Imprimerie des arts et manufactures et Dubuisson.. 31 mars 1895. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Fortes mouillures. 8 pages environ, illustrées de gravures noirs et blanc. Premier plat de couverture illustrée d'une gravure en couleur par Steinlen. Mouillures, sans conséquence pour la lecture. . . . Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens
Le baiser, par Philippe Gille, illustré par Ballurian / Partition musicale : Nos d'mi-mondaines ( paroles de Cellarius, musique de Chaudoir) Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens
P., Bureaux du journal “L'Attaque”, 1898, in-8°, 105 pp, broché, bon état. Edition originale, envoi a.s. Très rare
Témoignage acerbe d'un ancien inspecteur du service des enfants assistés : « En décrivant anecdotiquement leur douloureux calvaire, je ferai le procès de la tutelle administrative, inintelligente et volontairement aveugle, sous laquelle ils s'acheminent, par de douloureux cahots, vers leur majorité.»
Ernest Gégout (1854-1936), journaliste, anarchiste. L.A.S., Paris, 20 juin 1895, 4p in-8 (44 lignes). Intéressante et longue lettre amicale avec en sous-entendu le duel qu'il faillit avoir avec Emile Massard. Gégout s'étant senti offensé par une lettre publiée dans La Patrie du 9 juin, il avait envoyé ses témoins, Aurélien Scholl et Edmond Lepelletier à Massard. Alfred de Mengersen, directeur de La Patrie, avait senti la chose venir et avait déjà choisi des témoins dont Massard. Finalement le duel n'eut pas lieu. Gégout a collé un extrait de L'Echo de Paris, seul journal à parler de l'affaire : « L'Echo de Paris, seul, a osé en publier la [mot illisible] de ma réponse ». « Je ne tiens ni à l'argent, ni à la gloriole, ni même à ma peau, mais je me raccroche cependant à quelque-chose - ce n'est pas sans faiblesse - ce quelque-chose, c'est mon honneur ». Il est amusant de constater que Massard et Gégout étaient des habitués des duels, Massard ayant même été le témoin de Gégout lors de son duel contre le docteur Charpentier (6 mars 1886) et celui contre Catulle Mendès (22 juillet 1887). C'est peut-être ce qui a empêché ce duel. [125]
Ernest Gégout (1854-1936), journaliste, anarchiste. L.A.S., Paris, 9 octobre 1891, 1P in-8 (8 lignes). Il demande un rendez-vous à Scholl. [125]
Ernest Gégout (1854-1936), journaliste, anarchiste. L.A.S., 10 avril 1892, 1p in-8 (12 lignes). Il propose d'écrire « très régulièrement une chronique sur la question sociale, sujet je crois connaître. [.] Mais puisque que le jeune pompier d'Edwards [Alfred Edwards] n'en voit pas l'utilité, je n'insiste pas n'en parlons plus ». [125]
Ernest Gégout (1854-1936), journaliste, anarchiste. C.A., sd, 3 lignes. « Mon cher Scholl, je vous envoie quelques pages, et je vous serre les mains ». [125]
Ernest Gégout (1854-1936), journaliste, anarchiste. C.A.S., sd, 3 lignes. « Vous me ferez grand plaisir, mon cher Scholl, si vous voulez bien lire ce livre. Affectueusement vôtre. E.G. ». [125]