Paris Michel Lévy Frères, Libraires Editeurs 1861 in 12 (18x11,5) 1 volume reliure demi basane foncée de l'époque, dos lisse orné de faux nerfs à froid et de fleurons dorés, 290 pages [1]. Valérie Boissier de Gasparin, 1813-1894. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Reliure
Le Rivage, 15 juin 1869. 3 pp. in 8°, sur papier blanc à son chiffre couronné.
Belle lettre sur l'achat d'un bijou : « la vue des dessins, la petitesse des pierres, leur cherté, rien n'était encourageant », mais par l'intermédiaire d'une joaillier genevois « très versé dans la connaissance des diamants comme de ceux qui les vendent, nous avons trouvé notre idéal... sept belles pierres dont une très remarquable, sans compter les petites, le tout d'une eau sans reproche... » Valérie de Gasparin que l'on connaît pour ses préoccupations sociales prise en flagrant délit de futilité... Rare.
Couverture souple et imprimée. Petites piqures sur la couverture. Pages non-ébarbées et non-coupées. Belle fraîcheur du papier. Contenu ornée de frises en noir et blanc.
Paris. Calmann-Lévy. 1893. 364 pp. In-8. Broché. En bon état. 1 volume. Bel exemplaire de ce que la littérature suisse peut nous offrir. Tout comme son époux le Comte Agénor de Gasparin, elle a eu de bonnes dispositions pour l'écriture. Ce qui a n'en pas douter lui a été bien utile pour user du verbe ou de la beauté des mots.
Paris, Paulin, 1835. 2 volumes in 8°, demi-veau havane, dos lisses ornés de filets à froid et de fines roulettes dorées, mors et coiffes frottés, tranches mouchetées, rousseurs éparses. 375 pp., 423 pp.
ÉDITION ORIGINALE. Journal d’un voyage effectué en 1833 avec sa mère. Cette ignorante avait reçu une solide instruction grâce à son précepteur Jean-Louis Valette, un futur pasteur luthérien. Mais elle « ne se pose pas en spécialiste, en géographe, en historien, en critique d’art. Elle est elle-même. Piquante si elle en a envie. Et non sans une vision sociale non conformiste, qu’approuve sans doute Sismondi, qui relit son texte, mais donne des sueurs froides à sa mère. » (Francillon, Valérie de Gasparin une conservatrice révolutionnaire, p. 16-17). RARE. De la bibliothèque de Henri de Daunant avec son ex-libris.
Paris, J. Bonhoure et Cie, sans date (1880). In-12 de 138 pages, demi-veau glacé rouge à coins (un peu taché), dos à 4 petits nerfs orné de roulettes, filets, encadrements et titre dorés. Coins, mors et coiffe supérieure légèrement frottés.
La traductrice vécut à Pregny-Chambésy et fut un auteur dont les œuvres, tant sociales que littéraires à caractère religieux, comptent plus de quatre-vingts titres.
Paris, Michel, Lévy frères, 1869 ; 1 volume grand in-18°, demi-chagrin rouge de l'époque , dos à nerfs cernés de filets à froid, titre doré;3ff.,434pp.
Quelques piqûres, sinon bon exemplaire.(GrET)
1865 Paris : Michel Lévy frères, 1865. 1e éd.,in12 broché ,298p, couverture de relais:Calmann-Lévy 1877
dos cassé , à relier ,dans l'état.Mme de Gasparin, l’auteur de ces récits qui viennent après bien d’autres, est ce qu’on pourrait appeler en toute vérité un humoriste protestant, si ces deux mots peuvent marcher ensemble, un humoriste qui enveloppe des histoires de sainteté de toute sorte d’arabesques, qui vous jette à la face des poignées d’éblouissans caprices et de fleurs des Alpes avec les bouffées d’un calvinisme incandescent. Esprit singulier, brillant, tourmenté, subtil, laborieusement naïf, doué d’un vif sentiment de la nature terrestre aussi bien que des choses morales, passant d’un mysticisme ardent à de véritables crudités réalistes, et qui dans ses voyages à travers le monde extérieur et les mondes invisibles de l’âme, dans ses fantaisies, dans sa fine psychologie, dans ses aimables impétuosités, garde toujours la forte saveur du terroir genevois. Mme de Gasparin, pour tout dire, est un moraliste et un paysagiste qui fait l’école buissonnière sous le pavillon protestant." Ch. de Mazade, Revue des Deux mondes, 7/1865.
Genève, Imp. W. Kündig & Fils, 1895, 126 p., broché, couverture insolée, haut et bas du dos un peu émoussés, intérieur propre, pages non coupées (jamais lu).
Contient : extrait du journal de Genève par Marc Debrit, extrait de la semaine religieuse par Francis Chaponnière et Souvenirs intimes par Alice Boissonnas.Pionnière des soins infirmiers modernes, militante protestante. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, Michel Lévy, frères, 1865. In-12 de [4]-302-[2]; [2]-298-[2] pages, demi-chagrin brun, dos (passé) à 4 nerfs orné de filets, roulettes, fleurons et titre dorés, tranches mouchetées. Tampon à la page de titre répété 2 fois dans le corps de l'ouvrage.
Illustré du fac-similé dépliant d'une lettre, imprimée sur papier bleu, qui fait partie du récit. Edition originale des 2 premiers volets, 2 suivront encore l'année suivante. "Mme de Gasparin, l’auteur de ces récits qui viennent après bien d’autres, est ce qu’on pourrait appeler en toute vérité un humoriste protestant, si ces deux mots peuvent marcher ensemble, un humoriste qui enveloppe des histoires de sainteté de toute sorte d’arabesques, qui vous jette à la face des poignées d’éblouissans caprices et de fleurs des Alpes avec les bouffées d’un calvinisme incandescent. Esprit singulier, brillant, tourmenté, subtil, laborieusement naïf, doué d’un vif sentiment de la nature terrestre aussi bien que des choses morales, passant d’un mysticisme ardent à de véritables crudités réalistes, et qui dans ses voyages à travers le monde extérieur et les mondes invisibles de l’âme, dans ses fantaisies, dans sa fine psychologie, dans ses aimables impétuosités, garde toujours la forte saveur du terroir genevois. Mme de Gasparin, pour tout dire, est un moraliste et un paysagiste qui fait l’école buissonnière sous le pavillon protestant." Ch. de Mazade, Revue des Deux mondes, 7/1865.
Toulouse, Société des Livres religieux, 1895. In 12, percaline taupe de l'éditeur. 162 pp., gravures.
Une mise en garde destinée aux classes populaires, à laquelle répondra une adresse aux classes plus favorisées Il y a des pauvres à Paris et ailleurs. Un ouvrage tout à la fois de critique sociale et d’éducation morale dans lequel Valérie de Gasparin (1813-1894) dénonce – déjà – le fossé grandissant entre riches et pauvres. Issue de deux familles patriciennes genevoises, elle rejoint tôt le mouvement du Réveil. Outre son œuvre littéraire elle est connue pour avoir créé à Lausanne la première école laïque de garde-malades devenue, sous forme de fondation, l’Institut des garde-malades de la Source.
"""Ouvrage spécialement adressé aux jeunes femmes du Monde""." Paris, Delay. 1843. Trois volumes in-8 (21x14). 524(1)-335(1)-484(1) pages. Demi-basane verte, dos lisses ornés de filets dorés.
Edition originale, bons exemplaires avec leurs couvertures romantiques conservées.