Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1858 ; in-12, demi-maroquin outremer, coins, nerfs, fleurons dorés, tête dorée. (Reliure de l’époque) Frontispice, titre en rouge et noir, 230 pp., 1 f. avec le caducée.Edition tirée à 1000 exemplaires, 5 sur vergé plus quelques rares exemplaires sur vélin fort.C’est la troisième édition du recueil, les deux premières ayant paru chez Didier en 1852 et 1853. L’édition Malassis, en PARTIE ORIGINALE contient 27 poèmes, soit 9 de plus que la première de 1852, sans reprendre les 2 inédits de 1853. Les pièces nouvelles sont : Odelette anacréontique, Fumée, Apollonie, L’Aveugle, Lied, Fantaisies d’hiver, la Source, l’Art, Buchers et Tombeaux.Le frontispice dessiné et gravé à l’eau-forte par Emile THEROND (né à Saint-Jean du Gard en 1821) présente Gautier dans un médaillon avec un large encadrement d’orfèvrerie. Au sujet de ce portrait, voir Boucher. Icon. de Th. Gautier n°65: “La délicatesse que l’artiste a su mettre dans la composition de ce frontispice mérite éloge, c’est bien de ce genre un des plus heureux portraits de Gautier qu’on ait représenté, plein de finesse, de vérité et charmant à la fois. Pour symboliser l’oeuvre, Thérond a imaginé un cadre formé d’arabesques... dans lesquelles sont serties des pierres précieuses étincelantes et où viennent s’encastrer des émaux d’un ton doux, l’un égyptien, l’autre assyrien... L’artiste a dû s’inspirer pour le portrait d’une des photographies de Nadar...”Thérond est également l’auteur des nombreux bandeaux, fleurons et culs-de-lampe gravés sur bois dans le volume.Launay 64 - qui cite une lettre de Gautier à E. Feydeau publiée dans les Souvenirs intimes de ce dernier en 1874 : “Cet “étourdi de Poulet-Malassis (pullus gallinceus male sedens) a copié pour Emaux et Camées la première édition, de façon qu’il a sauté deux pièces qui sont ajoutées à la seconde : les Accroche-coeurs et les Néréides. C’est adroit pour un recueil complet! Il n’a pas mis non plus la pièce intitulée l’Art à la place indiquée : elle devrait venir après Bûchers et Tombeaux et clore le volume dont elle résume l’idée. Sauf cela, c’est parfait!” Th. Gautier était en Russie lorsque Malassis imprima ce livre, il ne put donc en surveiller la correction...Lonvenjoul II 147-48 (qui donne des lettres de Gautier à Malassis au sujet de ce volume) - Clouzot 72: “le volume est tiré sur excellent papier vélin légèrement azuré ou crème” - Vicaire III 910 - Tourneux. Gautier 8 - Jouanne 110.En 1863 le libraire Pincebourde écoula les derniers exemplaires de l’édition avec un nouveau titre à son nom.Bel exemplaire bien relié.GAUTIER (Pierre-Jules-Théophile).Le « poète impeccable » auquel Baudelaire dédia les Fleurs du Mal, fut un des auteurs de premier rayon de Poulet-Malassis. L’éditeur, hélas, ne fit pas fortune avec les livres de Gautier qui se vendaient mal. Mais le portrait du poète d’Emaux et Camées figurait en bonne place dans la luxueuse librairie du passage Mirès, parmi les médaillons peints des « auteurs-maisons ». Gautier et Malassis ne furent sans doute jamais intimes, car sans idées politiques précises, Gautier s’était peut-être un peu trop facilement adapté au Second Empire. Il faisait figure de personnage officiel, surtout dans l’entourage de la princesse Mathilde, qui le nomma son bibliothécaire en 1868. Poulet-Malassis, exilé alors à Bruxelles, n’a jamais fréquenté le salon de la cousine de Napoléon III, ces deux Bonaparte que liaient un attachement et un dévouement inaltérables. Gautier est mort en 1872, six ans avant Malassis.
Paris, Plon, Paris, Plon1874 ; in-12, broché. 2 ff., frontispice, 353 pp., 1 f. blanc.EDITION ORIGINALE. Portrait de Th. Gautier gravé par Rajon, d’après une jolie photographie faite à Paris en 1864 par Ch. Barenne. “On sait avec quelle rare finesse Rajon a gravé ce portrait à l’eau-forte” dit Boucher n°102.Contient des souvenirs évoquant les rapports entre Gautier et Malassis.Vicaire III, 699. Un peu débroché.GAUTIER (Pierre-Jules-Théophile).Le « poète impeccable » auquel Baudelaire dédia les Fleurs du Mal, fut un des auteurs de premier rayon de Poulet-Malassis. L’éditeur, hélas, ne fit pas fortune avec les livres de Gautier qui se vendaient mal. Mais le portrait du poète d’Emaux et Camées figurait en bonne place dans la luxueuse librairie du passage Mirès, parmi les médaillons peints des « auteurs-maisons ». Gautier et Malassis ne furent sans doute jamais intimes, car sans idées politiques précises, Gautier s’était peut-être un peu trop facilement adapté au Second Empire. Il faisait figure de personnage officiel, surtout dans l’entourage de la princesse Mathilde, qui le nomma son bibliothécaire en 1868. Poulet-Malassis, exilé alors à Bruxelles, n’a jamais fréquenté le salon de la cousine de Napoléon III, ces deux Bonaparte que liaient un attachement et un dévouement inaltérables. Gautier est mort en 1872, six ans avant Malassis.
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1859 ; in-12, broché, couverture jaune imprimée. Faux titre, portrait à l’eau-forte sur papier fort, titre en rouge et noir, 177 p., 1 f. avec le caducée (Imprimé à Alençon)PREMIERE EDITION FRANCAISE EN PARTIE ORIGINALE. Cette étude a d’abord paru à Bruxelles, chez Dumont, en 1858.L’édition Malassis a été tirée à 1500 exemplaires, 2 sur Chine et 10 sur Hollande.Seul un très court fragment inédit achevant le chapitre trois autorisa sur le titre le mention “édition revue et augmentée”. Cf Spoelberch de Lovenjoul. Hist. des Oeuvres de Th. Gautier II p. 153. Le portrait de Balzac a été spécialement gravé en 1858 pour cette édition. Fond Français X p. 167 n°25. Edmond HEDOUIN (Boulogne-sur-Mer 1820 - Paris 1889), peintre aquafortiste et lithographe, fut à 15 ans l’élève de Célestin Nanteuil, puis de Paul Delaroche. Il fut présenté à Balzac par Chassériau en 1846. L’illustre romancier lui confia la décoration de son hôtel. Leur longue amitié ne cessera qu’à la mort de l’écrivain. A partir de 1845 Hédouin délaissa la lithographie pour se consacrer à l’eau-forte. Ses gravures ornèrent l’Artiste, la Gazette des Beaux-Arts, l’Art. Il travailla pour de nombreux éditeurs de livres illustrés.Il grava une autre version du portrait de Balzac, vu de profil.Elle fut refusé par Malassis qui fit effacer la planche après un tirage d’une dizaine d’épreuves.Launay 81 - Clouzot 73 - Carteret I 332 - Vicaire III 922 - Talvart et Place 51 c - Tourneux-Gautier 80 - Jouanne 115Exemplaire de PREMIER TIRAGE, avec la couverture à la date de 1859, comme le titre. Le papier jaune qui a servi pour la couverture était vierge. Les annonsces du 2° plat de la couverture concernent deux séries : Bibliothèque moderne et Publications récentes de formats divers.GAUTIER (Pierre-Jules-Théophile).Le « poète impeccable » auquel Baudelaire dédia les Fleurs du Mal, fut un des auteurs de premier rayon de Poulet-Malassis. L’éditeur, hélas, ne fit pas fortune avec les livres de Gautier qui se vendaient mal. Mais le portrait du poète d’Emaux et Camées figurait en bonne place dans la luxueuse librairie du passage Mirès, parmi les médaillons peints des « auteurs-maisons ». Gautier et Malassis ne furent sans doute jamais intimes, car sans idées politiques précises, Gautier s’était peut-être un peu trop facilement adapté au Second Empire. Il faisait figure de personnage officiel, surtout dans l’entourage de la princesse Mathilde, qui le nomma son bibliothécaire en 1868. Poulet-Malassis, exilé alors à Bruxelles, n’a jamais fréquenté le salon de la cousine de Napoléon III, ces deux Bonaparte que liaient un attachement et un dévouement inaltérables. Gautier est mort en 1872, six ans avant Malassis.
A Alençon, chez Malassis le jeune, imprimeur, place du Cours. An XIV - 1805 - Suivi de : Supplément à l'histoire d'Alençon. Alençon, De l'Imprimerie de Poulet-Malassis, 1821 ; 2 ouvrages en un volume in-8°, demi-basane fauve, nerfs, fleurons dorés, non rogné (Reliure fin XIXes.) "A - 2 ff., 239 pp. pour le 1er titre. EDITION ORIGINALE parue anonymement. Dans l'avant-propos l'abbé Gautier dit avoir entrepris de dégager des Mémoires Historiques et des manuscrits de P.J. Odolant Desnos une note claire et précise sur Alençon. """" Gautier a vieilli, il s'est assagi, c'est à peine si sa plume se trempe de quelque ironie pour railler le zèle excessif, cruel, des catholiques alençonnais du XVIe siècle contre les huguenots brûleurs d'images ; il note avec une satisfaction sincère que dans cette ville """" la Révolution n'a point occasionné autant de malheurs que dans beaucoup d'autres endroits. Il a même un mot aimable à l'adresse de Napoléon """" protecteur des Sciences """". Ce n'est pourtant point de sa part vile flatterie de courtisan """". En effet peu après, chargé de prononcer un sermon pour l'anniversaire de la bataille d'Austerlitz, il retrouvera son indépendance en clamant """" Assez de victoires, Seigneur, assez de victoires, nous en avons assez ! """" Rousseau p. XIII - XIV. - C.E.B.A. 18 - Frère II, 13. B - 1 f., 175 pp., - 2 planches hors-texte gravées sur bois par GODARD d'Alençon : Cathédrale de Sées, Hôtel de la Préfecture. EDITION ORIGINALE du supplément, donné par Poulet-Malassis (Augustin-Jean-Zacharie). L'abbé Gautier était alors chapelain de Bicêtre. J. Darquelais, dans La Maison des sept péchés. Flers 1934, note que c'est à son apostrophe """" Assez de victoire """" que Gautier dut son affectation dans cet établissement. Le Préfet avait jugé le prêtre un peu trop original et pensait que sa place se trouvait parmi les fous de Bicêtre. Fondé en 1770, par Julien, intendant d'Alençon, Bicêtre était destiné à recevoir les aliénés mais aussi les mendiants, les vagabonds, les mauvais sujets. En 1831 l'établissement deviendra hospice départemental des aliénés et infirmerie des prisons. L'abbé Gautier mourut en 1829, seul, dans sa maison de la rue de l'Ecusson. En tête de volume sont reliées 6 pp. calligraphiées : Extrait du Journal du département de l'Orne. 20 nov. 1806. Sur une histoire d'Alençon qui a paru cette année par Louis DUBOIS. Jointes aussi 2 gravures sur bois à toutes marges : l'hôtel de Ville d'Alençon et l'Eglise Notre Dame d'Alençon (vers 1820 ?). bois de GODARD fils. Ces deux volumes sont rares, surtout réunis et tous deux en premier état. Poulet-Malassis a réimprimé en 1821 un nouveau titre (à son adresse et faussement daté 1805) pour écouler les invendus de la première édition de Malassis le jeune (voir C.E.B.A. n°17)."
France, Imprimerie particulière, , France, Imprimerie particulière, 1873 ; in-8, cart. brad. toile orange, pièce de titre brune, entièrement non rog., couv. muette verte. (Relié vers 1900). 1 f. blanc, 2 if. (fx-titre et titre), II pp., 84 pp. ,frontispice et 1 pl. sur double page. Titre ç,n rouge et noir.EDITION ORIGINALE, tirée seulement à 162 exemplaires, dont 150 sur Hollande et 12 sur Chine. Selon Spoelbech de Lovenjoul II p. 473, ce recueil clandestin fut publié par Malassis à Bruxelles en février 1873. Le frontispice, tiré sur Chine est une reproduction réduite, à l'eau-forte, du célèbre portrait-charge de Benjamin Roubaud (Charivari du 19 juillet 1839). L'eau-forte a été réalisée, non pas par Braquemond et Jacquemart, comme le dit Launay, mais par H. VALENTIN (Boucher n° 18). Henry-Augustin Valentin, peintre, lithographe et aquafortiste naquit à Yvetot en 1822. Il fut l'élève de David Angers et de Rude. Après la page 46 on trouve 1 double planche de musique tirée sur Chine. La page de titre est ornée d'une petite tête de faune tirée en rouge. Elle est l'œuvre de F. Rops. Les notes qui accompagnent cette édition sont de Poulet-Malassis. C'est aussi Malassis qui a classé les textes sous 3 rubriques: Singularités, Galanteries et Bonapartisme. Ce sont des impromptus, des priapées et diverses pièces de circonstances. La planche de musique gravée, jointe à la Complainte sur la mort du capitaine Morpion, reproduit la musique que Reyer, ami de Gautier, avait composée autrefois pour le convoi du maréchal Gérard. Launay 356 - Vicaire III, 939 - Pia II p. 560 - Dict. des Œuvres érotiques p. 407 - Clouzot 73 - Tourneux Gautier n° 13 - Talvart et Place n° 70. Un des 150 exemplaires sur Hollande.
France, Imprimerie particulière, , France, Imprimerie particulière, 1873 ; in-8, broché, couv. muette bleue moderne. 1 f. blanc, 2 ff., II pp., 84 pp. ,frontispice et pl. de musique sur Chine.Même composition et même mise en page que l’édition originale parue la même année chez le même éditeur. Il y a des différences dans les caractères utilisés, le papier vergé est différent, blanc pur dans cette édition alors qu’il est teinté dans l’originale. Selon Spoelbech de Lovenjoul II p. 473, ce recueil clandestin fut publié par Malassis à Bruxelles en février 1873. Le frontispice, tiré sur Chine est une reproduction réduite, à l'eau-forte, du célèbre portrait-charge de Benjamin Roubaud (Charivari du 19 juillet 1839). L'eau-forte a été réalisée, non pas par Braquemond et Jacquemart, comme le dit Launay, mais par H. VALENTIN (Boucher n° 18). Henry-Augustin Valentin, peintre, lithographe et aquafortiste naquit à Yvetot en 1822. Il fut l'élève de David Angers et de Rude. Après la page 46 on trouve 1 double planche de musique tirée sur Chine. La page de titre est ornée d'une petite tête de faune tirée en rouge. Elle est l'œuvre de F. Rops. Les notes qui accompagnent cette édition sont de Poulet-Malassis. C'est aussi Malassis qui a classé les textes sous 3 rubriques: Singularités, Galanteries et Bonapartisme. Ce sont des impromptus, des priapées et diverses pièces de circonstances. La planche de musique gravée, jointe à la Complainte sur la mort du capitaine Morpion, reproduit la musique que Reyer, ami de Gautier, avait composée autrefois pour le convoi du maréchal Gérard. Launay 356 - Vicaire III, 939 - Pia II p. 560 - Dict. des Œuvres érotiques p. 407 - Clouzot 73 - Tourneux Gautier n° 13 - Talvart et Place n° 70. Un des 150 exemplaires sur Hollande.
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1859 ; in-12, demi-chagrin rouge, nerfs, caissons à nerfs à froid, tranches jaspées. (Reliure de l’époque) XII pp., 428 pp., 1 grande carte dépliante lithographiée à Alençon chez les éditeurs.EDITION ORIGINALE EN FRANCAIS. Tirage à 1500 exemplaires. Charles de Schoenhals est né à Braunfels près de Wetzlar en 1788 et mort en 1857. Il fit une brillante carrière militaire, d’abord en 1809 contre les Français, puis en 1813 à la guerre d’Indépendance et en 1821 lors de l’expédition de Naples. Lors du soulèvement italiens de 1847-49 il fut l’aide-de-camp de l’effroyable Radetzky qui commit tant d’atrocités dans toute l’ItalieK. Son livre est un témoignage de premier ordre sur les campagnes et l’occupation des Autrichiens en Italie.Launay 77GAUTIER fils (Théophile).Le fils que Théophile Gautier eut en 1836 avec Eugénie Fort s’est fait connaître dans le monde littéraire par une traduction des Contes fantastiques d’Achim von Arnim. Il a plusieurs fois suppléé son père, comme critique au Moniteur et au Journal Officiel avant de délaisser la littérature pour l’administration où il fit carrière comme sous-préfet à Ambert et à Pontoise. En 1858 il était chef de bureau de la presse au Ministère de l’Intérieur. Il est vrai que son papa – tache difficile à pardonner à l’ancien hôte du club des Haschischins – s’était rallié au gouvernement du 2 décembre, qu’il avait accepté la grosse sinécure de bibliothécaire de la princesse Mathilde et que – faute impardonnable – il avait, bon courtisan, célébré en vers la naissance du prince impérial (ces petits octosyllabes lui furent payés 20000 F !).Le fils Gautier était un germaniste. On lui doit aussi un Munchhausen, la traduction de Wilhelm Meister et du théâtre de Goethe. Pour Poulet-Malassis il a traduit les mémoires intimes d’un général autrichien.
Neuilly, Éd. du “Musée Secret”, Neuilly, Éd. du “Musée Secret”1927 ; in-8, broché, couverture imprimée à rabats. 199 pp. et 15 planches hors-texte en noir.Édition en partie originale, la plupart des des billets de Gautier à la Présidente y paraissent pour la première fois. Une introduction de Helpey, c’est-à-dire Louis Perceau occupe les pp. 5-34, précédant l’étude de Sylvestre Bonnard, en réalité Pierre Dufay sur la Présidente (Mme. Sabatier). 3 illustrations photographiques montrent un portrait de Gautier par Nadar, un buste de Mme Sabatier sculpté par Clesinger et une sculpture du même artiste intitulée Rêve d’amour. Les 12 autres illustrations sont des eaux-fortes érotiques de Viset, pseudonyme de Luc LAFNET. Pia II, p. 385 - Enfer 1056 - Dutel 1847. Tirage à 465 exemplaires, un des 450 sur vélin de Rives. Qq. rousseurs pâles.
Paris, Didier, Paris, Didier1852 ; in-16, demi maroquin bleu à coins, nerfs, tête dorée, non rogné. (Pougetoux) EDITION ORIGINALE. Ce recueil important marque la fin de la grande poésie romantique, idéaliste et sentimentale et inaugure la poésie parnassienne. Après la publication de ce livre, Gautier sera considéré comme un "" maître "". C'est Baudelaire lui-même qui lui décernera ce titre : "" Gautier, c'est l'amour exclusif de Beau, avec toutes ses subdivisions, exprimé dans le langage le mieux approprié. Voir Lacoste in "" Dictionnaire des littératures "" : "" Les plus grands l'ont salué comme leur égal, Balzac, Hugo, Nerval, Baudelaire, Flaubert. Il est à l'origine des formes modernes de la création artistique par les droits qu'il réclame pour l'imaginaire, par son culte de la beauté, et surtout de l'art, qu'il n'a jamais conçu autrement que comme l'expression de la liberté totale de l'artiste "". On peut se demander pourquoi ce recueil qui marque une date vraiment importante dans l'histoire de la poésie au 19ème siècle a été négligé par les éditeurs de "" En français dans le texte "". Très bel exemplaire frais et relié."
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Montpellier, Université Paul-Valéry, 1993 2 vol. in-8°, 547p. (pagination continue) Brochés.
La Critique Françoise COURT-PEREZ, Gautier critique de Scribe. Elwood HARTMAN, Gautier et Fromentin. La Poésie Jacques LARDOUX, A propos des poésies de circonstances de Gautier. Constance GOSSELIN-SCHICK, L'écriture poétique de Gautier : évasion? conformisme? ou opposition sociale? François BRUNET, L'influence de Gautier sur Les Exilés. Peter EDWARDS, Gautier et Banville, affinités discrètes. L'Esthétique. Joseph-Marc BAILBE, La transposition d'art chez Gautier et J. Janin. Minako IMURA, Gautier et ses danseuses fantômes. Josepha MOLINA-RUEDA, L'isolement métaphysique de Gautier à travers la coordonnée spatiale de « Jettatura ». Claude-Marie SENNINGER, Le Capitaine Fracasse : comme en un palimpseste. Figures d'époque. Gesa KORDES, Ernest Reyer : avant-gardiste ou conservateur? Alban RAMAUT, Benvenuto Cellini de Berlioz : un opéra Jeune-France? Francis MOULINAT, Lassailly+Gautier : Ariel = une retraite élégante? Jean-Claude BRUNON, Gautier et Houssaye. Alain MONTANDON, Gautier et Balzac : à propos de « La Morte amoureuse ». Multiple Gautier. Anne-Marie LEFEBVRE, Gautier et les spirites et illuminés de son temps. Marcel VOISIN, Gautier et la politique. Jean-Claude FIZAINE, Gautier et la lettre d'amour. Paolo TORTONESE, L'érudition de Gautier. Serge ZENKINE, Gautier et la dispersion culturelle. Présence du monde. Christiane SERIS, Gautier en Amérique latine. Guy BARTHELEMY, L'Orient à Paris. Ilse HEMPEL-LIPSCHUTZ, Légendaire Espagne : mythe dépeint, mythe dansé. D'un tableau de Mariano de Fortuny au dernier ballet de Gautier. Robert BAUDRY, Gautier et l'évasion hors de son temps, ou les« machines à remonter le temps » dans ses contes. Michel DELPORTE, Sur le chemin de fer. Cassandra HAMRICK, Gautier et la modernité de son temps.
[GAUTIER Théophile] HUGO Victor; de BANVILLE Théodore; CROS Charles; MALLARME Stéphane; et al.:
Reference : 20450
(1873)
Paris, Alphonse Lemerre, 1873. Grand in-8 de [8]-II-179-[3] pages, demi-percaline terre de Sienne à coins, à la Bradel, dos lisse orné d'un fleuron doré, pièce de titre prune, couverture de papier parcheminé rempliée imprimée en deux tons. Non rogné. La reliure est signée E. Carayon.
Orné d'un portrait gravé de Théophile Gautier en frontispice. Edition originale publiée quelques mois après sa disparition, à l'initiative d'Alphonse Lemerre. C'est 83 auteurs totalisant 93 pièces qui rendent ici un hommage à Théophile Gautier. L'exemplaire est imprimé sur beau papier vergé des papeteries de Hallines des frères Dambricourt (c'était le papier préféré de Victor Hugo). Singulier exemplaire auquel on a ajouté 7 portraits: Théophile Gautier au trois-quarts, cigare en main, eau-forte sur chine avant la lettre par Rajon; Gautier d'après Nadar, gravé par L. Wolf; Gautier et le fauteuil académique, caricature coloriée de Gilbert-Martigny; portrait par Émile Thérond, épreuve tirée en bistre, avant la lettre sur Chine volant, à pleine marge; portrait lithographié de Julia Grisi ( fameuse soprano italienne admirée par Gautier qui lui rendit hommage dans un long poème La Diva; Buste de Gautier d'après Judith Gautier et H. Bouillon à Tarbes (gravure sur bois); "Théophile Gautier en tenue des représentations de Hernani" par Gautier lui-même , gravé par H. Valentin, eau-forte coloriée sur Chine volant: le gilet rouge: « Le gilet rouge ! on en parle encore après plus de quarante ans, et l’on en parlera dans les âges futurs, tant cet éclair de couleur est entré profondément dans l’œil du public » se souvient-il dans son Histoire du romantisme.Ex-libris et tampon rouge du collectionneur (non identifié) répété au premier contreplat et au premier feuillet blanc, avec un numéro (612).
Suomalainen tiedeakatemia 1959 172 pages Suomalainen tiedeakatemian toimituksia annales academiae scientarium fennice ; sarja-ser. B nide-tom. 113 2. in-8. 1959. Broché. 172 pages. Édition critique par Pol Jonas" Contents: Date du miracle; Analyse du miracle; Les sources: La source principale: le miracle de l'image de Sardenai; Les sources secondaires: Le miracle de l'image de Chateauroux; Le miracle du moine de Chartreuse; Les manuscrits; Comparaison des manuscrits; Le choix du manuscrit a reproduire; Etablissement du texte Appareil critique Index Glossaire; Langue du manuscrit 'N'; les rimes Notes
Bon état bordure de couverture brunie intérieur très bon
Gallimard 1932 in12. 1932. Broché.
couverture défraîchie ternie bords frottés tranche ternie quelques rousseurs à l'intérieur
Gallimard 1933 in12. 1933. Broché.
couverture défraîchie ternie bords frottés rousseurs sur tranche pages non coupées intérieur globalement propre quelques rousseurs
Paris, Didier, Paris, Didier1852 ; petit in-12, demi-maroquin rouge, coins, fil. dor. aux bords, dos lisse avec un riche décor de fil., arabesques et palmettes, don rogn., couv. et dos. (Strobants) 2 ff., 106 pp., 1 f. de table.ÉDITION ORIGINALE de ce recueil qui représente une date importante dans l’histoire de la poésie au XIXe siècle. Emaux et Camées marque la fin de la grande poésie romantique, idéaliste et sentimentale et inaugure la poésie parnassienne. Après cette publication, Gautier sera considéré comme un “maître”. C’est Baudelaire, en lui dédiant Les Fleurs du Mal qui lui décernera ce titre. “Les plus grand l’ont salué comme leur égal, Balzac, Hugo, Nerval, Baudelaire, Flaubert. Il est à l’origine des formes modernes de la création artistique par les droits qu’il réclame pour l’imaginaire, par son culte de la beauté, et surtout de l’art, qu’il n’a jamais conçu autrement que comme l’expression de la liberté totale de l’artiste.” Lacoste in Dictionnaire des littératures. Exemplaire très finement relié.
Phone number : 03 86 50 05 22
L'Armançon 1997 108 pages in8. 1997. broché. 108 pages. Illustrations de Pierre Gautier
Très Bon Etat
Calvinopolis, Roc et Pine pour le temple des Chauds Chats, [Paris, Rene-Louis Doyon], Calvinopolis, Roc et Pine pour le temple des Chauds Chats, [Paris, Rene-Louis Doyon][1925] ; in-8, plein maroquin rouge avec une illustration érotique mosaïquée et ornements en mar. noir et or, couverture cons. (Reliure de l’époque) 24 pp., 1 f. n. ch. et 3 illustrations photographiques hors-texte.Belle plaquette imprimée en rouge et noir donnant 8 pièces libres de Gautier. Tirage à 100 exemplaires, un des 69 sur Hollande van Gelder. Dutel 1627. Exemplaire dans une reliure mosaïquée et truffé de 3 photographies érotiques montées sur des feuillets ajoutés par le relieur. Envoi “à Victor pour la reliure...” sur la page de garde.
Paris, Editions littéraires de France, ( 1944); grand in-8 en ff., emboit. d'éditeur. "PREMIER TIRAGE. 24 eaux-fortes hors-texte. Paulette Humbert est née à Paris en 1904. "" Que de charmants paysages l'on découvre dans Emaux et Camées. Cette fumée qui monte détachant sa svelte blancheur sur le gris profond des nuages(…) Ne pare-t-elle pas d'un charme bien romantique ces affinités secrètes de Gautier ? (…) Ce qui caractérise l'œuvre de P. Humbert, c'est qu'elle est harmonieuse par l'unité de son inspiration dont rien ne la distrait, parce qu'elle possède un genre et un talent d'une sensibilité très personnelle"". P. Mornand. Vingt artistes du Livre pp. 111 à 124. Tirage limité à 328 exemplaires. Un des 302 ex. sur pur chiffon de Lana, à l'état de neuf."
A Alençon, de l'Imprimerie de Malassis fils, 1791 ; plaquette in-8° broché. 36 pp. EDITION ORIGINALE extrêmement rare. Dès 1790 l'abbé Gautier prêta serment. Cependant, malgré l'épigraphe Nova sint omnia qui manifeste les idées nouvelles sur la page de titre, un certain désenchantement vis à vis de la Révolution perce dans cette plaquette. Rousseau X. - Pas dans Frère.
Versailles s.d. [20-30 avril 1871], 10,5x11,5cm, un feuillet.
Lettre autographe signée de Théophile Gautier, 34 lignes à l'encre noire, adresse en pied au verso de la lettre : "Versailles avenue de St-Cloud n°3". Pliures inhérentes à la mise sous pli. La lettre semble être inédite, non mentionnée dans la Correspondance Générale de Théophile Gautier, éditée par Claudine Lacoste-Veysseyre, sous la direction de Pierre Laubriet (Droz, Genève-Paris, 12 vol., 1985-2000). Rare aperçu de la vie intime de Gautier, la lettre saisit les affres qui frappent l'auteur et sa famille pendant la Commune de Paris. Séparé de sa famille par l'invasion prussienne de 1870 et les insurrections parisiennes de 1871, Théophile Gautier confie l'ampleur de ses tourments, tant financiers que dus à la Commune de Paris, à sa «chère mignonne», sa fille cadette, Estelle Gautier: «Je parviendrai peut-être encore à me relever de cet écroulement [...] je suis heureux que ces atroces épreuves t'aient été épargnées. J'ai manqué pour ma part y laisser ma peau et je ne suis pas encore bien brillant». Les habituels soutiens de Gautier transparaissent d'ailleurs ici à travers les noms de l'académicien Camille Doucet et de la danseuse Carlotta Grisi. La virulence des combats entre communards et forces répressives se devine dans l'évocation de la sur de Gautier, Emilie, dite «Lili»: «Lili est toujours dans sa cave. En sortir est trop périlleux mais elle sera délivrée d'ici quelques jours. Hélas! bien longs». Caractéristique du registre personnel, rare dans la correspondance de Gautier, la lettre est empreinte de l'amour paternel que l'auteur porte à sa famille: «Quelle fête quand nous serons tous réunis car mon cur souffre bien [fort] de cette dispersion». - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Montpellier, Université Paul-Valéry, 1989. In-8°, 235p. Broché.
Constance GOSSELIN SCHICK, La Comédie de la mort de Théophile Gautier. Sarga MOUSSA, Constantinople de Théophile Gautier : un voyage vers le corps. Ilse HEMPEL-LIPSCHUTZ, Images illusoires, réelles, figurées? Théophile Gautier et sa « chimère rétrospective » reflétée dans l'uvre peint de Goya. Francis MOULINAT, Théophile Gautier et Gustave Courbet. Marta GINE JANER, Gautier et Villiers de l'Isle Adam. Christine COLAS, Yvonne de Galais : une sur des héroïnes de Gautier? Dossier Gaston Dupouy. Essai sur l'origine du Capitaine Fracasse. Description du château d'Arengosse. Mises au point. Documentation. Claudine LACOSTE, Théophile Gautier juge de lui-même. Claudine LACOSTE, uvres de Théophile Gautier annoncées par la « Bibliographie de la France » de 1830 à 1935. Claudine LACOSTE, Le Journal d'Eugénie Fort (suite), 12 juin 1859 - 29 février 1860.
Gautier, Théophile - HUGO Victor; ARENE Paul; AUBANEL Teodor; COPEE Françoise; MALLARME Stéphane; LEMERRE Alphonse (préface) et al.
Reference : 55092BB
(1873)
Paris, Alphonse Lemerre. 1873. Grand in-8 [8]-II-179-[3] p. orné d'un frontispice gravé du portrait de Gautier par Bracquemont et truffé de 7 autres portraits. Reliure demi-percaline orange à coins, pièce de titre brun imprimé sur la soie, Couverture de papier parcheminé conservé (signé E.Carayon).
Edition originale de ce recueil collectif en hommage à Théophile Gautier, publié quelques mois après sa disparition. Exemplaire agrémenté de 8 portraits: - 1: Gautier gravé par Rajon, eau-forte sur chine avant la lettre. - 2: Gautier d'après Nadar, gravé par L. Wolf. - 3: Gautier et le fauteuil académique, caricature en couleurs par Gilbert-Martigny. - 4: Gauterie d'après lui-même, gravé par H. Valentin en tenue des représentations de Hernani. Eau-forte colorée sur chine volant. - 5: Gautier par E.Therond, eau-forte, tirage sanguin sur chine volante. - 6: Portrait de Julia Grisi. - 7: Buste de Gautier par Judith Gauter et H. Bouillon à Tarbes.
s.d. [circa 1843], 13,2x21,9cm ; 12,4x15,8cm ; 13,2x9,1cm ; 17,2x5,9cm, 4 feuillets.
Manuscrit autographe de Théophile Gautier, 4 feuillets numérotés 2, 2bis, 9 et 11, 83 lignes à l'encre bleu turquoise, rose et rouge, corrections de la main de l'auteur, quelques pliures, infimes déchirures marginales sans manque de texte, quelques bavures et traces d'encre sans manque de texte. Admirable ensemble de quatre fragments manuscrits du chapitre XI du Voyage d'Espagne dévoilant les coulisses de l'écriture de Gautier qui, guidé par le goût romantique pour le pittoresque, relate ses séjours à Madrid et Ocaña et ses passages par La Guardia et Tembleque. Gautier adopte ici un étonnant format de travail sur feuilles volantes où, menée par une écriture serrée et bigarrée, se distingue la fabrique du récit à travers les corrections que l'auteur impose à son texte. Originellement destiné à une publication dans la presse, l'article de Gautier, lui-même séduit par l'exotisme espagnol, satisfait le penchant pour le pittoresque alors à son apogée en France: «[...] les mouvements de coude des femmes se groupant dans leur mantille et corrigeant l'inflexion d'un pli disgracieux; les illades lancées d'une croisée à l'autre aux gens de connaissance; le joli signe de tête et le geste gracieuxqui accompagne l'agurpar lequel lessenhorasrépondent aux cavaliers qui les saluent; la foule pittoresque entremêlée deGallegos, dePasiegas, de Valenciens, deManolaset de vendeurs d'eau» Les extraits présentés se placent en relation directe avec un imaginaire commun de l'Espagne, introduit par Don Quichotte et ses célèbres moulins: «[...] nous aperçûmes sur la droite deux ou trois moulins à vent qui ont la prétention d'avoir soutenu victorieusement le choc de la lance de don Quichotte [...] La venta où nous nous arrêtâmes pour vider deux ou trois jarres d'eau fraîche, se glorifie aussi d'avoir hébergé l'immortel héros de Cervantès». Placé en résonance avec une telle référence romanesque, le récit de Gautier se teinte de couleur picaresque: «Nous avions en outre une escorte spéciale de quatre cavaliers armés d'espingoles, de pistolets et de grands sabres. C'étaient des hommes de haute taille, à figures caractéristiques, encadrées d'énormes favoris noirs, avec des chapeaux pointus, de larges ceintures rouges, des culottes de velours et des guêtres de cuir, ayant bien plus l'air de voleurs que de gendarmes, et qu'il était fort ingénieux d'emmener avec soi, de peur de les rencontrer». Sans se départir de sa plume pleine d'humour («Boire de l'eau est une volupté que je n'ai connue qu'en Espagne»), Gautier se montre sensible à la gaieté et au bon vivant espagnols : «la sobriété et la patience des Espagnols à supporter la fatigue est quelque chose qui tient du prodige. Ils sont restés Arabes sur ce point. L'on ne saurait pousser plus loin l'oubli de la vie matérielle. Mais ces soldats, qui manquaient de pain et de souliers, avaient une guitare». Si l'écrivain est conscient de l'influence que la parution des articles dans la presse a sur son écriture, «je ne te fais pas de détails pittoresques. Tu verras cela dans les papiers publics» (Lettre de Théophile Gautier à sa mère, Burgos, 16 mai 1840), le Voyage en Espagne demeure une expérience jalon dans le développement esthétique de Gautier. Plus qu'un simple récit de voyage, l'ouvrage révèle «son rapport poétique avec le monde visible» (François Brunet) dont certains accents se distingue ici: «Le passage de la procession est poudré de sable fin, et destendidosde toile à voile, allant d'une maison à l'autre, entretiennent l'ombre et la fraîcheur dans les rues [...] Le manège perpétuel des éventails qui s'ouvrent, se ferment, palpitent et battent de l'aile comme des papillons qui cherchent à se poser ». - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Montpellier, Université Paul-Valéry, 1980. In-8°, 144p. Broché.
David Graham BURNETT, Sur la composition de la Comédie de la Mort. Ilse HEMPEL-LIPSCHUTZ, Théophile Gautier et son Espagne retrouvée dans l'uvre gravé de Goya. Harry COCKERHAM, Quatre voyages de Gautier en Angleterre. Quelques documents. Claude-Marie SENNINGER, España à mi-chemin entre La Comédie de la Mort et Émaux et Camées. HÉVELYNE, Les Grotesques de Théophile Gautier, les Grotesques de la Musique d'Hector Berlioz. Gaston DUPOUY, A propos du Capitaine Fracasse. Pierre CAIZERGUES, Apollinaire et Gautier. Marianne CERMAKIAN, Le Journal d'Eugénie Fort (1856-1872). Claudine LACOSTE, Joseph Linguay : profession de foi politique. Jean RICHER, Notes bibliographiques. Claudine LACOSTE, Théophile Gautier et la presse de son temps II. David Graham BURNETT, Complément au dossier américain sur Théophile Gautier. Sho KIMATA, Théophile Gautier au Japon.