu, l’autre m’a écrit qu’il était trop bien avec la maison Didot pour insérer mon article alors je l’ai mis dans une petite revue italienne comme protestation […] Chaque fois depuis 10 ans que j’ai voulu rectifier dans la revue et les journaux français, on m’a mis au panier et cependant que d’inexactitudes j’observai. Et croyez bien que je suis armé par des voyages d’Italie commencés il y a 36 ans et une résidence de 10 ans à Florence ! J’ai relevé des erreurs de fait dans Taine, Bourget, A[natole]. France et bien d’autres et que de sottises dans les discours, les banquets et les conférences ! Dernièrement encore [Hector] d’Espouy, ancien prix de Rome d’architecture a fait sur la technique de sa fresque une conférence à l’Ecole des Hautes Etudes, vraiment on ne dirait pas qu’il a passé 5 ans en Italie ; il ne sait même pas ce que c’est que la tempera dans la pratique de la peinture murale, il suffisait cependant de lire [Giorgio] Vassari… ». ‎