Georges Picot (1838-1909), juriste, historien, philanthrope. L.A.S., 21 avril 1883, 2p in-8. A Arthur Mangin. Il n'a pas pu faire l'observation qu'il souhaitait lors de la séance de l'Académie des Sciences morales et politiques, Jean-Félix Nourrisson ayant levé la séance sans attendre. Il semble qu'il voulait ajouter une chose au mémoire de Georges d'Avenel et il envoie son mémoire, avec l'autorisation d'Avenel, pour que Mangin puisse s'en servir. Picot en fera la lecture lors de la prochaine séance. [302-2]
Georges Picot (1838-1909), juriste, historien, philanthrope. L.A.S., 24 juillet 1876, 2pœ in-8. A Arthur Mangin. Il a lu le compte-rendu de la séance de l'Académie des Sciences morales et politiques du 22 juillet et fait par à Mangin d'une erreur. Mangin a donné pour titre à la lecture de Picot « Le jugement d'Olivier Le Daim », mais il s'agit d'une inexactitude qu'il explique, n'ayant lu qu'un chapitre de son ouvrage et prévoyant de lire les suivants en hiver. Il attend avec impatience l'analyse dans le Journal officiel. [302-2]
Georges Picot (1838-1909), juriste, historien, philanthrope. L.A.S., 26 juillet 1876, 1p in-8. A Arthur Mangin. Il le remercie pour les deux colonnes sur son mémoire, vraisemblablement dans le Journal officiel, parlant d'une « très fidèle analyse. [.] Votre résumé aura bien plus de lecteurs que mon long chapitre et grâce à vous ils connaitront tout ce qu'il contient de nouveau ». [302-2]
Georges Picot (1838-1909), juriste, historien, philanthrope. L.A.S., 18 mars 1883, 1p in-8. A Arthur Mangin. Il lui envoie un livre, probablement M. Dufaure Sa vie et ses discours, et lui demande d'en parler. [302-2]
Georges Picot (1838-1909), juriste, historien, philanthrope. L.A.S., 27 août 1884, 2pœ in-8. A Arthur Mangin. Longue lettre à propos des méthodes de la Compagnie transatlantique qui impose une surtaxe sur le fret d'Afrique et arrête de garantir la durée du trajet. « Vous parlez de Terreur. [L'employé de la compagnie] avait le langage d'un émigré ». [302-2]