[Venise] Gérard BAUER - [Le Vésinet 1888 - 1967] - Ecrivain français
Reference : 35170
3 pages 1/2 in4 - bon état - ratures et corrections - pli longitudinal -
Long texte sur Venise à l'issue d'un combat qu'il a mené avec d'autres pour sauver Venise de la spéculation: "Les projets dévastatateurs pour faire de Venise une "ville vivante" ne seront pas réalisés" - On le doit à la décision de Rome d'un coté et à la "protestation que leur révélation à suscité" - De nombreux écrivains, peintres ou architectes ont réagi pour préserver l'unité de Venise, son originalité, sa splendeur - Il fait part de ses idées pour améliorer l'existant, par exemple le réaménagement intérieurs de certains palais ou des dispositions fiscales pour les étrangers - Il fustige "les spéculateurs, ces effrontés anonymes dans tous les pays, [qui] iront construire ailleurs qu'à Venise leur cités cellulaires" -
1 page 1/2 in4 - bon état - ratures et corrections -
Ce texte est paru dans sa chronique "Instants et Visages" - "A la fin du mois de mai, l'Orient-Express aura cessé de vivre" du moins dans sa forme d'origine - Il allait avoir 78 ans - Bauer évoque son fondateur: Georges Nagelmackers et l'histoire du train - "L'Orient -express n'inaugurait pas seulement une transversale en Europe, il entrait dans la littérature et prendrait un jour sa place à l'écran" - Il cite Jean Lorrain, Maurice Dekobra, Graham Greene, Agatha Christie, Abel Hermant ou Paul Morand qui en ont parlé - Mélancolique témoignage -
1 page 2/3 in4 - bon état - ratures et corrections -
Ce texte est paru dans sa chronique "Instants et Visages" : Il raconte une rencontre avec Anna Magnani [1908 - 1973] avant la sortie du film "L'Enfer dans la ville" (qui renouvelle "un sujet plus d'une fois traité: les prisons de femmes") au festival de Cannes - Il résume sa vie, démarrée dans le music-hall puis le théatre et enfin le cinéma - Il analyse ensuite son rôle dans le film et raconte la conversation qu'il eut avec elle - "Je ne reverrai peut-être plus Anna Magnani que sur des écrans mais je ne l'oublierai pas" - Beau témoignage sur une grande artiste -
[Venise] Gérard BAUER - [Le Vésinet 1888 - 1967] - Ecrivain français
Reference : 35169
1 page 2/3 in4 - bon état - ratures et corrections -
Ce texte est paru dans sa chronique "Instants et Visages" : Il raconte un événement qui ne se produit qu'une fois par an: "la présentation des reliques - celles de Saint Marc" - "ce qui parait certain, c'est qu'en 829, les reliques de Saint Marc furent apportées à Venise" - Il décrit longuement cette "cérémonie saisissante qui rendait présents les premiers pas de la chrétienté dans le monde" - Le lendemain avait lieu une noce populaire - L'épouse vacilla un peu en montant dans la gondole: "les premiers pas du mariage" -
BAUER Gérard - (Le Vésinet 1888 - Paris 1967) - écrivain français
Reference : GF27249
1/2 page in4 - A ses initiales - bon état -
Il envoie ses condoléances pour "une perte cruelle" -
BAUER Gérard - (Le Vésinet 1888 - Paris 1967) - écrivain français
Reference : GF21597
1 page in12 - carte format 10,5 x 14 cm - bon état -
Remerciements - "Voici ce livre précieux puisqu'il appartient à votre maison"...-
BAUER Gérard - (Le Vésinet 1888 - Paris 1967) - écrivain français
Reference : GF21598
1 page in12 - carte format 10,5 x 14 cm -
"Vous étes bien plus désigné que moi, de toutes manières, pour répondre à ce francien de la forêt noire..." - Il le verra bientôt à la bibliothéque ou il fait des recherches "sur des moralistes peu connus"..-
BAUER Gérard - (Le Vésinet 1888 - Paris 1967) - écrivain français
Reference : GF17839
1 page in4 - bon état -
Il le félicite pour son discours de réception rendant hommage à Paul Dukas "artiste inquiet et rigoureux, ayant réussi à donner sa forme originale à chacune de ses créations dans tous les genres..(il m'a fait penser à un Henry Becque de la musique)"....-
BAUER Gérard - (Le Vésinet 1888 - Paris 1967) - écrivain français
Reference : GF15960
1 page 1/3 in8 - bon état -
Touchante lettre d'amitié: A propos de la maladie de son correspondant: "J'ai appris et suivi avec l'inquiète affection que vous pouvez supposer les hauts et les bas de votre convalescence...Usez de moi pour tout ce qui peut vous être utile"...etc...- "La maladie est un monde silencieux ou il ne faut laisser approcher que ceux là qui vivent dans sa familiarité" même si cette réclusion doit lui peser -